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3,3

sur 226 notes
Le 17 mars 2020, ça vous dit quelque chose?

C'est le début du confinement en France et Lucas, ex-professeur devenu SDF, se retrouve confiné avec son premier amour qu'il n'a jamais oublié.

Une nouvelle relation va se nouer dans une maison à l'abandon, une maison de famille, où s'est déroulé un drame quand il était enfant.

Mais la belle Audrey avec qui il va passer ce temps de confinement est-elle bien celle qu'elle prétend être?

On passe alors dans le fantastique, mais c'est très bien imaginé. Difficile de vous en parler sans spoiler.

Sachez que Van Cauwelaert a choisi un sujet cher à certains auteurs, mais que tout un chacun préférerait oublier, mais il en a fait un conte philosophique qui pousse le lecteur à la réflexion et qui peut bouleverser sa façon de penser.

On lit tout et n'importe quoi sur ce virus créé par l'homme et libéré intentionnellement dans la nature, ou échappé accidentellement d'un laboratoire, ou encore transféré à l'humain par les chauves-souris ou les pangolins. Chacun se fait sa propre opinion. Van Cauwelaert livre la sienne en donnant sa vision du monde, ses dysfonctionnements, l'utilisation des nouvelles technologies avec la 5G qui, pour certains médecins annonce la fin de l'humanité.

"L'activation de la 5G est aussi dangereuse qu'une pandémie."
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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Je n'ai pas adhéré à l'histoire. On a tellement subi le covid, ses confinement et les discours complotistes que je n'ai pas apprécié retrouver cette thématique même s'il s'agit bien d'une fiction.
Les personnages n'ont pas su me convaincre non plus...
La fin est surprenant, cependant.
Vois l'aurez compris , je suis totalement passé à côté de ce livre mais n'hésitez pas à vous faire votre propre avis.

Résumé :
« Il fallait que la planète ferme pour que les coeurs s'ouvrent. »

Le 17 mars 2020, par la grâce d'un virus, un sans-abri se retrouve confiné avec une créature de rêve. Est-ce la femme qui jadis enflamma son adolescence, une mythomane, une perverse manipulatrice, ou une ultime chance de survie ? Et si le sort du genre humain dépendait de la relation qui va se nouer, dans une maison à l'abandon, entre un ancien prof de 35 ans brisé par l'injustice et une exilée en manque d'amour ?

Avec ce conte philosophique irrésistible et poignant, au coeur d'une actualité bouleversant tous nos repères, Didier van Cauwelaert entraîne nos peurs, nos détresses, nos colères dans un tourbillon de révolte, de joie libératrice et d'espoir.
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Voilà un récit à la fois philosophique et fantastique très intéressant sur cette période de Covid.  Lucas par sa rencontre  avec Audrey sa première petite amie qu il n a pas oublié (réelle ou non), interroge le lecteur sur l'humain . Elle lui dit avoir créé le virus pour en quelque sorte nous punir de nos agissements sur la Terre et donc de voir si l'être humain est capable de s'entraider face à cette pandémie.

L'auteur dévoile donc à travers cette intrigue ses convictions et son ressenti face au coronavirus, ce que j'ai beaucoup apprécié puisque je partage certaines de ses pensées à ce sujet. Il souligne également le comportement du gouvernement face à ce fléaux

Le fait également que la narration est à la première personne à travers le personnage de Lucas rend également le récit agréable malgré le sujet.

Ce roman a un  petit côté fantastique qui m'a un peu dérouté mais, dans l'ensemble j'ai bien aimé car la plume de l'auteur est dynamique et surtout ça pousse à la réflexion sur notre comportement.
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Ah ! ce Didier VAN CAUWELAERT...6 mois seulement sont passés entre ce "17 Mars 2020... et la parution de ce roman... L'air de rien, l'auteur se sert du contexte dans lequel nous étions mondialement "embarqué" pour mettre à nu les vérités de cette actualité et plus ....mais sous forme de conte philosophique ! It's so fantastique...Quel bateleur ! Et puis cette fiction fait du bien, elle transpire de tendresse, d'émotion, d'espoir et d'amour...

