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Après une première lecture n'ayant laissé que très peu de traces dans ma mémoire, j'ai du relire une deuxième fois pour être capable d'aviser cette BD. Une histoire traitant de l'engagement politique, sur fond de surréalisme et d'histoire d'amour, ça ne pouvait que me parler !

Eh bien non. Trop gentil, trop simpliste, trop convenu, le récit ne m'a pas du tout porté. Et pourtant, je suis conscient de ses qualités. C'est simplement trop simpliste à mes yeux, niveau engagement politique, trop convenu dans le déroulé (notamment la fin), et trop gentil dans le message et le propos.
On peut voir là le reflet de mes attentes et mes projections quant à l'engagement politique, mais c'est trop rapidement passé dans l'oeuvre pour que je le ressente vraiment. D'autre part, l'idée de la Quincaillerie et de son rassemblement passe assez vite au second plan, ce qui est dommage. L'engagement collectif a toujours plus de valeur que l'individuel, à mes yeux, et je suis déçu que le récit explore l'intime dans ce genre de situation. Il y aurait eu beaucoup à dire, pour une telle idée.

Le dessin est très joli et a une atmosphère quelque peu mélancolique qui m'attire bien. J'ai bien envie de lire d'autres oeuvres du dessinateur, dont j'ai déjà découvert l'excellent Les Larmes du Seigneur Afghan. C'est surtout ce dessin que j'ai retenu dans mes souvenirs d'ailleurs.

Bref, une légère déconvenue pour ma part. le récit ne m'a pas emballé et j'ai trouvé le tout flirtant bien trop avec le roman intimiste par rapport au propos politique derrière, qui m'aurait intéressé comme plus développé et mis en avant. Pas mon genre, en somme.
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Brad Pitt, quand il est là, il n'a pas l'air de s'excuser.
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Ce tome contient une histoire complète indépendante de toute autre. Sa première publication date de 2020. Vincent Zabus en a écrit le scénario, Thomas Campi en a réalisé les dessins et la mise en couleurs. Ces deux auteurs avaient déjà collaboré auparavant, par exemple pour Magritte : Ceci n'est pas une biographie (2016) et ont à nouveau collaboré ensemble par la suite pour Autopsie d'un imposteur (2021). Ce tome se termine avec un cahier graphique de cinq pages, et une postface d'une page, écrite par Paul Hermant, investi en permanence dans la vie citoyenne et culturelle belge, un des concepteurs et animateurs de la Quincaillerie dont parle cet album.

Dans une rue de Bruxelles, Arthur se promène en se parlant à lui-même. Il s'exhorte à se calmer. Il sait bien que ce n'est rien, mais il ne s'empêcher de s'angoisser : il se gâche la vie tout seul. Il fait l'effort conscient de se concentrer sur sa respiration, en se répétant qu'il n'a rien Il se tourne vers le lecteur et se présente : il s'appelle Arthur, et la scène se passe fin 2016 à Bruxelles. C'est ici que son histoire débute, un peu mal d'ailleurs parce qu'il a une étrange sensation dans les mains, comme un étrange picotement. Ça l'inquiète. Exactement le type de situation où son cerveau s'emballe et se focalise sur un scénario catastrophe, un symptôme insignifiant qui cache un truc gravissime. Là, c'est dans les mains. Dans la devanture d'un magasin, un poste de télé, avec le son à un volume élevé, diffuse les informations : si Clinton reste favorite des sondages, Trump pourrait créer la surprise. Même si une Amérique dirigée par Donal Trump paraît totalement inimaginable… Arthur continue : dans quelques minutes, un événement va radicalement changer sa vie, mais, ça, il l'ignore encore. Ça a un lien avec l'ombre de dinosaure projetée sur le mur derrière lui.

Arthur est enfin rentré dans son appartement où il peut commencer à se détendre : il stresse pour rien comme à chaque fois. Il continue d'expliquer au bénéfice du lecteur ; sur l'écran de sa télé, c'est Vertigo d'Alfred Hitchcock. Il l'a mis sur pause, juste avant son moment préféré, quand James Stewart habille et coiffe Kim Novak de manière à la rendre semblable à la femme qu'il aimait. Il regarde beaucoup de films pour se distraire de ses angoisses. D'aussi loin qu'il se souvienne, il a toujours été inquiet pour sa santé. Une version enfant de lui-même entre dans le salon en s'excusant, mais il a mal là, juste au coeur, et puis il voit moins bien d'un oeil. Arthur adulte le rassure : vingt ans plus tard ils sont toujours là, bien vivants. Vivant, mais inquiet. Il remarque que son ordinateur est allumé : il ne peut pas résister à la tentation de chercher sur internet à quoi peuvent correspondre ses symptômes. Après avoir lu, il se demande pourquoi il a fait ça : son médecin lui avant bien dit de ne jamais aller sur internet. Il finit par décider de sortir pour marcher et se calmer. Une grosse branche d'arbre manque de lui tomber dessus. Il s'assoit par terre pour se remettre de ses émotions, et Sandrine, une jeune femme, l'aborde pour s'assurer que tout va bien, et lui demande de la suivre.

