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Daredevil (Chip Zdarsky) tome 2 sur 7

Chip Zdarsky (Autre)Lalit Kumar Sharma (Autre)Jorge Fornes (Autre)
EAN : 9782809489248
112 pages
Panini France (14/10/2020)
3.95/5   19 notes
Résumé :
Suite aux événements du premier tome, Matt Murdock ne veut plus endosser le costume de Daredevil, ce qui n'empêche pas l'inspecteur North d'être sur sa trace. Pendant cette « retraite », Matt rencontre une libraire qui ne le laisse pas indifférent, mais le quartier de Hell's Kitchen ne va pas laisser longtemps son protecteur en paix... Deuxième tome du run de Chip Zdarsky (Spectacular Spider-Man, Spider-Man : L'histoire d'une vie). Des artistes prometteurs remplacen... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Daredevil by Chip Zdarsky Vol. 1: Know Fear (épisodes 1 à 5) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 6 à 10 initialement parus en 2019, écrits par Chip Zardsky, dessinés par Lalit Kumar Sharma, encrés par Jay Leisten et mis en couleurs par Java Tartaglia (épisodes 6 à 9), dessinés et encrés par Jorge Fornes avec une mise en couleurs de Jordie Bellaire pour l'épisode 10.

Dans le quartier d'Hell's Kitchen, Marcus et Janet s'apprêtent à ouvrir leur boutique. Elle voit 2 gros bras entrer dans a boutique de Kaplan sur le trottoir d'en face et un troisième monter la garde. Elle le fait observer à son mari qui dit qu'il a déjà aidé Kaplan le mois dernier en lui donnant des sous pour qu'il puisse payer Owl (Leiland Owsley) et qu'il ne peut pas faire plus. Une voiture de police passe devant la devanture de Kaplan, les policiers remarquent le guetteur, mais ils ne s'arrêtent pas. Les époux Janet & Marcus savent qu'ils doivent payer leur protection, que la police ne sert à rien et que Daredevil est mort. Matt Murdock sort de chez lui, mal rasé. Cole North est déjà à son bureau au commissariat, et l'inspecteur Higgins vient l'informer que la capitaine l'attend dans son bureau. En passant dans le couloir, il se fait chambrer par les inspecteurs Elias et Henry. La capitaine le sermonne sur son absence d'avancée sur le dossier Spider-Man, car elle a été relancée par le maire de New York Wilson Fisk.

Matt Murdock se rend à pied aux bureaux du service de gestion pénitentiaire de New York (New York City Department of Correction). En chemin, il s'achète des fraises bio, tout en regrettant que ses sens hyper-développés lui permettent d'y détecter des traces de peroxyde d'hydrogène. Il passe devant Edmund, un jeune homme, qui distribue des tracts pour l'abolition des prisons. Ça fait 8 semaines que Matt n'a pas revêtu son costume de Daredevil. Dans des sous-sols, Wilson Fisk est en train de se battre à main nue contre une demi-douzaine de détenus en combinaison orange. Énervé parce que l'un d'entre eux a saisi une brique, il se met à l'étrangler. Son conseiller Wesley Welch lui conseille d'arrêter parce qu'il faut qu'ils rendent les détenus en bon état à l'administration pénitentiaire. Matt Murdock rentre dans sa librairie de quartier et salue la propriétaire Mindy Libris. Avec ses sens hyper développés, il constate qu'il ne lui fait pas d'effet. Elle l'identifie tout de suite comme étant l'homme qui a été maire de New York pendant quelques jours. Il vient chercher une édition la plus ancienne possible de la Maison d'Âpre-Vent (1852/1853) de Charles Dickens (1812-1870).

