AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,11

sur 272 notes
5
33 avis
4
22 avis
3
6 avis
2
0 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Quelle idée m'a traversée l'esprit pour choisir dans les rayons de ma bibliothèque ce livre de Trevanian ! Un western ! Je n'en ai jamais lu et au cinéma, je les fuis.
Je hais, les cow-boys, les shérifs, les ranchs, les bons, les méchants, les brutes et les truands.
Mais là, je dois dire que j'ai été cueillie dès les premières pages.
J'ai adoré l'atmosphère opaque qui règne dans ce village de quinze habitants où chacun épie le voisin, et attend avec impatience la fin de semaine que le train déverse sa horde de mineurs venus dépenser leur paye dans l'unique magasin ou dans le bordel local.
La routine va cependant être rompue par l'arrivée d'un gentil, au passé incertain et au mensonge facile et de trois méchants, très, très méchants. Leur chef est un psychopathe effrayant et impitoyable pour qui la torture est un passe-temps on ne peut plus banal.
Incident à Twenty-Mile est un récit dur, implacable, fort, magnifiquement écrit, sans temps mort.
Une surprise inattendue ! J'ai adoré.


Commenter  J’apprécie          381
L'auteur de Shibumi a repris dans Incident à Twenty-Miles tous les codes du western en y ajoutant sa touche personnelle, un excellent sens de l'action et du rythme.

Twenty-Miles serait une ville fantôme si une poignée d'habitants n'y étaient accrochés comme des naufragés à un radeau. Se comptant sur les doigts des deux mains, et encore, des mains d'estropié, ceux-ci vivent au quotidien dans un isolement qu'on pourrait qualifier de spectral, jusqu'au retour, chaque samedi, des quelques dizaines de mineurs descendant du train après une semaine de labeur dans les entrailles de la montagne bientôt stérile, pour dépenser et brûler leur énergie entre l'alcool, un bain brûlant, et les trois prostituées de l'hôtel, l'ordre de ces « plaisirs » n'étant pas toujours respecté...

Passés ces deux jours de bombance, Twenty Miles retombe dans le morne quotidien d'une ville oubliée du monde. Mathew, récent orphelin de père et mère, a dérivé jusqu'ici et tel un oisillon tombé du nid tente de faire son trou en offrant ses bras et sa bonne humeur constante à qui lui fera l'aumône du gîte ou du couvert.

La torpeur qui baigne Twenty-Miles va se retrouver secouée par le passage d'un fléau, de loin pire que les tempêtes auxquels les habitants sont régulièrement confrontés. Lieder, qui s'est évadé de prison en entraînant avec lui deux brutes épaisses dont la sauvagerie est proportionnellement inverse à leur intelligence, est un véritable psychopathe qui s'est donné pour mission de régénérer une Amérique pourrissante. S'affranchissant de toute morale, Lieder va imposer sa folie meurtrière aux quelques résidents permanents.

Tout semble écrit en lettres de sang. Face au trio infernal, la petite société de Twenty-Miles semble vouée à disparaître ou à se soumettre à la perversion de ces âmes damnées, semblant tout droit sorties de l'enfer.

Que peut faire un jeune homme, apparemment bon comme le pain, pour s'opposer à des fous furieux ? Pour cela, il faudrait que Mathew ne soit pas qu'uniquement du bon grain, qu'il y ait une part d'ivraie en lui, qu'il y ait une autre face à sa personnalité. Que se passera t'il quand, fuyant une réalité qui fait peur, Mathew se réfugiera dans l'Autre Endroit ?

