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sur 7982 notes
J'ai tenté de lire ce roman sans a priori. Une fan me l'avait conseillé et j'ai joué le jeu. J'ai tout lu, promis.
Clairement, je ne suis pas le coeur de cible, un peu trop de kilomètres au compteur et un peu trop de testostérone dans les veines. Mais le phénomène éditoriale m'intéresse, et la tournure littéraire de l'entreprise aussi. Comment c'est fait ?

Il ne faut que trois pages pour comprendre le principe, c'est une bonne vieille comédie romantique. Ils se détestent, mais à la fin ils s'aiment. Vieux comme le monde. Sauf que là, ils se détestent, ils s'aiment, ils se détestent, ils s'aiment, ils se détestent, ils s'aiment et comme ça une quinzaine de fois en 500 pages. C'est d'ailleurs un tour de force que ces allers-et-retours, même si ça lasse. On place quelques scènes de sexe explicites toutes les cinquante pages. Un petit twist final pour relancer l'intrigue et préparer l'amorce pour le tome 2. C'est bouclé.
Alors, et dans le moteur narratif ? On raconte tout à la première personne le plus simplement du monde. Aucune figure de style, pas de métaphore, pas de comparaison, peu de description, dialogue exhaustif et naturaliste, aucun sous-texte (jamais Ô grand jamais) et surtout, le plus frappant, aucune ellipse.
Qu'on se passe de tous les autres artifices d'écriture, c'est du déjà vu. Mais l'ellipse est quand même un outil assez basique et ici AnnaTodd n'en use à aucun moment. Elle raconte tout, tout, tout, jour par jour, presque heure par heure et la plupart du temps, nous sommes en temps réel. Parfois, elle accélère le temps du type "cette semaine je n'ai manqué aucun cours et je n'ai pas croisé Hardin", mais elle ne coupe pas ! du coup, le lecteur est toujours confortablement installé dans le récit, sans jamais être malmené.

Comme le style est purement fonctionnel, qu'il n'y a ni ironie ni second degré et que la narration est chronologique et sans qu'aucun épisode de ce qui arrive à Tessa ne soit omis, on se laisse porter sans heurt d'un chapitre à l'autre avec pour seul boulot, en tant que lecteur, de s'inquiéter de la relation des deux héros, de s'interroger sur le caractère tourmenté de Hardin, de s'émoustiller pendant les passages crus. J'imagine que c'est là le secret du succès de la série.
Lien : https://www.tristan-pichard...
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Que dire ? Comment parvenir à exprimer tout le dégoût incommensurable et l'incrédulité qui me parcours quand je repense à mes heures perdues durant cette sinistre et sans le moindre intérêt bénéfique lecture ? Hein ? Comment ? Il y a tant à dire.

Déjà, l'écriture n'a rien d'extraordinaire, vraiment rien. C'est simple, banale je dirai et ça ne m'a pas transporté. Je suis restée bloquée sur terre en me demandant à chaque ligne pourquoi je lisais ça ? Et à chaque fois une voix me répondait : pour comprendre le succès de cette série.

Je pense qu'il est clair que le mystère n'a fait que s'obscurcir. L'une de mes thèses serait que sur terre la population soit majoritairement dominée par des pré-pubères en mal d'histoires et que du coup, dans ce "livre", ils aient trouvé ce qu'il fallait ...L'autre théorie est que j'ai tout simplement dû lire un exemplaire qui se trouvait être un brouillon, je ne sais pas, moi ! je cherche !

Je ne critique pas ce livre pour le plaisir de cracher l'intarissable venin que je possède sur lui. Je suis sincèrement paumée, je ne comprend pas, comment des lecteurs peuvent dire avoir "apprécié,aimé,adoré" et j'en passe, cette lecture (commencez pas avec votre liberté de goût et de diversité). Ceux qui disent avoir été chamboulé, je vois de quoi ils parlent , je l'ai été aussi mais pas du même sens qu'eux (j'étais plutôt chamboulée par la connerie). Je suis sidérée car ce livre fais vraiment beaucoup (trop) parler de lui et il ne le mérite CARREMENT pas. Mais genre vraiment pas quoi.

