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sur 182 notes
Robur le conquérant était l'un des derniers grands Jules Verne que je n'avais pas lu. Pourtant, ses célèbres gravures de bateaux volants m'avaient toujours fasciné. C'est chose faite maintenant ! Court, le récit se lit bien. Il s'y passe peu de choses hélas. Un enlèvement, un tour du monde, et pour conclure une pirouette très élégante – mais pirouette quand même. C'est assez pour éveiller l'imagination et la faire naviguer, c'est peu en comparaison du potentiel colossal qu'avaient l'ingénieur Robur, sa nef volante et sa mystérieuse île. Pourquoi en être resté là ? Pourquoi ne pas avoir poussé plus loin ce pendant aérien du capitaine Némo et du Nautilus ?

Peut-être, tout simplement, parce que Jules Verne avait conscience de la révolution que représentait le transport aérien et que, malgré son imagination, il ne parvenait pas, avec ses moyens d'homme du XIXème siècle, à se représenter le monde qui en résulterait. Peut-être également parce qu'il était conscient du potentiel destructeur de tels appareils – comme le montre une scène du livre – et qu'il lui faisait peur.

C'est avec amusement que l'on découvre l'un des grands débats qui agitait l'époque : pour le plus léger que l'air ou le plus lourd que l'air ? Qui l'emportera, l'aéronef ou l'aérostat ? Avec vigueur, Jules Verne prend sans ambages position pour le premier, et condamne le second à l'aide d'arguments scientifiques si limpides qu'ils sembleraient presque relever du bon sens.

En revanche, les stéréotypes racistes paraissent aujourd'hui ahurissants. A l'époque, ils ne choquaient pas. Il faut se rappeler que Jules Verne était même une tête de proue de l'anti-esclavagisme, en faveur duquel il prend vigoureusement position dans ‘Nord contre Sud'. Ici l'auteur voulait visiblement un personnage comique, et a bien chargé la barque. Je le soupçonne même de s'être inspiré du personnage de Jim Crow du ‘Minstrel Show' - contexte américain aidant. Les sacrifices humains du Dahomey sont par contre bien attestés.

Une oeuvre sympathique bien que secondaire et inaboutie, mais surtout une plongée dans les mentalités d'une époque bien différente, et pourtant pas si lointaine.
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Première nouvelle : je peux m'ennuyer avec un roman de Jules Verne.

Bon, je ne me suis pas ennuyé tout le temps. L'histoire démarrait bien, avec ce mystérieux objet entraperçu dans les cieux de toutes les nations, qui défiait les savants, narguait les gouvernements et faisait causer dans les tavernes. Et puis la scène burlesque de la séance du club philadelphien de « ballonistes » du Weldon-Institut ne manquait pas de sel, de même que l'intervention de Robur, venu affirmer la suprématie du « plus lourd que l'air » sur les ballons en termes de vol aérien (intervention finissant à coup de revolvers, comme il se doit aux États-Unis).
Il faut également louer la qualité épatante du vaisseau aérien de Robur. L'invention de Jules Verne est incroyable ; « l'Albatros » vaut bien le « Nautilus ». Les connaissances de l'auteur font de ce livre une véritable oeuvre d'anticipation scientifique.

Mais qu'en est-t-il de l'histoire ? Dès que l'Albatros prend son vol, il ne s'agit plus que de survoler le monde. Certes, le lecteur parcourt des pays exotiques mais il ne fait que les survoler, littéralement parlant. Pas le temps de « se poser », d'approfondir. On a seulement droit à quelques ouragans, quelques bombardements de peuplades « sauvages » et à la haine du président et du vice-président du club de ballonnistes, enlevés par Robur.
Qui est Robur ? D'où lui vient cette passion pour les appareils aériens plus lourds que l'air ? On ne connaîtra rien de lui ni de ses motivations. On comprend sa volonté de liberté, assouvie par ce survol du monde qu'aucune nation n'a les moyens d'empêcher. On sent en lui une certaine volonté de réduire les injustices – celles considérées comme telles en son temps – et grâce à son Albatros, une certaine capacité à jouer à Dieu.
On comprend qu'il ait enlevé les directeurs du Weldon-Institut, pour leur prouver par le menu que jamais les ballons ne seront l'avenir du vol aérien. Mais pourquoi le tour du monde entier ? Et Robur ne paraissait pas enclin à les libérer ensuite. Là aussi, il y a un manque dans la motivation. Quand aux deux zozos, ils ont l'esprit fermé comme un coffre-fort, incapable d'admettre ce qu'ils ont sous les pieds, capables seulement de haine et de volonté de s'échapper. Ils sont quelques peu ridicules, et cela était probablement voulu par l'auteur.

