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3,59

sur 968 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Inscrit comme étant le 4ème tome d'Uglies, mais en fait il s'agit d'une toute autre histoire. On peut la considérer comme une autre dérive de notre société. J'ai bien moins aimé que la trilogie qui a précédé ce tome. On est un peu perdus car on n'a aucun repère des tomes précédents et c'est assez déroutant.

Cela reste malgré tout un roman intéressant à lire lorsque l'on utilise son esprit critique et qu'on le met en parallèle avec notre société actuelle.
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Dernier tome de la saga ...
Ici l'action se déroule quelques années après les aventures de Tally en tant qu'Ugly, Pretty puis Special. Dans une autre ville. Avec un autre mode de fonctionnement.
Ce livre n'est pas inintéressant du tout, mais je n'ai pas vraiment accroché. La fin m'a semble précipitée en plus.
Bref je dois avouer que je suis contente d'en avoir terminé avec cette saga.
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Une suite toujours aussi bien ! Même si pour moi qui suis une "fan" (ce mot n'est pas assez fort mais je n'en vois pas d'autres...) de la culture nippone la façon de vivre d'Aya et de ses compatriotes n'est pas très approfondie. A par ce petit bémol j'ai beaucoup aimé ce volume, mais moins que les précédent car mon personnage préféré reste Tally et que le tome est essentiellement accès sur Aya-chan.
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J'ai bien aimé. Mais je suis un brin déçu par rapport aux trois premiers. L'histoire tourne autour des jeunes prêts à tout pour un peu de célébrité, comme on peut le voir maintenant dans notre monde actuelle, faire des vidéos sur youtube pour être reconnue, passer à la télé, aller dans des émissions de télé réalité, écrire des blogs etc. Tout est bon pour devenir célèbre. C'était assez écoeurant, et pourtant on est en pleins dedans. Si j'ai pas mal apprécié les personnages, Hiro le grand frère un peu snob, Ren le type sympa qui protège la petite soeur, Frizz le mec qui ne peut pas mentir, Jai/Kai/Lai qui veut absolument rester dans l'anonymat… Etc. Je n'ai pas aimé le personnage principal : Aya. Elle m'a vraiment énervé, comme si elle refusait toute évolution, elle est bouchée et bornée, j'ai eu envie de la baffer tout le long du bouquin. C'est je pense ce qui a participé au fait que j'aime moins ce tome. Tally m'a hyper manqué, heureusement on finit par la revoir, j'étais souuuuuuulagée, et David aussi, ihihi (rire très niais) ! Des fois j'avais envie de hurler en me disant « mais est ce que les gens n'apprendront jamais? » et j'ai été surprise par la fin que j'ai plutôt apprécié. Je pense que c'est plus un tome bonus, si on ne le lit pas, la série n'en est pas pour autant incomplète. C'était tout de même bien, et j'ai passé un bon moment (surtout que je l'ai lu super vite). Et vite fait un gros coup de gueule, mais cette fois-ci par rapport à l'édition et pas au livre en lui même. Il y a un paquet de mots qui sont collés entre eux et c'est hyper désagréables, ou des mots où il manque des lettres, et cela m'a VRAIMENT gonflé. Au prix des livres, j'aime bien ne pas trouver autant d'erreur à l'intérieur.
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Un final explosif pour une saga époustouflante. Tally n'est plus le personnage principal, mais la relève est assurée! Westerfeld fait encore preuve d'une imagination incroyable, et on n'a qu'une envie en refermant le bouquin : tous les relire depuis le début!
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Une très bonne surprise pour terminer la série Uglies. le thème de ce 4ème tome, pourtant publié en 2008 en France, est malheureusement des plus actuels : la célébrité sur les réseaux sociaux comme mode de vie ultime.

Les habitants de la ville japonaise d'Aya se côtoient en fonction de leur "rang facial". Les plus célèbres ont le respect et les appartements de luxe, sans même passer par la case argent, leur célébrité suffit pour tout obtenir. Mais attention à ne pas retomber dans le fond du classement quotidien... car les anonymes doivent "mériter" leurs maigres possessions, comment ... en aidant la communauté ou en étant assidus en cours. La lose donc !

Ce monde ressemble tellement à notre société baignée de téléréalité, de gloires éphémères, de partage d'intimité en ligne que le terme de dystopie n'est peut-être même plus adéquat. C'est devenu le quotidien des adolescents qui comptent les "like" dès le réveil.