Allons pas à pas dans mon explication du pourquoi il ne vaut pas le millième de sa notoriété.

Déjà, rien qu'au niveau scénaristique, on a touché le fond tant c'est vide, redondant, mauvais et creux. Il ne se passe absolument rien d'intéressant. C'est si plat et lisse qu'on trouverait bien plus d'intérêt à un mur ! Il n'y a aucune intrigue, aucun suspens car on sait TOUS comment ça va se finir ! Ciel ! Même mon petit frère de 10 ans qui n'a jamais lu ce livre aurait pu le savoir !!

Dans ce cas, si l'écriture est bof, le scénario bidon, les personnages sont attachants ? Grand ciel, non. Juste, non. Ils sont tout simplement imbuvables. Vomitifs. Tous. Sans exception. Que ce soit pour leur caractère si peu développé, leur mentalité si peu évolué (comprenez par là qu'un nourrisson s'en sort mieux niveau intellectuel), que par leur côté cliché !! Ce livre est un méli-mélo de déchets. Entre une salope alias Molly, et j'appuie mes mots, une pourriture de connard bipolaire du nom de Hardin et une saleté de pleurnicheuse sans cervelle remportant l'oscar de la plus chiante des personnages n'ayant jamais eu le droit de voir le jour que j'ai nommé Tessa, on est servi ! Je vous ai donné le meilleur du pire, mais je vous garanti que le reste est tout aussi monstrueux. Comme ce dragueur du dimanche, là, Zed. On en parle de son nom ? Non ? Bien.

Récapitulons. Quand l'écriture est bof, le scénario nul, l'intrigue inexistante, et que les personnages sont révulsants, que reste-t-il dans ce livre ? La créativité ? Certainement pas. L'humour ? Haha. La pédagogie ? Si la morale c'est de dire qu'ils existent en ce monde des spécimens comme Theresa, eh bien ma foi, c'est une information non négligeable ne serait-ce que pour prier de ne jamais être en relation avec eux.
Et puis franchement, les scènes érotiques sont bien fades pour un roman érotique ! Un comble !

Quand je repense à tous les je t'aime/je ne t'aime plus bien trop répétitifs, alors que bien dosé, le jeu du chat et de la souris me plait parfois, je me rends compte qu'ils ont eu raison de ma santé mentale ! J'ai littéralement fondu un câble devant cette classique fille travailleuse qui va tomber amoureuse du méchant garçon et qui change bien plus vite de décision (pour opter pour les pires) que Lucky Luke ne tire plus vite que son ombre !

Sérieusement ? Aller dans une fête juste pour répondre à une provocation ? Boire de l'alcool, jurer de ne plus le faire et recommencer avant même pas dix minutes ? Sermenter de ne plus jamais aller à une fête pour le weekend suivant y retourner ? Dire à un mec que c'est fini, qu'il n'aura plus l'occasion de cracher sur soi des immondices puis revenir quasiment comme un chien secouant frénétiquement la queue pour se prendre de nouveau coup de bâtons ?!!! QU'A-T-ELLE DANS LA TETE SI CE N'EST QUE DU VENT ??

Bon sang ! Mais il y a réellement des filles comme ça ? Qui aime les gars les traitant comme de la sous merde et leur aboyant dessus avant de les laminer plus bas qu'un vers de terre ? Je pose la question car apparemment de nombreuses lectrices pourraient s'identifier à Tessa ! Elles existent ? Qu'elles ne croisent jamais mon chemin alors parce que vu comment j'avais envie de gifler et même encastrer dans un mur la tête de Tessa, elles ne vivraient pas longtemps. Elle pleure à chaque paragraphe et n'a aucune répartie ! OMG ! Qui est comment ça ?

