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3,63

sur 770 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un roman extrêmement original, très bien écrit, très bien pensé. Dommage que quelques longueurs viennent ternir un peu ce récit. L'auteur s'interroge er nous interrogé sur divers thèmes, tels que la littérature, la mort, l'au-delà, le sens de la vie, l'amour, la trahison.... Ce roman répertorie tous les questionnements de l'auteur finalement. Et entre chaque chapitre, on s'instruit en découvrant des extraits de son encyclopédie que j'ai beaucoup aimée. Je n'attendrai donc pas longtemps pour la lire ! En conclusion, ce roman m'a plu malgré ses répétitions.
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J'adore. Juste j'adore. Depuis que j'ai découvert cet auteur je n'ai encore jamais été déçue par l'un de ses livres. Ce que j'aime le plus c'est le fait d'avoir l'histoire et d'avoir ces petits extraits de L'Encyclopédie du savoir relatif et absolu, on apprend plein de choses toujours intéressantes et en rapport avec l'histoire.

De plus, on retrouve une nouvelle fois une réflexion sur la lecture et l'écriture elle-même que j'aime beaucoup. Sans oublier l'intertextualité qui permet au lecteur de retrouver des éléments déjà connus qui viennent de d'autres oeuvres de Bernard Werber.

Ici l'histoire est intrigante, dès la première phrase (premier chapitre) j'ai été plongée dans l'histoire sans possibilité de m'échapper. Il y avait beaucoup d'éléments mais impossible de se perdre, les personnages étaient drôles mais sérieux avec leurs qualités et leurs défauts. J'ai beaucoup aimé les rapports Gabriel/Lucy, surtout quand on découvre ce qu'ils pensent l'un sur l'autre.

Donc en résumé : une écriture superbe, un livre extrêmement intéressant et intelligent, des personnages très drôles et attachants.
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Mon premier roman de Bernard Werber et le moins qu'on puisse dire c'est que j'ai adoré, je l'ai dévoré ! Tout d'abord le style d'écriture, assez léger mais pas familier non plus, facile à lire mais pas trop simple non plus, ce qui a rendu la lecture encore plus agréable. Ensuite j'ai beaucoup aimé la double enquête que l'on suit : d'une part qui a tué Gabriel et d'autre part où est passé le grand amour de Lucy ? Les deux sont captivantes ! On assiste à la création de toute une hiérarchie entre le monde des vivants et celui des morts, tout un fonctionnement très bien construit à propos de deux mondes qui communiquent et se superposent. Et surtout ce livre est une déclaration d'amour à la littérature. L'auteur tourne en dérision tout le long la petite gueguerre entre la littérature qui se veut "sérieuse et ancrée dans la réalité" et la littérature de genre pour montrer à quel point les deux sont complémentaires et ne peuvent exister l'un sans l'autre dans leur quête d'ouvrir l'esprit des lecteurs et de leur donner envie de se plonger dans la lecture. Un très bon ouvrage que je ne peux que vous conseiller !
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J'ai vraiment aimé ce livre, même s'il reprend la thématique du cycle des Dieux et celui des Anges, dont je n'ai apprécié que Les Thanatonautes.
Avec Depuis l'Au-delà, et ce narrateur inédit, l'histoire est vraiment prenante. Et je ne dis pas cela parce que j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur à la sortie du livre !
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Gabriel WELLS se réveille un bon matin et remarque qu'il n'a plus d'odorat. Il se rend chez son médecin, et par le fait même, rencontre Lucy, une médium qui vient consulter pour une migraine. Sans préambule, elle lui annonce qu'il est mort. Elle ne le voit pas, mais ils peuvent discuter ensemble. Il apprends ensuite qu'il a été assassiné. Se pose alors la question de savoir: "Qui m'a tué ?"

Bernard WERBER réussit encore une fois à nous captiver tant par cette enquête sur le meurtre de son protagoniste, mais également avec tous les éléments sur la vie après la mort qu'il place au cours de son roman grâce à l'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu où figurent de parfaites illustrations de la teneur de la quête de certains sur ce que peut être "l'après-vie".

L'intrigue est bien soutenue et les personnages uniques grâce à une plume vive et parfois acérée. En effet, on y trouve des situations qui ne sont pas sans nous rappeler certains faits réels et qui Bernard manifestement à Bernard WERBER de régler certains comptes. Notamment avec les critiques littéraires.