Dès le premier tome, Chip Zdarsky avait montré sa volonté de revenir vers une version de Daredevil classique, avec une touche adulte, ne serait-ce que par la conquête d'un soir de Matt Murdock. le lecteur retrouve cette approche, avec une nouvelle conquête féminine passagère et avec les thèmes développés. En surface, Chip Zdarsky donne l'impression de musarder tranquillement. Suite à la bavure du premier tome, Matt Murdock a décidé d'arrêter d'être Daredevil, et ses ennemis s'en sont aperçu. On ne peut pas dire que l'intrigue fasse preuve d'une originalité folle : le lecteur peut déjà prévoir que des innocents vont payer cher l'absence de Daredevil pour les protéger et que Matt Murdock va finir par reprendre du service. Oui, c'est sûr… mais pas dans ce tome. le scénariste déploie des efforts d'ingéniosité pour remplir son quota de pages d'action par épisode, sans avoir à recourir à des scènes dans le passé : Wilson Fisk dérouille ses partenaires d'entraînement, un dîner de famille est interrompu par le tir d'un tireur embusqué, Cole North doit se défendre contre des agresseurs à deux reprises. Pendant ce temps-là, Matt Murdock apprécie son temps libre.

Sans grande surprise, le lecteur constate que le dessinateur n'est pas le même que celui du premier tome, une manière pour les responsables éditoriaux de gérer le fait qu'il faille plus d'un mois à un artiste pour dessiner 20 pages. Il note aussi que les responsables éditoriaux ont fait appel à un inconnu. Avec la séquence d'ouverture, il constate que par Lalit Kumar Sharma maîtrise bien les décors. Les rues de Hell's Kitchen présentent bien les caractéristiques de l'urbanisme de ce quartier. Les locaux du commissariat sont en espace partagé avec le mobilier générique, fonctionnel et sans âme des bureaux. La librairie de Mindy Libris présente un aménagement intérieur plus personnel, pas juste des simples rayonnages industriels, et donne envie de pouvoir y flâner pour parcourir les livres. Des lieux comme l'intérieur d'une église ou les bureaux du service de gestion pénitentiaire de New York donnent l'impression d'être réalistes et plausibles, avec une architecture et un aménagement intérieur cohérents. le lecteur se dit qu'il pourrait s'installer à la table des Libris, dans leur salle à manger, pour partager leur repas avec Matt et participer à la conversation.

Lalit Kumar Sharma est moins convaincant avec les personnages. Dès le début, le lecteur tique un peu sur des expressions de visage qui semblent décalées ou un peu forcées. Ça a tendance à s'améliorer au fil des épisodes, même s'il y a une proportion d'yeux grands ouverts un peu élevée. le dessinateur éprouve également des difficultés à donner une morphologie à un personnage, cohérente d'un épisode à l'autre. le lecteur a l'impression que Mindy Libris est devenue obèse quand elle mange en famille. Il y a également des fluctuations étranges dans les anatomies des personnages, et dans les proportions des bras en particuliers. D'un autre côté, la narration visuelle est claire et rapide, sans problème de compréhension. Jay Leisten donne l'impression de s'appliquer à respecter les traits de l'artiste, sans essayer de plaquer l'encrage qu'il réalise pour Greg Land avec qui il travaille souvent. S'il ne se focalise pas sur les personnages, le lecteur trouve de nombreuses scènes étonnantes et agréables : le harcèlement au bureau, le flirt à la librairie, la négociation à la banque, le tir aux pigeons dans le parc, le repas de famille. Enfin, le dernier épisode est dessiné par un autre artiste (Jorge Fornes) qui réalise des planches fortement influencées par Michael Lark, David Aja, Javier Pulido et Chris Samnee. le résultat est dérivatif mais bien exécuté, agréable à l'oeil, sans être inoubliable.

