AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,75

sur 261 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  

“-Quelle est la pire chose que tu aies jamais faite?
-Cela, je ne te le dirai pas, mais je te dirai la pire chose qui me soit jamais arrivée…”

~~~

Frissons et sueurs froides garantis en plongeant dans ce classique de la littérature d'épouvante publié en 1979. 

Ghost story marque ma première rencontre avec Peter Straub, l'un des maîtres du genre aujourd'hui disparu, et j'en ressors enchantée. À tel point que le rendez-vous est déjà pris avec Koko, autre titre phare de sa riche bibliographie. Je n'ai pas fini de vous en parler, c'est certain. 

~

Direction Milburn, une petite ville de l'Etat de New-York où depuis des années, de vieux amis observent un rituel immuable : se réunir chaque semaine et se raconter à tour de rôle des histoires de fantômes. Mais est-ce de simples histoires? 

Lorsque survient de façon très étrange la mort de l'un d'entre eux, l'angoisse s'empare du quotidien.

~

Happée dès le prologue qui met tout de suite dans l'ambiance, je n'ai (presque) pas vu les six cent pages défiler. La plume est fluide et immersive, diablement efficace. Si pour certaines lectures, il semble judicieux de savoir à quoi s'attendre, le mieux est ici de se lancer à l'aveugle afin de garder intact l'effet de surprise. le quatrième de couverture dévoile selon moi le juste nécessaire.

Le roman est construit à la manière d'un puzzle dont les pièces viennent savamment s'imbriquer au fil des chapitres. Dense et complexe, l'intrigue progresse doucement mais sûrement. Il faut se montrer patient et surtout très attentif, ne pas hésiter à revenir en arrière.L'auteur multiplie les personnages,  casse la chronologie (plusieurs histoires dans l'histoire) et brouille les repères entre rêve, fiction et réalité. Derrière les détails jugés de moindre importance se cachent possiblement des informations clés. Que le lecteur tenté de décrocher se ravise, les efforts consentis seront récompensés. Quand tout finit par se mettre en place et prendre sens, la virtuosité de l'auteur éclate, balayant tous les doutes.

Tout aussi ambitieux et maîtrisé qu'il est, l'ouvrage perdrait de sa force d'attraction s'il n'y avait cette atmosphère sombre, étrange, inquiétante, lourde de menaces, qui vous saisit et vous enserre dès le début. La tension monte crescendo, le récit bascule insidieusement dans l'horreur (sans excès) et la fin laisse pantelant. J'ai renoué avec des sensations éprouvées lors de mes plus jeunes années de lectrice, j'ai adoré ça et j'en redemande! 

Pensées chaleureuses pour ma complice Pareyla qui était cette fois encore de la partie. Même si son enthousiasme est plus modéré que le mien, nous avons partagé un très bon moment. 

~~~

“Quelle est la pire chose? Ce n'est pas l'acte, mais les idées que l'on se fait au sujet de l'acte : le film aux couleurs criardes qui se déroule dans ton esprit.”
Commenter  J’apprécie          6211
Je suis sans voix, je viens de finir cette lecture en 2 jours. Ce livre contient 637 pages. C'est un gros volume pour moi. Je suis étonnée. Je suis abasourdie, «Ghost Story» est mon premier livre de Peter Straub. Je me suis faites happée sans m'y attendre…

Je ne sais pas trop comment décrire ce que je ressens… Je suis comme sur le choc… Je peux dire que j'aime beaucoup la page couverture, les couleurs sont éclatantes, elle frappe l'oeil. On devine en la regardant que c'est mystique et fantastique.

En effet, dès les premières pages, Peter Straub capte tout de suite ton attention par cette thématique : «Quelle est la pire chose que tu aies jamais faite ? Cela, je ne te le dirai pas, mais je te dirai la pire chose qui me soit jamais arrivée... la chose la plus... épouvantable...» Et c'est sur cette base, que l'auteur t'amène. Ensuite, ils se réunissent 4 vieux messieurs qui se racontent des histoires de fantômes. On apprend ainsi qu'un des membres est disparu dans des événements étranges. C'est dans cette atmosphère d'angoisse, d'inquiétude qu'on les retrouve.

Pour apprécier ma lecture, je me suis juste concentrée sur ce livre. Au début, c'est une lecture assez lente et très complexe. Tu dois te familiariser à plusieurs personnages, et à différentes histoires. J'avoue qu'à un moment donné, j'ai failli l'abandonné. Je me suis fait convaincre de le continuer et je suis contente de lui avoir donné une chance.

Je me suis donc apprivoisée à son contenu et au fil des pages, tu remarques des citations ici et là. Je suis totalement charmée par celle-ci : «Peut-on vaincre un nuage, un rêve, un poème ? – Alma Mobley». Je crois que c'est à partir de là que mon regard a changé.

