AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,07

sur 594 notes

Critiques filtrées sur 3.0 étoiles  
Des mecs fous furieux qui s'entre tuent dans le désert d'Afrique du Sud à coups de Glock, de AK 47, de chais pas quoi encore 258H12 machin...Déjà, le name dropping sur les armes, ça m'énerve.
L'auteur se prend pour Tarantino, et Tarantino m'énerve. Avec ses mecs sur fond de western qui se canardent au ralenti.
Je n'ai pas très bien compris la morale de l'histoire : comme il y a eu un délit de fuite sur un parking et qu'une jeune fille est morte des suites de ses blessures, un policier justicier solitaire va partir décimer une dizaine de types dans une petite ville où, visiblement, la loi n'a que très peu d'importance. Certains de ces gars n'ayant pas fait grand chose de mal à part être des figurants sur la zone de combat, je ne comprend pas pourquoi leur vie a moins d'importance que celle de la fille du Cap...J'en déduis que notre héros, Turner, s'arrange bien avec sa conscience...
Essayons d'être claire : d'abord, c'est en Afrique du Sud, le pays le plus dangereux du monde, il paraît. Confirmé dans le roman : ça canarde à bout portant pour un oui pour un non. Ensuite, comme c'est l'Afrique du Sud, la société est très très très tendue. La violence est partout, et l'intérêt que vous porte la justice n'est pas la même selon votre couleur de peau. Donc une "fille des rues" qui meurt un soir suite à un accident de 4*4, tout le monde s'en fiche, sauf Turner le Desperado. Qui résout très vite l'enquête : le complice de l'écraseur a laissé son portable sur place avec les photos, les noms et tout. Trop easy. Vite, Turner prend son AK 47, et fonce dans le désert pour régler l'affaire. Il va devoir affronter la clique sans scrupule et sanguinaire d'une blonde richissime, dure comme le diamant avec son regard bleu acier et son mari Rambo barbu, qui extrait du manganèse d'un sol stérile et mortifère. Elle fera tout pour protéger son fils qui a écrasé la jeune fille mais qui ne le sait pas, il était trop bourré.
Voilà voilà. J'oublie la partie dans le désert, où Turner survit grâce à une méthode bien à lui...J'oublie aussi que c'est un maître du tai-chi, et qu'il vous tue d'un doigt, comme Ken le survivant...
Donc bon, ça se lit très vite et très bien, c'est très divertissant, mais, pour l'Afrique du Sud, la complexité des rapports sociaux, le poids de l'histoire, l'infection du racisme, tout ce que j'aurais aimé savoir de façon non caricaturale, à la Joyce Carol Oates dans Maudits ou ailleurs, on repassera. D'ailleurs l'auteur n'est pas un Sud Africain, et ça se sent. le désert est un décor pour son western tarantinien, rien de plus ; j'ajoute quelques clichés en noir et blanc et je mélange. Dommage. Je ne sais toujours rien sur l'Afrique du Sud, sauf le superficiel.
Je remercie Babelio et les éditions Sonatine pour cette lecture et les réflexions qu'elle m'a suggérées !
Commenter  J’apprécie          527
Direction le Cap, capitale de l'Afrique du Sud !
Son maquis unique, ses terres désertiques et arides...
Avec Turner, flic à la Criminelle, noir, fidèle à ses valeurs, refusant la corruption qui empoisonne son pays et empêche que justice soit faite lorsqu'une jeune sans logis est tuée accidentellement par un chauffard alcoolisé, fils d'une femme puissante qui règne sur les mines du Cap-Nord.

Turner, il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds.
C'est un peu le Walker Texas Ranger, le Chuck Norris de la région.
Rien, ni personne, ne l'impressionne.
La mort, il l'a déjà côtoyé dans le passé, elle ne lui fait pas peur.
Et s'il faut jouer de la gâchette ou pratiquer les arts martiaux, il n'hésitera pas.

La mort selon Turner, c'est un peu un western sud-africain !

Si vous cherchez une histoire au rythme effréné, soutenu, musclé, vous ne serez pas déçu...
L'action est au rendez-vous.
L'hémoglobine coule à flots !
Et là-dessus, il n'y a pas à dire, l'auteur maîtrise le sujet...
En bonne normande, j'ai plutôt bien apprécié les tripes à la mode de Willocks...

Mais bon, moi, les cow-boys des temps modernes...
bof bof...
Les justiciers, super-héros, surpuissants, imbattables, me laissent de marbre.
Dès qu'il y a un peu trop de poudres, de bagarres, de testostérone, de violence pour seul discours et de gros calibres, mon cerveau a tendance à saturer et déguerpir fissa.
Vraiment pas friande de ce genre...