Un peu désarçonné, le lecteur accepte de suivre le scénariste dans ces épisodes sans vraiment discerner la direction générale. Les scènes alternent entre la situation professionnelle peu enviable de Cole North, les souhaits d'évolution professionnelle et personnelle de Wilson Fisk, et faire connaissance avec Mindy Libris. Mais qu'en est-il de Matt Murdock ? Il a mis son costume au placard et retrouvé une vie privée dont il compte bien profiter. Il a un nouveau métier qui lui permet de venir en aide à des individus qui en ont besoin, et de participer à l'application de la loi en oeuvrant pour le bien de la société. le lecteur a régulièrement accès à son flux de pensée, et peut ainsi découvrir quelles réflexions occupent son esprit. Il souhaite flirter avec Mindy Libris et ne comprend pas que son charme naturel n'opère pas, tout en se sentant un peu coupable de disposer de ses hyper-sens pour lire ses réactions biologiques et en déduire son état d'esprit. Il les utilise également face à l'individu en liberté conditionnelle pour lui rappeler qu'il ne doit pas ingérer de substances psychoactives. Ses réflexions prennent une autre direction au cours de l'épisode 7 quand il est mis face aux conséquences de ses actions de manière inattendue et qu'il se sent submergé par un sentiment de culpabilité, pas simplement celle découlant du fait d'avoir causé une mort dans le tome précédent, mais aussi celle générée par le caractère irréconciliable de ses méthodes violentes et de sa foi.

Chip Zdarsky continue de sonder les convictions et les valeurs morales de Matt Murdock d'une manière personnelle dans une démarche honnête. Il ne s'agit pas simplement d'opposer des grands principes juste pour créer une impression de dynamique conflictuelle : il s'agit vraiment de s'interroger sur la compatibilité des convictions et des actions. Non seulement Matt Murdock se retrouve acculé au constat de ses contradictions, mais en plus il se retrouve à la table face à Isabelle Libris, la cheffe d'une famille mafieuse qui défend son bilan et ses méthodes, avec des arguments difficiles à réfuter. Matt Murdock se retrouve à nouveau sur la sellette à devoir reconnaître les défauts du système de justice de son pays, et ils sont nombreux. En parallèle, Cole North subit de plein fouet ces mêmes dysfonctionnements. Au fil des 5 épisodes, Chip Zdarsky aborde la notion de vigilant de front, à partir de différents points de vue, remettant en question les méthodes de Matt Murdock, l'efficacité de ses actions, la notion de héros. Par contraste avec de nombreux autres auteurs, il ne le fait pas de manière cynique, ou en pointant du doigt une forme de maladie mentale chez Matt Murdock. Il le fait d'une manière adulte et réfléchie, sans se lancer non plus dans un discours magistral.

A priori, le lecteur se dit qu'il ne va pas beaucoup apprécier ce tome, avec un scénario qui suit une voie souvent empruntée, et un changement de dessinateur établi pour un inconnu. le début de sa lecture le conforte dans ses idées, même si Lalit Kumar Sharma réalise un travail honorable malgré des imperfections, et Jorge Fornes se livre à un exercice à la manière de, sans beaucoup d'inspiration. Dans le même temps, le lecteur se rend compte que Chip Zdarsky ne répète pas les mêmes schémas en tirant sur les mêmes ficelles. Il s'agit bien de la phase de la saison dans laquelle l'auteur met son personnage en situation de difficulté, même si Matt Murdock est plutôt apaisé et satisfait de ses choix. Au fur et à mesure, Zdarsky sonde la personnalité de Matt Murdock, gentiment, mais sans rien lui épargner, mettant à jour les conflits psychiques irrésolus qui le minent. 4 étoiles si le lecteur se crispe sur les dessins, 5 étoiles si son intérêt va d'abord au personnage.
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Après avoir été désigné comme coupable d'un homicide dans le tome précédent, Matt Murdock range le costume, Daredevil n'est plus.
De son côté, l'inspecteur Cole North, fraichement débarqué, s'est mis la totalité de la police à dos après s'être mis en tête d'arrêter Daredevil. La moitié intègre lui en veut car elle est reconnaissante envers Daredevil pour son travail, la moitié corrompu lui en veut car elle recevait des pots de vin pour surveiller Daredevil, mais... plus de Daredevil, plus de pots de vin.

