Le pavillon des cancéreux

Immense Soljenitsyne ! Il faut faire abstraction des déclarations de la fin de sa vie peut-être, mais quel immense romancier, trop peu lu.
Je n'aime pas abuser de ce mot, mais comment faire autrement : "Le pavillon des cancéreux" est un chef-d'oeuvre, parce qu'il mêle, comme les grands romans savent le faire, l'histoire, la métaphysique, la morale, la philosophie, mais surtout parce qu'il les incarne dans des personnages qu'on suit d'un chapitre à l'autre, et qui montrent toute une palette d'humanité, de l'apparatchik à l'infirmière dévouée, du paysan à la malade qui va perdre un sein. Roman fascinant parce qu'il semble contenir toute la vie, dans cet hôpital où chacun est confronté à son devoir et à la mort, à son devoir d'homme en somme, à la question du comment vivre.

C'est un écrivain que je connais et que j'admire beaucoup,Alexandre Soljenitsyne est de renom à travers sa dissidence et son opposition au régime totalitaire qu'il dénonce c'est écrivain m'inspire et je trouve ces oeuvres adapté et réussi.

Un livre remarquable sur les camps russes par un ecrivain engagé qui a ecrit ce livre au peril de sa vie un vrai temignnage a lire absolument !

Encore un classique adulé de tous auquel je n'ai pas accroché. Lassée au bout d'une centaine de pages, je suis venue ici, y ai lu les critiques dithyrambiques et ai décidée de poursuivre ma lecture. Après être péniblement parvenue au bout de ce pavé, j'ose avouer m'être fermement ennuyée, sans vraiment réussir à comprendre pourquoi.
Ce roman me donne malgré tout l'envie de découvrir l'oeuvre de Soljenitsyne, avec l'espoir de ressentir l'engouement provoqué par cet auteur.

Ca faisait longtemps que je voulais ce livre et je ne me résignais pas. Et pourtant, je suis ressortie de cette lecture ravie. Bien écrit, j'ai bien aimé l'histoire mais je ne le conseillerais pas à quelqu'un qui vit ou a vécu avec le cancer. C'est un peu déprimant. La médecine russe de cette période est vraiment rudimentaire et les malades sont condamné.s le plus souvent.

Malgré le titre il me reste un arrière gout de joie de vivre en fermant ce livre. Un livre merveilleux qu'on ne lache plus une fois qu'il est commencé.

Echauffement avant de lire l'archipel du goulag cet été, on est là sur quelques chose de différent, un roman - inspiré de la vie de Soljenitsyne - qui relate la vie dans un pavillon hospitalier soviétique (ouzbek) dédié aux malades du cancers.

Chronique historique qui relate à la fois la chute du stalinisme et l'effrondrement de son système mais aussi la naissance des traitement du cancer, le tout sur fond de satire sociale et de mise en avant du rôle des femmes dans le monde médical de l'époque.

Un grand livre qui malgré le sujet se lit aisément

Sans doute un chef d'oeuvre ! j'ai dû lutter pour retrouver cette édition sur Babelio car sa lecture date en ce qui me concerne de 1972, dans le cadre du cours de français... Et bien je n'ai pas été transportée, trop long aussi et j'ai décroché avant le fin. Je le relirai peut être pour comprendre ce qui m'a échappé il y a 50 ans ! !!!

J'ai trouvé ce roman un peu lourd, probablement qu'il n'est pas arrivé dans une période de ma vie propice à y apprécier les subtilités. Néanmoins, la fin ponctue parfaitement.