Cette fille pardonne TOUT !!!! C'est quand-même pas croyable !! Serait-elle la réincarnation du Christ ?! Non mes amis, juste une bonne grosse naïve écervelée complètement conne sans aucun amour propre ni fierté. Pas une ONCE de fierté ! L'envie de l'égorger m'a tellement traversé au cours de la lecture. Tellement. J'en tremble en écrivant ces mots. Je ne conçois juste pas qu'une fille puisse à ce point avoir aussi peu d'estime d'elle-même.

Et puis comment elle a jeter Noah....Comme une vieille carcasse !! Elle l'a trompé et mentait sans vergogne ! le pauvre bleu l'a pardonné une fois et elle recommence le lendemain alors qu'elle lui avais promis de cesser !! Dire que les mots ne sont que du vent pour tout son sens avec cette garce. Une pauvre lâche qui ne comptait même pas tout dire. Qui voulait juste garder sous le coude un mec bien au cas où son crush de con ne veuille pas d'elle. J'exècre ce genre de fille. de tout mon être.
En plus elle remettait tout sur le compte de Hardin alors qu'elle est la principale fautive ! C'est bien beau de diaboliser mais faut prendre deux minutes pour comprendre le fait qu'on soit soi-même une belle connasse hein.

J'étais tellement vidée et blasée à la fin ce "bouquin". Ce n'était pas non plus une surprise la vrai raison de tout ce cinéma, sauf pour elle, bien entendue. Toujours elle. La demeuré de service.

J'me dis qu'elle n'a eu que ce qu'elle méritait au vu du chapitre où elle découvre toute la vérité et qu'elle pleure ENCORE ! Elle l'a bien mérité même. Personne ne mérite ça ? Ah si si, ceux qui trompent, mentent, n'assument pas, qui sont des vils égoïstes sous des airs propres en gros des hypocrites (elle a clairement dit à moult reprises qu'être dans les bras de Hardin valaient le coup de perdre Noah avant d'aller chialer à nouveau pour garder Noah), et sans personnalité (naïve, sotte) le mérite. C'est le karma !

Je ne félicite pas non plus le pari. C'est digne d'une idée de gamin immature qui me conforme au fait qu'Hardin ne soit qu'un pauvre con. Et puis à la fin, il est tellement pathétique quand il supplie (encore, il l'a fait tout au long du livre pour mieux couillonner l'autre cruche). Il a continuellement des sautes d'humeur, il est si faux, si odieux, si hypocrite ! J'veux dire ! Comment, juste pour de l'argent peut-on accepter de réduire à néant une personne ? A non seulement lui infliger de l'humiliation mais aussi de la souffrance ? Forcément, ce sont les saletés qui ne pensent pas aux conséquences qui agissent ainsi, seul leur petit plaisir perfide leur est essentiel...Bref.

Je crois qu'il est limpide que je ne lirai pas le deuxième volume. J'ai perdu assez de temps de ma vie avec cette horreur.
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Quand Tessa rentre à l'université, elle a tout pour elle: elle est brillante, a un petit ami parfait et son avenir semble tout tracé. Mais c'était sans compter sur sa rencontre avec Hardin qui va tout bouleverser.