Ce livre est une véritable réussite, Trévanian déroule une histoire prenante, intense, au dénouement magistral. Ceux qui ont lu Shibumi ou la sanction ne sauraient être déçus par ce western parfaitement écrit. En ce qui me concerne, je l'ai même préféré à ces deux autres romans. Pour résumé, un western que l'on aimerait voir adapté sur le grand écran.
Commenter  J’apprécie          230
En 1898, Twenty-mile est une minuscule bourgade isolée dans les montagnes du Wyoming, dans laquelle ne vit désormais plus qu'une poignée d'habitants (un commerçant et sa fille, une famille gérant l'auberge, trois prostituées,…), et qui ne s'anime qu'une soirée par semaine, lorsque une horde de mineurs débarque pour oublier leur dur labeur dans l'alcool ou au bordel. Un jeune homme, Matthew, arrive à Twenty-Mile, fuyant apparemment quelque chose, et cherchant à se mettre dans les petits papiers des habitants par un mélange de charme, de flatterie… et de mensonges. Arrive un peu plus tard un trio de psychopathes, avec à leur tête Lieder, un dangereux criminel pervers, aux théories nationalistes carrément douteuses. Ce trio de cinglés va soumettre la petite bourgade à un véritable régime de terreur et d'humiliation dans l'attente du train plein d'argent dont ils veulent s'emparer…
« Incident à Twenty-Mile », écrit en 1998, est le dernier roman de Trevanian. Il s'agit d'une sorte de western revisité particulièrement bien écrit, avec une plume teintée d'ironie. L'histoire monte progressivement en tension, en violence. J'avoue mettre progressivement pris d'affection pour la plupart des personnages « historiques » de cette ville et pour Matthew, lesquels ont tous plus ou moins échoué à Twenty-Mile, et s'y retrouvent désormais coincés. Mais tous ces personnages, en dépit de leurs faiblesses, de leurs fêlures, m'ont semblé globalement bons. Et de ce fait, j'ai avancé dans l'histoire avec une appréhension croissante pour leurs vies, en raison de l'arrivée de ce trio de tarés de la pire espèce, dont la cruauté et le sadisme semblent sans limite. Je n'en dévoilerai pas plus sur la conclusion pleine de fureur de cette histoire, je vous laisse la découvrir, cela en vaut la peine… tout comme la postface de l'auteur, qui offre notamment un éclairage intéressant sur la genèse de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          220
Twenty-Miles. Petite ville ancrée en plein coeur des montagnes du Wyoming. 15 habitants à tout casser. Il ne s'y passe rien et c'est là que Matthew décide de poser ses affaires. Il grappille les p'tits jobs ici et là... et attends que le temps passe. Mais voilà que ce calme apparent sera chamboulé par 3 prisonniers évadés. La peur s'installe et le lâche plus... Un début un peu lent, mais on sait très rapidement que ce récit nous prendra mais ne nous lâchera plus. Une plume drôlement efficace, des personnages très bien construit avec beaucoup de secrets qui les habitent. Dernier roman de l'auteur, et c'est bien dommage, parce qu'il savait écrire !
Commenter  J’apprécie          170
Sacré Fripouille de Trevanian. L'auteur 'ricain et n'avait que faire de la célébrité et qui cultivait le secret s'essaye au Western et sa plume fait le boulot...

..Sans pour autant pourfendre le genre puisqu'il convoque les archétypes de personnages qu'on attend du genre. Seuls les indiens sont absents de l'oeuvre, pour une fois épargnés par cette Amérique raciste et patriotique du fin 19eme. Ça sent le déjà-vu non ?

Oui, mais pas que, puisque le sieur Trevanian s'il colle au genre il le détourne aussi jouant de la parodie et des clichés. Installant son intrigue au coeur d'une petite ville opportuniste, qui survit grâce à la mine environnante, saignée par une Amérique détaillée à l'acide cynique dans une course effrénée au profit avec un capitalisme qui prend un essor frénétique en cette fin de conquête de l'Ouest par l'Homme blanc.

Malgré une temporalité déroutante en début de parcours chamboulée par un prélude et une ellipse abrupte et peu délicate, on sort au bout d'un moment du brouillard nébuleux. Et nous voici tous retournés le talent certain de Trevanian pour brosser des personnages aussi convaincants et jouissifs les uns que les autres, du jeune héros au passé trouble, doux rêveur qui en a dans le ciboulot, au méchant psychopathe vraiment super badass, à la famille immigrée rustre et rustique…

Les profils des personnages sont d'une saveur incroyable, et leurs échanges d'une malice rugissante et enrichissent clairement une oeuvre qui à la solidité de facture d'un écrivain qui n'en n'est pas à son premier rodéo.

