Le sixième sommeil

Juste trop bien, un de mes livres préférer, ce lieu de science fiction que crée Bernard Werber est tout a fait surprenant et le meilleur c'est que l'on se plonge directement dans cette univers fol chlorique du sommeil profond . bye

C'est le premier livre de Werber que j'ai lu... et sans doute le dernier !
J'ai éprouvé un ennui profond en lisant ce roman; le sujet m'a paru tout à fait artificiel; pas un seul instant je n'ai cru à ce que je lisais. En plus, certains faits sont complètement farfelus (la flèche qui sauve le héros).
Davantage encore, l'écriture m'a paru très négligée, c'est sans doute le plus grave !
Bilan: à éviter !

Parfois, Bernard Werber m'agace avec ses délires et, surtout, avec ses références à lui-même.
Ce roman est le meilleur de l'auteur depuis longtemps. Un peu dans le style des "Thanatonautes", dont le sujet est d'ailleurs assez proche.
A lire pour se réconcilier avec Bernard Werber qui fait preuve d'humilité et revient nous donner un réel plaisir de lecture.

Chronique de Platinegirl :

Quand j'ai appris que le Bernard Werber cru 2015 ne ferait pas partie de la saga Troisieme Humanité, je me suis empressée de l'ajouter à ma wish-list. En effet, comme je vous l'avais confié il y a quelques années, le premier tome de cette saga m'avait fortement déplu et j'attendais donc impatiemment que l'auteur - qui fait partie de mes préférés depuis une dizaine d'années - passe à autre chose. En plus, en ayant jeté (une fois n'est pas coutume) un oeil au résumé, je me doutais que le sixième sommeil me plairait. Et bien... pas tout à fait.

Si j'ai retrouvé avec plaisir la plume et le style scénaristique de Bernard Werber, j'ai eu du mal à rentrer dans cette lecture. En fait, les 150 premières pages (sur 400) se contentent de poser l'intrigue, très très très lentement. Certes, on apprend à connaître le héros (sans s'y attacher ni même l'apprécier), mais, pour peu que l'on ait lu la quatrième de couverture, on attend impatiemment que les choses bougent un peu. Ce manque d'action concerne quand même un tiers du roman, je vous avoue que cela a un peu plombé ma lecture, même par la suite. de plus, après tant d'années sans lire du BW, j'espérais retrouver des passages encyclopédiques entre les chapitres, ce qui aurait rendu ce premier tiers plus digeste...

Au final, si j'ai aimé les deux tiers finaux du Sixième sommeil, je ne vous conseille cette lecture que si vous avez bien en tête que l'histoire met vraiment des plombes à se mettre en place. Prenez votre temps. J'imagine que si j'avais été avertie de ce "petit soucis", je n'aurais pas cette mini-déception, cette mini-amertume en bouche. Dommage.


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On ne présente plus vraiment Bernard Werber. Je ne suis pas une grande fan mais j'aime beaucoup les idées développées par l'auteur (dans Les fourmis et Nous les Dieux par exemple). Récemment, une de mes amies m'a prêté son dernier roman en date. Il se trouve que j'ai travaillé sur le sujet et elle voulait avoir mon avis.

Ce roman de science-fiction (et j'insiste sur le terme) a pour thématique le sommeil, les informations sont très simplifiées mais elles ne sont pas fausses. En tout cas pour tout ce qui concerne les mécanismes du sommeil. Bernard Werber est plutôt doué pour la vulgarisation en règle générale et c'est une de ses grandes qualités. En revanche, et comme je l'ai dit c'est de la science-fiction. Autant le sommeil offre d'énormes possibilités (si on passe 1/3 de notre vie à dormir ce n'est pas pour rien!), autant tout ce que le petit Jacques réalise au début du roman est un peu exagéré.

On peut passer outre le style de l'auteur qui n'est pas extraordinaire. C'est un style simple pour expliquer des idées scientifiques et moi ça me plait. On peut aussi passer outre les personnages peu crédibles. La mère de Jacques en l'occurrence qui discute avec son jeune fils comme s'il était déjà diplômé de Harvard et lui qui bien entendu a une capacité d'analyse exceptionnelle pour son jeune âge. C'est possible mais disons que l'un dans l'autre, c'est un peu trop (surtout que ce ne sont pas les seuls éléments un peu poussifs).

La thématique du roman est originale et sa façon de l'exploiter intéressante. Je suis passionnée par le propos, mais je l'ai été un peu moins par le roman. Je m'attendais à mieux et ça aurait peut-être mieux fonctionné si j'étais complètement naïve sur le sujet. On passe un bon moment même s'il n'est pas forcément mémorable. Cela me pousse au moins à vouloir lire ses autres romans, notamment les Thanatonautes que l'on m'a vivement conseillé.
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J ai adoré "Le Sixième Sommeil" .Dès le début j ai été plonger dedans sans pouvoir faire une pause !!! Une pure merveille encore de Bernard WERBER.
Une toute petite déception cependant ; je trouve que certains passages (au moment des rencontres avec d autres personnages sont un peu baclées ).Il manque une touche de romantisme!
Sinon je le conseil vivement

L'histoire en quelques mots :

Le sixième sommeil est un roman en trois parties. Bernard Werber, dans ce livre veut démontrer les possibilités infinies liées au sommeil et à la connaissance dans ce domaine.