Malgré cela, l'écriture, de Willocks, que je découvre avec ce titre, est agréable, dense et imagée. Elle nous embarque.
Les pages se tournent aisément, pris dans le tourbillon et le déchaînement des événements.
Des personnages forts, qui ne laissent pas insensibles.
Une histoire, un peu trop bodybuildée pour moi, mais son fond de désert et d'Histoire, bien actuelle, Sud-Africaine n'est pas inintéressante.

Une fois la dernière page tournée, juste envie de prendre une longue douche bien chaude et de me réjouir de mon existence paisible, en me disant qu'il m'aurait sans doute fallu une jauge de vie éternelle (comme dans les jeux vidéos) pour survivre à tout cela.

Je remercie Babelio et Sonatine, d'avoir pensé à moi pour découvrir ce roman en avant-première, grâce à une masse critique privilégiée.
Commenter  J’apprécie          450
Afrique du Sud.
Week-end au Cap… Enfin, si on veut, parce que les jeunes blancs qui sont là, encadrés par leurs accompagnateurs, gardes-du-corps, nounous aux muscles saillants et aux regards pénétrants, veulent des sensations fortes. Autant aller les chercher dans un township en avalant un tord-boyaux « maison » à 60°…
L'un de ces jeunes afrikaners, à la vue du portrait de Nelson Mandela, sort un flingue et tire sur la photo… Il est plus que temps de rentrer…
Au sortir de l'endroit, le jeune le Roux, fils d'une richissime propriétaire de mine, Margot le Roux, malgré son ébriété, décide de prendre le volant. le véhicule fait une embardée, une histoire de frein à main, et écrase une adolescente, paumée et déjà pas en très bon état, contre une benne à ordures. C'est son espèce de chaperon et « lover » de sa mère, ancien militaire britannique, qui prend les choses en main et décide qu'il est plus que temps de quitter cet endroit… Et la jeune fille ? … Quoi ? Cette paumée ? Cette gamine des rues ? Cette plus que probablement camée ? Cette moins-que-rien ? Cela vaut-il vraiment la peine de s'en occuper alors qu'elle pourrait ruiner le brillant avenir d'avocat du jeune le Roux ? Et puis, le Cap est probablement la ville au monde où se commettent le plus de crimes en temps de paix. Est-ce qu'une jeune clocharde famélique vaut la peine qu'on perde son temps à enquêter ? Allons ! Un peu de sérieux ! Dans un pays où la police est aussi corrompue, quelques billets, ou quelques pièces d'or devraient orienter l'enquête dans une direction qui convienne à tout le monde !
A tout le monde ? Vraiment ? Qu'en penserait la victime si elle était encore de ce monde ? Elle a mis une bonne demi-heure à agoniser, ses entrailles à l'air, se trainant vers un téléphone pour demander de l'aide…
Bref ! Tout le monde s'en fout de la gosse ! Tout le monde ? Hmm… Pas sûr ! L'adjudant Turner s'empare de l'enquête et il compte bien que justice soit rendue…

Critique :

Ceux parmi vous qui ont eu l'occasion de voir les westerns « spaghettis » ne seront nullement dépaysés par ce récit. L'essentiel de l'aventure se déroule dans le désert, celui du Kalahari, dont la signification à l'origine n'est autre que « grande soif ». C'est là que vit la famille le Roux. Madame le Roux a accompli des merveilles pour transformer ses terres désertiques en véritable mine d'or, même si ce n'est pas de l'or qu'on en extrait. Elle est aussi la bienfaitrice des bleds aux alentours. Elle fait vivre toute la région. Une femme très intelligente avec une force de caractère hors du commun. Sa seule faiblesse ? Son fils ! Il est beau, il est sportif, il est intelligent, mais il ignore ce qu'est le vrai monde ayant été toujours surprotégé par sa mère. Il se destine à devenir avocat… Son choix personnel ? Oh, que non ! Un choix décidé par sa mère… Lui, il aurait aimé étudier l'histoire de l'art… Malheureusement, ce garçon, très empreint d'un esprit de justice va commettre involontairement un homicide… que sa mère et ses hommes de confiance vont s'employer à lui cacher car, même involontaire, un homicide l'empêcherait de devenir avocat…
Le problème dans toute cette belle mécanique, le grain de sable qui vient s'ajouter à tous ceux du désert et qui va gripper toute la machinerie, s'appelle Turner. Un flic qui déteste la police ! Un mec qui ne comprend rien à l'intérêt qu'il y a à accepter les pots de vin ! Serait-ce un saint ou un crétin ? Il hait la corruption… Et son supérieur hiérarchique !
Turner est le genre balèze increvable. le type qui, abandonné dans le désert sans une goutte d'eau, trouve la solution pour ne pas crever, le gars qui connait le corps humain comme nul autre, et qui d'un petit coup bien ajusté, peut causer autant de dégâts qu'un tir à bout portant d'une mitrailleuse Gatling. Animé d'une soif de justice insatiable, on comprendra plus précisément pourquoi à la fin du récit, il peut affronter dix hommes à lui tout seul. Et pourtant, il n'aime pas tuer. Il ne le fait que contraint et forcé.