J'ai nettement préféré l'auteur dans La Sanction et L'expert, sorti du genre bien codifié du western qu'il a choisi d'encrer sous forme de huis-clos, je l'ai senti plus explosif, ravageur, créatif, libre et implacable dans les deux oeuvres susmentionnées. Une liberté peut être restreinte par la genèse de l'oeuvre et de son caractère historique, qu'il explicite dans un épilogue anachronique et mal amené, levant un voile de secret sur un auteur au talent indéniable qui gagnait en intérêt avec ce culte du mystère qu'il a choisi.
Comme le disait très justement B. Traven « Un écrivain ne devrait avoir pas avoir d'autre biographie que ses livres. »
Suivre au cordeau une intrigue basée sur un fond de vérité historique en termes de lieu d'époque et de personnages pour tisser un récit solide mais néanmoins engoncé dans un carcan un peu étroit à enlever une dose d'inattendu au caractère résolument affranchi du reste de son oeuvre.

Il nous lègue tout de même une oeuvre convaincante à haut degré de divertissement, mais j'en attendais un peu plus du maître Trevanian.
Commenter  J’apprécie          156
Défi ABC 2021-2022
Encore une fois, merci à ma librairie préférée ... et sa table surchargée de trésors, avec un petit bristol griffonné qui donne envie de plonger dans un roman que ne je n'aurais jamais ouvert. parce que, bêtement, la couverture m'avait rebutée, avec l'ombre d'un homme au révolver et chapeau de cow-boy sur un fond orange de montagnes et ligne de chemin de fer. Parce que cet Incident-là, c'est un trésor. Une intrigue implacable, un dénouement parfait et, chose rare, un épilogue qui éclaire le roman. L'histoire se déroule un siècle avant la publication: 1898, une ville quasi-abandonnée, qui survit grâce aux mineurs d'un filon, un peu plus loin. Un gamin , un peu inquiétant, beau parleur, un rien hâbleur, dont on devine qu'il a vu plus que ce qu'un gamin peut supporter. Est-il dangereux? peut-être, peut-être pas. Ailleurs, une prison, un détenu, dangereux, beau parleur, manipulateur, un gardien, jeune: violence inéluctable, évasion. Et bien sûr, les deux histoires convergent et Twenty-Mile devient le théâtre d'un incident, d'un drame plutôt.
L'intrigue vous prendra sans crier gare, et fait écho aux démons toujours vivants, racisme, complots, cruauté, trahisons. Et, aussi, à l'humanité de quelques uns, quoi qu'il survienne, à la faiblesse et au courage, à l'amour et à la beauté du monde. Un livre plein de bruit et de tempêtes, de soleil et de poussière, de terreur et de lumière: un livre plein de vie(s).
Commenter  J’apprécie          140
Pour aller à Twenty-mile suffit de passer Destiny, de remonter le long de la voie ferrée en faisant bien gaffe que ce soit pas le jour où le train de minerai redescend vers la ville, parce que voyez, y'a pas forcément grand place sur la voie et si vous avez eu le malheur de remonter vers Twenty-Mile un lundi, bah y'a de grandes chances que vous n'y arriviez jamais, rapport au train de la mine qui apporte son minerai d'argent vers Destiny et qui prend toute la place sur la voie. Bref, lorsque vous aurez fait vingt miles depuis Destiny, vous serez arrivé à destination, et vous pourrez vous asseoir et contempler une ville qui n'a poussé que pour mieux retomber. Une sorte de soufflet urbain. Sans doute que là, vous aurez déjà envie de repartir.
Twenty-Mile est une ville minière qui n'est sortie de terre que pour servir de distraction aux mineurs leur jour de congé. Vous y trouverez donc un grand magasin tenu par M. Kane et sa jolie fille Ruth Lilian, une auberge, place gardée de la famille Bjorkvist, l'Hôtel des Voyageurs avec son maquereau, son barman et ses trois putes Frenchy, Chinky et Queeny, le Palais du rasoir du Pr Murphy et un relais tenu par B.J. Stone dont l'activité réside surtout dans l'entretien des ânes de la mine.
