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4,04

sur 2563 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
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Un peu de douceur dans ce monde de brutes !

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De la douceur, voilà ce que m'inspire le dernier livre d'Aurélie Valognes. de la douceur et beaucoup d'espoir, accompagné de bienveillance. C'est un livre qui met du baume au coeur, une histoire dont le début est difficile, mais dont la dureté s'efface peu à peu, à mesure que la lecture avance. Un livre qui dénonce aussi, bref, un livre qui fait du bien.

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Né sous une bonne étoile, c'est l'histoire de Gustave, un enfant qui est dans son nuage. Souvent la tête ailleurs, il a du mal à se concentrer, ce qui lui vaut des remontrances de ses enseignants. Dans l'ombre de sa grande soeur première de la classe, et étouffé par l'autorité de ses professeurs, il se renferme dans sa coquille. Jusqu'au jour où Mme Bergamote le prendra sous son aile. Il suffit d'une rencontre pour que tout change...!

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Le système scolaire ne convient pas forcément à tous les enfants, et c'est le souci que rencontre Gustave, dont l'intelligence n'est malheureusement pas adaptée à la classe. Ce livre dénonce la dureté et la violence dans les propos de certains enseignants, qui peuvent marquer un enfant à vie. J'ai beaucoup aimé la tournure que prend l'histoire, avec un début très dur, qui peu à peu laisse sa place à la douceur que distille, par brefs moments d'abord, notre nouvelle enseignante favorite. Je pense que chaque enfant souhaite avoir une Céline Bergamote dans sa vie, tant sa bienveillance vous enrobe de tendresse. Et la fin du livre est pleine d'émotions. L'histoire de Gustave est une très belle histoire, que je vous invite à découvrir 🥰
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Gustave ne rentre pas dans le moule. Il n'est pas fait pour l'école ou l'école n'est pas faite pour lui mais rien ne va.
Il a beau essayer et passer des heures à faire ses devoirs, rien n'y fait. L'échec lui colle à la peau.
Il aurait pu s'en contenter et basculer du mauvais côté mais un jour, quelqu'un va voir en lui autre chose qu'un cancre.

J'ai acheté ce livre car pour plusieurs raisons, le thème me parlait et je voulais voir comment l'auteure allait le traiter. J'ai aimé la façon dont Aurélie Valognes dépeint les sentiments et les efforts de Gustave mais aussi ceux de sa maman qui y croit et ne baisse jamais les bras.

C'est un roman fait de bienveillance et de tendresse, souvent touchant et émouvant. Bien sûr, on connait la fin mais qu'importe puisqu'il fait du bien.
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Un joli "conte"*sur un sujet encore tabou, et tellement réaliste qu'est l'échec scolaire, que faire des enfants qui ne rentrent pas dans le moule, qui décrochent du système ?! Comme notre Gustave doux rêveur, que l'on a mis à l'écart, car il avait des difficultés d'apprentissage, de compréhension, alors qu'il est juste dans son monde, plein d'humour, mais tellement toujours à côté de la plaque et de sa soeur à qui tout réussit.
Un récit plein de bienveillance, et de justesse. J'ai eu plaisir à retrouver la plume d'Aurelie, qui nous confirme que même si ça commence parfois mal, il suffit de croiser sa bonne étoile et tout peut changer. Et surtout de décider d'être heureux quand on sera grand. .
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*car l'histoire finie bien 🤫
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La couverture, le titre et l'histoire m'avaient véritablement parlé lorsque je l'avais vu (et donc acheté !) le mois dernier.
Seulement voilà : la première partie a failli me démoraliser !! On y découvre le parcours de Gustave, que l'on voit inexorablement sombrer, page après page, catalogué trop vite par les différents adultes qui l'entourent.
Cette sensation d'être spectatrice d'une catastrophe que l'on voit arriver, sans rien pouvoir y faire, a plutôt été déplaisante : Gustave est attachant ; on voudrait le protéger, le prendre sous notre aile. Pendant des pages, j'ai attendu la rencontre ou l'événement providentiels qui ferait basculer son parcours.
Et, enfin, le twist tant attendu. On perçoit d'ailleurs que l'existence de Gustave est en train de basculer : l'écriture est plus rythmée, les adjectifs employés plus positifs, la couleur s'invite dans le texte comme elle s'invite dans la vie de Gustave. Ma lecture a alors pris un autre sens : j'ai avalé la seconde partie pour savoir comment Gustave, et peut-être d'autres personnages avec lui, allaient pouvoir dévier les trajectoires de vie qui semblaient toutes tracées pour eux.
Mon avis ? J'avais besoin d'un roman feelgood, je voulais énergie et optimisme ; je les ai eus. Tout comme j'ai eu une énorme pensée pour ces personnels de l'Éducation Nationale, enseignants ou non, qui mettent leur énergie, leur enthousiasme (et leur créativité !) au service des élèves.