Je passe rapidement sur le vrai élément comique du roman, le valet Frycollin, poltron au possible, à mille lieues des Scapin et Figaro. Évidemment, il s'agit d'un Nègre, mot suremployé et qui pourrait un jour valoir un « assainissement » au roman. Jules Verne appartient à une France coloniale persuadée d'apporter la civilisation aux sauvages. Il ne servirait à rien de le vouer aux gémonies. Au reste, je crois savoir qu'il a décrit d'autres valets autrement plus futés. Pas de systématisme, donc.

Robur, un personnage que je souhaitais connaître après l'avoir vu passer dans l'excellent comics La Ligue des Gentlemen Extraordinaires. Sympa, mais je m'attendais à mieux quand même.
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Je n avais pas encore lu Robur -le-Conquérant c est un bouquin dans la droite ligne de 20 000 lieues sous les mers mais nettement moins bon , a mon avis , les personnages sont un peu outrés , le racisme pesant et primaire sur le valet noir est gênant , créant un malaise diffus .Mais il faut se resituer dans le contexte de l époque , et Verne connu pour son antiracisme a voulu sans doute faire de l humour en chargeant le trait . D' autre part certaines pages nous révèlent les débats de l époque sur le futur du transport aérien .Plus légers ou plus lourds que l air ? vaste question ! l une des nombreuses qui agitaient cette fin du XIX° où tout semblait possible plein d espoir en l homme . C est Hugo qui disait "Le XIX° siècle est grand mais le XX° sera heureux ....Quand on connait la suite ! Et puis un détail qui m a fait sourire en ces ces temps de végétarisme, végétalisme , véganisme militant, l un des membres du club des ballonniers est un légumier (sic)!!! Non il ne les vend pas il les mange comme quoi déjà à l époque Bon appétit , je vous laisse i j ai un rosbif sur le feu .
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Partout dans le monde, on s'interroge : comment est-il possible de voir la même lueur et d'entendre la même musique dans le ciel en deux endroits différents, mais à intervalle si rapproché ? « Nul doute que la lueur eût été observée en divers postes – successivement – dans le laps de quelques heures. Donc, ou elle était produite par plusieurs foyers, courant à travers l'atmosphère terrestre, ou, si elle n'était due qu'à un foyer unique, c'est que ce foyer pouvait se mouvoir avec une vitesse qui devait atteindre bien près de deux cents kilomètres à l'heure. » (p. 6) Et voilà, alors que le Weldon-Institute, club de Philadelphie, oeuvre sur le plus gros aérostat jamais créé, qu'un dénommé Robur, ingénieur de son état, mais aux origines inconnues, vient provoquer les membres de cette honorable institution en affirmant que l'aérostat n'a pas d'avenir et que le progrès réside dans les aéronefs. Après ce terrible esclandre, Uncle Prudent et Phil Evans, respectivement président et secrétaire du Weldon-Institute, sont enlevés par Robur qui est bien déterminé à leur montrer la supériorité de sa théorie et de sa machine, L'Albatros. « le progrès n'est point aux aérostats, citoyens ballonistes, il est aux appareils volants. L'oiseau vole, et ce n'est point un ballon, c'est une mécanique. » (p. 33) Appliquant la théorie du « plus lourd que l'air », Robur a créé un aéronef propulsé par des hélices et alimenté par l'énergie électrique. Emportés vers l'Ouest de l'Amérique, au-dessus du Pacifique, à travers l'Asie et l'Europe, puis au-dessus de l'Afrique et l'Antarctique, Uncle Prudent et Phil Evans admirent les prouesses de la machine de Robur, mais sont bien décidés à échapper à leur geôlier. Mais l'ingénieur visionnaire n'est pas disposé à relâcher ses prisonniers.

Chose étrange dans un roman de Jules Verne, Robur est un personnage antipathique. Certes, l'Allemand des Cinq cent millions de la Bégum est un personnage détestable, mais il avait son double positif dans le Français qui bâtissait une ville de paix. Les deux hommes, au nom du progrès, s'opposaient admirablement. Ici, Robur est le chantre du progrès face à des hommes bons, mais dépassés puisqu'incapables de délaisser la montgolfière pour un appareil plus sophistiqué. L'ingénieur est un homme vindicatif et brusque, avec quelques sursauts de bonté, mais sont davantage dictés par la volonté de faire la preuve de la qualité de sa machine. « Ainsi Uncle Prudent et Phil Evans durent reconnaître de quelle puissance disposait un tel appareil, et quels services il pouvait rendre à l'humanité. » (p. 160) Comme Nemo (dans Vingt-mille lieues sous les mers, pas L'île mystérieuse), Robur est mystérieux et on ne sait rien de son passé. Or, le capitaine du Nautilus était un être froid, mais juste. Robur est plutôt un savant fou aux visions géniales, enragé que le monde ne progresse pas aussi vite qu'il le souhaiterait. Seule la fin sauve un peu le bonhomme et annule la vilaine impression selon laquelle Jules Verne avait mis le progrès entre de mauvaises mains.