Un deuxième tome qui mets plus l'accent sur Matt Murdock que sur Daredevil, et j'aime que cet aspect du personnage soit développé. D'autant plus que l'avocat aveugle n'est plus avocat, mais contrôleur judiciaire, et cela change un peu.

Un tome sympathique que j'ai pris plaisir à suivre mais qui pêche par son dessin. Je ne dirais pas que c'est moche mais le dessin de Marco Chechetto était tellement beau sur le premier tome que ce tome souffre forcément de la comparaison.
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Matt Murdock ne veut plus être Daredevil. Il ne veut même plus être avocat. le voilà, par conséquent, plongé dans une nouvelle crise de foi. le Caïd, de son côté, renonce à son empire du crime et redevient Wilson Fisk, décidé à entrer dans la légalité et à s'occuper davantage de ses fonctions de maire de New York. de son côté, Cole, le flic intègre, se frotte à ses collègues, tant ceux qui trouvaient bien pratique de laisser Tête à cornes effectuer l'essentiel du boulot que ceux qui appréciaient les pots de vin.
Ce deuxième tome de Daredevil aurait dû s'appeler Matt Murdock puisque lui seul apparait le long de ces 112 pages. le récit prend son temps, sorte de « Daredevil no more », étalé sur cinq épisodes. Car même si on sait que Daredevil finira par reprendre du service, pour l'instant il reste aux abonnés absents. Comme dans ces vieux kung-fu dans lesquels Bruce Lee ou Wang Yu attendaient la dernière bobine pour rendre coup pour coup, DD apprécie sa retraite. Et, bien évidemment, il part draguer une libraire malheureuse en ménage. Sans savoir qu'elle appartient à un « clan » mafieux.
Ce deuxième tome approfondit la mythologie du principal protagoniste avec une approche adulte et sérieuse. Pas de vilains costumés, pas de grosses bastons d'encapés,…Juste un type qui a décidé de raccrocher le pyjama et se pose des questions sur Dieu, la justice, la place de la police, la manière de résoudre des problèmes par la force ou non, etc.
Dès lors, l'intrigue évolue lentement avec un côté feuilletonesque, voire soap : le flirt de Matt avec Mindy la libraire, la reconversion légale de Fisk, les démêlées de l'intègre Cole avec ses collègues ripoux, etc. Murdock, bien présent mais en quelque sorte un peu en retrait, reste toujours perturbé par ses contradictions. Il continue de professer sa foi catholique tout en reconnaissant l'état déplorable du monde. Un constat à mettre en parallèle avec sa défense du système judiciaire dont il est pourtant forcé de reconnaitre les faiblesses. Et avec sa mission de justicier qui l'oblige à prendre cette même justice en main, devant ainsi recourir à des méthodes qu'il désapprouve.
Venu de l'Inde, Lalit Kumar Shama propose des dessins de bonne facture, certes en deçà de ceux de son prédécesseur mais néanmoins agréablement maitrisés, surtout au niveau des ambiances et des décors, les personnages étant un peu moins bien brossés. Rien de grave, nous sommes loin des horreurs d'un Ramos sur Spiderman ou du photo réalisme mal digéré d'un Larocca sur Star Wars.
Malgré quelques bouffées d'action, l'essentiel de ce tome se consacre donc à cette exploration des sentiments du héros et à ses interrogations théologiques, philosophiques et existentialistes. Daredevil a toujours été un des protagonistes les plus intéressant, attachant et « torturé » de la Maison des Idées. de plus, il a souvent eu la chance de bénéficier de scénaristes talentueux qui ont livrés des prestations remarquées. Dans cette tradition (établie par Frank Miller et sa révision définitive de DD), Chip Zdarsky poursuit un run pour le moment exemplaire. L'auteur démontre, si besoin était, que les comics ont sacrément évolués dans le bon sens depuis les petites histoires emballées en 20 pages où le héros se contentait de savater le « vilain de la semaine ». On attend la suite, annoncée par un cliffhanger en guise de dernière planche, avec impatience.