Voilà pour Twenty-Mile le jour où le Ringo Kid, non, Matthew Dubchek débarque en ville, fuyant l'on ne sait quoi depuis son lointain Nebraska. Comme y'a pas de travail à Twenty-Mile, Matthew va devoir déployer des trésors d'imagination pour se rendre indispensable aux citoyens de la ville.
Déjà d'une rare richesse de ton, le roman de Trevanian prend une toute autre ampleur à l'arrivée en ville de trois desperados fraichement échappés de la prison de Laramie. Incident à Twenty-Mile va devenir le théâtre d'une pièce en trois actes jusqu'au dénouement forcément fatal. le roman est drôle, excellemment écrit, Trevanian prenant toujours tout son temps pour faire monter le climax comme il le souhaite et fournir à son lecteur un dernier western.
Commenter  J’apprécie          140
Western captivant, bien construit, bien écrit. Une quinzaine d'habitants d'une bourgade des Etats-Unis voient arriver Matthew, 18 ans, avec pour seul bagage un sac et un énorme fusil fabriqué par son père. Intelligent et débrouillard, il se fera embaucher chez les uns et chez les autres. Seule interruption dans cette monotonie, un jour par semaine les mineurs viennent se distraire au bar avec les trois prostitués, et font leurs achats chez l'épicier qui a une fille charmante auquel Matthew aura du mal à ne pas succomber. En parallèle, nous suivons Lieder, un fou dangereux qui s'évadera de prison avec deux acolytes. Bien sûr, ils vont débarquer dans la tranquille bourgade et vont faire subir de subtils supplices aux habitants sous fond d'Amérique patriotique et raciste. Lieder se trouvera des points communs avec Matthew : la lecture, l'enfance meurtrie, le charisme. Il y a un côté James Ellroy, chez cet auteur : psychologie fouillée de personnages attachants avec un mélange d'humour et de cruauté. le point fort nous fait se poser cette question : un homme serait-il différent s'il avait eu une enfance autre ? L'auteur, lui-même, est aussi un personnage : dans ce roman, il a pour nom de plume Trevanian dont le nom de naissance est Rodney William Whitaker Alias Beñat le Cagot, Jean-Paul Morin, Nicholas Seare. Et comme Gallmeister le note en 4ème de couverture : Trevanian est l'un des auteurs des plus mystérieux de ces dernières années. de lui, on sait peu de choses. Américain, il a vécu dans les Pyrénées basques et il est probablement mort en 2005.
Commenter  J’apprécie          120
En 1898, à la veille d'un nouveau siècle et malgré l'extension des États-Unis à Guam, Hawaï ou Cuba, il existe encore des lieux où règne la loi de l'Ouest. Twenty-Mile, dans les montagnes du Wyoming, qui survit encore grâce aux quelques mineurs qui finissent d'exploiter un filon d'argent à quelques miles de là, n'a quant à elle pas vraiment besoin de loi pour la vingtaine d'habitants qui la peuplent encore et ne représentent pas vraiment un échantillon folichon de l'humanité ainsi que l'explique l'un d'entre eux : « Twenty-Mile est moribonde. Et ses habitants sont la lie de l'humanité : les paresseux, les poissards, les perdants, les perdus, les piteux, les péteux, les petits. Et là, je te fais que les P, nom de Dieu ! ».
Les choses vont pourtant changer dans ce creuset d'insignifiance croupie. Avec l'arrivée d'abord d'un jeune homme, fan des aventures du Ringo Kid, qui cherche de toute évidence à la fois à gagner le respect des habitants et à fuir quelque chose, et qui s'installe dans l'ancien bureau du marshal. Avec le débarquement ensuite d'un trio de psychopathes dirigé par un repris de justice qui s'est édifié lui-même par une lecture approfondie de la littérature d'extrême-droite et qui entend bien, en attendant le retour des wagons de minerai de la mine, mettre Twenty-Mile à sa botte.

