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sur 4068 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cette neuvième livraison des Rougon-Macquart ne m'est pas apparue aussi savoureuse que je l'espérais, faisant naturellement suite, par son héroïne, au fulgurant Assommoir.
Émile Zola réemploie la même formule que dans "Son Excellence Eugène Rougon" au début du roman, à savoir, nous plonger directement dans le coeur d'activité du protagoniste principal. C'était une session à l'Assemblée Nationale pour Eugène Rougon, ici, c'est la première représentation d'une opérette sulfureuse, La Blonde Vénus, où Nana met le feu à la scène avec ses formes et ses tenues très peu couvrantes. (Au passage ceci m'inspire un petit parallèle et une menue réflexion sur la beauté et la blondeur car je viens de me faire une petite série de huit ou neuf films de Billy Wilder, avec outre le célébrissime et succulent Certains L'Aiment Chaud, qui, bien qu'excellent, fait beaucoup commerce des formes généreuses de l'actrice, un autre film, soi-disant culte, Sept Ans de Réflexion avec la fameuse scène de la robe Marilyn Monroe qui se soulève en passant au-dessus des bouches d'aération du métro, qui lui est un vrai navet, avec pour seul mérite d'avoir à son affiche une blonde Vénus... Nana/Marilyn, mort prématurée, des liens avec le pouvoir et l'argent, tiens, tiens, tiens...)
Ce sont bien évidemment les opérettes de Jacques Offenbach que l'auteur cherche à écorner, en particulier celle intitulée " La Belle Hélène ", (pastichée en " La Blonde Vénus ") qui met en scène la dépravation des dieux de l'Olympe.
Pour être totalement dans l'esprit « naturaliste », avec un réel souci documentaire, on n'en est pas pour autant transcendé et l'on a du mal à prétexter que cette entrée en scène de Zola dans Nana soit particulièrement réussie ou tonitruante. On l'a connu plus percutant et la feuille de route de son programme de construction apparaît, à mon goût, un peu trop fortement tout au long du roman.
Ce n'est qu'à partir de la moitié du livre, au chapitre VIII, que la narration retrouve quelques couleurs et Zola sa verve perdue de L'Assommoir. En effet, jusque-là, l'auteur nous endort avec de lourdes et longues descriptions de luxe et de débauches dans les hautes sphères qui font d'ailleurs double emploi avec celles déjà pesantes qui concernaient Renée dans La Curée.
Quels sont les apports vraiment significatifs de cet opus dans l'édifice de son cycle littéraire ?
1) Les rapports étroits de connivence entre le monde du spectacle et le journalisme visant à faire ou à défaire le succès d'un spectacle moyennant avantages divers en retour (déjà évoqués en détail et probablement avec plus de brio dans la deuxième partie des Illusions Perdues de Balzac).
2) La mise en plein jour de la prostitution (la classique et celle de luxe).
3) L'évocation de l'homosexualité féminine, sujet absolument tabou à l'époque de Zola et ce sur quoi il faut saluer le courage littéraire de l'auteur.
4) le poids du monde hippique dans la haute société (La situation a-t-elle changé de nos jours ? Les Rothschild ne font-il pas toujours régner la pluie et le beau temps sur le monde des courses [casaque bleue, toque jaune] ?)
En guise de conclusion : très documenté mais pas très captivant, ce qui en fait, selon moi, un roman moyen du cycle des Rougon-Macquart, mais ceci, bien sûr, n'est que mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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Fichtre ! Voilà une exclamation qui, rencontrée plusieurs fois au cours de ce roman, colle parfaitement à l'esprit osé, satirique et dénonciateur de ce neuvième tome de la saga zolienne. C'est un plongeon vertigineux dans la frivolité, l'excès, la bêtise où les jouissances mondaines triomphent dans la tentation de la chair, coulant vers une ruine assurée.

Nana, fille du pavé parisien, revendique du respect dont elle estime être autant méritante que les femmes bourgeoises de la capitale. Accessoirement, elle veut bien de la richesse pour assouvir ses extravagants besoins matériels, même si au fond elle méprise l'argent et en ignore toute la valeur.
Avec sa voix fausse et une piètre prestation théâtrale, elle enflamme pourtant le public masculin du théâtre des Variétés et déclenche curiosité et inquiétude chez les femmes présentes. le Paris des plaisirs est présent dans ce lieu où se mêlent joyeusement femmes entretenues et habitués mondains. La familiarité de Nana et la mise en avant de son corps voluptueux attiseront tous les maux et les vices qui ne demandent qu'à éclater au grand jour.
Le lendemain de la présentation se déversera, dans l'appartement haussmannien de Nana, un bel échantillon de fiévreux convoiteurs de la belle « comme des toutous assis en rond sur leur derrière ». À partir de là, ils signeront, chacun à leur manière, un contrat vers une déchéance financière et morale, complètement aveuglés et possédés par les formes généreuses de l'actrice.