Dans la première partie, son personnage principal Jacques Klein est encore un jeune garçon dont les parents lui apprennent à maîtriser son sommeil, par des méthodes simples, que tout le monde peut réaliser. Ce Jacques Klein, grandie et s'intéresse de plus en plus à la recherche autour du sommeil, et suit sa mère dans sa quête du sixième sommeil ; un stade où tout les possibles sont réalisables et où l'on peut voyager dans le Temps...
Mais après un scandale monstrueux, sa mère disparait du jour au lendemain...
Jacques est bouleversé, et va tout faire pour retrouver sa mère jusqu'à se retrouver sur l'île des Senoïs, peuple qui est régi par le rêve.
Commence alors un apprentissage du sommeil dans toute sa complexité et sa fascination...


Les cordes sensibles :

Ce qu'il faut savoir lorsque l'on s'adonne à la lecture d'un roman de Bernard Werber, et qu'il a fait le choix d'avoir un style d'écriture qui soit le plus neutre possible afin de mettre en avant son histoire qui est réalisée grâce à d'intense recherches scientifiques. C'est d'ailleurs un des points que j'apprécie dans son travail, c'est que j'en apprend toujours davantage lorsque je lis ses livres, à conditions que le sujet me passione.

Et c'est vrai, que ce livre sur le sommeil m'a passioné, et m'a amené à essayer de maîtriser mon sommeil, à me rappeler de mes rêves... Et c'est bien là la motivation de l'auteur à écrire ses livres ! Il est dans une tradition plutôt chinoise et russe de la littérature où l'écrivain se donne pour mission d'éduquer le lecteur. Ceci n'est pas péjoratif, mais je trouve que l'intrigue en pâtit, malgrè tout et qu'elle manque de rebondissement. de plus, par moment celà m'a trop fait penser aux Thanatonautes, comme si l'auteur avait juste changer le sujet mais pas la forme...

Pour autant ce ne fût pas une mauvaise lecture, car ce que j'aime dans la façon d'écrire de l'auteur, est qu'elle est très imagée, même si il est critiqué pour le côté caricatural de ses personnages, cela ne me dérange pas, du moment où le "domaine de recherche" me plait.

Si le sujet du sommeil vous intéresse je vous conseille de vous plonger dans ce livre où vous pourrez en découvrir plus sur vous même...

Si vous cherchez une lecture détente, je vous conseille également ce roman qui est facile et rapide à lire.

Par contre, il ne faut pas s'attendre à de la grande prose parce que ce n'est pas là l'objectif de l'auteur.

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Je n'ai pas été conquise par cet opus notamment la deuxième partie, le retour en France me semble bâclée. Dommage. Je reste fan de l'auteur néanmoins et de ses idées toujours originales.

Chaque fois que je vois un nouveau roman de Bernard Werber, je l'achète tout de suite. C'est d'ailleurs le seul auteur pour lequel je me permets de faire cela, car je sais que, en général, je ne risque pas d'être déçue.

Nous faisons la connaissance de Jacques Klein, un homme pour le moins normal, mais dont la mère est assez atypique. Malgré ses rêves de vie banale au départ, il va se retrouver au sein d'une aventure extraordinaire liée au projet secret de sa mère une scientifique renommée, spécialiste du sommeil. Sa vie entière va basculer et une expérience hors du commun bouleversera sa vision même des choses, sa conception du sommeil, mais également de la vie et de la mort…

J'avais hâte de lire ce livre – comme tous les romans de Werber que je dévore à chaque fois – pourtant, j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. Assez rapidement, l'auteur nous plonge dans un très long flashback retraçant une grande partie de la vie du personnage principal. Je consens que certains détails ont une importance par la suite, mais j'ai trouvé cela un peu longuet et du coup je me suis ennuyée… Pour moi l'histoire devient réellement intéressante à partir du moment où Caroline disparaît et que Jacques se lance à sa poursuite, même s'il y a encore quelques temps morts.

Nous rencontrons au travers de ces pages, un peuple oublié de Malaisie. Ils ont une philosophie de la vie assez particulière puisque pour eux le temps passé à dormir est bien plus important que leurs activités lorsqu'ils sont réveillés…
Je dois avouer que même si c'était sympa de découvrir leurs étranges coutumes, je n'ai pas trouvé très crédible le fait qu'ils apprennent tout de notre technologie et nos langues aussi rapidement et aussi aisément. Ils n'avaient pas vraiment l'air mal à l'aise ni choqués par internet et compagnie.
Nous découvrons aussi certains aspects de la société, du pouvoir et de la justice qui sonnent fatalement vrai.

Ce que j'ai préféré dans ce roman, c'est ce qui se rapporte au projet secret de Caroline, cette fameuse sixième phase de sommeil. Même si, au final, on en parle très peu. J'ai tout de même appris énormément de choses en lisant ce livre, comme toujours lorsque je lis du Werber. C'est très appréciable.

En ce qui concerne les personnages, ils sont assez déroutants et étranges même parfois. Malheureusement, je n'ai pas ressenti de connexion avec eux et je suis donc restée simple spectatrice de leurs aventures.

Je ne peux pas dire que je n‘ai pas aimé ma lecture, c'était malgré tout une histoire intéressante, mais je n'ai pas apprécié autant que je l'aurais souhaité et j'étais même un peu déçue. Peut-être que je place la barre trop haut lorsqu'il s'agit d'un roman de Bernard Werber, mais en tout cas pour moi le Sixième Sommeil n'est pas ce qu'il a fait de mieux…


En résumé, même si le point de départ était bien pensé et la trame principale intéressante, je me suis ennuyée lors de cette lecture. J'avais de grandes attentes concernant ce roman et je suis tout de même un peu déçue malheureusement.

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Un livre sur le sommeil mais qui n'a rien de soporifique du tout. Bernard Weber nous livre tout un tas d'anecdotes sur le sommeil au travers d'une intrigue qui nous tient en haleine de la première à la dernière page. Un plaidoyer pour le monde des rêves qui est bien trop souvent mis de côté. Une ode au bien dormir pour bien vivre
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