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Très belle BD ! C'est l'image de la couverture qui m'a décidée à l'emprunter. Les traits sont très réalistes pour les avions, très détaillés. C'est la première guerre mondiale, Henri est pilote, il fait partie de l'escadrille des cigognes. le combat n'est pas seulement dans les tranchées mais aussi dans les airs où pilotes français et allemands s'affrontent. Pour moi qui ai le vertige dès un ou deux mètres de hauteur, je dois dire que c'est très impressionnant de suivre les avions s'attaquer. Les atterrissages réussis, ou en partie, aussi... quand on voit les pilotes ressortir indemnes de l'habitacle de l'appareil. L'histoire tourne aussi autour de la relation entre les deux frères et de jolie Valentine, femme d'Alphonse. Il reste encore beaucoup de mystères, qui est cet allemand qui pilote l'Edelweiss ? D'autres personnages apparaissent aussi et laissent des questions sans réponse. En attente du second tome pour dénouer quelques noeuds !
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Premiere guerre mondiale. Alphonse et Henri sont deux frères jumeaux qui combattent sous les drapeau, l'un comme conducteur de char dans la boue des tranchées, l'autre comme pilote de l'escadrille des cigognes.

Une bande dessinée qui démarre de manière classique. Une histoire de jumeau ca promet des secrets de famille, des problèmes identitaires... on s'aperçoit vite que Alphonse est un homme timide, attentionné, un brin nigaud mais bien bien attachant que son frère bourreau des coeur irrespectueux au profil parfaitement antipathique. Donc un même physique pour deux caractères bien différents.
Des premiers mystères s'installent : la peur de Henri face au pilote à l'edelweiss, la radiation d'Alphonse de l'aviation.
Le dessin est très joli, tres fin, tres précis.
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Ce n'est pas le genre de dessins que j'affectionne en général dans le domaine de la bande dessinée, cet aspect très léché, presque photographique m'a gêné dans ma lecture, je trouvais qu'il ne s'accordait pas au thème, c'est trop lisse, trop “beau”, trop doux. Les personnages non plus ne m'ont pas plus, les deux jumeaux sont trop caricaturaux dans leur différences. Mais ce qui m'a dérangé le plus, c'est qu'entre les flashbacks, les personnages qui se ressemblent trop (pas que les jumeaux) je me suis souvent perdu dans le récit. Et puis l'aventure de guerre dans le genre “têtes brûlées”, je le trouve assez mal placé pour parler de cette guerre. La lutte entre le pilote allemand et le pilote français a un côté Western Spaghetti. Je ne suis pas du tout emballé par cette bande dessinée, mais pas au point de ne pas ouvrir les tomes suivants.
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Où l'on découvre (enfin, on s'en doutait) que Romain Hugault n'est pas bon que pour dessiner des avions et des pin up. Et qu'en matière d'avions, il est décidément à l'aise avec tous, que ce soient les zingues de l'aéropostale, les avions de voltige, les avions de combat de la seconde ou de la première guerre mondiale, tous sont reproduits avec une fidélité millimétrée, et il a même réussi à m'apprendre des trucs que j'ignorais encore, par exemple sur la manière dont se prenaient les pilotes pour abattre un drachen (ballon d'observation allemand)... Passionnant.
Je serai un peu moins dithyrambique sur le scénariste. Je ne peux pas encore juger le scénario qui n'en est encore qu'à ses prémices (deux autres volumes suivent)... D'ailleurs tout ce qu'on saura de l'intrigue figure déjà sur la quatrième de couverture, ce qui fait qu'on peut se poser la question de l'intérêt de lire les 48 pages. Cela dit, ce n'est pas inutile, car cela m'a permis de vérifier a posteriori que je ne m'étais pas trompé dans mes interprétations, tant j'ai fini la lecture de ce tome dans l'incertitude à plus d'un titre. Il est vrai que deux jumeaux, ça se ressemble, ce qui augmente les risques de confusion, mais il n'y a pas que ça. J'ai relevé bien d'autres choses qui m'ont fait tiquer, comme par exemple quand le pilote dit à son chef en tête à tête qu'il n'a pas envie de déposer un espion derrière les lignes boches, qu'il préfère encore se faire tuer en combat aérien... avant de se porter aussitôt volontaire pour la mission dont il ne voulait pas, juste après, au cours du briefing avec ses collègues de l'escadrille...
En conclusion, je suis encore une fois emballé par le dessin de Hugault, mais un peu sceptique sur le scénario, même s'il faudra attendre de lire la suite pour se faire un avis définitif.
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Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu une bd dessinée par Romain Hugault. Il faut dire que j'avais déjà apprécié le Dernier Envol ainsi que le diptyque Au-delà des nuages sur le même thème des pilotes d'aviation. On se retrouve pour une histoire se passant en 1917, c'est à dire en pleine Première Guerre Mondiale.

Il y a un certain Erik qui descend tous les appareils aux ailes tricolores et qui rappelle le célèbre baron rouge Manfred von Richthofen. du coup, notre héros qui lui fait face se révèle un vrai poltron. Pour autant, on va suivre ses aventures car il y a toujours de la passion au-delà des batailles aériennes. C'est ce mélange que j'aime bien. Bref, l'alliance parfaite entre beaux fuselages et belles femmes au septième ciel. On ne boudera pas notre plaisir.
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Une BD très classique autour de la guerre 14-18 et du destin croisé de deux frères. Henri Castillac est pilote de chasse, auréolé du prestige de piloter une Cigogne tricolore. Alphonse Castillac fut un pilote de chasse, ramené au rang de "piéton" dans les chars d'assaut.