L'aventure et le voyage restent extraordinaires et la description de la machine est passionnante. On voudrait être mécanicien pour encore mieux comprendre l'ampleur de cet appareil qui préfigure l'avion.
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Robur est aux airs ce que Nemo est aux profondeurs marines: un précurseur en avance sur son époque et le maître d'un espace qu'il est le seul humain à avoir su conquérir pour l'instant, faisant passer les tentatives d'autrui à coup de ballons pour des jeux d'enfant, à bord du fier Albatros !
Je dois reconnaître cependant que si adolescente, j'avais dévoré Vingt mille lieux sous les mers, j'ai moins accroché à Robur-le-conquérant. J'ai aimé, oui, incontestablement, mais sans être transporté, et c'est une bonne chose que ce soit plus court. Pour être honnête, j'ai trouvé Robur un brin tête à claque, mais après tout, je suis plus dur qu'autrefois envers les personnages, je trouverai peut-être ce cher Nemo insupportable aujourd'hui! Cela reste un bon Jules Verne, pas le meilleur que j'ai lu, mais un bon cru qu'on peut je pense recommander. D'ailleurs, j'ai assez envie de lire la suite, juste pour voir si Robur tient sa promesse de ne pas emporter son secret à jamais !
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Je me rappelle avoir acheté une vieille version de Robur le Conquérant dans un magasin de seconde main il y a presque quinze ans. Non pas pour le lire dans l'immédiat, vous l'aurez compris, mais parce qu'en tant que Julesvernophile depuis mes douze ans, je collectionne tous ses ouvrages et les découvre petit à petit.


Et voilà que plus d'une décennie plus tard, j'achève enfin ce nouveau grand voyage extraordinaire. Bien qu'un peu dubitatif au début, la plume de Jules Verne m'a progressivement séduite comme à chaque fois pour terminer les aventures de ce grand roman d'anticipation en apothéose.


Je n'écris pas systématiquement de critiques des livres de Jules Verne. Mais pour Robur le Conquérant, j'ai tenu à le faire pour insister sur un point du livre qui relève selon moi du génie incontestable de cet immense auteur. le voici:


On pourrait penser que Robur le Conquérant traduit une nouvelle fois le caractère visionnaire de Jules Verne. Et c'est le cas. Mais là où cette Vision est terriblement juste ne se situe pas à l'endroit de ses prédictions des grandes inventions qui existeront au XXème siècle (je me réfère à son parti pris disant que les appareils volants plus lourds que l'air, les aéronefs, sont plus performants que les ballons, les aérostats).


Non, Jules Verne anticipe ici que les Hommes ne sont pas prêts aux révolutions (il faut par là entendre aux changements radicaux), mais aux évolutions (plus lentes, plus progressives). Autrement dit, être en avance sur son temps et vouloir changer les choses trop vite, même quand c'est pour une bonne raison, ne marche pas.


Robur incarne le progrès, la raison, la science. Et bien qu'emplit d'humanisme, il souhaite révolutionner le Monde et non pas le faire évoluer. Jules Verne ne lui donne pas de nationalité, de passé, de caractéristiques précises. Il est une entité monolithique, celle de la Conquête ... mais une Conquête qui ne peut se traduire que dans le Temps, le Temps que les Hommes ont besoin pour l'accepter.


Cette morale me fait d'autant plus écho aujourd'hui compte tenu du fait que si j'avais lu cette aventure à partir du moment où j'ai acheté ce livre il y a près de quinze ans dans ce magasin de seconde main, je serais peut-être passé à côté du message de cette oeuvre. Est-ce un signe ? Pour y répondre, Je conclurai cette critique par une citation de Robur le Conquérant :


"La Providence, pour ceux qui croient à l'intervention divine dans les choses humaines, ― le hasard, pour ceux qui ont la faiblesse de ne pas croire à la Providence."
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Un de mes opus préférés où l'on fait la connaissance de Robur et de son vaisseau, l'Albatros, sorte d'hélicoptère censé prouver à deux savants enlevés à son bord la supériorité des plus lourds que l'air sur les aérostats, très en vogue à l'époque. On retrouvera le même Robur dans Maître du Monde, à bord de l'Épouvante, un autre engin fantastique, entre navire, sous-marin et hélicoptère.
Si on compare souvent ce roman à Vingt-mille lieues sous les mers, on n'en est pas moins absorbé par ce récit délicieusement désuet qui nous ouvre les portes d'un voyage extraordinaire.
Son adaptation en bande dessinée aurait pu être une réussite car si les dessins sont très beaux, les textes sont truffés de faute d'orthographe. Une telle négligence montre que l'éditeur fait bien peu de cas du lecteur qui se heurte à des fautes grossières à chaque page. C'est très dommage et cela ne donne pas envie de lire les autres adaptations des romans de Jules Verne réalisées par ces auteurs.