Depuis l'au-delà est un roman qui ravira les fans de Bernard WERBER : alerte, vivant, rapide, on ne s'y ennuie pas une seconde. Les personnages principaux sont attachants, l'intrigue solide entre spiritualité, enquête policière, paranormal, comme autant de liens de parenté avec ses romans précédents. Même si la fin de l'ouvrage m'a un peu déçu.
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Une nouvelle incursion de Bernard Werber dans le domaine des morts. Retour à l'esprit des thanatonautes et du cycle des anges avec un couple étonnant d'un écrivain qui cherche qui l'a tué et une médium qui l'aide dans sa quête. Agréable à lire, mais manquant de ce grain de nouveauté du premier cycle consacré à la mort. On a un peu l'impression que Bernard Werber tourne en rond avec ses thèmes. Difficile aussi de se renouveler complètement.
Je reste fidèle à Werber, ne fût-ce que pour le prochain grand thème « wouah ! » qu'il pourrait imaginer. Je sais qu'il en est capable...
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Le roman m'a attirée parce que ce n'est pas pas vraiment du Bernard Werber ! Dans le sens où il n'y a pas de d'extraterrestre, d'univers particulier ... Cependant l'intrigue paraissait prometteuse et elle était prometteuse.

Dans l'histoire, l'auteur meurt. Il est persuadé d'avoir été assassiné, mais il ne sait pas par qui. Il mène l'enquête avec Lucy qui peut communiquer avec les morts.

Lorsque j'ai lu ce livre, j'étais en train d'écrire mon premier roman et il m'a inspiré quelques réflexions.

Tout d'abord, les extraits d'encyclopédie m'ont paru des ajouts inutiles et frustrants pour le lecteur pressé de connaître la fin. Puis je me suis dit que cela permettait d'aérer le roman. Je n'ai cependant pas utilisé la même technique car dans mon roman le lecteur suit deux personnages indépendants.

Ensuite, Jean Moisi m'a paru être un éditeur immonde et je me suis dit qu'il devait correspondre à un personnage réel. Je ne suis pas vraiment dans le milieu, donc je ne l'ai pas reconnu. Il m'a conforté dans l'idée de publier en édition digitale.

Ensuite, la graduation des romans suivant leur style, auquel il est fait allusion dans le roman de B. Werber, m'a inspiré sur les ouvrages mis en avant au lycée suivant les époques. Je me suis dit que les meilleurs romans d'aujourd'hui seraient lus à l'école par mes petits-enfants ou mes arrière-petits-enfants. Mon fils devait lire "Le meilleur des mondes" de Huxley pour le bac français. C'est un roman tout nouveau en littérature scolaire ! L'auteur est décédé en 1964.
Je pense que qu'il vaut mieux que l'auteur soit décédé pour être étudié en cours. Sinon les éditeurs risqueraient de corrompre le système comme cela a pu se passer pour un prix littéraire. Brrr !

Malgré quelques défauts, "Depuis l'au-delà" est divertissant et sérieux à la fois. Il pourrait même être étudié au lycée lorsque l'auteur sera décédé pour de vrai. Qui sait ?
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Un Werber sympathique qui se lit tranquillement, sans grand rebondissement, mais fluide...Un système de croyances proposé en douceur, sans martèlement contrairement à ce qu'il peut parfois écrire.
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C'est le premier livre de Bernard Werber que je lis. J'ai aimé le style de l'auteur, l'histoire fantastique avec ce dialogue qui se noue entre les vivants et les morts, plus précisément entre une médium et notre héros, écrivain, passé sans s'en rendre compte de vie à trépas ; en fait, on l'y a un peu poussé. Cette cohabitation entre les vivants et les morts est curieuse, amusante, attachante et on a presque envie que ce soit réel. Pourquoi pas ? L'opposition entre une littérature de genre et une littérature de style, avec un critique littéraire haut en couleur qui défend cette dernière, est intéressante également. J'ai passé un bon moment avec ce livre distrayant, divertissant, léger et je lirai sûrement d'autres romans de cet auteur.
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Gabriel, écrivain célèbre, vient de mourir. Petite anecdote : il souhaite mener l'enquête sur son meurtre car il est « vivant » dans l'au-delà. Pour résoudre l'affaire, il va s'appuyer sur une médium, Lucy, qui a l'habitude de parler aux âmes errantes en attente. Qui l'a tué ? Pourquoi ?

Déçue par « Demain les chats », j'avais une appréhension sur ce nouvel opus. Fan de la première heure de Bernard Werber, je voulais retrouver ce petit côté « apprentissage » et « innovation » et ce fut le cas pour ce roman. Grâce aux nombreux extraits de l'encyclopédie de Wells, je me suis plongée dans ces informations / anecdotes révélées tout le long du récit. J'ai trouvé que la mort était traitée de manière intéressante à travers cette quête du « meurtrier ».
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