Swing Time

A Londres, dans les années 80, deux petites filles métisses deviennent amies. Elles veulent devenir danseuses mais si l'une est douée, l'autre l'est moins. Elles sont issues de deux familles très différentes : Tracey est élevée par sa mère car son père fait des séjours en prison ou alors mène double vie, tandis que la mère de la narratrice est cultivée, s'intéresse à la politique alors que son père est quelqu'un de beaucoup plus simple. En grandissant, les deux fillettes s'éloignent l'une de l'autre : Tracey est promise à une carrière de danseuse tandis que la narratrice devient l'assistante d'Aimee, une célèbre star qui va ouvrir une école en Afrique avec sa fortune. La narratrice va vivre dans l'ombre d'Aimee et dans l'univers du show-biz. Mais la vie leur réserve bien des surprises.

J'ai gagné ce roman grâce à un parrainage avec un site internet de lectures communautaires. Je ne connaissais pas Zadie Smith et cela m'a donné l'occasion de découvrir cette auteur.
Malheureusement, le charme n'a pas opéré en moi et j'ai été tentée d'abandonner ce livre à plusieurs reprises (je pense que si je n'avais pas été engagée avec ce parrainage, je l'aurais probablement fait).
Si la première partie autour de l'enfance des deux fillettes paraît plutôt intéressante, la deuxième s'avère très ennuyante. J'ai même cru que j'avais sauté quelque chose car on passe d'une époque à l'autre, avec des personnages nouveaux, sans transition aucune. L'essentiel du roman est alors consacré à Aimee, personnage qui ne m'a pas inspiré beaucoup de sympathie.
Côté écriture, j'ai noté aussi la présence récurrente de très longues phrases harassantes.
Il y a aussi de nombreuses digressions, on se perd dans les personnages qui jalonnent chaque partie et cela devient vite rébarbatif.
Je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêt dans ce livre, l'amitié entre les deux fillettes est vite reléguée au second plan. Pour moi, c'est une grande déception et j'ai eu du mal à finir les 540 pages de ce livre.

Autant vous le dire tout se suite, je ne suis pas aussi enthousiaste que Olivia de Lamberterie citée en quatrième de couverture... Non, moi j'ai fini ce bouquin en espérant y trouver un souffle réel, sans succès.

Le pitch me plaisait bien pourtant, une histoire d'amitié qui tourne mal sur fond de passion pour la danse... Mais j'ai trouvé que Zadie Smith en mettait trop dans son histoire. Ça part dans tous les sens, ça évoque plein de sujets, mais d'une manière qui m'a semblee superficielle pour certains : la mixité et le racisme à Londres, l'amitié, les relations fille/mère, la fascination pour les stars, la place des personnes racisées dans le cinéma, le côté "grand sauveur" des occidentaux, la montée de l'islamisme dans les pays d'Afrique, la trahison amoureuse et amicale, le non-desir d'enfant...

C'est un livre foisonnant en effet, mais trop à mon goût. Je préfère les histoires qui s'étendent moins mais creusent le sujet, vont au bout des choses... Sans parler du fait que la narratrice, anonyme, m'a agacée. Je l'ai trouvée soumises aux événements, sous l'emprise des femmes qui l'entourent, jamais dans l'action et l'initiative.

Il y a quelques années, j'avais tenté de lire "De la beauté", sans succès. Même si Zadie Smith sait très bien écrire, je crois que nous ne sommes pas faites pour nous entendre d'un point de vue littéraire. Il me manque un petit quelque chose pour être conquise. Tant pis !

Swing time ou sur les ailes de la danse...

Au départ, Swing time est une comédie musicale de George Stevens avec le très célèbre Fred Astaire. L'auteure américaine, Zadie Smith, part de ce film pour nous parler de l'amitié de deux jeunes métisses vivant dans les quartiers populaires de Londres. Elles vont se rencontrer lors d'un cours de danse. S'ensuit une histoire assez complexe caractérisée par un rapport de force, de l'admiration mais aussi des secrets.
La narratrice du roman est l'une de ses filles dont on ne connaît pas le prénom. de son enfance dans les années 1980 à aujourd'hui, elle parle de Tracey, son amie devenue une grande danseuse, contrairement à elle mais également de ses parents et de la chanteuse pour laquelle elle travaille.