Cette fois-ci, l'ennui s'est souvent glissé subrepticement dans ma lecture. Certaines scènes, comme les pièces de théâtre, sont longues, très longues et plutôt assommantes.
Zola n'a pas lésiné sur les personnages, ils sont bien nombreux, et hormis les quelques hommes récurrents qui gravitent et se pâment autour de Nana, j'ai dû en laisser filer bon nombre sans plus reconnaître leur place ni leur rôle. Ma concentration a des limites et cette foule m'a perdue !
Au-delà du sujet de la débauche qui ne me passionne pas spécialement, ce tome a le mérite de nous rappeler le langage familier et les vulgarités du XIXe siècle. On peut y admirer les capacités inégalables de Zola à décrire aussi bien le luxe que la souillure, la saleté et la mise en lumière du vice. Il nous sert un amas de ricaneries, de tromperies des uns et des autres, de moqueries grasses pour dénoncer superbement ces hautes classes de l'Empire dépourvues de morale.
Cette course à la débâcle m'a bien moins enflammée que les tomes précédents mais Nana n'en restera pas moins un roman marquant et osé, surtout pour l'époque !
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J'ai enfin lu "Nana" ! Pour moi, ce livre signifiera "Longtemps".

D'abord parce que cela fait des années (depuis le collège) que je veux le lire. le diminutif de mon prénom est Nana et aussi loin que je me souvienne, beaucoup de gens m'appelle comme ça. Donc quand j'ai découvert qu'un grand livre de la littérature française portait mon nom, j'ai décidé de le lire. Et cela m'a pris très longtemps...

Et un jour, voilà que je me lance. Ce n'était sans doute pas le bon moment car je l'ai souvent abandonné pour de multiples raisons pour le reprendre plus tard. Donc en ce qui concerne ma lecture, cela m'a pris très longtemps...

Et pendant ma lecture, j'ai découvert des chapitres entiers de descriptions, de détails, de réflexions, et là j'ai trouvé que cela durait très longtemps...

Donc, je suis contente d'enfin avoir lu ce livre mais j'en garde une satisfaction mitigée.
Certes, la satire sociale, sociétale et religieuse est grandiose et on sent bien que Zola a mis ses tripes sur la table. Mais les longues parties descriptives m'ont lassée et ont même émoussé mon plaisir.
Un bon livre que je n'ai pas su apprécié comme je l'aurais du. Il y a parfois dans la vie des rendez-vous manqués qui laissent un petit gout de regret...
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Nana :
J'avais commencé ce roman l'année dernière mais j'ai dû l'abandonner ( ce qui est très très rare pour ma part ). En effet le roman commence par une longue LONGUE description du théâtre et des personnages... ce qui m'a énormément découragé, j'ai dû m'arrêter au bout de 100 pages.
Mais je reviens fière combattante et j'ai enfin fini ce roman :
Dans l'ensemble je l'ai trouvé extrêmement long et lent qui est sûrement dû à la richesse de la description qui est pour moi un point négatif. Je me suis beaucoup ennuyer et j'ai dû me forcer pour me finir...
Plus on avançait dans le roman plus je détestais le personnage Nana.. A tel point que je souhaitais qu'une chose : que tous les personnages lui tournent le dos et qu'elle chute de son ascension social qui lui est trop monté à la tête !
Voilà mon avis pour ce roman.
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Nana aurait pu être plus court et percutant mais Emile Zola ne l'a pas souhaité. Dans le luxe ostentatoire, s'ébattant à grands gestes dans les froufrous et la dentelle, alignant une ribambelle d'hommes soumis à sa volonté, Nana mérite une prose qui lui ressemble : outrecuidante et interminable. Presque monstrueuse, Nana est moins une femme qu'une mante religieuse qui engloutit sur son chemin tous les reliquats dégénérés et pourtant moins puissants de son époque. Nana est parvenue à la quintessence de ce que la société peut produire de pire. Parvenue à ce sommet, elle va pouvoir se retourner contre ceux qui ont produit sa perte : son histoire est une vengeance clinquante et une revanche prise sur les valeurs aliénantes d'une époque qui se perd.


« Voilà ce qu'elle pensait de la société ! C'était sa revanche, une rancune inconsciente de famille, léguée avec le sang. »


Emile Zola peut se targuer de son naturalisme et le brandir comme une méthode scientifique mais Nana ne nous laisse pas duper : le naturalisme est moins une cause qu'un prétexte à l'écriture. Même s'il s'amuse –et peut-être même parce qu'il s'amuse et prend son plaisir avec une moindre considération du lecteur- Emile Zola se perd dans des délires interminables mettant en scène la déchéance des plus nobles et respectés d'une époque. On croit avoir atteint le comble du ridicule lorsque Nana s'entiche d'une pouliche portant son nom et écrase tous les pronostics au cours d'un grand prix hippique, mais bientôt on assiste aux ébats amusés entre Nana et le comte, jouant tous deux aux ours et crapahutant à quatre pattes dans des appartements de luxe.