Au fur et à mesure que tu avances dans l'histoire, tu sens une fraternité et une amitié entre les personnages. Je crois que c'est la force de ce roman et je me suis laissée transportée. Il y a aussi une tension et une électricité dans l'air. Tu ressens une ambiance surnaturelle où chacun est perplexe. J'aime beaucoup cette notion qui revient : «Les choses ne sont pas ce qu'elles paraissent être. Ces êtres sont capables de vous persuader que vous devenez fou. C'est arrivés à chacun de nous; nous avons vu et senti des choses que nous avons rationalisées par la suite. Nous nous disons que ça ne peut pas être vrai, des choses pareilles n'existent pas. Mais elles existent et nous les avons vues».

Je crois que pour lire ce livre, il faut être très attentif aux détails car lorsque tu avances dans l'histoire, tu as des liens à faire. Je ne me suis pas attachée aux personnages mais je peux dire que j'ai aimé lire les histoires. Je me suis laissée harponnée par ses récits enchanteurs.

Stephen King a dit de ce livre : «Du grand fantastique, de la grande aventure : un roman éblouissant»

Je crois que je suis d'accord car lorsque que tu embarques dans «Ghost Story», tu ne peux plus t'en passer. C'est comme si tu remarques de Peter Staub son talent de conteur, sa plume fluide et son côté mystérieux. Personne ne peut rester indifférent et voici la preuve : moi !

Je suis persuadée que je vais relire ce livre car à la première lecture, il a trop à assumer tout d'un coup. Je suis fière d'avoir laissée une chance à Peter Staub car il fait partie de mes auteurs à découvrir.

Pour terminer, il y a une phrase de Peter Staub qui m'a marquée : «Quelle est la pire chose ? Ce n'est pas l'acte, mais les idées que l'on se fait au sujet de l'acte : le film aux couleurs criardes qui se déroule dans ton esprit»

Est-ce que c'est vrai ou faux ? Je pense qu'on peut y réfléchir…
Commenter  J’apprécie          274
Ghost story ou le fantôme de Milburn

Dans la petite ville de Milburn, de vieux amis, suite au décès de l'un d'entre eux, se mettent à raconter des histoires de fantômes. Mais, est-ce que c'est vraiment des histoires ?

Le récit commence tout doucement et, tranquillement, on passe de l'autre côté du miroir. Des cauchemars récurrents, une histoire d'amour peu commune, la perte d'un être proche et, et des créatures maléfiques. Et l'on se met à voir des personnes que l'on sait décédées. Et l'horreur et le fantastique s'installe peu à peu. Et voilà que notre monde n'est plus ce qu'il parait; il y a quelque chose ... d'autre ... qui nous veut du mal.

J"ai été déçu au début par le rythme lent du roman. Mais il ne faut pas se tromper. Peter Straub connait son métier et nous amène tranquillement dans un monde altéré. Tout n'est plus ce qu'il parait.

J'ai beaucoup aimé; une réussite.

Le film n'est pas du même niveau. mais n'est pas mal non plus, avec Alice krige, Craig Wasson, et Fred Astaire.
Commenter  J’apprécie          264
Le club de la Chowder Society est agité, ce n'est plus un groupe où l'on se raconte des histoires qui font peur mais des réunions de crise qui s'y tiennent. Les membres sont tous victimes d'horribles cauchemars les représentant dans des situations tragiques. Des évènements terrifiants ont lieu dans la petite ville de Milburn et la folie n'est pas loin de corrompre ses habitants.

Le lecteur est prévenu dés la préface du roman, les ames sensibles ne s'en relèveront pas, autant abandonner tout de suite la lecture de Ghost Story.
Les plus téméraires naturellement, ne tiendront pas compte de cette mise en garde et continueront leur chemin. C'est donc ce que j'ai fait ! (J'avais assuré mes arrières, et convié Plumette à m'accompagner).
Le récit des évènements de Milburn n'est pas si difficile à lire. On y trouve quelques morts mystérieuses, des disparitions inexpliquées, des protagonistes angoissés mais surtout une ambiance.
Peter Straub joue beaucoup avec le ressenti de son lecteur, l'atmosphère oppressante est constante, la peur est entretenue par le fait que les protagonistes ne voient pas ce qu'il se passe mais le lecteur lui, ressent le danger et fait travailler son imagination. le récit ne tombe jamais dans le gore ou l'abject et reste très agréable à découvrir.

On pourra tout de même reprocher à l'auteur de nombreuses longueurs. La fin est longue (j'ai bien cru que le dénouement n'arriverait jamais) et n'est pas mémorable (tout ca pour ca ?).
Ghost story est composé de nombreuses petites histoires, assemblées les une aux autres qui permettent de comprendre l'ensemble de l'intrigue mais qui peuvent paraitre interminable elles aussi.