Zadie Smith, par cette histoire, traite certes de l'amitié mais aussi du racisme, de la passion, de conditions sociales. Beaucoup de thèmes sont abordés et c'est brillant. le lecteur, dès les premières pages, est directement plongé dans l'intrigue.

Mais comme beaucoup, après plus de 300 pages de lecture, je me sens lassée, trop de longueur dans la narration et on ne sait plus où veut en venir l'auteure. Dommage... peut-être que je passe à côté, peut-être qu'il faut que je laisse et que je le reprenne plus tard.

Affaire à suivre...

Reçu dans le cadre d'un masse critique, merci aux éditions Folio et à Babelio pour cet envoi.

Bon, troisième essai avec cette écrivaine et je pense que je vais en rester là. J'ai vraiment du mal avec son style et elle ne m'emmène nulle part. Dans ce roman, Swing time, seule l'histoire de Tracey m'a quelque peu accrochée, toute la partie sur Aimée et son école en Afrique - Madonna au Malawi ???- m'a parue longue, très longue, trop longue, si longue, voire interminable.
Je passe à autre chose

Je viens enfin de terminer "Swing Time".
Je n'aime pas abandonner un livre, je me suis donc accrochée pour le terminer mais j'ai mis beaucoup de temps.

D'une part parce qu'il fait 550 pages. Mais j'ai déjà lu des livres plus gros beaucoup plus rapidement. le principal problème pour moi, c'est qu'il est très ennuyant.
Je ne l'ai pas du tout trouvé intéressant.
On ne s'attache pas au personnage, on n'a pas envie de connaître la suite de l'histoire (et heureusement parce que finalement il ne se passe pas grand chose), c'est très redondant, ça n'avance pas.

De plus, les parties du livre et les chapitres sont découpés d'une manière que je n'ai pas compris, et qui pour ma part, n'aide pas à la fluidité de l'histoire.

Autre gros mauvais point : la quatrième de couverture ne reflète pas du tout l'histoire du livre.

Enfin, je n'ai pas saisi les éventuels conclusions, ouvertures, messages que l'auteure a voulu nous faire passer à travers ce roman.

Une déception.

La lecture de la quatrième de couverture m'a fait pensé à la relation qu'entretiennent les deux héroïnes de "L'amie prodigieuse", Raffaella et Elena. Mais la comparaison va probablement s'arrêter là. Je ne connais pas du tout l'écriture de Zadie Smith. Il me semble avoir feuilleter certains de ses romans, sans pour autant avoir sauter le pas. Avec les livres, c'est comme avec les gens, il faut savoir attendre le bon moment.

Deux petites métisses se rencontrent lors d'une cours de danse dans un quartier populaire de Londres. C'est le début d'une grande amitié et la naissance de l'amour de la danse. D'ailleurs leur film préféré, "Swing time", met en scène le grand Fred Astair. de tempérament différents, Tacey et son amie ont relation forte, qui marquera leurs vies respectives, avec des absences plus ou moins longues entre leur retrouvailles.

Ce roman d'apprentissage est portée par une plume qui relate avec finesse les émotions, et les événements. Zadie Smith aborde également des sujets sensibles comme le racisme, la peur de grandir, les relations familiales difficiles, les rêves d'enfant, la désillusion... La première partie est la plus captivante sur l'ensemble de l'oeuvre car elle pose les bases de cette amitié et servira de référence au lecteur tout au long de cette histoire.

Ces deux fillettes ont des caractères très opposé. Autant l'une semble sage et studieuse; autant l'autre peut se montrer provocatrice, dévergondée et excessive. Ces deux tempéraments se complètent à merveille et réussissent à trouver un bon équilibre. Mais la vie va se charger de les éloigner, et lorsque la narratrice va commencer à travailler pour une grande star, le fossé va se creuser encore plus, car les deux femmes - malgré le caractère atypique d'une star dans l'excès et la démesure - vont passer beaucoup de temps ensemble et se rapprocher.