D'enquête policière, il n'y en a point ! C'est un thriller psychologique, où un super héros, seul (ou presque) contre tous, saura faire triompher la justice… La sienne ! Parce que l'autre, l'officielle, elle est aussi corrompue qu'une sardine exposée au soleil pendant une semaine à des températures moyennes de quarante degrés.

Je n'ai pas éprouvé un plaisir fou à la lecture de ce livre très apprécié et plébiscité par un large public. le côté « Il était une fois dans l'Ouest » a un aspect de déjà vu, surtout au cinéma. Il y a un petit intérêt à découvrir des bribes de l'histoire de l'Afrique du Sud et de l'apartheid qui y a sévi. J'ai détesté des passages très gores qui permettent à l'auteur d'étaler ses connaissances médicales. J'ai apprécié son style très fluide. Je lui reconnais une compétence certaine à décortiquer les pensées de ses personnages, ce qui lui permet d'éviter tout manichéisme contrairement à beaucoup d'auteurs américains. (Tim Willocks est un sujet de la couronne britannique).
Tout cela n'a pas suffi à classer parmi mes lectures préférées « La mort selon Turner ».
Commenter  J’apprécie          413
Décidément , j'ai du mal avec Willocks. J'avais adoré la Religion , ce grand roman historique à la Dumas, Je n'avais pas aimé les 12 enfants de Paris qui se complaisait dans les descriptions sanglantes jusqu'à la nausée. Et ici, je reste sur ma fin , largement. le héros nommé Turner est une sorte de justicier Robocop qui viendrait aisément à bout de la terre entière avec un arc à flèche sans les flèches. On ne tremble jamais pour lui, on sait que rien ne peu lui arriver Un petit geste et il terrasse le plus balaise des individus en lui touchant le point sensible "12" de la 13 ième vertèbre. Je force à peine le trait. C'est un Dieu vengeur qui débarque et je n'ai pas réussi à l'aimer, une machine donneuse de leçon.

Autre point où j'ai vraiment du mal, l'esprit tourmenté de l'écrivain qui se complait tellement dans la vengeance et le massacre. Il faut des morts et en grande quantité. Surtout ne décevez pas le héros du bouquin, le flic Turner, car le retour du boomerang sera très douloureux. Et cela doit saigner. le scénario était téléphoné, nous savions dès le départ que ce serait l'anéantissement. Il y a certes des descriptions d'auteur intéressantes et bien entendu , la plume de Willocks est unique en son genre. Il manie la métaphore avec dextérité et s'amuse dans toutes les directions décrivant un monde nihiliste, mauvais , sale, cupide, solitaire et répugnant. On peut s'y complaire mais on peut aussi regarder le soleil dans le ciel plutôt que la boue dans le caniveau. Je préfère observer l'astre que les entrailles puantes des égouts. Willocks emprunte ce chemin et semble s'y complaire. J'ai beaucoup aimé sa "Religion" mais ce troisième livre que je lis de lui signe sans doute le dernier.
Commenter  J’apprécie          110
Un peu déçu pas ce roman. Un scénario trop simple, trop de longueurs, la scène du désert interminable et trop peu crédible ... J'ai eu bien du mal à aller jusqu'au bout de ma lecture. Reste le charisme de Turner, sa droiture et son indéfectible soif de justice mais cela n'a pas été suffisant pour rendre ma lecture passionnante.
Commenter  J’apprécie          80
Tim Willocks est l'auteur d'un fabuleux roman historique, La Religion, chroniqué aussi. Mais il ne manque pas de souffle non plus dans le polar poisseux, version Afrique du Sud, pays considéré comme le plus violent du monde (le Mexique n'est pas mal non plus). C'est du brutal. Une jeune noire écrasée et laissée pour morte par une nuit d'ivresse dans un bled loin des grandes villes. Turner, officier de police mandé du Cap, déterminé. La première partie présente plusieurs personnages, peu regardants sur la morale et sur la vie des autres. Ca prend un peu de temps mais aucun n'est vraiment reluisant.

