Ai eu un peu de peine à entrer dans le roman, mais au bout d'une soixantaine de pages, on ne lâche plus l'ouvrage. La mécanique des égoismes dévastateurs et des intolérances rigides (hormis Scott et Amy) est si bien décrite. Un beau style (la traduction le reflète) pour une histoire bien menée. Une mention particulière pour le chat Dawson qui domine la situation, hautain et souverain.
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