On rêve tous d'histoires qui se terminent bien. On a beau savoir que, par nature, "end" et "happy" ne feront jamais bon ménage, on se force à y croire. Cette espérance, cet aveuglement, c'est notre force à nous les hommes.
Un père qui coupe un gros cornichon en deux sur le sandwich au pâté de ses gamins est toujours un bon père.
Vous savez, Gabriel, pour mieux distinguer les choses ... il faut parfois prendre de la distance !
Vous savez, Marco, ils ont beau s'éloigner, ils ont beau vieillir, c'est comme s'ils étaient toujours là, à courir dans nos pattes, comme quand ils étaient mômes.
Pourtant y a pas plus tendre, comme viande, que le coeur d'un papa
Ruminer ça aide à mieux digérer
Ne le prenez pas mal Marco, mais le tourisme c'est pas trop mon truc. Je suis comme les églises : heureux que si mon clocher est bien planté au milieu du village.
Tu n'auras été qu'un grand-père par corruption, un receleur d'amour
Vous parlez l'Indien Aymara ?
non... deux mots seulement [...] deux mots, parfois, ça suffit pour raconter une histoire.
Il la voulait tellement sa part de bonheur, qu'il en aura sacrifié le cochon pour une tranche de jambon.