Une ouverture originale avec cette ombre de tyrannosaure ou de Godzilla dans le ciel de la première case, un personnage qui se présente en s'adressant directement au lecteur, un récit avec un marqueur temporel très précis (la première campagne électorale de Donald J. Trump), une version enfant d'Arthur qui vient s'adresser à lui, ses mains qui se détachent de son corps pour tomber par terre, la rencontre providentielle avec une belle jeune femme, un récit entre conte et tranche de vie. le lecteur n'en est que plus intrigué s'il a lu les huit courtes lignes du texte de la quatrième de couverture, ou la postface sur la réouverture d'une quincaillerie ixelloise, lieu de rassemblement éphémère associatif et militant bruxellois, pendant quelques mois d'existence, entre les négociations sur la dette grecque et les élections espagnoles, en passant par la COP 21 de Paris, un lieu d'ouverture aux débats agitant l'Europe. La narration visuelle génère un fort capital de sympathie avec des traits de contour fins et précis sans être stricts ou durs, et une mise en couleurs avec des nuances douces apportant de nombreux détails et une forte consistance à chaque élément visuel.

Le lecteur se rend vite compte que cette bande dessinée se lit toute seule : les dialogues ressortent comme naturels et justes, agréables sans êtres mièvres, intéressants avec un équilibre rare entre émotion et information. La narration visuelle révèle exactement les mêmes qualités, comme si scénario et dessins étaient l'oeuvre d'un auteur complet. le lecteur se retrouve vite à mi-parcours, sans l'impression d'avoir dévoré chaque planche en oubliant de les savourer, ou d'avoir couru un marathon ayant nécessité un effort intellectuel ardu. Il a fait connaissance avec Arthur, jeune homme sympathique et sans prétention, mal dans sa peau à cause d'une hypocondrie caractérisée, sans être asocial ou aigri pour autant. Les dessins mettent en scène individu normal, un peu timoré, ce qui se voit dans ses gestes parfois mal assurés, ses expressions de visage douces et un peu timides, précautionneuses, sa façon à lui de s'étonner quand il ose quelque chose qu'il estime être risqué et qu'il n'a jamais fait. Une audace toute relative, une confiance en soi mise à rude épreuve quand il doit mentir effrontément à un policier en uniforme, Arthur ayant pleine conscience de sa situation illégale. Par comparaison, Sandrine, la jeune femme qui l'aborde, apparaît plus fantasque, plus prompte à agir sous l'impulsion d'une émotion, avec des gestes plus vifs et plus assurées, et mimiques enjouées ou mutines selon les circonstances.

Le lecteur se retrouve vite dépaysé par la narration visuelle, alors que toute l'histoire se situe dans un unique quartier de Bruxelles. Il y a évidemment des scènes d'extérieur et d'autres d'intérieur. Les premières permettent de se balader à pied en regardant les façades, l'urbanisme du quartier, mais aussi un arbre sur une placette, d'autres rues aux trottoirs plantés, un pont dont une culée a été comme griffée par un monstre géant, un jardin public, la façade du parlement fédéral De Belgique. Il suit Arthur dans son appartement avec son aménagement, dans la Quincaillerie nouvellement réouverte avec ses meubles aux innombrables tiroirs, dans un café de quartier, dans l'appartement de Sandrine à la décoration beaucoup plus sage que prévue, et, de manière plus inattendue, dans une chambre d'hôpital. L'artiste sait doser avec justesse le nombre d'éléments visuels et le niveau de détails dans lequel ils sont représentés, ainsi que l'ambiance lumineuse qu'il établit avec des palettes de couleurs adaptées à chaque scène.

