Depuis l'au-delà

Je n'ai pas aimé du tout. Ça tourne en rond et si l'idée est originale la fin n'est pas du tout à la hauteur. C'est aussi très répétitif. de longues litanies de récits de vie des différents protagonistes. Un thème mainte fois traité par cet auteur qui me déçoit de plus en plus.

Dès le début du roman j'ai été tout de suite à fond dans ma lecture et à partir de la moitié de la deuxième partie, j'ai décroché petit à petit… L'idée du départ m'a beaucoup plu et Gabriel est un personnage intéressant. L'enquête aussi a suscité mon intérêt mais il y a une succession d'événements à un moment qui m'ont fait décrocher. Malheureusement le dénouement m'a aussi déçu, j'espérais retrouver ce que j'avais apprécié au début…
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J'ai vraiment aimé ce livre, même s'il reprend la thématique du cycle des Dieux et celui des Anges, dont je n'ai apprécié que Les Thanatonautes.
Avec Depuis l'Au-delà, et ce narrateur inédit, l'histoire est vraiment prenante. Et je ne dis pas cela parce que j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur à la sortie du livre !
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Dans ce livre, Bernard Werber explore le spiritisme, le rapport à la mort, mais également le conflit entre "les best-sellers et la Critique" et ceux qui vendent et sont appréciés par les lecteurs mais attaqués par la critique. Vous apprécierez d'ailleurs le personnage de Moisi, tout en couleurs et pas du tout inspiré d'un chroniqueur d'une émission connue et reconnue.

Que dire de plus, si ce n'est que j'ai été plutôt entrainé par l'histoire, mais la chute, la chute, quelle déception.

Vous savez ce qu'on dit, l'important ce n'est pas la chute, mais l'atterrissage. C'est faux, et vous vous en rendrez compte avec "Depuis l'au-delà".

Une nouvelle incursion de Bernard Werber dans le domaine des morts. Retour à l'esprit des thanatonautes et du cycle des anges avec un couple étonnant d'un écrivain qui cherche qui l'a tué et une médium qui l'aide dans sa quête. Agréable à lire, mais manquant de ce grain de nouveauté du premier cycle consacré à la mort. On a un peu l'impression que Bernard Werber tourne en rond avec ses thèmes. Difficile aussi de se renouveler complètement. Il ajoute des éléments à son cycle des anges en parlant en quelque sorte du purgatoire ou plutôt des âmes errantes qui ne veulent pas (encore) se réincarner.
Je reste fidèle à Werber, ne fût-ce que pour le prochain grand thème « wouah ! » qu'il pourrait imaginer. Je sais qu'il en est capable...

Werber c'est certain ce n'est pas de la grande littérature, mais quand j'ai passé une semaine de dingue je n'ai qu'une hâte le weekend, m'installer dans un bon fauteuil et me vider la tête. Ses phrases sont simples, et courtes je n'ai pas besoin d'un dictionnaire pour décoder ou relire trois fois des phrases qui font la moitié d'une page. Bref nous sommes loin de la masturbation intellectuelle d'un autre courant littéraire. Je m'amuse beaucoup lors de certains dîners où l'on vous cite le dernier Goncourt et ou les personnes ne sont pas fichues de nommer le nom de l'auteur ou le titre du livre, tout simplement parceque cela fait chic ou ajoute une note intellectuelle à leur aura. Perso quand j'ai envie de lire des livres plus sérieux je me tourne vers nos vieux bons philosophes, ou vers des livres scientifiques dont la bibliographie et les sources sont sérieuses. Je me suis entendue un peu sur le sujet tout simplement parce que le fond de weber traite en filigrane cette vieille querelle entre auteurs de genre et les littéraires. Il y a d'ailleurs fort à parier que werber règle ses comptes avec Yann moix, ce dernier en effet descend son confrère à boulets rouges, une attitude qui manque de faire play pour un homme qui se considère comme grand intellectuel
Pour finir j'apprécie Werber pour sa légèreté et parce qu'il me fait rire par conséquent : depuis l'au-delà ne déroge pas à cette règle. Si vous n'êtes pas dans cet esprit passez votre chemin mais cela serait dommage de louper un moment de détente. Il me semble qu'il faut arrêter d'avoir honte de lire des auteurs de genre le principal c'est de lire.

📚 : Je me nomme Gabriel Wells.
Je suis écrivain de romans à suspense.
Ma nouvelle enquête est un peu particulière car elle concerne le meurtre de quelqu'un que je connais personnellement : Moi-même.
J'ai été tué dans la nuit et je me demande bien par qui.
Pour résoudre cette énigme, j'ai eu la chance de rencontrer Lucy Filipini.
En tant que médium professionnelle, elle parle tous les jours aux âmes des défunts.
Et c'est ensemble, elle dans le monde matériel, moi dans le monde invisible, que nous allons tenter de percer le mystère de ma mort.

Dans la lignée de sa saga sur les anges, @werbernard nous livre ici un roman à suspens, qui a tué Gabriel Wells et pourquoi ? Un roman qui se lit sans qu'on voit arriver la fin et le temps que l'on a passé à lire. Comme dans ses autres romans, nous allons suivre le cheminement dans lequel nous guide l'auteur mais aussi nous amener à penser par nous-mêmes. Ceux qui ont déjà lu Werber n'en seront pas déçu 😊

Avis : 5/5
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Toujours dans la fiction, entre rêve et réalité, le roman se lit facilement et développe chez le lecteur, un imaginaire riche, déconnecté du monde réel. Pas de surprise, c'est du Werber !

Un Werber sympathique qui se lit tranquillement, sans grand rebondissement, mais fluide...Un système de croyances proposé en douceur, sans martèlement contrairement à ce qu'il peut parfois écrire.

Livre sympa mais l'univers m'a moins transporte que d'autres livres du même auteur...un peu mou