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Les romans d'Aurélie Valognes me procurent toujours une immense joie, ce sont des livres légers qui redonnent du baume au coeur quand on en a besoin et pour ça, je continuerai de lire ses histoires ! Notre jeune Gustave est un enfant rêveur pas très doué à l'école, qui n'a pas d'avenir voir "bon à rien", mais d'après qui ? Et pourquoi ne pas chercher à comprendre au lieu d'abandonner un enfant ? Ici se dresse une histoire de rêve, d'étiquette, de confiance en soi, de persévérance et de résilience, une histoire qui fait mal au coeur, mais qui en même temps, fait du bien. Nous arrivons sans mal à nous mettre dans la peau du personnage de Gustave, que nous ayons été bon ou mauvais élève, nous connaissons forcément un enfant comme lui. C'est un texte finement écrit qui pourrait paraître comme dénonciateur du système scolaire (c'est pas faux) mais je trouve que c'est plus profond que ça, c'est surtout un texte qui redonne espoir, qui nous fait prendre conscience que des personnes bienveillantes il y en a, qu'il suffit de toujours y croire.
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Lecture terminée !
Beaucoup pourront dire « Gustave, c'est moi ! ». Gustave est l'élève dont on suit les premiers pas dans le monde de l'école, un début pas brillant. Mais une rencontre va changer le cours des évènements…
Ce livre m'a émue, m'a fait rire et m'a fait beaucoup réfléchir.
C'est bien de se mettre dans la peau des jeunes : il faut avouer que souvent, l'école terminée, on a tendance à oublier tout le chemin parcouru, avec ses difficultés, ses espoirs, ses émotions. Pour cela, il n'est pas toujours évident de comprendre les nouvelles générations ou d'arriver à les intéresser et à les aider au mieux dans leur parcours de réalisation. de plus, je ne peux que partager le portrait touchant qu'Aurélie Valognes fait des enseignants, qui transmettent leurs savoirs et leurs espoirs et qui essayent de déplacer les montagnes pour les élèves.
Ce roman nous invite à changer de perspective et nous rappelle que notre plus grande réussite, c'est d'être heureux !
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"Un roman plein d'espoir" annonce le bandeau de couverture, c'est effectivement le cas. Ce livre, écrit dans un style fluide et très agréable, nous parle de l'importance des mots que l'on dit à un enfant et notamment à l'école. Traitez le de cancre à longueur de journée et il en sera un, dites lui qu'il est capable et il y arrivera. On y voit aussi la difficulté supplémentaire que rencontrent les enfants des quartiers défavorisés même si cela n'est pas la cause principale des échecs. On y voit comment un enseignant peut détruire un enfant ou, à l'opposé, le faire émerger et sortir le meilleur de lui-même. L'Education Nationale renferme les 2 et il est important de combattre les premiers et de soutenir les seconds. Oser parler ! Oui il y a tout cela dans ce roman et on passe un très bon moment de lecture avec, souvent, les larmes aux yeux.
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Je n𠆚i pas de suite accroché aux premiers chapitres mais c𠆞st une lecture audio pour moi ici alors le ressenti diffère d’une lecture papier.
On s𠆚ttache ensuite très vite au personnage principal et aux rencontres qu’il fait tout au long du roman.
Parfait si vous aimez les histoires de familles, d𠆚mitié, de rencontre, ici sur fond de vie à l’école, les difficultés liées à l𠆚pprentissage, la vie scolaire, l’origine sociale.
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En cette terrible période – les mots me manquent pour parler de la mort horrible d'un collègue – il est parfois bon de se plonger dans des romans. Lu il y a déjà quelques semaines, Né sous une bonne étoile est un roman qui a retenu mon attention pour le sujet qu'il aborde et qui fait écho à mon métier.

Couverture du livre « Né sous une bonne étoile » de Aurelie Valognes aux éditions Mazarine
Gustave est un jeune garçon qui malgré son assiduité, malgré son travail et le soutien de sa mère, n'arrive pas à avoir de bons résultats pour le plus grand désespoir de son père et aussi de plusieurs de ses enseignants qui ne voient en lui qu'un cancre. Et à force de s'entendre dire qu'il n'est bon à rien, Gustave finit par croire qu'il est ce cancre et que sa soeur Joséphine a reçu sur son berceau toutes les fées de la réussite. Mais un jour le chemin de Gustave croise la route d'une enseignante qui va au delà des apparences…

Certes, les personnages sont un peu caricaturaux, le dénouement prévisible et la rencontre avec cette enseignante qui va voir en Gustave ce qu'il est vraiment un peu tardive mais ce roman « grand public » a le mérite d'aborder un sujet actuel : l'échec scolaire. Existe-t-il ou est ce plutôt les exigences qu'on se crée qui font naître les cancres et les bons élèves ? Outre les réflexions que distillent Aurélie Valognes dans ce roman, elle fait une belle déclaration d'amour au corps professoral à travers le personnage de Céline Bergamote. Elle rappelle que pour beaucoup d'enseignants, l'investissement, le bien être des élèves, l'accompagnement, l'ouverture ne sont pas que des mots jetés en l'air, qu'ils sont au contraire le fondement de notre métier : transmettre des savoirs, des valeurs, ouvrir au monde, réfléchir, accompagner tels sont les verbes qui guident notre profession.

En résumé : Je suis prof et je remercie Aurélie Valognes pour ce bel hommage qu'elle fait au corps enseignant qui aujourd'hui souffre plus que jamais.
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Voilà un livre bien agréable à lire pendant cet été.
Facile à la lecture, ce roman dénonce l'usage des "étiquettes" dans le milieu scolaire et familial. Ces étiquettes peuvent être des boulets que l'on traînent tout au long de notre vie. Heureusement, une rencontre, un geste ou une parole peuvent nous guérir.
j'ai passé un agréable moment, en ces jours de canicule, avec ce roman. Je pense lire d'autres livres de cette auteure.
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