Première rencontre avec Peter Straub mais surement pas la dernière, il a une bibliographie assez garnie il me semble.

Commenter  J’apprécie          244
Dans la ville de Milburn, un groupe de vieux messieurs aime se réunir pour se raconter des histoires de fantômes. Mais depuis la mort mystérieuse de l'un d'entre eux, ils font des rêves terrifiants, et réalisent qu'une entité étrange en a après eux.

Autant le dire tout de suite, si vous aimez les livres où l'action se déroule à un rythme effréné, ce n'est même pas la peine de vous tourner vers celui-ci. Si en revanche vous êtes sensibles à une bonne ambiance, soigneusement construite, vous risquez de l'apprécier.

En effet, ce roman est lent. Très lent. Il faut attendre la moitié du livre pour que l'action démarre réellement. Sachant qu'il fait plus de 500 pages, il faut quand même être un tantinet persévérant. J'avoue m'être un peu forcée à continuer, une fois le prologue passé, parce que je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir. Mais j'ai fini par apprécier cette ambiance si particulière. On sent qu'il se passe des choses étranges, qu'une présence maléfique rôde, mais rien n'est vraiment montré, on sent juste l'angoisse qui nous étreint, lentement.

Mais ce roman n'est pas seulement lent. Il est aussi assez décousu. Entre les sauts dans le futur, dans le passé, et les gens qui se remémorent des événements, on aurait presque envie de prendre des notes pour comprendre qui a fait quoi, et à quel moment. Pour tout dire, ce n'est qu'à quelques pages de la fin du roman que j'ai compris ce qu'il se passait dans le prologue, et qui en était le protagoniste...

Oui, parce qu'il y a aussi énormément de personnages, et vu que certains d'entre eux sont désignés parfois par leur prénom, et parfois par leur nom de famille, réussir à identifier qui est qui demande une certaine concentration. Cependant, le fait de passer autant de temps en leur compagnie permet de beaucoup s'attacher à eux, comme des amis que l'on connaîtrait depuis toujours.

Malgré tout, j'ai accepté au bout d'une cinquantaine de pages de ne pas forcément tout comprendre immédiatement, et je me suis laissée emporter par l'histoire.
Je ne le regrette absolument pas, parce que lorsque toutes les pièces éparpillées trouvent leur place, on se rend compte que l'on est face à un roman extrêmement riche et vraiment bien pensé. C'est un roman terrifiant dans l'horreur "normale" qu'il arrive à nous faire ressentir. Ici, pas de tripes à l'air ou de mise en scène macabre, lorsque des personnages disparaissent on est plus tristes qu'horrifiés. Les créatures qui pourchassent nos protagonistes restent mystérieuses, et elles en sont d'autant plus terrifiantes.

En résumé, c'est un livre difficile à conseiller, car il peut être trop lent pour les amateurs d'horreur et trop effrayant pour les autres, mais je l'ai pour ma part beaucoup apprécié. Je ne connaissais pas Peter Straub et je vais me pencher de plus près sur le reste de sa bibliographie.
Commenter  J’apprécie          195


Suite à une excellente critique lue il y a quelque temps sur Babelio, j'me suis dit " Tiens ma p'tite Hannibal, ce livre est pour toi, il te faut absolument le lire! ", et puis, la hauteur de ma PAL et, surtout les vicissitudes de la vie ont fait que ce livre est quasi tombé dans l'oubli. Comme chaque année, pour les 15 jours de vacances que je m'octroie, ma petite famille et moi même descendons dans le sud, nous avons le bonheur, ou plutôt devrais-je dire, que nos amis (Les rares, ceux avec un grand A) ont ce bonheur, celui de vivre dans ce joli petit village Cathare qu'est Montolieu. Montolieu, 795 habitants, 20 librairies, situé à une quinzaine de kilomètres de Carcassonne. Donc comme chaque année nous joignons l'agréable à l'agréable. C'est donc en furetant dans l'une des innombrables librairies que ce livre vint à moi.... Si c'est pas un signe ça ?!

