Né sous une bonne étoile

J'aime bien cette auteure, son écriture est simple, pas de prise de tête. Ces livres ne se ressemblent pas, même s'ils sont tous remplis de bons sentiments. Cette fois elle nous parle du système éducatif qui n'est pas efficace pour tout le monde. On se désespère un peu pour ce pauvre Gus ainsi que pour sa mère d'ailleurs ;-) Sa soeur est plutôt gonflante mais attachante à la fois. Mais encore une fois tout est bien qui finit bien ce qui n'est pas toujours le cas dans la vraie vie.

C'est un roman qui me laisse un peu sur ma faim… Aurélie Valognes nous raconte l'histoire de Gustave dont les difficultés scolaires et son évolution d'écolier sont la base du récit. Il va croiser des instituteurs qui le mettront aussitôt dans la case de cancre sans vraiment chercher à connaître les raisons de ses difficultés. L'autrice nous dépeint des enseignants au bout du rouleau, blasé par le métier et un Principal carriériste et antipathique. Heureusement, Aurélie Valognes sauve l'honneur du métier en intégrant une professeure de français à l'enseignement peu orthodoxe et qui voue une véritable passion pour ses élèves.
Il y a également dans ce récit cette soeur aînée que l'on rêve de remettre à sa place. Véritable tête à claques, centrée sur sa petite personne, elle rêve de quitter son HLM pour vivre la vie de millionnaire. Au fil du roman, elle évolue peu et on meurt d'envie de la remettre à sa place !
“Né sous une bonne étoile" est un livre divertissant, mais je suis totalement passée à côté…

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J'ai beaucoup aimé le sujet de ce roman, qui pointe les défaillances du système scolaire, ses problématiques, le manque de considération de certains enseignants, etc. On s'attache très rapidement à ce petit garçon un peu différent, mais pas pour autant bête ! Un petit Gustave perdu dans un système auquel il est forcé de s'adapter, et qui ne s'adaptera malheureusement pas à lui...

Cette fameuse rencontre, qui va tout changer, arrive assez tardivement dans le roman, c'est un peu dommage. de plus, même si j'ai adoré le personnage de madame Bergamotte, je l'ai trouvé beaucoup trop idéaliste, voire utopique : j'aime ce qu'elle fait pour Gustave, mais soyons réalistes deux minutes, ça ne se passe jamais comme ça. C'est trop beau pour être vrai ! de plus, les enseignants sont vraiment les grands méchants ici...

J'ai malheureusement trouvé la fin encore plus utopique, mais cela n'est que mon avis ! En revanche et comme toujours, les chapitres sont courts et la lecture assez fluide. J'ai apprécié les différents personnages ; la mère, la soeur, et j'en ai parfois détesté d'autres ; comme le père.

Pour ma part je suis un peu déçue de ce roman, j'avais beaucoup aimée lire "mémé dans les orties" et pour celui ci je n'ai pas accrochée.
J'ai eu beaucoup de mal a le terminer, l'histoire est pourtant très belle, c'est celle d'un enfant Gustave, qui a beaucoup de difficulté et fini par se convaincre qu'il est un cancre, n'ayant pas aider par ses maîtres et professeur jusqu'à la fin de 6 ème...
Je ne sais pas pour moi c'était peut être trop plat... Je n'est pas eu ce petit truc qui a fait que..

On découvre ici Gustave, un petit garçon bien empêtré dans le système scolaire.
Bon même si c est facile et sympa à lire, je ne suis pas trop fan de ce genre un peu feelgood. La partie que j' ai préféré, c est le mot de remerciement de l auteure que j' ai trouvé plus accrocheur et vrai que le roman en lui même.
Pour les adeptes du genre .

Dommage, l'histoire est bonne mais je n'ai pas aimé, comme elle est écrite, la narration est lente, peu de rebondissements, le sujets n'est pas creusé. l'histoire banale malheureusement, d'une famille, dun enfants de la cité, et des enfants qui ne sont pas scolaire. Ce romans aurait pu être formidable, avec plus de rebondissements et de détails.

Honnêtement, je me suis plutôt ennuyée dans ce roman. Pourtant le thème aurait du me parler puisqu'une de mes filles avait un trouble de l'attention, j'ai connu les réunions de parents dont on ressort découragé, , le prof qui casse et le prof qui, plus rare, tire vers le haut, ... mais ici la sauce n'a pas pris pour moi. Il m'a manqué un peu d'humour et de poésie, moins de clichés aussi. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueurs au début, dans la description des difficultés de Gustave, la rencontre salvatrice arrive et pour moi la fin a été bâclée. La partie de l'histoire qui m'aurait intéressée a été résumée en quelques phrases. La partie que j'ai préférée est la note de l'auteur à la fin dans laquelle elle rend hommage avec - enfin - sa plume poétique aux enseignants.

J'aime les livres "feel-good" mais là j'avoue, ça n'a pas pris. le sujet est intéressant, l'échec scolaire, le désinvestissement et la méchanceté de certains profs, un petit cancre avec une intelligence sensible, un contexte familial particulier... mais voilà, c'est long, répétitif, sans action... Je suis un peu déçue.

J'ai lu ce livre dans le cadre d'un boon club avec des femmes familles.
Il se lit facilement malgré la difficulté que nous avons rencontré à rentrer dans l'histoire.
L'histoire de Gustave nous a touché mais nous aurions souhaité plus de rebondissements. Par ailleurs, nous avons trouvé ce livre emprunt de pas mal de stéréotypes.

Ce roman nous emmène en banlieue parisienne, chez Gustave, qui vit au milieu des tours grises. Enfant sensible et au grand coeur, il va découvrir les difficultés scolaires et se confronter au monde des adultes.

C'est un livre qui se lit facilement et garde une note d'espoir et de bonne humeur. le sujet de l'école m'a parfois ramené dans mes années collège et m'a rappelé combien le temps passe vite !

Toutefois, je n'ai pas été emballé, je n'ai pas été bouleversé ou entrainé dans un voyage. J'aurais peut-être aimé plus aimé en le lisant à l'époque du collège, pour me mettre dans la peau de Gustave.
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