La cruauté de Nana n'a d'égale son indifférence et si l'on parvient à surmonter la profusion fatigante et dispensable des mots, l'ardeur de sa vengeance nous contaminera. Joie sadique de détruire tout ce qui est joli et coûteux !
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Quel livre ! Quelle vie ! Quelle femme !
J'ai longtemps hésité avant de commencer ce pavé, classique parmi les classiques. Et je me suis lancée.

J'ai compris pourquoi certains babéliotes se sont arrêtés à la page 100. C'est vrai que la mise en place est interminable et on a l'impression de ne pas avancer. J'ai pris un autre parti : j'ai... sauté des pages.
Certes, du coup, les relations de Nana avec ses différents amants m'ont paru très confuses, mais je ne pense pas que cela aurait été mieux si j'avais lu plus attentivement.

Et en me créant ainsi un digest, j'ai pu apprécier ce monument avec recul.
J'en retiens une étude passionnante de la vie de courtisane du 19ème siècle, de la bourgeoisie, des préjugés. Nana est une femme forte, qui ose tout pour s'en sortir. Artiste nulle sur la scène, elle devient la coqueluche du tout-Paris dans son salon. Elle plume sans vergogne les hommes riches qui ne peuvent pas résister à ses charmes.

Mais malgré son culot et sa beauté, elle disparaîtra comme une étoile filante. Sa fin sera un écho de l'agonie du Second Empire.

J'ai vraiment bien aimé le fond, même si la forme m'a paru bien lourde.
C'est un roman formidable pour se plonger dans l'état d'esprit de ce siècle.
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Nana est la fille de Gervaise et de Coupeau de l'Assommoir. Nous l'avons quittée en apprentissage de fleuriste sous la garde de sa tante, très dégourdie, elle a déjà un protecteur plus âgé. 

Nana,  au début du roman, a une vingtaine d'années,  est mère d'un petit garçon chez une nourrice. Actrice à succès au Théâtre des Variétés. 

"La Blonde Vénus sera l'événement de l'année. On en parle depuis six mois. Ah! mon cher, une musique! un
chien!... Bordenave, qui sait son affaire, a gardé ça pour l'Exposition.

Et Nana, l'étoile nouvelle, qui doit jouer Vénus, est-ce que tu la connais? Nana est une invention de Bordenave. Ça doit être du propre!"




Le roman s'ouvre au  Théâtre des Variétés.  Zola nous fait découvrir la scène, les loges, les répétitions, les acteurs, les coulisses, les éclairages. Les journalistes aussi, les auteurs, les jalousies et petits arrangements...Et parmi les spectateurs, les messieurs qui viennent dans les loges comme au bordel. D'ailleurs Bordenave, le directeur du théâtre nomme ainsi son théâtre.

"Paris était là, le Paris des lettres, de la finance et du plaisir, beaucoup de journalistes, quelques écrivains, des hommes de Bourse, plus de filles que de femmes honnêtes; monde singulièrement mêlé, fait de tous les génies, gâté par tous les vices, où la même fatigue et la même fièvre passaient sur les visages."

Nana est une piètre actrice

"Jamais on n'avait entendu une voix aussi fausse,
menée avec moins de méthode. Son directeur la jugeait bien, elle chantait comme une seringue."

Et pourtant elle a un succès fou :

"cette grosse fille qui se tapait sur les cuisses, qui gloussait comme une poule, dégageait autour d'elle une odeur de vie, une toute-puissance de femme, dont le public se grisait."

Plus qu'une actrice, Nana est une courtisane qu'hommes d'affaires comme le banquier Steiner, aristocrates comme le Comte Muffat ou le Comte de Vandeuvres, et bien d'autres, sont prêts à se ruiner pour elle. Sa fidèle bonne Zoé place tous les prétendants dans des pièces différentes pour qu'ils ne se croisent pas, c'en est cocasse. Il y a peu de sentiments, de l'intérêt. Et pourtant, même dans ses plus grands succès Nana est à cours d'argent pour payer les extravagantes dépenses. Elle est souvent à la recherche d'expédients

Elle tombe amoureuse  d'un comédien qui la traite très mal. Un jeune homme, presque un adolescent réussi à l'émouvoir ; il consentira à tout pour garder ses faveurs. Ses plus fidèles amitiés seront féminines, sa bonne Zoé prête à tous les artifices, Satin, une rouleuse du boulevard qu'elle a retrouvée dans la dèche lui sert de compagne.

