La boîte de Pandore

Un livre qui démarre sur les chapeaux de roue par une séance d'hypnose.
Ensuite tout s'enchaine !
De très nombreuses références historiques et une autre vision très juste de l'histoire que j'ai énormément apprécié.
Le thème des régressions dans les vies antérieures est également le point fort de ce roman.
Cependant, il se heurte tout de même à la crédibilité dans certains passages. Non pas à cause des thèmes développés mais en rapport avec le personnage principal qui se sort parfois de situations sans conséquences et sans réelles explications. Dommage, mais rien enlève la qualité de ce roman et le plaisir que j'ai eu à le lire malgré tout.

Un très bon WERBER comme je n'en avais pas lu depuis longtemps! Je me suis retrouvée dans les pensées de l'auteur et j'ai appris beaucoup de choses... Un WERBER à lire!!!

Qui aimerait pouvoir faire des bonds dans ses vies antérieures. Qui aimerait pouvoir comprendre et trouver la vérité historique. Bernard weber nous amène à réfléchir sur nos vies notre société au travers de l'hypnose régressive. le héros René va nous emmener de l atlantide, au samouraï et jusqu'en Inde, dans ses vies antérieures. Tout ceci pour qu'on n'oublie pas la civilisation des atlantes. Vaste programme pour ce petit prof d'histoire.

Bernard Werber a un style narratif qui n'appartient qu'à lui, vous reconnaissez sa « griffe » dès les premières pages. Si le style reste, les intrigues et les thèmes abordés eux varient du tout au tout… avec plus ou moins de succès, mais sans jamais ennuyer le lecteur (c'est du moins mon ressenti personnel).

Ici le corps de l'intrigue se construit autour de l'hypnose régressive ; en théorie l'idée est de permettre, grâce à l'hypnose, au sujet de partir à la découverte de ses vies antérieures. J'en vois déjà qui haussent un sourcil perplexe, forcément on ne peut dissocier le concept de vie antérieure à celui de réincarnation (sinon ça reviendrait à préparer une tarte aux pommes sans les pommes). Pour ma part ce ne sont pas des notions que je rejette en bloc, ceci dit il ne me semble pas impératif d'adhérer à l'idée pour apprécier le bouquin (après tout on ne vous demande pas de croire aux vampires pour lire et apprécier Dracula).

Revenons à nos moutons… et accessoirement cessons d'user et d'abuser de parenthèses !

Au fil de ses régressions (et des chapitres), René Toledano va rencontrer ses anciens-moi, parfois par curiosité, parfois par nécessité. C'est une de ses rencontres qui le poussera à venir en aide à son premier-moi, un Atlante nommé Geb. À ce niveau de ma chronique, je pense que j'ai perdu en route tous les sceptiques… parfait ! Bon débarras !

Se pose alors la question d'une éventuelle influence de nos vies antérieures sur le moi-présent et par extension celle de la possibilité du moi-présent d'influer sur la destinée des anciens-moi… Sur le coup j'avoue que le moi-de-tout-de-suite-maintenant commence à se choper un mal de crâne carabiné.

Deux Doliprane plus tard.

Je vous assure que posée par Bernard Werber, la double question évoquée plus haut ne vous causera aucune migraine et ne devrait avoir aucun effet secondaire… à part peut-être celui de remettre en question vos certitudes.

Il faut dire aussi que le personnage de René Toledano n'est pas du genre à suivre bêtement le troupeau, son dada serait plutôt de creuser l'Histoire « officielle » et de chercher les failles afin de rétablir LA vérité. Comme il se plait à le dire :

Ce qu'on connaît du passé ce n'est qu'une caricature de propagande répandue par les historiens pour faire plaisir à leur puissant commanditaire.

Ou encore :

Car même l'histoire officielle délivrée dans les manuels scolaires est parfois tronquée. Par exemple, on ne connaît les civilisations passées que par les traces qu'ont laissées celles qui étaient dotées de l'écriture. Parmi celles-ci, on ne connaît que le passé des civilisations qui abritaient des historiens. Et parmi ces dernières, que la version des vainqueurs.

Remettre en question l'Histoire, voilà bien un comble pour un professeur d'Histoire.