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Rarement lu de pareilles élucubrations. Une histoire a dormir debout. Je ne sais pas que était le but de l'auteur en écrivant ce curieux livre : critiquer les complotistes, critiquer le gouvernement, les scientifiques et les vaccins ? Peut-être se moquer de ses lecteurs ? C'est si lassant et cousu de fil blanche que je ne suis pas certaine d'arriver au bout de ces 132 pages.
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Lucas, professeur, suite aux aléas de la vie, un problème avec l'un de ses élèves, se retrouve sans emploi. Afin de ne pas vivre "au crochet" de son épouse, il divorce et se retrouve SDF. Lucas vit et dort sur la bouche de métro de la Motte-Picquet. Les commerçants alentour ont beaucoup sympathisé avec lui. le 17 mars 2020, la France, le monde entier se retrouve confinés ! Que va-t'il en être des SDF ?
Alors qu'il traverse la rue sans regarder, il se fait renverser par une voiture ! La conductrice prend soin de lui, apparemment, rien de grave... Là, il lui semble reconnaître son premier amour ! Premier amour qui n'a jamais répondu à ses lettres qu'il lui a envoyées vingt ans plus tôt !
Tout va s'enchaîner, ils vont se retrouver confinés ensemble... Waouh ! Une belle analyse ! Un beau conte philosophique sur nos vies, les humains, la terre et le virus, l'avenir de la planète... Les questions que l'on peut se poser au sujet de notre avenir... des conditions de vies sur la planète...
Un roman qui, dès les premières pages, m'a absorbée complètement ! A lire si ce n'est déjà effectué
Lien : http://binchy.canalblog.com/..
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Roman dans le registre du fantastique. Glissement entre réalité et rêve, un entre deux mondes qui échappe au conscient et est pourtant imprégné par lui. Lucas, professeur de français, licencié pour faute, divorcé, se retrouve sans domicile fixe sur une grille de métro du 7e arrondissement à Paris. le 17 mars 2020, lendemain du 1er jour de confinement pour cause de COVID, il est renversé par une voiture. Lucas se retrouve face à son amour d'adolescent Audrey et dans la propriété où il a grandi, ses parents étant les gardien de ce domaine. Il est question d'avenir de l'humanité, d'amours passés, d'un triple assassinat, d'aliens, de secrets défense et de complotisme. Ça se lit d'un trait, c'est divertissant, à voir quelle marque cette lecture laissera.
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Je termine ce livre sans trop savoir quoi en penser. le début m'a plu, voir le confinement du point de vue des sans-abris me semblait intéressant et ouvrait un nouveau point de vue. Mais le roman vire brutalement de bord vers le surnaturel. le virage est brutal, inattendu, loin d'être finement amené, et assez loufoque - ce qui aura au moins eu le mérite de me faire rire. le livre se transforme en un grand charivari entre éco-terrorisme, dénonciation politique, ou encore - et c'est ce qui m'a le plus rebutée - complotisme. Au-delà des propos auxquels, pour la plupart, je n'adhère pas, je pense que le livre manque également beaucoup de recul en ayant été écrit trop tôt. le personnage du sans-abri, prometteur au début du livre, se voit bafoué par la suite du livre, fourre-tout, où l'auteur lance en vrac toutes les idées qui lui passent par la tête sans les travailler, de manière à ce que le livre soit fini le plus vite possible (avant la fin du confinement ?)
C'est au moins un livre léger qui se lit vite et sans difficulté, et que j'ai choisi de lire comme une satire de la gestion politique de la pandémie, mais ce n'est pas un livre que je conseillerais…
Dommage !








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De Didier, j'ai lu plusieurs romans, mais je dois dire que celui-ci est un peu particulier.
Il nous replonge dans l'enfer du premier confinement, là où nous devions signer nos attestations pour sortir, le télétravail ,ect...
Il fallait oser et Didier la fait.
Nous nous souvenons tous ou nous étions ce fameux 17 mars 2020.

Dans ce roman, nous suivons Lucas SDF et il apprend comme nous tous que nous devons nous confiner ,comble pour lui qui vit dehors à l'année.
Mais un événement va venir faire basculer sa petite vie, il va se faire renverser par une voiture et retrouvé son amour de jeunesse , mais comble de l'ironie, elle est décédé.
Comment cela est-il possible?

Entre la réalité et la fiction,Didier nous replonge dans cette sombre période de Mars 2020

Une lecture agréable qui clôture mon mois de juillet
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Premier livre de cet auteur dont j'ai tant entendu parler !

Merci à ma maman de me l'avoir offert
Ce livre m'a permis de voir la pandémie et le confinement autrement. Après deux dans ce contexte anxiogène, l'auteur a su se moquer subtilement de cette période pour en faire un événement passé. Toutes les références aux confinements m'ont amusé. Une belle réussite sur ce thème!

Très vite le côté fantastique de ce roman arrive, pas très fan alors j'ai essayé de ne pas me focaliser dessus parce que l'écriture restait vraiment agréable.

Surprise par la chute, (qui retire le fantastique de cette histoire) j'ai trouvé ça bien pensé, sans compliquer ce livre qui se veut léger ! Cette fin m'a plu, l'auteur a visé juste.

Au départ un peu sceptique d'arriver dans un roman axé pandémie et confinement, je ressors de ma lecture ravie. Il se lit en une fois, sans temps mort. Un moyen de nous distraire et de nous présenter de façon humoristique la mise en quarantaine du monde entier.
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