Une romance bien gentillette, dégoulinante de bons sentiments avec des personnages caricaturaux au possible: Tessa, la jeune fille bien propre sur elle, Hardin, le rebelle qui cache un lourd secret. le personnage le plus insupportable reste la mère de Tessa et ses préjugés! Les dialogues et les situations sont digne d'une série B et le récit tourne rapidement en rond. On a toujours le même schéma qui se répète pendant 500 pages : Tessa n'aime pas Hardin - un évènement va les rapprocher - Tessa découvre qu'elle est attirée par Hardin - Hardin se comporte comme un idiot - Tessa n'aime plus Hardin... A la fin, ça devient un peu lourd!
Je ne suis pas pressée de lire la suite, surtout si les 4 autres tomes sont comme celui là. Je ne vois pas ce que l'auteur pourrait inventer comme nouveau problème au couple Tessa/Hardin, car tout leur est déjà arrivé!
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Je me suis plongée dans ce roman par curiosité par rapport au film que j'avais vu et au roman graphique lu auparavant. Alors l'histoire est plus trash, avec beaucoup de scènes de sexe qui n'apportent pas grand chose au récit si ce n'est de la longueur mais qui donnent une version beaucoup moins romantique que celle du film, qui de son côté va à l'essentiel en édulcorant les situations avec des personnages caricaturaux.
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Je connaissais cette saga que de nom. N'étant pas intéressée par ce genre de roman, je n'y ai jamais réellement prêté attention. Ma petite soeur, que j'adore, me cassait les pieds pour que je le lise. Un week-end j'ai finalement cédé et je suis rentrée chez moi avec le premier tome. Toujours pas emballée j'ai attaqué les premières pages, puis les suivantes. Et les suivantes... Et là, surprise, je suis en train de dévorer le bouquin. L'histoire n'est pas surprenante au début, le bad boy qui séduit la jeune fille vierge et sage. Un peu cliché me diriez-vous ? Oui, très certainement. Mais que ceux qui n'ont jamais été séduits par l'histoire d'amour, de passion dévorante, me jettent la première pierre. Un premier tome super et très prenant. La lecture est très facile et bien rythmée les nombreux rebondissements (je t'aime moi non plus). le côté erotique du roman ne m'a même pas dérangée tant j'étais captivitée par l'histoire en elle même.
Alors cliché ? Oui
Gnian-gnian ? Oui
On aime ? Oh que oui
Autant vous dire que j'attaque le deuxième illico !
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Je ne ferai qu'une critique pour la saga entière parce que je risque de manquer d'argument au bout de la 3ème...

Ma soeur me poussant depuis quelques temps pour lire cette saga qui l'avait "accaparé, empêche de vivre tellement elle suivait nos deux protagonistes", donc j'ai cédé, bien que ce ne soit pas ma tasse de thé.

Donc, revenons à notre histoire qui est très young adult ( pas du tout mes lectures) et très très érotique (encore dans mes lectures précédentes, amis ce n'est pas trop déplaisant ...). Ce petit couple qui s'aiment passionnément, puis se sépare tout aussi passionnément est tout de même attachant et j'avoue avoir voulu aller jusqu'à la fin de la saga pour voir ce qu'elle (l'auteur) allait encore faire enduré à cette pauvre Tessa.

Les deux premiers sont assez prenant, on est pris dans le rythme infernal des amours de Tessa et HArdin mais après tout s'essouffle ! Bah oui, à un moment, on peut tout leur mettre dans les pattes : on a un pari d'ados, un viol, des parents alcooliques, SDF, une stérilité, un enterrement, un mariage, ... OUF! j'en ai peut-être oublié...

J'ai failli également abandonné à cause de l'écriture parce que du présent tout le long du livre c'est irritant surtout pour raconter des faits passés.
A partir du tome 2, elle décide de faire des chapitres dans la tête d'Hardin et là, encore une fois, c'est faiblard. L'écriture est la même, la façon dont elle le fait parler est identique ou presque (aller un soupçon de juron et ça passe), il m'a fallu à plusieurs reprises, revoir le titre du chapitre pour savoir qui parlait.

