Une belle saga familiale ponctuée d'un secret de famille qui l'eût cru?
L'intrigue se déroule en Nouvelle Zélande et nous remet dans le contexte des indigènes Maoris qui vivaient sur cette île et qui hélas ont été colonisés par les européens.
Les métissages vont bon train et la vie n'est pas de tout repos lorsqu'un tremblement de terre au début du XXè siècle surgit.
J'ai donc passé un bon moment avec ce roman dont les chapitres sont écrits en alternance sur 2 époques.
Le rythme était régulier et l'écriture tout à fait fluide, si vous voulez vous évader avec les liens transgénérationnels d'une famille alors ce livre est de bon conseil.
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Une belle saga familiale avec ses éléments incontournables, ses personnages attachants... et les autres 🙃 J'ai passé un bon moment lecture! Ça se lit facilement, nous fait voyager et découvrir un pan d'Histoire difficile lors de la conquête de la Nouvelle-Zélande par les européens. À conseiller aux amateurs de sagas familiales dépaysantes donc 👍👍
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. Saga familiale. Eva jeune allemande va au terme d'un long voyage arriver en Nouvelle-Zélande. son père et son frère iront de leur côté aux États-Unis. Eva réussira finalement à s'intégrer dans ce pays et s'attacher à
Adran mais aussi à Lucie, maori, qui raconte tous ses souvenirs . Ecriture sur deux époques .
livre bien agréable à lire
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Un livre prenant qui se lit facilement mais qu'on n'a pas envie de lâcher. Les personnages bien typés; fidèles à leurs défauts … et à leurs qualités nous entraînent dans une sage colorée et passionnante.
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Devenir architecte, construire des bâtiments qui sortent de l’ordinaire, qui marqueront les mémoires et, encore plus, concevoir la décoration. C’est pour ça que je veux aller en Amérique. Là-bas il y a des gratte-ciel. Là-bas, les gens peuvent se permettre de payer quelqu’un pour dessiner de jolis objets pour leur intérieur. Et puis, n’importe quel type employé à la plonge peut, paraît-il, y devenir millionnaire. L’argent n’est pas pour moi un but en soi, mais quand même !
Elle était blonde, elle aussi, mais son visage était rond, son nez, en trompette, et elle avait des taches de rousseur. En Allemagne, on aurait dit qu’elle était mignonne, mais elle avait une allure de cheval de trait à côté du pur sang qu’était sa mère.
En ce moment, elle ne devait pas s’embarrasser d’un chagrin d’amour puisqu’elle ne tarderait pas à partir pour l’Amérique. Il vaut mieux en rester là avec ces rêveries de jeunes filles, tenta-t-elle de se persuader.
Le véritable grand amour, on le reconnaît tout de suite !
Elle est belle mais froide.