Difficile d'avoir de l'empathie pour cette fille, souvent superficielle, capricieuse,  toujours intéressée, qui dévore des fortunes sans aucun scrupule et n'est même pas affectée par les tragédies dont elle est la cause.

Pourtant on sent surtout la rage de la petite fille de l'Assommoir qui n'oublie jamais d'où elle vient et  qui venge les humiliations, les privations qu'elle a connues. Elle prend sa revanche dans son hôtel rue De Villiers. Et pourquoi devrait-on la juger? Ce sont les hommes qui sont les cochons et qui se pressent auprès d'elle.

"Nom de Dieu! ce n'est pas juste! La société est mal faite. On tombe sur les femmes, quand ce sont les hommes qui exigent des choses... Tiens! je puis te dire ça, maintenant: lorsque j'allais avec eux, n'est-ce pas? eh bien! ça ne me faisait pas plaisir, mais pas plaisir du tout. Ça m'embêtait, parole d'honneur!..."

Dans le monde des Rougon-Macquart, cet épisode entraine le lecteur dans le demi-monde et le grand monde qui se mêlent. Nous découvrons donc le théâtre, les restaurants à la mode, les courses et les paris, les soirées brillantes...mais la rue n'est pas loin, ni les rafles de la police qui ramasse les prostituées, les encarte et les emprisonne. 


J'ai, présente à l'esprit, la merveilleuse Exposition Sarah Bernhardt au Petit Palais. Sarah Bernhard a vécu dans ce monde, encartée à la police, protégée du Duc de Morny. Mais, elle était bourrée de talents et a su rapidement s'élever au-dessus de sa condition. 

Plus que les intrigues embrouillées ou les histoires sentimentales, j'ai apprécié la description de la vie mondaine et les analyses sociétales de Zola.
Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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Nana, le 9ème tome des Rougon-Macquart est un livre que Zola résume parfaitement bien : « le sujet de Nana est celui-ci : toute une société se ruant sur le cul. Une meute derrière une chienne, qui n'est pas en chaleur et qui se moque des chiens qui la suivent. » En effet, où est Nana, tous ses « amis » y sont. On veut l'admirer, la regarder et la contempler. Tout le monde veut être dans sa chambre et dans son lit, qu'importe le prix.

Nana, c'est aussi à mon avis quelqu'un qui prend sa revanche par rapport à ses origines. En effet, comme on le voit dans l'Assommoir, Nana vient d'une famille pauvre, avec des parents alcooliques. Et on la voit, ici, vivant dans un luxe de plus en plus grand, vidant les poches de tous les homes qu'elle croise. Elle montre que quand on veut quelque chose, on peut le faire. Mais Zola montre à juste titre que retomber dans un milieu précaire est rapide (quand elle vit avec Fontan).

Concernant le livre et l'histoire, je n'ai pas vraiment aimé la première moitié du roman. Zola raconte pendant des pages et des pages des scènes bourgeoises et je trouve ça ennuyant. La seconde moitié du roman est mieux, car il y a un peu moins de ces scènes bourgeoises.

J'ai fini ce roman avec un avis mitigé : certes, il est un peu ennuyant, mais Zola montre un autre côté de la bourgeoisie qu'on ne voit pas forcément.

Lien : https://www.babelio.com/ajou..
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La Nana de l'Assomoir, fille de Gervaise, a fait du chemin pour sortir du quartier populaire de ses parents. Piètre actrice, elle parvint cependant à séduire le public par son déhanché, dans une Venus sulfureuse. Les cabales pour les premiers rôles dans les coulisses du théâtre se doublent de cabales dans la vie quotidienne, lorsqu'il faut tenir son rang.

Son rang? Nana le tient grâce aux hommes. Elle les pressure jusqu'au dernier centime pour pouvoir paraitre. Mais il faut un jour s'attendre aux conséquences de cette vie décousue.

Ce neuvième roman de cette série ne m'a pas captivé plus que ça, ce n'est pas le meilleur cru de Zola, peut-être qu'on s'attend trop à ce qui est décrit étant donné le milieu abordé dans le livre. le milieu du théâtre était mal réputé, et Nana n'est qu'une illustration, extravagante, tout en aspirant à la normalité, de ce milieu social et professionnel.
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Globalement, l'histoire est intéressante, mais j'ai trouvé difficile d'y entrer complètement, avec un démarrage très lent, fait de soirée au théâtre et de dîners mondains! Toute la première partie du livre fait penser à une mise en place des éléments de l'histoire, qui ne démarre vraiment que vers le milieu du roman. C'est trop long je trouve.... Mais il est vrai qu'une fois que l'histoire démarre vraiment, elle devient intéressante.


J'ai trouvé le personnage de Nana est épatant, ruinant les hommes les uns après les autres. Elle est vive est pleine de ressources, vivant dans une débauche de luxe tout en méprisant l'argent.
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