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Après un excellent premier tome, mes attentes étaient plutôt élevées. L'histoire se poursuit avec un rythme régulier. J'aime tout particulièrement l'écriture des dialogues qui nous plonge dans le questionnement de Matt Murdock sur le rôle qu'il doit jouer.
L'ambiance générale est moins sombre que d'habitude et c'est plutôt dépaysant pour du Daredevil (cela reste néanmoins logique au regard du scénario et du développement de Matt).
Ma déception réside néanmoins dans les dessins. Non pas qu'ils soient mauvais, mais Marco Checchetto (qui avait produit un chef-d'oeuvre sur le premier volet) manque cruellement à la série. Il sera de retour sur les prochains numéros donc j'espère qu'il parviendra à rallumer ma flamme.
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J'avais moyennement accroché au premier tome, c'est pire pour celui-ci…
Après les errances de Daredevil sur son état, nous le retrouvons ici quand il a décidé d'arrêter…
Du coup, pour un comic, un super-héros qui décide de ne plus l'être… ben ça fait une histoire normale.
Des réflexions sur la vie, du travail, du quotidien… Même les méchants décident d'arrêter…
On a des pages pleines de texte où tout le monde veut arrêter, du bavardage qui défile pour nous expliquer qu'il ne se passe rien ou presque, des réflexions théologiques sur l'existence de Dieu, des histoires de flics ripoux qui s'en prennent au seul flic pas ripou…
Je n'ai trouvé aucun intérêt à toute l'histoire.
Pire : là où le premier tome restait agréable à regarder, le dessinateur ayant changé, on ne prend même plus plaisir aux dessins qui n'ont pas de cadrages réellement intéressants, qui sont plus brouillon, moins beaux à suivre…
Déception totale.
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critiques presse (1)
LesComics
27 novembre 2020
Si la partie graphique est moins percutante, l'auteur continue déconstruire le mythe de Daredevil pour, on s'en doute, le reconstruire par la suite !
Lire la critique sur le site : LesComics
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Dieu m’a béni et cette bénédiction est aussi une malédiction.
Je peux aider les gens mais pour cela, je dois commettre des actes qui vont à l’encontre de ses enseignements.
Je pensais pouvoir mener une vie paisible dans ce monde mais ce monde n’a rien de paisible.
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Lire un extrait
Videos de Chip Zdarsky (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Chip Zdarsky
Dans ce deuxième épisode enregistré juste avant le Festival d'Angoulême, Aurélien et Emile font un point sur le superbe travail de l'artiste Peach Momoko avant de vous parler de leurs nouveautés préférées du mois de février.
Titres abordés :
• Demon Days (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-days-fmh23044-fr02.html) (Marvel Manga) de Peach Momoko • Demon Wars - Edition régulière (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002-fr02.html) et édition collector (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002vc-fr02.html) (Marvel Hors Collection) de Peach Momoko • (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-echo-qu-te-de-vision-fmh23007-fr02.html) Silver Surfer : L'obscure clarté des étoiles - Edition Noir & Blanc (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/silver-surfer-edition-noir-blanc-fmh24004-fr02.html) (Marvel Prestige) de Ron Marz et Claudio Castellini • Cyberpunk 2077 : Les rêves de Night City (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/cyberpunk-2077-les-r-ves-de-night-city-fcybe006-fr02.html) de Bartosz Sztybor, Filipe Andrade & Alessio Fioriniello • Daredevil T01 : Connaître la peur (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-t01-fmd24013-fr02.html) (Marvel Deluxe) de Chip Zdarsky, Marco Checchetto, collectif
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• Emile : Les intégrales Punisher (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/catalogsearch/result/?q=punisher+int%C3%A9grale) en prévision d'une prochaine émission... • Aurélien : le Clan des Poe (https://www.akata.fr/series/le-clan-des-poe) de Moto Hagio (Editions Akata)
Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique.

Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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