Ce livre m'a apprit beaucoup de choses du passé. J'ai eu un peu de mal à le lire à certains endroits parce que il y avait des noms de villes, de Dieu ou d'objets que je ne connaissais pas et donc dur de suivre le fil.
Alors comme le titre le dit, il y a 3 parties principales, la Grèce, la Rome et le Moyen Orient.
La longue partie sur la Grèce ne pas particulièrement marquée même si les coutumes qu'on apprend sont intéressantes.
La seconde partie, qui parlait de Rome était aussi intéressante mais j'ai particulièrement aimé le chapitre sur Pompéi. On découvre ce qu'il se passait le 24 août 79, les dommages qu'à fait le volcan Vésuve et les répercussions ensuite, ainsi que l'état de la ville lors des fouilles archéologique.
Et enfin la dernière partie sur le Moyen Orient a été ma préférée. D'abord la découverte des pyramides et des sphinx en Egypte, et la déduction de leur construction. J'ai retrouvé les vraies histoires et les légendes de mon enfance : notamment Noé et Moïse.
Un livre qui apporte beaucoup de savoir pour ceux qui en veulent.
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Livre intéressant même si un peu compliqué,le passage sur Pompéi est le plus intéressant.
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Il n'en reste pas moins que, pour aussi importante qu'ait été la découverte des manuscrits de la mer Morte pour les spécialistes et les historiens du judaïsme et de l'aube de l'ère chrétienne, son retentissement dans le grand public ne paraît guère fondé sur autre chose que sur une exploitation émotionnelle.
Les gens de la tribu d'Israël, grossis d'autres esclaves fugitifs, entament leur marche vers l'est. C'est alors que le pharaon calcule la perte de main-d'oeuvre qu'il est en train de subir. Il lance ces chars à la poursuites des esclaves libérés. Mais le fort vent d'est qui a asséché les marécages entre la Méditerranée et la mer Rouge - qui séparent l'Afrique de l'Asie - tombe. L'eau les recouvre à nouveau. Les chars et la cavalerie égyptienne s'embourbent. Ou plutôt, les flots de la mer Rouge, ouverts par Yahvé pour laisser passer les enfants d'Israël, un instant retenus, se referment sur l'armée du pharaon. La tribu est sauvée.
Laïs la plus célèbre des courtisanes. On la surnomme "La Corinthienne", bien qu'elle soit née en Sicile. Aristippe de Cyrène, disciple de Socrate, devient son amant. De méchantes langues s'attaquent ) la réputation de la jeune femme.
- Elle ne t'aime pas, répètent-elles au philosophe. Celui-ci répond :
- Je ne crois pas que le vin ou le poisson m'aiment, et pourtant j'en use avec satisfaction.
La réponse est claire. Nous sommes fascinés, en Occident, par les Livres saints et par les personnages de la Bible. Car, indirectement dans les pays d'essence protestante, que nous soyons croyants ou non, que nous ayons été élevés dans ces religions ou non, notre culture - c'est-à-dire nos cerveaux - ont reçu l'impression indélébile de la religion et de la poésie judo-chrétienne.
Ainsi ont pu être reconstitués divers épisodes de cette journée tragique. Aussi émouvante que la mort des hommes par exemple, fut celle du chien à l'attache chez Vesonius Primus, retrouvé étendu sur le dos, sur un monticule de scories, raidi dans un dernier effort pour rompre sa chaîne.