Et quel signe, je me suis véritablement régalée. Certes le rythme est lent, il faut donc faire preuve de patience. Certes j'y ai retrouvé quelques ingrédients propres au genre, mais voilà, c'est divinement mené, les personnages travaillés, l'écriture soignée. Mon interprétation du livre, celle d'y voir le mythe de la femme fatale revisité, a certainement joué dans le fait que je n'ai point ressenti de terreur, ce qui ne m'a aucunement dérangée. Donc voilà quoi, un livre bien sympatoche, qui se lit facilement et trop vite....
Commenter  J’apprécie          182
Si on n'avait donné ce livre à lire en cachant le nom de l'auteur, ma première pensée aurait été pour Stephen King, on retrouve dans ce livre tous les ingrédients que le grand maître de l'horreur est capable de mettre dans un de ses récits (avec peut-être un peu moins de raffinement de la part de Stephen King) :
- Une petite ville un peu paumée, mais surtout avec des habitants assez typiques,
- Un récit long qui met en place les évènements au compte-gouttes,
- Des personnages ayant du caractère, on a vite fait de savoir à qui on a à faire,
- Des phénomènes angoissants pour le personnage, qui arrive même à angoisser le lecteur,
- Des faits qui arrivent de nombreuses années après l'évènement déclencheur...
Bref, vous l'aurez compris, si vous aimez le King, vous aimerez Peter Straub presque à coups sûrs.
Donc, nous sommes à Milburn, petite bourgade sans prétention, où tous les 15 jours, quatre petits vieux, amis de longues dates, se réunissent pour se raconter des histoires horrifiques, réelles ou pas, seuls le conteur le sait. Lors d'un récit peut-être un peu trop réaliste aux yeux de tous, nos quatre amis se mettent à faire des cauchemars tout aussi réalistes que l'histoire racontée, commence alors des phénomènes pour le moins étranges et surtout inexplicables. Nos quatre amis vont alors se mettent en quête de la vérité et nous en apprendre un peu plus sur le passé de Milburn.
Malgré quelques passages un peu longs, j'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire qui se met en place petit à petit pour un final que l'on a de plus en plus envie de connaître, j'ai également beaucoup apprécié les personnages et eut de la sympathie pour eux, et étrangement, j'ai eu un petit coup de coeur pour le shérif, qui pourtant est tout sauf un héros, mais bon les sentiments ne s'expliquent pas, non ?

Commenter  J’apprécie          84
Amateurs, amatrices d'atmosphères terribles, pesantes, et glaciales, Ghost Story tient ses promesses. le rythme très lent pourra en décourager plus d'un mais on plonge progressivement dans l'horreur, l'angoisse s'insinue dans l'esprit du lecteur ou de la lectrice, c'est assez prenant.

La créature peut prendre n'importe quelle apparence, humaine ou animale, corrompre les morts, provoquer rêves et cauchemars mais ce qui est le plus effrayant, c'est sa soif de vengeance et de haine. Elle semble immortelle,terriblement puissante, s'insinuant dans les esprits.
Difficile de s'endormir après avoir lu quelques chapitres.

J'ai aimé m'interroger sur ce qui est réel et ce qui ne l'est pas.
Le changement de narration et la construction du roman m'ont parfois un peu perdue, j'ai dû relire une grosse partie du livre après avoir interrompu ma lecture pendant quelques semaines mais je me suis accrochée et j'ai bien fait car l'impression de confusion fini par s'estomper et bien que je ne me sois pas tellement attachée aux personnages, j'avais quand même envie de savoir ce qui allait arriver.

Moins efficace à mon goût qu'un roman de Stephen King de l'époque mais de bons passages tout de même malgré quelques longueurs. Un auteur à découvrir!
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
Commenter  J’apprécie          60
Dans la petite ville de Milburn, un club de vieux messieurs se réunissent lors de soirées qu'ils passent à se raconter des histoires de fantômes.
Suite à la disparition d'un de leurs amis, une série de curieux événements va venir perturber leur vie si tranquille...
Un livre qui mérite de figurer parmi les classiques de la littérature fantastique, non pas pour son originalité, mais pour son côté "compilation" des thèmes du genre. Une histoire somme toute assez commune, parfaitement menée, qui met des personnages en face d'horreurs dont ils ne sortiront pas indemnes: histoire de fantôme (donc), d'araignée géante, de vampire, de réincarnation...
Tout au long du roman, l'auteur joue sur la proximité qui existe entre fiction et réalité, l'histoire de fantôme (au sens large) finissant par happer les personnages qui la raconte.
Une construction romanesque parfaite pour un récit certes complexe mais qui se suit sans difficulté et procure énormément de plaisir et de frissons.
Le livre a été adapté en 1981 par John Irvin sous le titre "Le fantôme de Milburn" (sympathique mais obligatoirement moins riche que le livre).
Commenter  J’apprécie          60
Une bonne surprise . Méme si l'on retrouve quelques ficelles du genre , ce trés honnéte livre d'épouvante remplit trés bien son office et parvient à maintenir le lecteur sous tension . Pas mal du tout !
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (907) Voir plus



Quiz Voir plus

Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

Le silence des agneaux
Psychose
Shinning
La nuit du chasseur
Les diaboliques
Rosemary's Baby
Frankenstein
The thing
La mouche
Les Yeux sans visage

10 questions
966 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur ce livre

{* *}