Anne Stuart
Christiane Poulain (Traducteur)
Cassidy est seule dans l'appartement de son père. Soudain, un homme s'avance à pas feutrés. Elle recule en chancelant, porte nerveusement la main à sa gorge, consciente que son chemisier entrouvert ne laisse rien ignorer de ses charmes. - Qui êtes-vous ? - Richard Tiernan. Je ne voulais pas vous effrayer. Sa voix est grave, douce, chargée d'un soupçon de menace. - Que faites-vous ici ? - J'y habite. Evidemment, c'est son... >Voir plus
Christiane Poulain (Traducteur)
EAN : 9782277241751
J'ai lu (26/02/2001)
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J'ai lu (26/02/2001)
Résumé :
Cassidy est seule dans l'appartement de son père. Soudain, un homme s'avance à pas feutrés. Elle recule en chancelant, porte nerveusement la main à sa gorge, consciente que son chemisier entrouvert ne laisse rien ignorer de ses charmes. - Qui êtes-vous ? - Richard Tiernan. Je ne voulais pas vous effrayer. Sa voix est grave, douce, chargée d'un soupçon de menace. - Que faites-vous ici ? - J'y habite. Evidemment, c'est son... >Voir plus
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L’accusation m’a dépeint comme un homme violent, prêt à tuer sa femme et ses enfants plutôt que de les voir le quitter. Il y avait aussi d’autres disparitions. La femme avec laquelle j’avais une liaison a disparu à peu près à la même époque et le jury était tout disposé à m’accuser de tout et de n’importe quoi.
Il n’avait jamais ressenti pareil désir de toute son existence. Il n’avait pas pensé éprouver de nouveau un quelconque attrait pour le sexe, ce qui, compte tenu du fait qu’il allait probablement passer ses derniers mois sur terre en la seule compagnie d’hommes, était aussi bien.
Il était séduisant. Pas beau dans le sens classique du terme – son visage était trop austère, son nez étroit un peu trop fort, ses yeux un peu trop tourmentés – mais il avait quelque chose – du charisme, du charme, peut-être – qui l’interpellait.
Quand il le fallait, elle était toujours la proie des vieilles émotions qui faisaient rage dans sa famille, y compris une affection sans espoir pour son insupportable père qui ne manquait jamais de la laisser tomber.
Je dis toujours ce que je pense et je ne mens jamais. C’est le seul bénéfice que j’aie retiré d’une éducation un peu particulière.
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