La chambre des morts

Très belle découverte. J'ai beaucoup aimé ce polar plutôt macabre.
Mon premier Thilliez.

Personnellement, je n'ai pas été transportée par cette histoire. Et pourtant, tout y était : ambiance lugubre et même glauque, personnages intéressants, etc. A certains moments, j'ai trouvé que le rythme du récit perdait de son intensité et certains passages descriptifs n'ont pas aidé à enrichir l'histoire.

On a envie de tourner les pages, oui. On veut savoir. Mais le style est exagérément alambiqué, tant est si bien que certaines description m'ont complètement perdue. C'est dommage ! Et puis trop de glauque tue le glauque. Ça ne me dérange pas du tout lorsque ça sert l'histoire (c'est le cas dans d'autres Thilliez d'ailleurs), mais en ce qui concerne « La chambre des morts », on est dans une surenchère du sordide qui n'est pas un service rendu à l'histoire. Enfin, j'ai trouvé que la fin était précipitée en quelques pages, point culminant du « toujours plus » du livre, offrant une conclusion inattendue, sans queue ni tête ! Heureusement que je n'ai pas découvert l'auteur avec ce livre : je me serais arrêtée là !
Un très bon point pour le décor : les descriptions de Dunkerque sont très illustrées, on y est !

Vigo et Sylvain ont un accident de voiture, un mort et deux millions d'euros près du corps, ils prennent la décision d'un commun accord de cacher le corps et de prendre le magot sans savoir les conséquences que cela aura sur leurs vies ...Tout de suite, j'ai accroché sur l'intrigue pensant à une histoire d'amitié qui allait mal tourner certes, ce fut le cas, mais vu que c'est Thilliez, ce fut pire que ce qu'on peut penser , pendant des pages je me suis demandée où il voulait en venir entre cette histoire et l'autre avec un personnage qui deviendra récurrent dans ses livres Lucie Hennebelle ... Contrairement aux autres livres de cet auteur, je n'ai pas accroché trop rocambolesques, trop gore (en film, je n'aurai pas regardé), quant à la fin avec Hennebelle cela m'a fais sourire ... et je ne sais pas ce que Lucie donne dans la suite de ces livres mais celle ci m'a semblé bien fade , j'ai préfèré Sylvain ... Pour finir, je pourrais citer une citation française : " A quelque chose malheur est bon " mais Emile Zola à écrit aussi : " Quand l'argent empoisonne la mort, il ne sort de la mort que de la colere. On se bat sur les cercueils " et dans ce livre plusieurs ...

Deux chômeurs désespérés qui taguent leur ancien lieu de travail, un petit rodéo nocturne tous feux éteints dans une zone déserte, un corps percuté et c'est le début d'un enchainement de faits que plus personne ne maitrise..
Une jeune OPJ, fascinée par les thrillers et les tueurs en série se retrouve par hasard mêlée à l'enquête. Lucie Hennebelle voit ici enfin la chance de participer à une vraie enquête et de se confronter à tout ce qu'elle a lu et qui la fascine depuis toujours.
Il s'agit d'un des premiers romans de Thilliez et il a eu l'occasion depuis de se perfectionner.. Ici le style est un peu pompeux (grandes phrases, belles images..) et l'intrigue apparait aujourd'hui très classique et sans surprise. Cela donne quand même l'occasion de faire connaissance avec Hennebelle, l'un des personnages récurrents de l'auteur, pleine de contradictions et de côtés obscurs, c'est l'un de seuls intérêt de ce roman.

c'est mon premier Thilliez. J'ai été prise dans l'intrigue, contrairement au dernier policier que j'ai lu (Mort à la Fenice, de Donna LEON).

Mais le style ne m'a pas beaucoup plu; j'ai été déçue, pour ne pas dire gênée pour l'auteur, à la lecture de certains passages, surtout les dialogues, mais aussi les pensées intérieures des personnages, et les descriptions parfois trop lourdes.

J'ai également eu des problèmes d'immersion en lien avec la vraisemblance des faits exposés d'une part, et le manque d'empathie pour les personnages d'autre part.

Bref, je ne recommanderais pas la lecture de ce livre, donc je lui mets moins de 3, mais j'ai eu envie de le lire jusqu'au bout, donc plus de 1.

Très déçu par cet opus de Franck Thilliez : le contenu glauque et macabre prend plus de place que l'enquête policière.
J'ai beaucoup aimé Pandemia, j'ai arrêté la lecture de l'Anneau de Moebius, et j'espérais que La chambre des morts me réconcilie avec l'auteur. Malheureusement, il n'en est rien, et je le regrette. Quelle crédibilité peut-on donner à de telles descriptions ? Pourquoi créer des personnages aussi caricaturaux que le commissaire Valet ou le capitaine Ravier ? On devine comment se termine l'enquête, mais j'aurais bien aimé un récit plus précis.
Je ferai une dernière tentative avec un autre livre de cet auteur !

Très déçu (à la hauteur des espoirs que j'avais dans cet auteur, au regard des bonnes critiques de tous ses romans) !
L'histoire est inutilement alambiquée, et irréaliste.
Les personnage n'ont aucune substance, ni charisme.
Et toujours ces envolées lyriques qui n'apportent rien à l'histoire et dont les images frisent souvent le ridicule ! Inutile que je donne des exemples, il y en a plein dans les autres critiques ...
Adieu M Thilliez !

Méchanceté
Un livre qui ne casse pas la baraque... et ne figurera pas sur mes étagères.
L'écriture est pourtant très sympa, mais Franck Thilliez, cherche à nous semer, à se demander, au final, si lui-même ne s'est pas un peu perdu dans son plan. Une histoire de fou, qui ne se termine jamais, une impression que l'auteur cherche une fin.
Le résumé est pourtant bon, deux hommes qui se retrouvent face à deux millions d'euro, tout laisser penser croire à une bonne histoire, je suis déçue par les déroulements.
Peut-être aurai-je du choisir un autre livre de cet auteur.
Christelle.

Pas le roman le plus marquant de Franck Thilliez. Une histoire bien construite, fluide, et qui se laisse bien lire, avec une ambiance un peu glauque, mais finalement pas grand-chose de plus. Des personnages dénués de toute personnalité ou intérêt. Une histoire finalement assez basique, et sans grande nouveauté. Rien de transcendant, ni inoubliable.