68 pages et deux nouvelles de style polars, style polars vu par
Fred Vargas et surtout par Adamsberg,flair infaillible et raisonnement nonchalant mais obstiné,et que l'humain n'étonne plus guère.
La première tourne autour de la fidélité familiale,d'un porte manteau et d'un banc mais aussi de lettres anonymes où Adamsberg se fait traiter de con.
La seconde nous décrit Noël à hauteur de flics en service ce soir là. Il y a un aristocrate soulot,une petite grosse qu'on a suicidée et une méprise sur la personne. Il y est également question d'un cintre.
C'est davantage des histoires d'ambiance et de psychologie que des enquêtes pleines de detraqués et de victimes suppliciées , d'ailleurs l'enquête semble ici servir de prétexte pour mettre en scène des personnes lambda,et notre Adamsberg préféré.
Ça fait du bien de ne pas être dans le sang et les tripes jusqu'au cou et ça fait du bien de ne pas croiser de psychopathe excité à tous les coins de pages.
Et puis moi aussi chui zamoureuse d'Adamsberg! Na!