L'existence étant bon marché dans ce pays où la mort rôde non seulement dans les métropoles mais aussi dans chauqe coin du veld ou la moindre parcelle de désert, Turner va enquêter envers et contre tous. Et se retrouver dans une situation terrible et inédite que je vous laisse découvrir. Je n'avais jamais lu ça. Ca cartonne pas mal dans la dernière partie. Comme je ne suis pas membre de la NRA j'ai peiné aux descriptions techniques des nombreuses armes à feu utilisées que Tim Willocks maîtrise parfaitement. Comme il est lui-même médecin et psychiatre il décrit également et en détails le métabolisme des morts violentes, très violentes, et la psychologie des différents personnages.

Mais ce ballet morbide au coeur de la nation arc-en-ciel, rondement mené, m'a tenu en haleine jusqu'au bout, sans me donner forcément envie de visiter le pays. Un polar ancré dans cette Afrique différente, qui surfe aussi beaucoup sur l'hyperconnectivité que j'ai parfois du mal à suivre, mais qui réserve quelques surprises. Et encore une fois, sans dévoiler (c'est mieuxque spoiler, non?), j'ai assisté dans La mort selon Turner à quelque chose d'hallucinant.

Commenter  J’apprécie          70
Parti pour s'encainailler dans un township miteux du Cap, Dirk, un jeune homme ivre percute une jeune noire sans s'en rendre compte. Son beau-père Hennie et son meilleur ami Jason, un type paumé et fragile, ont assisté à la scène macabre et gardent le silence pour préserver le garçon
S'autochargeant de l'enquête, le révolté Turner, flic noir de la Criminelle, va tout faire (c'est le moins qu'on puisse dire) pour rendre justice à la misérable gamine. Grâce au portable de Jason que la défunte tenait dans sa main, l'implacable policier va remonter jusqu'à l'assassin malgré lui. Sur sa route, il va croiser l'impitoyable Margot le Roux, mère de Dirk et richissime propriétaire de mines dont le mode de vie « éco-durable » contraste avec la catastrophe humaine et environnementale de l'exploitation des ressources de la terre. Quel cynisme !
Sa quête va déclencher une avalanche de cadavres et des confrontations bien « testotéronées » et le protagoniste le plus pourvu en hormones n'est pas forcément celui auquel on pense.
Sur fond d'une société profondément inégalitaire dans laquelle la suppression de l'apartheid n'a pas effacé le racisme et les discriminations, Tim Willocks, avec le sens de la démesure qui le caractérise (cf. « La religion »), a élaboré un récit efficace et visuel qui s'interroge sur la justice. Jusqu'où peut-on aller pour la rendre ? Peut-on tuer en son nom ? Il nous livre aussi un guide survie en milieu très hostile à la manière d'un « Manuel des castors juniors » version trash. Beurk.

EXTRAITS
- La mort, c'est notre sport national.
- Alors pourquoi est-ce que toute cette justice me semble puer le mal ?
Lien : http://papivore.net/litterat..
Commenter  J’apprécie          50
Afrique du sud. le Cap.
Sortie de bar.
Dirk, jeune blanc bourré, bien bourré, percute une jeune femme noire avec sa bagnole, sans s'en rendre compte.
Meeeerte.
Une carrière prometteuse foutue à cause de cet accident !?
Tout le monde s'en tape de cette fille... Nan !?
Son beau-père et son pote bodybuildé décident de ne rien lui dire, pour le préserver.
La mère de Dirk, Margot Leroux (pas la chicorée hein) est riche. Une mère louve & puissante dans un pays corrompu.
Son fils n'ira pas en prison. Ça c'est sûr. Affaire réglée.
Mais c'était sans compter sur Turner, flic noir à la Crim'. Ce dernier va tout faire pour rendre justice à cette gamine.

▪&#xNaN▪

Comment dire, Minou .... ENFIN FINiiiii.
Putain de sa mère. Je n'en pouvais plus.
Voilà. C'est dit. 🙄 Piiiiiouf.

[QCow-boy dingue du bang bang du flingue
De l'arme, du cheval et de quoi faire la bringue
Poursuivi par Smith & Wesson
Colt, Derringer, Winchester & Remington
Il erre dans les plaines, fier, solitaire
Son cheval est son partenaire]
[ MC SOLAAR. ocazou]

Oéééé Minou.
bienvenue dans Un western Moderne.