Arthur fait donc la connaissance de Sandrine, une activiste qui l'entraîne dans son sillage, l'obligeant à s'aventurer loin de sa zone de confort, mais en fait de sa zone d'inconfort d'hypocondriaque. Pour autant, le lecteur ne plonge pas dans un ouvrage avec un message à marteler, ni un pamphlet. Il n'est même pas question de théorie du complot. L'objectif de Sandrine relève d'une nature différente. Elle commence par faire remarquer à Arthur qu'il vit dans une illusion : on ne maîtrise jamais rien, le plus simple est de l'accepter tout de suite, parce que le combat est inutile. Son objectif est de réveiller les consciences. En amenant les gens à se poser des questions. C'est là qu'intervient l'ombre du dinosaure ou du kaiju apparaissant dans le ciel de la première case. En fonction de ses convictions, le lecteur peut apprécier de ne pas être soumis à l'exposé d'une doctrine, ou trouver que dénoncer ne suffit pas. Pour autant, il ne ressort pas frustré de sa lecture. Il referme l'ouvrage fort ému par le devenir des deux personnages principaux, et complètement convaincu par la nécessité de faire preuve d'un esprit critique. Il se dit qu'en fait les auteurs ont pris sciemment le parti de ne pas proposer d'alternative à l'état et au fonctionnement du monde tel qu'il est, s'en tenant à la volonté de montrer qu'il est possible de ne pas se conformer à la pensée dominante, de faire valoir ses valeurs, d'agir en cohérence avec elles, de trouver, d'intégrer et de participer à un effort collectif d'un groupe qui pense différemment, qui ne se résigne pas à l'hypocrisie généralisée des discours officiels.

L'éveil : un terme qui peut sembler bien opportuniste en 2020 pour surfer sur un courant de pensée dit Woke. S'il n'a pas d'a priori de ce type, le lecteur fait connaissance avec un jeune homme timoré, bien sympathique dans ses inquiétudes, un peu agaçant dans ses hésitations apeurées, et avec une jeune femme qui semble un peu délurée. Les deux créateurs s'avèrent des conteurs d'une épatants par leur discrétion et l'évidence des dialogues et de la narration savoureuse sans être exubérante. Il découvre la communauté très lâche qui s'est formée autour de la réouverture d'un bâtiment ayant abrité une quincaillerie à l'ancienne, dans un local à la forte personnalité, tout en s'interrogeant sur les traces du passage d'un monstre géant qui laisse son empreinte sur la ville. Il se laisse surprendre par une activité inattendue d'Arthur, et par la manière dont sa maladresse apporte une forme de réconfort à une malade. Il ressort ragaillardie de sa lecture, non pas avec des étoiles dans les yeux et la promesse de jours meilleurs, mais avec la conviction qu'il peut agir dans ce monde, et contribuer à l'améliorer.
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Arthur est un jeune homme hypocondriaque à qui il n'arrive que des catastrophes ! La preuve, pendant qu'il se baladait dans les rues de Bruxelles, une énorme branche s'est détachée d'un arbre et a failli l'assommer. On dirait que cette dernière été mangée par un énorme animal… Pendant qu'il se livre à ses réflexions, une jeune femme, Sandrine, artiste de Street Art, arrive et l'entraîne dans une ancienne quincaillerie transformée en un lieu d'échanges. Elle va le bousculer dans ses habitudes, l'entraîner dans son projet.

Cet album, décrit comme une fable moderne, a eu du mal à emporter mon adhésion. J'avoue n'avoir que très peu accroché à ce scénario même si le message passé est important. Tant pis !
Lien : https://promenadesculturelle..
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De prime abord, j'ai été séduit par les graphismes, qui me disaient que j'allais passer un bon moment, ne sachant pas du tout quelle était l'histoire, même en quelques mots.

Et donc, je ne vais pas répéter ce résumé de ce livre. Par contre on a ici des personnages très attachants par leurs particularités. le personnage principal est rempli d'anxiété et ça donne un climat qui peut sembler lourd au début. Mais finalement on part sur de l'engagement et réflexion sociale.

C'est pertinent, un peu décalé, on réfléchit, on admire, on se questionne. C'est parfois très doux, tendre .. voire même … non je n'en dirai pas plus.

