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3,57

sur 548 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai choisi de découvrir l'univers foisonnant de Didier van Cauwelaert via le roman « la vie interdite » paru en 1997 et qui a reçu le grand prix des Lecteurs du Livre de poche en 1999.

J'avais déjà entendu de cet auteur à succès mais ne m'étais jamais vraiment intéressé à ses écrits. C'est suite à une longue discussion avec ma femme, fervente lectrice de van Cauwelaert et qui m'a fait l'éloge du roman « un objet en souffrance » que ma curiosité a été piquée au vif.

L'histoire démarre par la mort du narrateur Jacques Lormeau, et nous entraine durant tout le livre au côté de son âme (ou de son esprit) qui flotte au-dessus de ses proches qui vont vivre ce drame chacun à leur manière.
Si le narrateur est spectateur, il est de même pour nous lecteur qui prenons un véritable plaisir à découvrir les bons et les mauvais côtés de la victime comme ceux de ses amis ou de sa famille.

Le style de l'auteur est très plaisant à lire et bien que ce récit soit fantastique, il nous est facile de comprendre où l'auteur veux nous emmener et sur quelles thématiques il veut nous faire réfléchir.

La vie après la mort est le sujet central mais à travers ce récit se pose aussi la question du souvenir, de la mémoire des proches disparus, du vide qu'ils laissent et des révélations intimistes qui peuvent remonter à la surface de la Terre une fois le gardien des secrets parti pour un autre monde.

La lecture de ce roman fut un véritable plaisir et je recommande donc à ceux qui ne connaisse pas l'auteur de se procurer ce livre où l'humour réussi à dédramatiser la mort.
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J'ai choisi de découvrir l'univers foisonnant de Didier van Cauwelaert via le roman « la vie interdite » paru en 1997 et qui a reçu le grand prix des Lecteurs du Livre de poche en 1999.

J'avais déjà entendu de cet auteur à succès mais ne m'étais jamais vraiment intéressé à ses écrits. C'est suite à une longue discussion avec ma femme, fervente lectrice de van Cauwelaert et qui m'a fait l'éloge du roman « un objet en souffrance » que ma curiosité a été piquée au vif.

L'histoire démarre par la mort du narrateur Jacques Lormeau, et nous entraine durant tout le livre au côté de son âme (ou de son esprit) qui flotte au-dessus de ses proches qui vont vivre ce drame chacun à leur manière.
Si le narrateur est spectateur, il est de même pour nous lecteur qui prenons un véritable plaisir à découvrir les bons et les mauvais côtés de la victime comme ceux de ses amis ou de sa famille.

Le style de l'auteur est très plaisant à lire et bien que ce récit soit fantastique, il nous est facile de comprendre où l'auteur veux nous emmener et sur quelles thématiques il veut nous faire réfléchir.

La vie après la mort est le sujet central mais à travers ce récit se pose aussi la question du souvenir, de la mémoire des proches disparus, du vide qu'ils laissent et des révélations intimistes qui peuvent remonter à la surface de la Terre une fois le gardien des secrets parti pour un autre monde.

La lecture de ce roman fut un véritable plaisir et je recommande donc à ceux qui ne connaisse pas l'auteur de se procurer ce livre où l'humour réussi à dédramatiser la mort.
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Et voilà que Didier van Cauwelaert se prend pour Charles Quint, il assiste aux événements qui suivent son décès,….enfin le décès de son héros.
Trente-quatre ans, gérant officiel d'une grosse quincaillerie, marié, un fils et une maîtresse….sans oublier qu'il vit dans la caravane qui se trouve dans la cours de la quincaillerie, …..caravane qu'il partage avec sa maîtresse et où il exerce sa passion, la peinture.
Et il meurt,… et comme de juste, son esprit monte sur le buffet et il assiste au départ de sa maitresse qui embrasse son corps froid, à la découverte de son cadavre, aux cris et réactions de son épouse, à la tristesse d'Alphonse ancien militaire qui l'a élevé, à l'indifférence feinte de son fils………à la vie qui reprend ses droits.
J'ai pris énormément de plaisirs à cette lecture que je vous conseille.

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Un très bon cru et sans doute mon préféré de l'auteur après Un Aller Simple. Je retrouve un des thèmes de prédilection de DVC, la réincarnation et j'apprécie ! le traitement est véritablement original, la plume toujours aussi belle sans être prétentieuse et si ce n'était pour quelques longueurs, je l'aurais dévoré en un clin d'oeil. Un final magistral, tout en émotion et des messages bourrés de justesse sur la vie, l'amour et la mort -- bien sûr.
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Sans doute un des meilleurs romans de Didier van Cauwelaert d'abord pour son propos totalement inhabituel (voire tabou pour 90% des gens), ensuite pour ce sourire qui vous accompagne tout au long de la lecture alors que le livre ne semble parler que de mort... Seul Didier van Cauwelaert arrive à ce paradoxe !
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Ce livre m'a beaucoup impressionée .Bien qu'athée j''ai toujours pensé à l'instar de Bernard Werber que nous avions un ange protecteur.
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Un livre agréable qui créé la vie dans l'au delà telle qu'on pourrait se l'imaginer et qui donne de l'espoir..bien écrit, par moment drôle et agréable.
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un de mes preferés, touchée au fond du coeur, a relire en cas de tristesse sans fond, pour revoir les "absents" d un autre oeil
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Je suis fan de cet auteur, donc objective ? Je garde en mémoire la mort au pet de vache, j'ai faillit littéralement me faire "pipi dessus". Moi ça m'a fait rire !
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Il est passé 7 heures du matin et je suis toujours là. Je vais donc pouvoir en profiter pour relire un livre plein de charme, d'humour, de finesse ou de dérision, cette " Vie interdite " qui m'a tant touchée, émue et fait sourire et qui fait un clin d'oeil à tous mes disparus.
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