Le Temps des chimères

Ceci n'est pas une critique car je n'ai pas lu ce livre et ne le lirai pas. Mon attention a été attirée par un encadré sur la page d'accueil du site et je suis allé voir la quatrième de couverture et parcourir les réactions des lecteurs Au vu de ceci, je formulerai un simple ressenti : il s'agit d'une daube monumentale, ce qui n'est pas vraiment surprenant, l' auteur n'ayant jamais écrit autre chose

Une belle déception.... Pourtant l'idée de départ était alléchante : la création de chimères pour sauvegarder l'humanité de la troisième guerre mondiale. Et bien cela tombe à plat ! Il semble que chaque idée reste au stade embryonnaire sans grand développement et on saute ainsi d'idées en idées sur une cinquantaine d'années.

Graou tout le monde !

Il est toujours bon de retrouver un Werber pour se sentir bien. Depuis les fourmis, c'est le petit rituel, d'aller acheter le petit dernier de cet auteur.

Dans un futur proche, au lendemain de la 3ème guerre mondiale, Alice Kammerer, jeune et brillante scientifique persuadée que la survie de l'humanité passe par un changement de forme, crée trois êtres nouveaux, mi-humains, mi-animaux : l'un est ailé, l'autre palmé et le troisième doté de griffes lui permettant de creuser. Ces trois espèces prolifèrent, proposant d'autres modes de vie et de pensées. Ce nouveau monde est à la fois porteur d'alliances et de conflits, de passion et d'espoir... Mais quelle place pour l'ancienne humanité..

Un roman qui se lit vite, qui se lit bien, ouais, en gros qui se lit. On reconnaît la plume de l'auteur lors de certains passages mais le plus souvent, j'avais parfois l'impression d'être un enfant à qui l'on apprenait des choses basiques ou pire encore, que c'était un enfant qui avait écrit des passages. C'est une écriture quasi enfantine je trouve, malgré le fait que les sciences et les maths et tout le bazar ne soit pas ma tasse de thé fumante. C'était déconcertant parfois d'avoir sous les yeux, cette histoire écrite d'avance, sans vraiment de rebondissements ni de surprises. C'est un bon divertissement mais sans plus j'ai envie de dire, ça se lit comme un feuilleton de science-fiction des années 70/80, du déjà vu/lu/entendu.
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Cette lecture ne m'a pas vraiment enthousiasmé. le début était pourtant accrocheur, mais rapidement ça coince avec le style narratif de Werber, certes très accessible mais que j'ai trouvé plat et fait de banalités.
Le sujet en revanche n'est pas banal, des hybrides d'humains croisés avec un autre animal et destinés à supplanter l'être humain, car plus aptes à survivre dans un monde post-apocalyptique ! Tout se passe un peu trop facilement pour être vraisemblable et ça m'a sorti plus d'une fois de l'histoire.
Pour finir sur une remarque positive, j'ai bien aimé les intermèdes "savoir relatif et absolu" intéressants et placés à bon escient.

Un roman d'aventure scientifique dystopique qui s'interroge sur un futur possible.

Une bonne idée, de bonnes réflexions sur l'évolution de l'humanité qui porte à réfléchir mais une déception pour l'écriture pas assez abouti, trop simple, qui ne va pas en profondeur, seulement dans l'action. Une lecture qui fut donc assez rapide malgré les 500 pages.

On suit Alice sur 50 années, ça laisse quelques facilités dans le scénario et une impression que tout s'enchaîne assez vite... Cela permet au moins d'avoir une longue vue sur cette expérience des "chimères" qui reste intéressante à suivre.

Malgré tout j'aime toujours autant la qualité d'esprit de Bernard Werber. Il sait dénoncer les comportements humains insensé, il porte un certain recul sur la civilisation et pousse à la réflexion avec philosophie. Il nous transmet beaucoup d'informations notamment grâce à a son "encyclopédie du savoir relatif et absolue" qui compose ses récits.

J'ai toujours adoré Bernard Werber, pour ces premières trilogies, cela faisait quelques années que je ne l'avais pas lu, je ne sais pas si ce sont mes attentes qui ont changé, mais je suis donc resté perplexe sur ce roman.

La fin reste assez évasive je trouve, une suite peut être envisagée.