Cet aspect du récit, émaillé des nombreux exemples donnés par René Toledano, m'a beaucoup plu. Sans sombrer dans le delirium tremens paranoïde complotiste, je reconnais volontiers que parfois (si le sujet m'inspire) j'aime bien creuser au-delà de la surface parfaitement polie des versions officielles (qu'elles proviennent des autorités ou des médias).

D'autres questions sont abordées au fil de l'intrigue, avec parfois en support des extraits du MNEMOS de René Toledano (soit exactement le même format que les extraits de l'ESRA chère à la famille Wells).

Bernard Werber excelle dans le divertissement didactique, même si j'ai bien conscience qu'il ne faut pas forcément tout prendre pour argent comptant (pour coller à la petite histoire, il faut parfois jongler avec les grandes vérités de l'Histoire).

J'ai beaucoup aimé le duo formé par René Toledano et Opale Etchegoyen (le premier qui dit Etchebest est de corvée de chiottes pour les 10 prochaines années… je suis fan de Philippe Etchebest, pas toucher sinon moi taper), deux personnages complémentaires à bien des niveaux.

Incontestablement cette cuvée Werber 2018 est un bon cru, pas exceptionnel toutefois (j'ai trouvé certains passages franchement surjoués), mais qui se déguste avec énormément de plaisir. À consommer sans modération.
Lien : https://amnezik666.wordpress..

Agréable à écouter en audio, mais assez long tout de même. Ca fait longtemps que j'avais délaissé cet auteur et je retrouve sa façon de nous emmener avec un bon suspens, de nous délivrer des connaissances à petites doses pour ne perdre personne en chemin. Il est question de la mémoire des vies antérieures accessible par hypnose, de la civilisation perdue de l'Atlantide et d'autres parties de l'histoire du monde sur tous les continents. le héros est professeur d'histoire , il va affronter des tas d'aventures à l'aide de ses différentes réincarnations. Quelques portraits peu flatteurs sont donnés de notre société : le psychiatre, le journaliste célèbre. Une romance clôture cet empilement gigogne. Beaucoup de questions sur le sens de notre vie et de l'optimisme en prime.

René Toledano, professeur d'histoire, est invité par son amie à un spectacle d'hypnose La boîte de Pandore. Lors de cette soirée, il sera choisi par Opale pour expérimenter un voyage dans ses vies antérieures. Sur la scène, il se laisse aller et descend une à une les marches de son inconscient. Il découvrira alors qu'il a été un soldat de la première guerre mondiale et sortira de cette expérience complètement traumatisé. Pourtant, il retournera voir Opale en espérant découvrir des vies antérieures plus heureuses. Faisant alors la connaissance d'un atlante, il se mettra en tête de tout faire pour changer le cours de l'histoire et sauver Altlantide...

Comme toujours avec les romans de cet auteur on ne voit pas le temps passer. On rentre tout de suite dans l'histoire et on a bien du mal à le lâcher avant d'en connaître la fin !  le rythme est soutenu, des anecdotes littéraires, mythologiques ou historiques sont insérées entre les chapitres donnant du crédit au récit. Plusieurs thèmes autour de la mémoire sont abordés tels que la maladie d'Alzheimer ou l'induction de faux souvenirs. La thématique de l'hypnose est passionnante. Cette méthode permet ici au héros d'avoir accès à ses vies antérieures lui permettant de reconstruire peu à peu sa propre identité. René est un professeur d'histoire qui remet sans cesse en cause la vérité apprise. Grâce à cette découverte, il espère pouvoir changer L Histoire et ainsi sauver une civilisation disparue. Il sera confronté notamment à son amie professeur de sciences cartésienne qui essaie en vain de le résonner. Un roman qui nous emmène dans les profondeurs de l'Atlantide interrogeant le fonctionnement de notre société actuelle...

Il faut un début à tout et c'est donc le premier roman que je lis de Bernard Werber avec la boîte de Pandore que ma soeur m'a prêté !
Et ça m'a plutôt intéressé et plu, cette histoire de René Toledano, professeur d'histoire qui voit sa vie chamboulée le soir où, lors d'un spectacle, il est pris pour cobaye pour une d'hypnose régressive qui l'emmènera dans une de ses vies antérieures.
Il fait ensuite de l'auto hypnose pour s'immerger dans la vie passionnante des personnages qu'il était avant !
C'est rocambolesque, pas très crédible par moment mais l'écriture fluide permet que ce soit toujours intéressant.
Je m'attendais à une autre fin....