Sans temps mort, il a été très facile à lire, avec des personnages et des situations plutôt drôles à imaginer. En espérant toutefois que ce ne soit pas un écrit prémonitoire...
Merci
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Je ne suis d'accord avec aucun des avis présent. Extras est un bon roman, dans la lignée des trois précédents.
Mais il ne faut surtout pas le prendre pour une suite !
L'histoire parle d'une autre cité (les premiers tome nous laissaient supposer qu'ils existait plusieurs cité-état avec chacune leur fonctionnement) avec d'autre personnages et d'autres codes.
D'ailleurs la présence de Tally, l'ancienne protagoniste, n'est à mon sens pas vraiment pertinente. C'est le seul bémol que je soulignerais.

Enfin bref, une bonne lecture. Je me suis facilement laissé porter par ce monde alternatif qu'a créé l'auteur. D'autant plus, qu'une certaine vérité sur notre propre futur est suggéré aux lecteurs.
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Depuis que la rebelle Tally Youngblood a renversé le système des des Pretties le monde connaît une véritable renaissance sous l'oeil de millions de caméras. La célébrité règne sur le monde. Mais quand on est une Extra comme Aya, une anonyme au rang facial (l'échelle de popularité) ridicule, la seule chance d'échapper à la médiocrité est de claquer (raconter) sur son blog une histoire inouïe et dangereuse. Et justement elle en tient une. Mais ses protagonistes veulent à tout prix rester dans l'ombre, donc anonymes.
On sait qu'Andy Warhol avait vu juste quand il a dit que tout le monde aujourd'hui voudrait son quart d'heure de célébrité. Les émissions de téléréalité et Facebook sont là pour nous le prouver. Et rien d'autre ne comptait, et si le rang social dépendait du rang facial. C'est le monde dystopique d'Aya qui nous tend son miroir. Que sommes-nous prêts à faire pour être célèbre ? Qu'est-ce que cette course à la célébrité et au divertissement cache-t-elle vraiment ?
Même si la fin alambiquée m'a moins convaincu (Tally n'est plus si charismatique), une bonne dystopie qui questionne sur notre monde.
Un quatrième opus de la série Uglies qui peut se lire sans avoir lu les précédents, comme un bon Spin-off.
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Le monde a bien changé dans ce dernier volume d'Uglies. 3 ans ont passé depuis que Tally a fait exploser la vérité et cette dernière est maintenant mondialement connu et incroyablement absente.
Pour combler ce manque, Scott Westerfeld nous permet de suivre l'histoire d'Aya, une Ugly lambda, si quelconque qu'elle est qualifié d'Extra, nouveau genre de personne pour une nouvelle loi de ville. Que la beauté face place à la renommé !

Ce qui m'a le plus perturbé dans ce tome, c'est les références japonaises en fait, face de manga, courbette de politesse, suffixe honorifique (san, sama, chan...). Je n'ai compris qu'à la fin que si l'histoire de Tally se passé dans l'ancienne Amérique, celle d'Aya se situe.... au Japon tout simplement. A part ça, rien de nouveau sous le soleil, une jeune fille qui veut faire ses preuves et entrer dans la cours des grands avant l'heure, se retrouve embarqué dans beaucoup plus grand que ce qu'elle n'avait escompté.
Néanmoins, le nouveau souffle de personnage rend la lecture très intéressante, bien que moins accrocheur que celle de Tally. On est monté trop haut et à présent nous revoilà sur le plancher des vaches.

Bien sur, pendant tout le récit, une seule question venait vraiment, est ce que Tally serait présente dans notre lecture ? Vous vous doutez bien que je ne vous le dirais pas !
Pour ce qui est de la fin, on retrouve un autre genre d'écriture cher à l'auteur, le space opéra. Ou tout du moins la genèse du genre, mais la encore je vous laisse le découvrir par vous même.

En bref, un tome 4 qui fait durer un peu plus l'expérience Ugly, très bien pensé et agréable à lire.
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J'ai trouvé ce livre plutôt bien même s'il y a plusieurs choses qui m'ont déçu. Comme le fait qu'il n'est pas indispensable, qu'on ne suit pas les même personnage principaux et que certains passages reprennent un peu les précédents volumes.

Il y a tous de même des choses qui m'ont plu et les personnages sont plutôt attachants.


Un livre que je conseil à ceux qui ne savent pas quoi lire et qui ont déjà lu les trois premiers.
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