Ce roman est agréable à lire mais ne restera pas marquant dans mon souvenir. D'une plume fluide et fine, Zadie Smith relate une amitié qui fluctuera au gré de la vie et emportera ses protagonistes loin l'une de l'autre, mais elles finiront par se retrouver. Malgré cela il est difficile de ressentir une grande empathie pour ces deux amies, même si les sujets abordés sont intéressants. Je ne suis pas totalement convaincue par ce récit.
Je remercie Babelio ainsi que les Éditions Folio de leur confiance.
Lien : http://lillyterrature.canalb..

Arrêté le livre page 127. Si l'ombre d'Elena Ferrante et son "Amie prodigieuse" plane sur le roman, la comparaison s'arrête là. Ici, l'intérêt se dilue vite dans une succession de saynètes/chapîtres à l'intérêt inégal, mettant en scène des personnages peu attachants et sans progression dramatique, dans un style/une traduction? médiocre. Bof.

Au début du roman, on suit l'enfance dans les années 80 de deux amies issues de familles bien différentes.
La narratrice, dont on ne connaitra pas le prénom, et son amie Tracey.
Tracey vit avec sa mère et l'absence de son père emprisonné, la narratrice avec ses parents plus fortunés, dont la mère s'intéresse beaucoup à la politique et a la critique facile.
La seconde partie révèle un nouveau personnage : Aimee.
Cette star internationale vient peu à peu remplacer Tracey dans la narration.
Le récit se transforme peu à peu en une suite d'anecdotes plaçant Aimee au centre, et évinçant Tracey qui apparait de moins en moins.

J'ai beaucoup aimé la première partie, mais la seconde m'a paru bien fade... J'aurai aimé voir l'évolution des deux amies, je n'ai pas compris pourquoi autant insister sur leur duo lors de l'enfance pour ensuite passer à totalement autre chose sans transition.
J'avais hâte de terminer ce livre pour passer à autre chose...

Une fois n'est pas coutume, j'ai abandonné ce livre.
Je n'ai plus beaucoup de temps pour lire et j'ai décidé de ne plus me forcer à finir les romans qui ne me plaisent pas (je suis quand même allée jusqu'à 70% donc j'ai un avis valable me semble-t-il).
Deux petites filles se rencontrent dans un cours de danse dans la banlieue de Londres, et se rapprochent du fait de leur couleur de peau (elles sont métisses). L'une est une excellente danseuse mais a une personnalité assez destructrice et une famille assez défaillante (ou en tout cas une maman qui n'est pas aidée), l'autre n'est pas une très bonne danseuse mais sera portée par des parents beaucoup plus attentifs que ceux de son amie.
Et c'est long...
On suit la "mauvaise" danseuse dans sa vie de jeune adulte, devenue assistante d'une star de la pop qui a décidé de sauver l'Afrique de la pauvreté (je fais de gros raccourcis on est d'accord!). On découvre comment elle s'est éloignée de son amie d'enfance et ce qu'elles sont toutes les deux devenues.
On ne peut pas s'empêcher de penser à la saga L'amie prodigieuse de Elena Ferrante, et c'est bien pour ça que j'ai décidé de lire ce livre d'ailleurs. Sauf qu'on en est très très très loin!!
La vie de ces filles ne m'a pas du tout intéressée, c'est long, ça n'en finit plus (pourtant le livre n'est pas un pavé mais c'est vraiment l'impression que ça n'avance pas).
Bref, grosse déception pour cette auteur dont j'entends beaucoup parler et dont je souhaitais depuis très longtemps lire son chef d'oeuvre "Sourire de Loup". Mais je suis un peu refroidie!

SWING TIME en deux temps. Après un début prometteur à observer ces deux fillettes métisses et passionnées de danse dans une Londres encore un peu fermée, j'ai moins adhéré aux longues, très longues digressions en Afrique. Un time de lecture beaucoup trop long pour cette histoire.

* Roman lu dans le cadre du Trophée Folio Elle*
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