J'ai ouvert « la boite de Pandore » avec Bernard Werber grâce à ma nièce qui me l'a offert avec une dédicace, s'il vous plait, rien que ça ! (Merci Morgane !) Et j'en suis ravie… J'ai aimé le voyage en plongée dans les vies antérieures de René, professeur d'histoire qui se bat depuis toujours contre les fausses vérités des cours d'histoire où les faits n'ont été écrits que par les vainqueurs, d'où une vérité contrefaite… Les choses s'aggravent quand la veille de la rentrée scolaire, sa meilleure amie, Elodie, l'emmène voir un spectacle d'hypnose. René est choisi comme cobaye pour remonter dans ses vies antérieures. Il rencontre ainsi Hyppolite, un héros de la première guerre mondiale. Cette expérience intense et violente le bouleverse complètement et il quitte brusquement la scène du spectacle dans un état second. C'est à ce moment-là, où se retrouvant seul sur les quais de la Seine, qu'il est attaqué par un skinhead qui veut le détrousser. Encore sous le choc de son expérience violente et perturbante de la première guerre mondiale, il se défend et le skinhead se tue en retombant sur son propre couteau. Affolé, René le balance dans la Seine. Dorénavant, sa vie ne sera plus jamais la même. Dans un premier temps Elodie l'incite fortement à retourner voir l'hypnotiseuse pour qu'elle lui retire son faux souvenir d'Hyppolite (c'est ce qu'elle pense de la prétendue vie antérieure de René). René retournera effectivement voir l'hypnotiseuse Opale mais lui veut retourner dans son inconscient et découvrir ses autres vies antérieures, au nombre de 111. Cette aventure nous emmènera dans différentes périodes de l'histoire mais en particulier en l'an – 12 000, dans la cité de Men-set, la capitale de l'Atlantide. Oui cela paraît un peu fou, mais quand vous lisez « La boite de Pandore », vous adhérez à l'idée et le voyage est très sympa et instructif car comme à son habitude, Bernard Werber truffe son récit d'indications historiques et scientifiques qui m'ont particulièrement intéressées. Vraiment, laissez-vous faire et partez à l'aventure avec René, Opale, Geb, Hyppolite, Elodie et quelques autres…
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé cette lecture… A vous !

Lien : https://mapassionleslivres.w..

Commencer un livre de Bernard Werber, c'est avoir la certitude d'être emporté ailleurs, de faire très vite corps avec les personnages et de les suivre dans leurs aventures incroyables ... 

Je me suis plongée dans La boîte de Pandore, sitôt rentrée à la maison après l'avoir emprunté à la médiathèque, même si j'avais d'autres romans en cours ... 

Celui-là a grillé les deux autres ... et je ne l'ai plus lâché jusqu'à ce que je tourne la dernière page, emportée par le style de l'auteur qui déroule son récit nous refusant toute pause ou interruption ! 

Dans cet opus paru en 2018, on suit René Toledano, professeur d'histoire qu'une séance d'hypnose théâtrale a envoyé dans ses vies antérieures ... a

Après une première expérience finalement peu agréable et aux graves conséquences, il entreprendra de rencontrer peu à peu ces 110 autres incarnations qui ont précédé l'actuelle ... 

Quelques rencontres, des voyages et la recherche de ces premières civilisations déjà croisées dans de précédents livres de l'auteur font de cet ouvrage un ensemble passionnant ... 

... Cela faisait un moment que je n'avais rien lu de Bernard Werber, ... je n'attendrai plus aussi longtemps ! 


Lien : http://les.lectures.de.bill...

J'ai apprécié dans l'ensemble relire un roman de Bernard Werber, auteur qui m'a accompagné pendant toute mon adolescence. Mais je reste quand même sur ma faim, je n'ai pas vraiment été surprise par l'histoire. Je pense que je connais trop le style Werber à force de le lire, ça ne me déplaît pas, mais ça manque d'imprévisible pour le coup.