Alors un conseil, bois un grand verre d'eau et remets-toi un coup de déo.
50 degrés. le soleil qui cogne.
Ca sent la transpi, le sel & la testostérone.
[Yo. Ça rime. 'tain]

Une histoire express : sur 3 jours.
Dimanche-lundi-mardi. C'est du concentré ici, tu vas voir.
C'est même TROP.
Oui, voilà, TROP. C'est le mot pour qualifier cette histoire.
Ou comment le décès d'une pauvre gamine clodo va mettre le feu aux poudres (c'est pas peu dire).

Au début, ca allait.
Welcome in South Africa. Les méchants riches blancs VS le flic black. Un peu cliché mais bon. Ok.
Une Histoire simple MAIS une action disproportionnée. Man dieuuuuu.
TROP. On y revient.
Ya pas un chapitre (ou presque) où ya pas un mec qui dégaine un gun.
Ça canarde dans tous les coins et dans tous les sens. Non stop.

Ah oui, pis Je te présente TURNER, un flic qui sort de l'ordinaire. Un justicier. Un idéaliste prêt à tout pour que justice soit rendue.
Et pour ça, NO LIMIT.
Il fonce le gars. Pas question de TURNER en rond (ahah).
Mode rien à foutre. Et du coup, il va devenir l'homme à abattre. Encore et toujours... C'est TROP.
TURNER c'est aussi le Mac gyver noir.
tutto du jour : comment faire un pack de cristalline avec un cadavre dans le désert.
AH SYMPaaaaa.
J'avoue, c'est LA scène MÉMORABLE du livre et LE " temps calme" aussi : Pas de flingue pendant plusieurs pages didon.
Savouuuure Minou.
Mais c'était la pause, ça reprendra de plus belle. Encore. Rhooo naaaan. TROP.
Trop. Trop. Trop.

Pour le style dans l'écriture, rien à dire. le livre se lit même assez vite.
Mais l'effet GUN exagéré à mort, m'a gâchée la lecture.
Je n'ai aimé aucun personnage aussi, vu qu'ils sont tous des titilleurs de gâchette. FATIGUANT.
"GAHHH Yé où mon flingue !?!"

Mais sinon à part vous tirer dessus...!!? 👀

▪&#xNaN▪

Bref, tu l'auras compris, Minou, je n'ai pas accroché. le livre a beaucoup de commentaires élogieux .
Soit. Pour moi c'était bof bof.
Avec Tim Willocks on ne s'est pas trouvé.
Rdv raté. DÉÇUE.

Mon ressenti : un livre de mec pour mec. (cliché. J'assume.)
Si tu aimes les guns, les fusils, et jouer au gentil flic qui doit tuer touuuuuuus les méchants.
Fonce !!

[Bang bang, he shot me down
Bang bang, I hit the ground
Bang bang, that awful sound
Bang bang, my baby shot me down… ]

Jamais mis autant de paroles de chansons didon.
Allez. Zou.
>>> NEXT 😎

* A TANTÔT ~ BISOUS LES MINOUS *
Commenter  J’apprécie          40
un livre qui vous emporte à un train d'enfer dans la ville du Cap entre autres, chaleur, vie grouillante, corruption et quand l'inspecteur Turner veut résoudre le mystère de la mort d'une vagabonde, le sang va couler à flot. Alors, je vais me faire huer, mais je pense quand même que c'est un livre qui plaira davantage aux hommes parce que s'il y a une femme forte dans ce livre, presque la "mama", il y a surtout des hommes bodybuildés, amoureux, toxicos, tous violents et qui n'ont rien à perdre ce qui fait un mélange très... vermillon. le personnage de Turner, flic noir aux yeux vert, au sang froid de serpent est pourtant attachant de par son besoin de justice, qui passe quand même par un nombre de morts violentes époustouflantes qui ont fini par me lasser et c'est dommage car l'écriture fait que l'on ne lâche pas ce livre mais j'en suis ressortie écoeurée et presque sourde d'avoir entendu tant de bagarres et de coups de feu.
Commenter  J’apprécie          40
Quitte à tout prendre, je préfère de loin les enquêtes ou le personnage est décrit par le menu dans sa psychologie, ou l'ambiance remplace les faits et où je n'ai pas moûltes détails sur la façon dont un cadavre peut vous sauver dans le désert !
Prise par le suspens et le rythme, j'ai lu ce polar avec avidité, mais pas tout à fait avec plaisir.
Il y a de forte chance pour que cet inspecteur Turner soit le héros d'autres histoires, il a les failles pour devenir un homme désabusé par les hommes.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (1210) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2873 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}