Voilà un roman qui contient tous les ingrédients du western classique : un patelin paumé, un patron de saloon joueur de cartes, un vieux philosophe, des putains, une jeune fille sage au grand coeur, une autre à la cuisse légère bien moins à cheval sur les principes moraux, un étranger qui aimerait bien être un jeune premier, un révérend alcoolique, et une bande de hors-la-loi particulièrement vicieux. Trevanian, donc, reprend tous ces archétypes. Sauf qu'il ne respecte pas toujours tout à fait la recette à la lettre, y ajoutant quelques ingrédients personnels, et en fait un objet original.
On y retrouve donc les thèmes chers à l'auteur : une misanthropie féroce, l'idée d'une Amérique qui se fonde, bien que construite par des immigrants, sur l'exclusion et le racisme, la recherche d'une certaine discipline de l'esprit. À ceci près qu'il laisse cette fois un peu plus de place à une certaine bienveillance à l'égard des personnages les plus positifs, même s'ils ne sont pas pour autant lisses.

Cela donne un western cynique et sombre durant lequel la tension ne cesse de monter jusqu'au final. Il s'agit sans doute d'un des romans de Trevanian les plus aboutis, qui ne pâtit pas des baisses de rythme que l'on pouvait trouver dans La Sanction ou Shibumi. Sans doute parce qu'il est moins contemplatif et que l'action y est plus resserrée. Aussi, il y a cette formidable capacité de Trevanian à nous embringuer dans son histoire en nous laissant toujours plus ou moins croire qu'elle a vraiment eu lieu et qui est la marque d'un formidable conteur. Bref, voilà un western à la fois atypique et classique. Prenant.


Lien : http://encoredunoir.over-blo..
Commenter  J’apprécie          120
Voici l'histoire de Matthew Dubchek, un adolescent meurtri par son passé familial qui veut être à la hauteur et prendre comme modèle le héros courageux de son livre préféré « Ringo Kid ». Matthew est un personnage magnifique de vérité et d'absolu. Il s'opposera à Lieder, un fou dangereux qui arrive à Twenty-Mille, ville paumée des Etats-Unis.
Je me suis beaucoup attachée aux personnages, parfaitement décrits dans toutes leurs contradictions. La nature humaine y est totalement mise à nue. Détail original, nous ne les quittons pas vraiment, car Trevanian retrace le devenir de chacun d'eux en fin de livre comme dans une enquête documentaire.

Depuis Orange mécanique, je n'avais pas ressenti un tel dégoût, une telle terreur devant ces trois dingues dénués de toute compassion et s'amusant à torturer autrui. Par certains aspects, j'ai également pensé pendant ma lecture à Truman Capote dans son roman « de sang-froid ».

C'est un roman très différent des autres Trevanian. Il est terrible de noirceur et de lucidité et la fin est tragico-époustouflante. Un seul reproche, je trouve que le roman démarre un peu trop lentement à mon goût.
Commenter  J’apprécie          103




Lecteurs (625) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Lucky Luke

Je suis le personnage secondaire "réel" le plus présent dans la série et je fais ma première apparition dans l'album "Hors-la-loi". Dès ma deuxième apparition, dans "Lucky Luke contre Joss Jamon", je prends les traits d'un jeune bandit coléreux, petit, nez retroussé, taches de rousseurs et incisives en avant, je suis la parfaite caricature des jeunes adolescents.

Lucky Luke
Jolly Jumper
Rantanplan
Joe Dalton
Billy the Kid
Calamity Jane
Roy Bean
Buffalo Bill
Jesse James
Sarah Bernhardt
Wyatt Earp
Abraham Lincoln
Edwin Drake
Mark Twain
Allan Pinkerton

15 questions
154 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd jeunesse , bande dessinée , bande dessinée humour , western , western humoristique , bd franco-belge , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}