Les 𝟏𝟎𝟏 𝐃𝐚𝐥𝐦𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 ont bercés mon enfance, à tel point qu'un de mes rêves s'est réalisé quand j'ai adopté mon pot de colle tacheté préféré 🖤
(P.S : Pongo n'est pas son nom)
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Ce roman graphique raconte la genèse de cette méchante iconique de Disney.
On a tous en tête cette folle furieuse au volant de sa superbe Pan, déterminée à se faire un manteau en peau de toutou dalmatiens.
Mais que se cache-t-il réellement derrière ?
Avec une colorimétrie qui confère un aspect vintage aux planches, on suit Cruella de Vil dans ces jeunes années, découvrant ainsi la face cachée du conte aux 101 tâches.
C'est auprès d'une mère acariâtre et insensible d'un côté et de la douce et généreuse Anita que la jeune fille se construit. Bien que diamétralement opposée, elle idolâtre ces deux figures féminines qui rythment sa vie.
Le coup de crayon m'a plu d'emblée et m'a transporté sans mal.
C'est interessant de voir l'évolution de Cruella : on a de la compassion avant de ressentir de l'aversion pour elle. Au final, tout n'est qu'une question de choix. Elle a choisi le chemin qu'elle voulait suivre : estimer Anita mais embrasser les pas de sa mère pour devenir celle que nous connaissons.
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Dans les 𝟏𝟎𝟏 𝐃𝐚𝐥𝐦𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬, j'avais Cruella en horreur. Elle reste un personnage détestable mais j'avoue avoir apprécié son esprit et son arrogance corrosive dans ce préquel à la cruauté animale.
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