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Citations de André Brink (340)


A ma grande surprise, encore, je demande :
" Pourquoi m'aimes-tu ? "
Sarah revient vers moi. Elle avance les mains et les pose sur mes épaules. Avec une gravité inattendue, très doucement, elle dit :
" Parce que tu me rends possible. "
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«Si vous voulez être journaliste, si vous y pensez sérieusement, vous devez oublier la sécurité, la stabilité, le prévisible. Ici aujourd'hui, là-bas demain. [...]»
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Il est terrible de vieillir sans jamais avoir vraiment vécu.
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Ne jamais chercher à sauver le monde. Votre âme, une ou deux autres suffisent.
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André Brink
Camus démontrait la nécessité de la joie de vivre et du combat.[Hors-série,Le Point-Les Maîtres-Penseurs]
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Ne juge point, afin qu'on ne puisse te juger.
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Dans des moments comme ça, un homme peut baiser jusqu’au lever du jour  et toute la journée du dimanche. Dans les intervalles, je prends mon violon et je joue pour Sarie. Je l’accorde et je fais fondre les montagnes pour elle. Puis je me roule à nouveau sur Sarie, je l’accorde, je lui mets mon archet, et je joue d’elle comme si elle était un violon, jusqu’à ce qu’elle gémisse et qu’elle crie, de joie, de la musique à mes oreilles. Ça devient de plus en plus lent au fur et à mesure que le dimanche s’écoule, et à la fin vous êtes à plat, pourtant rien ne peut vous arrêter. Ça se passait comme ça entre Sarie et moi.
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Si l'optimisme était une maladie, Abel serait en soins intensifs.
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- Vous devez être un homme très heureux.
- Pourquoi ne le serais-pas? J'ai eu un tout petit peu de tout, dans ma vie - paradis et enfer. (Page 231)
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Je ne suis qu'un élément particulier du vaste dessin que tracent les générations, au cours des siècles, dans l'espace infini.
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Comment un gouvernement peut-il gagner une guerre contre une armée de cadavre ?
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Une liaison était un compromis : on échangeait le contrôle de sa vie contre de la compagnie.
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Presque par définition, les jeunes générations ont toujours été révolutionnaires. Sans quoi, il y a longtemps que le monde se serait fossilisé, pétrifié.
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C'est facile de mépriser le luxe quand il fait partie de votre vie, ai- je pensé cyniquement: tout aussi facile de considérer la pauvreté comme vertu quand on n'en souffre pas, ou d'exalter le martyre quand on est à l'abri de mille blessures naturelles.
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Je compare l’amour à un train lancé dans un voyage sans fin. Il effectue son parcours, que nous y ayons pris place ou pas. Je monte dedans pour une partie du trajet. A chaque gare, il y en a beaucoup, des gens montent et des gens descendent. Régulièrement, une femme entre dans le compartiment et nous le partageons pendant un trajet donné. Mais, tôt ou tard, nous arrivons à une gare où elle doit descendre.
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Tout ce que l’on peut espérer, tout ce que je puis espérer, n’équivaut peut-être à rien d’autre que ça : écrire, raconter ce que je sais. Pour qu’il ne soit plus possible de dire encore une fois : Je ne savais pas.
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Une fois dans sa vie, juste une fois, on devrait avoir suffisamment la foi en quelque chose pour tout risquer pour ce quelque chose (P. 329)
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Ce peut être la fin. Cette idée l'emplit de tristesse. On devrait pouvoir se laisser bercer, sans conscience du temps, au fil des jours, abandonné comme une algue devant la marée, mais on est toujours balayé, emmené au large.
Un aigle plane bien au-dessus des rochers et cherche une proie. Presque immobile, il reste suspendu dans les courants les plus forts, petite croix dans l'espace infini. Lui aussi, un de ces jours, tombera comme une pierre. Ce qui semble si lointain, devient tout à coup évident, immédiat. Demain devient aujourd'hui; aujourd'hui se mue en hier. Et la terre n'en est nullement troublée. Ce ne sont que graines de charbon emportées par le vent, soupirs insignifiants dans l'espace.
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Bleus foncés, bleus clairs, nous sommes tous des bleus.
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Le prêtre secoua sa tête grise.

- Je vous répète qu'ils ne savent pas. Vous ne me croyez pas? Je sais que c'est une chose terrible à dire, mais c'est vrai. Ils ne savent pas. Même quand ils tuent nos enfants, ils ne savent pas ce qu'ils font. Ils croient que ça n'a pas d'importance. Ils ne croient pas que nos enfants soient des êtres humains. Ils pensent que ça ne compte pas.
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