J'ai bien apprécié cette lecture en tous cas.
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Cet album redonne vie à " La quincaillerie ", un lieu investi de septembre 2015 à janvier 2016 par une bien sympathique bande d'acteurs et actrices à Bruxelles, dans la volonté d'agir contre les politiques d 'austérité . Ce lieu a aussi accueilli plus de 70 associations, en en faisant un véritable creuset culturel qui reste aujourd'hui un lieu mythique à Bruxelles.
Vincent Zabus et Thomas Campi racontent cette belle aventure,non pas par un récit historique mais par le biais d'une fiction qui mêle humour et amour,peurs et réalités, la vie et la mort.
L'histoire s' incarne sous les traits d'un jeune homme dont la vie bien terne est minée par les angoisses qu'il trimballe depuis l'enfance et font de lui un hypocondriaque ridicule mais touchant. le hasard de la vie va lui offrir la chance de vivre vraiment par la rencontre avec Sandrine, une jeune militante qui n' a pas froid aux yeux et l'entraîne dans le tourbillons de ses convictions et de ses désirs afin d'éveiller les consciences.
Le graphisme de Th. Campi que j'avais découvert avec " Macaroni" ,continue ici de me charmer. Les coloris,les attitudes,les expressions de visage donnent naissance à des planches très vivantes et pleines d'émotions.
Le duo Zabus/ Campi fonctionne très bien et parvient sans encombre à rendre compte de toute la vie intérieur de cet anti héros, ses fantasmes, sans apporter de confusion dans la lecture entre réalité et imaginaire.
L'eveil est une belle réussite même si je regrette la fin choisie par les auteurs.
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Bruxelles, 2016. Arthur est un jeune homme angoissé, un brin hypocondriaque, et ce, depuis l'enfance. Alors qu'il vient de rentrer chez lui, une crise le surprend et il décide d'aller prendre l'air pour se calmer un peu, se concentrer sur sa respiration. Brusquement, la branche d'un arbre tombe tout près de lui. Levant le nez, il est surpris de découvrir que le tronc a été mordu. C'est là que surgit une jeune femme, Sandrine, qui lui propose de passer la soirée à la Quincaillerie, un lieu d'échanges, de partages, d'imagination. Si le jeune homme est décontenancé par la tournure des événements, il l'est encore plus lorsque, sur le chemin du retour, elle lui propose d'aller chez lui faire l'amour. Mais, au petit matin, Sandrine a disparu...

Voilà un album pour le moins déroutant... L'on suit Arthur, un jeune homme stressé, tourmenté, hypocondriaque, dont la route va croiser celle de cette street artist militante qui rêve de changer le monde. L'on y croise également un monstre imaginaire, l'on écoute Arthur qui s'adresse directement à nous, à l'enfant qu'il était, à lui-même ou encore à sa mère qui n'est pas vraiment tout à fait là. Entre imaginaire et fantastique, cet album, s'il évoque la transmission, la mort, la prise de conscience, navigue entre réalité et fiction et l'on finit par se perdre. Graphiquement, le trait reconnaissable de Thomas Campi fait, quant à lui, mouche. Un trait léger et délicat et une palette de couleurs douce. Si Vincent Zabus et Thomas Campi ont déjà collaboré sur plusieurs albums, le résultat était beaucoup plus probant...
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Il y a toujours un plaisir particulier à lire un livre dont le décor nous est connu. Dans une bande dessinée, on s'amuse à reconnaître les bâtiments, les rues, les places dont nous avons nous-mêmes foulé les pavés.
Quand une jolie histoire prend place dans ce décor, c'est encore mieux. C'est le cas ici : une rencontre improbable, une belle aventure humaine et l'expression d'une révolte contre la société actuelle du chacun pour soi et tous pour personne.
Inspirant et plein d'espoir.
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Arthur est hypocondriaque, et un peu agoraphobe aussi, il va rencontrer Sandrine, une jeune et jolie activiste qui va bouleverser sa vie. Ce récit est comme un voyage initiatique qu'Arthur va vivre pour sortir de sa névrose, avec le Street Art comme moyen, une pointe de fantastique pour nous embarquer et des personnages très touchants, une histoire qui bouscule nos angoisse, et qui parvient à éveiller les conscience, c'était le but, et c'est réussi.
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Une fascinante BD !
Ce n'est pas tant l'histoire qui m'a séduite que les choix narratifs.
L'histoire nous fait suivre deux personnages que tout oppose mais qui s'unissent pour oeuvrer au même projet d'éveil des consciences. L'univers créé autour d'eux est sensible et poétique.
Quant aux choix narratifs : on alterne entre dialogues et le personnage principal qui devient narrateur, les différentes étapes de l'histoire sont matérialisées dans la BD d'une manière agréablement surprenante.
Un format court qui regorge de belles idées à tous les niveaux.
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La BD est très belle, je ne m'y étais pas trompée. J'aime énormément le trait de Thomas Campi. L'idée de ce lieu, la quincaillerie, et ce drôle de plan imaginé par Sandrine et ses comparses sont assez originaux. Mais j'ai eu un peu de mal à voir où l'intrigue nous menait. Tous les sujets traités sont intéressants (notamment la fin de vie, l'hypocondrie) mais agencés les uns avec les autres, j'ai eu du mal à suivre le fil. Je serais curieuse d'avoir votre ressenti, si vous avez lu cette BD !⠀
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