En tout cas, j'avais besoin de lire quelque chose de léger, divertissant et prenant. Cette saga a rempli cet objectif, c'est le principal.
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Encore une jeune pucelle provinciale qui va quitter le giron de maman, toute naïve, pour affronter le terrible et redoutable monde universitaire. Bon, c'est juste le début de l'histoire. On a pas encore rencontré le beau et ténébreux mâle "défloreur" mais on sent que ça va pas tarder.
Dès les premières phrases, on sent que ce bouquin est à la littérature ce qu'un curé est à la laïcité. Ce n'est que l'introduction d'une saga qu'on annonce comme étant un phénomène. On croirait de la trash TV, qui sort des stars éphémères juste parce qu'il se montre le plus nul de la bande. Juste 80 pages pour se rendre compte que l'auteure ou la traductrice ont oublié l'usage du synonyme. Juste pour se rendre compte que : oh que c'est mal écrit. Tellement basique que j'ai l'impression que je le lis mot par mot, lettre par lettre comme un gosse qui déchiffre son premier texte. Il est où, le beau vocabulaire, il est où le style. Merci à l'éditeur de nous offrir 80 pages gratuites juste pour nous faire savoir : "économisez votre argent, le nouveau phénomène mondial du livre et du web est tellement croute que même pas cher, il vous en coûte de payer pour le lire". Vraiment, Beurk, beurk, beurk. Si cette auteure est un écrivain, alors, tout le monde l'est!
J'ai le sentiment que pour créer un best-seller, il n'est pas indispensable de savoir écrir et avoir du talent.
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J'ai piqué le livre à ma fille histoire de me faire mon propre avis.
Beurk. Encore une qui a trouvé comme se faire du blé sur le dos de lectrices en mal de frissons.
C'est plat, mal écrit et inintéressant. La collection Harlequin des débuts proposait de meilleurs récits.
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Soyons francs, je n'ai pas apprécié cette histoire. Pour une fois, le commentaire va être assez négatif...

j'ai eu beaucoup de mal à accrocher avec les personnages. L'héroïne Tessa est trop candide, naïve et casse pied à mon gout et lui n'en parlant pas...

La fin pour moi elle ne sert qu'à faire des ventes pour les tomes suivants...

Pourtant, je suis une grande fan de romance historique, donc je pense avoir l'habitude des histoires d'amours un peu particulière. Je ne comprends pas vraiment l'engouement autour de ce livre.

Mais si vous aimez les bads boys et les ingénues. Ce livre peut vous convenir ou même vous plaire.
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Anna Todd avait démarré After comme une fanfiction à partir de son smartphone et ça se ressent dans le roman dans les premiers chapitres, très courts et truffés de raccourcis. Par la suite, le style "roman" reprend le dessus et l'histoire perd un peu de son rythme, peut-être trop rapide au démarrage, et quelques longueurs s'installent. On peut y soupçonner également un volonté, consciente ou pas, de prolonger l'intrigue, histoire d'accumuler les tomes.

After, c'est l'histoire de Tessa, gentille fille rangée, bien sous tout rapport, qui rencontre, dès son premier jour sur le campus universitaire, Hardin, un bad boy tatoué mais sexy en diable. Et...

Ce type de trame est connu depuis la nuit des temps. Dans la fiction comme dans la vie, les jeunes filles bien rangées ont toujours été attirées par les "bad boys". A sa manière, Rhett Butler n'était-il pas un "bad boy" déjà avant l'indépendance américaine? Toutes les jeunes filles des années 70 ont craqué pour Dany Zuko qui faisait frémir la belle Sandy dans Grease. Dix ans plus tard, qui ne s'est pas pâmé quand Johnny Castle ne voulait pas "laisser Bébé dans un coin"? Et dans les années 90, la relation plus moderne, mais néanmoins tumultueuse, de Brenda Walsh et Dylan McKay était elle aussi déclinée en mode "bad boy sexy".
Plus récemment, si on oublie les Cinquante Nuances et autres New Romances, on retrouve le schéma appliqué à la perfection au couple Emma Swan/Edward Cullen dont se serait d'ailleurs inspiré Anna Todd.

Bon, tout se modernisant, Tessa n'a eu besoin que de 35 minutes pour le "pécho" son Hardin... Et les "Je t'aime moi non plus", dans ce contexte, peuvent agacer un tantinet, et on a parfois envie de secouer les deux protagonistes parce que le fond de l'histoire manque un peu de profondeur. Mais ça se laisse lire, et je lirai les volumes suivants quand même.

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