L'histoire :
Pour survivre et s'adapter à une terre en bouleversement, la solution serait telle de créer des hybrides mi humain mi animal ? de changer de forme pour être capable de vivre dans les airs, sous terre et dans l'eau. C'est l'exploit que va réussir Alice Kammerer, jeune et brillante scientifique, au lendemain de la troisième guerre mondiale. Tandis qu'elle assiste, fascinée, à l'évolution de ces bébés pourvus d'ailes, de griffes ou de nageoires, un monde différent se construit. Il est à la fois porteur d'alliances et de conflits, de passion et d'espoir... Mais quelle place l'ancienne humanité pourra-t-elle conserver face à ces nouveaux « voisins » ?

j'ai adoré, bon après je suis un fidèle lectrice de cet auteur même si j'apprécie plus ou moins certains livres.
C'est toujours à peu près pareil mais on apprend tellement de choses, sur l'histoire, sur la vie, sur les cycles de la vie qui se répètent inlassablement....celui ci m'a fait penser un peu au papillon des étoiles un de mes préférés.
Je me suis tellement attachée aux personnages que même encore pendant deux jours après j'avais l'impression d'être "abandonnée" de l'histoire ! j'avais encore envie de les retrouver.
J'ai préféré celui ci à la saga des "chats".

Si je vous parle d'un auteur qui raconte des histoires complètement délirantes, sans préoccupation particulière pour le réalisme, avec des situations absolument pas crédibles dès le début du roman, ce qui va en s'aggravant à mesure qu'il avance, un auteur qui imagine encore et encore pour l'avenir de l'humanité des évolutions et des péripéties sans queue ni tête dans des romans qu'on ne peut pas lâcher une fois qu'on les a commencés, et qu'on oublie sitôt terminés, vous me répondez… Bernard Werber, évidemment !
Là, il a fait fort, quand même. Il prévient que ce bouquin débute pile cinq ans après le moment où le lecteur ouvre le livre, puis il décolle…
Aurore Kammerer est une jeune biologiste qui pense que le futur de l'humanité passe par une modification de sa morphologie, afin de pouvoir s'adapter aux changements à venir. Elle se met donc en devoir de créer de nouvelles espèces, des hybrides homme-animal, mais l'information fuite, provoque évidemment des oppositions, et Aurore est obligée de se réfugier… dans l'ISS ! de là, elle assiste à la troisième guerre mondiale, redescend sur Terre et parvient à réaliser son projet…
Je n'en dirai pas plus. L'idée de modifier physiquement l'Homme n'est pas nouvelle. Dès 1957, James Blish l'avait évoquée dans « Semailles humaines ». Toutefois, entre les mains de Werber, ce rêve devient délire. Les rebondissements sont incessants, de plus en plus invraisemblables pour ne pas dire tirés par les tifs. Pourtant, on ne lâche pas ce récit avant de parvenir à son terme.
Je me dépêche de rédiger cet avis, car je sais que d'ici deux ou trois jours, il me sera sorti de l'esprit comme l'ont fait avant lui les plus de vingt bouquins que j'ai lus de cet auteur. Eh oui, j'ai l'air de ne pas trop apprécier, mais Werber, c'est comme les chocolats : quand on commence…
Un excellent moment à ne pas prendre au sérieux, puis la vie continue.
Précision qui a son importance : j'ai lu la version audio du livre, magnifiquement lue par Anne le Contour, qui parvient rien qu'avec les intonations de sa voix à donner aux personnages une réalité extraordinaire.

Je ne suis pas une grande adepte des livres de science fiction mais, je trouve souvent mon compte lorsqu'il s'agit de dystopie
Et ce dernier roman de l'auteur est une dystopie qui en nous parachutant dans les années 2050 après la 3eme guerre mondiale nous fait réfléchir sur la condition humaine ainsi que la science et ses dérives

Quand on sait que certains pays ne cadrent pas les mutations génétiques. Que nous réserve l'avenir.

L'auteur a su , sans ce livre mettre en évidence la nature humaine dans toute sa splendeur. Les guerres passent mais, on a toujours autant de mal à ne se servir de ces erreurs passées pour ne plus les reproduire.

Donc, j'ai passé un bon moment avec ce livre. J'ai aimé la façon dont l'auteur a dépeint ce nouveau moment même si je n'aimerais pas y vivre.

J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture de Bernard Werber.
Je me suis laissée happer par l'intrigue.
Ce livre nous fait réfléchir à un futur possible. Jusqu'où peut on aller au nom de la science, la technologie, le "vouloir mieux faire" ? L'Homme peut il et doit il toujours tout contrôler ?
Cette histoire ne laisse pas indifférent. A chaque chapitre, je me suis demandée : et moi? Que ferais je à la place d'Alice ?

J'ai adoré me plonger dans un possible avenir de la Terre et de l'humanité.
La destruction de notre présent m'a fait froid dans le dos car tellement réaliste. Ce futur possible est intrigant et laisse ouvert une porte vers un avenir différent.
J'ai aimé suivre ces hybrides, voir les relations qui arrivent ou non à se créer avec les Sapiens (nous les humains actuels).
Une suite ?