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Ce livre est un souvenir de jeunesse. Je l'ai lu adolescent et il m'a marqué.
Ce conquérant de l'air en 1885 dans son navire volant a de quoi séduire un
jeune lecteur soif d'aventures extraordinaires.
De plus , Jules Verne nous prouve par cette histoire son pouvoir d'anticipation. L'albatros ...la machine volante de Robur est sortie de l'esprit d'un génie!


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« Robur le Conquérant » fut mon deuxième « Livre de poche Jules Verne » juste après « le Château des Carpathes » et avant… tous les autres ! C'est un roman plutôt insolite, assez proche de « Vingt mille lieues sous les mers » : nous avons une sorte de surhomme, à la fois inventeur et meneur d'hommes, qui invente une machine nouvelle, et qui enlève de braves gens pour les emmener en voyage à bord de cet engin, nouveau modèle. La comparaison s'arrête là. Robur n'est pas Némo : loin d'exercer le pouvoir de fascination du capitaine du Nautilus, il apparaît au contraire comme un être mystérieux, certes, mais surtout orgueilleux et mégalomane (il se surnomme lui-même le Conquérant).
Nous sommes en 1886. le débat entre « plus lourd que l'air » et « plus léger que l'air » fait rage. Pour l'heure ce sont surtout les aérostiers qui tiennent la route… des airs. Aux Etats-Unis, Uncle Prudent et Phil Evans s'affrontent sur ce sujet, lorsqu' un inconnu vient les mettre d'accord en les enlevant, ainsi que leur domestique Frycollin, sur son vaisseau révolutionnaire, l'Albatros. Cet engin, construit en papier d'une dureté minérale, ressemble à un navire, propulsé par une forêt d'hélices horizontales, et mu à l'électricité. Ils font ainsi un tour du monde dans les airs, avant de s'en évader (non sans l'avoir miné). Ils mettent au point leur ballon révolutionnaire, mais celui-ci explose en plein vol lors de l'inauguration. Nos deux savants sont recueillis par … l'Albatros (un nouvel engin qui remplace celui qui a explosé). Robur essaye de les convaincre une nouvelle fois mais, devant leur refus, disparaît dans les airs.
Le nom « Albatros » pourrait venir du poème de Baudelaire qui porte ce nom, vous savez celui dont on dit : « Ses ailes de géant l'empêchent de marcher », Jules Verne connaissait certainement ce poème. Il est possible également qu'il fasse allusion à un engin spatial du même nom, construit vers 1867 par un nommé Jean-Marie le Bris, une sorte de barque ailée, faisant des vols planés (l'engin, pas Jean-Marie).
Contrairement à « Vingt mille lieues sous les mers » où la science avait le beau rôle, elle est ici un peu malmenée. le débat entre les « plus lourds que l'air » et les « plus légers que l'air » fait chou blanc. le « plus lourd » qu'est l'Albatros ne réussit pas à convaincre les savants. Par ailleurs les performances techniques de l'Albatros ne le préservent pas des dangers extérieurs ou intérieurs (au contraire du Nautilus).
Somme toute, « Robur le Conquérant » est un roman où domine la caricature : Robur, orgueilleux savant fou et mégalomane ; Uncle Prudent et Phil Evans, plus Américains qu'Abraham Lincoln, et savants ridicules dans leurs positions irréconciliables, et même Frycollin, domestique noir, forcément grimacier et affligé de tous les défauts, gourmand, paresseux et poltron (limite raciste l'ami Jules sur ce point-là).
Pas le meilleur des Jules Verne, mais à lire toutefois pour la détente et le dépaysement. On reverra Robur dans « Maître du monde » (1904) (celui-là, si vous n'êtes pas un vernophile acharné, vous pouvez vous en passer)
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Ce roman ressemble beaucoup à 20 000 lieues sous les mers, sauf qu'au lieu de se dérouler sous l'eau, il se déroule dans les airs : afin de démontrer la supériorité des aéronefs aux ballons, l'ingénieur robur kidnappe nos 2 héros et leur fait faire un quasi tour du monde dans son albatros (une sorte d'avion).

C'est un des romans de Jules verne que je n'apprécie pas : trop de description de villes, trop de descriptions scientifiques, pas assez d'aventures et d'actions. J'ai passé beaucoup de page qui ne sont que des descriptions des pays/villes survolées par l'albatros ainsi que pas mal de passage où verne nous explique comment fonctionne l'albatros. Au final, il ne reste plus grand chose à lire pour l'histoire à proprement dite.
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