En face d'Henri, un Allemand a décoré son Albatros d'un Edelweiss. A chaque apparition de ce pilote, Henri est figé de peur, préférant souvent fuir le combat qu'affronter son ennemi.

Tout semble remonter à un événement sur le Pont de l'Alma lors des crues de Paris en 1910. Alphonse est amoureux de Valentine, celle du titre, il est un peu timoré face à son frère qui brille et multiplie les conquêtes et les débordements à coups de champagne. On perçoit rapidement le gouffre qui oppose les jumeaux Castillac.

Yann fait progresser le récit de manière très très très lente (se reposant sur le dessin de Hugault). Finalement, peu de choses à se mettre sous la dent dans ce premier tome. C'est assez prévisible, attendu et peu inspiré. le dessin, par contre, est techniquement léché et précis. C'est la bonne nouvelle de cette trilogie. Romain Hugault rend très bien les duels aériens, les virevoltes, les figures... Il me rappelle Liliane et Fred Funcken dont je dévorais les tomes étant enfant. le seul hic dans le dessin est le nombre de cases par planches. Afin de rendre l'ampleur des combats aériens, les auteurs placent peu de cases par planches. Résultat: le tome est vite lu (d'autant plus vite que le scénario est limpide, incluant peu de personnages).
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J'ai emprunté les 3 tomes de la série aujourd'hui.
Je les ai posé bien dans l'ordre en arrivant à la maison.
Je lis le premier tome, je suis un peu perdue... et quand je le referme je regarde la couverture, et là je vois T3 !!!!
Je comprends mieux pourquoi j'étais perdue dans ma lecture, donc je reprends le tome 1 et pour le coup, cette lecture est un peu gâchée par ce que je sais déjà de la suite.
Par contre, je trouve les dessins grandioses.
Et on fait dans cet album le tour de la guerre : les tranchées, les combats aériens et la vie parisienne un peu folle.
Malgré mon erreur de sens de lecture, je ne suis pas déçue : il reste tout de même une part d'inconnue à découvrir, pour savoir ce qu'il a bien pu se passer entre le gentil et le méchant jumeau, parce qu'au final j'ai l'impression que la guerre n'est qu'un prétexte.
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Ce qui est embêtant avec une bibliothèque c'est qu'il est plutôt rare de pouvoir emprunter une série en entier. Là c'est encore le cas.

L'action se déroule en pleine Première guerre mondiale, événement historique qui semble un peu délaissé par la BD. Alors on retrouve les représentations des boucheries des tranchées, la symbolique chevaleresque qui accompagnait les pilotes, la fascination qu'ils exerçaient sur les troupes au sol.

Comme toujours pour les BD illustrées par Romain Hugault, on a droit a une représentation minutieuse des avions. A la rigueur les avions présents sont presque aussi importants que les personnages. En tous cas ils sont caractéristiques, pas comme les personnages mis en scène. A chaque série j'ai l'impression que les personnages sont faits sur le même modèle et qu'il n'y a pas grand chose qui les distingue entre eux.
Lien : http://lecturesdechiwi.wordp..
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1917, la première guerre mondiale se déroule aussi dans les airs. Côté allemand, un pilote doué a décoré son avion d'une edelweiss. Il sème la mort chez ses ennemis, gagnant duels sur duels. Côté français, dans l'escadrille des cigognes, Henri Castillac, pourtant un grand pilote, semble perdre ses moyens face à cet ennemi. Pendant ce temps son frère jumeau Alphonse, radié de l'armée de l'air, se bat en dirigeant un des premiers tanks, tout en rêvant de ses retrouvailles avec son aimée Valentine.
Une BD classique dans sa forme, portée par de superbes dessins de biplans. le première guerre mondiale est évoquée autant par ces seigneurs que sont les premiers aviateurs (sans parachute côté français, comme ça l'état major est sûr qu'ils vont aller au bout), que par l'enfer des tranchées. du bel ouvrage, instructif.
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Je ne suis pas fan de BD, ou de livres en général, ayant pour contexte les guerres mondiales. D'ailleurs la plupart du temps ça me rebute. On a trop été innondé (surtout pour la deuxième qui encore aujourd'hui est source d'inspiration). Comme d'habitude j'ai suivi les conseils de ma soeur et de mon père et j'ai été attirée par les magnifiques dessins tellement précis qu'on pourrait parfois croire à des photos.
J'avoue bien volontiers que parfois ça fait du bien de faire une exception. Cette BD se laisse lire. Et contrairement à ce qu'on pourrait s'attendre ce n'est pas un énième récit glauque sur la guerre. Non il s'agit d'une histoire de frères et aussi de femmes, de secrets. Evidemment le tout saupoudré par quelques batailles avec notamment une compétition entre deux as du pilotage.
A la fin je reste quand même avec beaucoup d'interrogations. Ah vouloir tout savoir tout de suite ! Heureusement les deux autres tomes n'attendent que je les lise.
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