Premier album de la série les futurs de Liu Cixin que j’ai le plaisir de découvrir .

Première impression mitigée .

Graphiquement d’abord , l’univers solide est intéressant mais difficile à concevoir et le graphisme n’y aide pas tout à fait à mon goût .

Trop confus peut être . Alors que les images à la surface de l’eau sont nettes et belles .

L’histoire elle même est intéressante presque touchante dans cette rencontre entre deux civilisations, à travers deux de leurs représentants. Le monde solide est comme le monde humain prêt à tout pour comprendre son environnement, pour gravir toutes les montagnes.

Quand à moi ce récit m’a tout de même donné envie d’explorer les autres futurs imaginés par Cixin.

Quelle aventure !



Une plongée dans de la science-fiction qui explore des idées et concept de manière très intéressante.



Nous sommes dans un des futurs de Liu Cixin, vite happé par les univers présentés, les histoires et les dessins.



De très belles planches, surtout celles du ciel, de l'espace, celles vues de l'espace et celles de nuit.



L'évolution du temps dans l'histoire est très intéressante et bien traitée. Nous retrouvons plusieurs lieux reconnaissables ce qui nous permet de reconnaître et nous sentir concernés. Les planches sont bien composées. L'histoire est rythmée de manière irrégulière, différente, ce qui reflète bien le fait qu'en tant qu'être humain nous avons peu de compréhension de l'infiniment grand, surtout du temps. Et de tout ce qui est grande échelle et les futurs possibles.



L'histoire et les thématiques ne sont pas si originales en soi mais à la manière dont elles sont explorées et développées rendent ce récit vraiment original.



Un démarrage assez classique mais très vite le lecteur est happé dans l'histoire, où se déroulent beaucoup de rebondissements, d'ellipses, d'action, de choix aux retombées importantes.



On constate les conséquences de décisions et l'enchaînement de réactions, d'événements, et à quel point cela affectera le ou les futurs. Une lecture qui amène de la réflexion au lecteur.



Très intéressante expérience de lecture et très curieuse de découvrir les autres livres de cette collection

Je suis encore très déçu par cette série « les futurs de Liu Cixin ». le synopsis était intéressant avec ce vaisseau extraterrestre géant qui arrivait sur Terre en perturbant la gravité terrestre.

Au lieu d'un récit d'action, nous avons finalement un long - très long monologue - sur une espèce extraterrestre vivant dans un monde totalement différent des Hommes. Les idées émises par l'auteur sur ce monde totalement différent de la Terre sont plutôt intéressantes, étonnantes et assez bien argumentés scientifiques, mais c'est vraiment long, très long, et puis tout cela sans aucun but qu'une théorie scientifique. Ce n'est pas ce que j'attends d'une BD de science-fiction !

Au niveau du dessin, c'est aussi une grosse déception. D'habitude les dessins sont magnifiques mais pour ce tome c'est vraiment très moyen, pour ne pas dire minimaliste.

Bref, je suis déçu et c'est une constante pour moi pour cette série ; mais ici, c'est encore plus marquant avec un récit trop métaphysique et une fin extrêmement plate (à l’opposé du sujet de l’histoire).

Cette BD est l’adaptation du roman La Terre Errante de Liu Cixin et est publiée chez Delcourt dans la série « Les futurs de Liu Cixin ».



Cette BD de science-fiction est assez pessimiste sur notre avenir tout en ayant une belle fin positive.



Les scientifiques ont prévu la mort du Soleil, donc celle de la Terre. L’humanité s’est donc unifiée en un seul pays avec un seul but : sauver la Terre et l’espèce humaine. Ensemble, ils ont donc construits des énormes réacteurs pour pouvoir piloter la Terre. Idée complétement dingue, on est d’accord ?



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Je ne connais pas la nouvelle dont est inspirée cette bande-dessinée mais je dois dire que l'excellente qualité de celle-ci m'a poussé à me renseigner dessus. Ici nous sommes dans de la science fiction apocalyptique. L'humanité est condamnée sauf si un pari fou de déplacer la terre est réalisé. On suit l'humanité sur une longue période, le temps est parfaitement maîtrisé ainsi que les diverses réactions humaines. On a vraiment chaque période temporale bien représentée ce qui donne corps à l'histoire. Je dirais même que cela pousse à réfléchir vis à vis de certains comportements. On se demande souvent, et si l'on se trouvait dans cette situation, que ferions-nous ?Le graphisme est en parfaite adéquation avec l'histoire. J'ai aimé le trait de dessin et les couleurs employées. C'est une très belle adaptation qui pousse à attendre avec impatience les opus suivants. Cette belle découverte m'a vraiment plu et je la recommande chaudement pour les amateurs de SF.

Les migrants du temps est le quinzième tome de la série “Les futurs de Liu Cixin”. On retrouve le duo de la série Orbital, que j’ai bien aimé, pour une adaptation d’une nouvelle de cet auteur chinois de science-fiction. Mes premières excursions dans cette série ne m'avaient pas vraiment emballé, ce tome ci m’a assez plu.

Une expédition de migration dans le futur est organisée, 80 millions de migrants vont voyager dans le temps à la recherche d’un nouveau havre, ils vont procéder par bonds successif, jusqu’à ce qu’ils trouvent un monde apte à les recevoir, mais ils sont limités à quatre bonds, quatre tentatives. Liu Cixin imagine des futurs possibles, à la manière de H.G. Wells et La machine à explorer le temps, mais ici, il n’y a pas de saut temporel à proprement parler, ces 80 millions de personnes seront en état d’hibernation par cryogénisation. il vont découvrir plusieurs futurs, très différents, dystopie, dématérialisation… Le suspense est bien ménagé, le graphisme de Serge Pellé est imaginatif, avec une représentation des machineries dans la lignée de ce qu’il avait produit pour Orbital. Je regrette juste que ça soit un peu trop bref pour tant de contenu, l’action est trop furtive, il y avait matière pour une série de trois à cinq tomes.

Voici donc un opus agréable, inventif, qui me laisse tout de même sur ma faim pour sa brièveté.

Autant le tome 1 des Futurs de Liu Cixin m'avait semblé plat, autant j'ai aimé celui-ci.

Merci les coups de cœur du Challenge BD ! Sinon j'aurais laissé tomber la série.

Ici on assiste à l'invention de la... machine à calculer, en utilisant une armée de 3 millions d'hommes (munis de petits drapeaux) pour calculer... les décimales de pi.

Vous voyez l'ambition.

Qu'il est beau cet album ! J'ai été sous le charme des illustrations qui restituent la Chine ancienne, ou qui expliquent le principe grâce auquel on va mener à bien le calcul. Tout est limpide, tout est beau, tout est grandiose.

Une découverte qui me donne vraiment envie de me pencher à nouveau sur cette série.