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Critiques de André-Marcel Adamek (81)
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Le maître des jardins noirs

Ce que j'aime dans Babelio, c'est ce cercle autour d'un livre, comme un caillou jeté dans l'eau qui provoque des ondes qui se propagent peu à peu chez d'autres lecteurs avec autant d'enthousiasme , bien loin du battage médiatique de certaines sorties littéraires ou du

classement de meilleures ventes ...



Chacun ensuite rajoute sa petite pierre .



Quand Quentin et Anaïs avec leurs trois enfants emménagent dans la maison d'un hameau perdu dans la campagne , ils sont loin d'imaginer que leur arrivée était attendue depuis longtemps et que leurs faits et gestes sont scrutés et commentés par le couple de voisins Simon et Rachel ; rien de bien étonnant quand on connait la nature humaine, curieuse avec parfois un fond de perfidie et de jalousie ...



Mêlant onirisme, légendes avec Bichelle et sa rencontre avec le cerf et histoires anciennes d'un village anéanti par la peste d'où ces terres noires à la réputation maudite , André-Marcel Adamek crée rapidement une atmosphère de huis clos où tout semble possible et capte le lecteur dans les mailles de son filet , et le lecteur s'y trouve bien attrapé et suspendu aux monologues alternés de Simon et Anaïs entre fascination et répulsion.



Chaque famille a ses blessures qu'elle tente de tenir à distance et ses fêlures comme le handicap de la petite Suzanne , l'image que l'on transmet aux autres n'est souvent qu'un pâle reflet de la réalité et on va , avec ce récit, de surprise en surprise .



Que reste-t'il lorsque l'on veut forcer le destin ?



Un trop court roman pour un récit fort , poétique, imagé et pourtant d'apparence si simple .





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Le maître des jardins noirs

Deux mondes s’épient dans un silence assourdissant.

L’un emménage à la campagne dans une vieille masure mal rénovée.

Il y a trois enfants : 2 garçons et une fille différente, le père en attente d’une greffe de cœur et la

Maman qui gère…seule.

L’autre : les voisins, agriculteurs, écrasés de solitude depuis le départ du fils qui n’a pas voulu reprendre l’exploitation.

Très très beau texte exprimant les silences, les non-dits, la solitude.

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Le plus grand sous-marin du monde

Adamek, je vous en avais déjà parlé, non ? « Le maitre des jardins noirs », notamment…

Eh bien, cet auteur belge n’a pas démérité dans ce roman ou plutôt ce conte pas si merveilleux que ça.





Nous sommes dans une petite ville côtière en France, côté Atlantique. Mais c’est loin d’être le paradis ! Après une suite de coups durs, genre marée noire et tutti quanti, le tourisme l’a désertée, et elle est le haut-lieu des ferrailleurs qui décortiquent les bateaux. Bref, la misère n’est pas loin.

Plus de pêche, plus de baignades, plus de jolies jeunes filles se baladant les seins haut perchés dans leur bikini.

Quoique…une jeune fille, il y en a une, mais elle ne semble pas très épanouie, car elle recherche curieusement à faire le tapin à la sortie des chantiers !





C’est autour d’elle et de deux autres belles femmes que se construit l’histoire.

Adamek plante ses personnages, fait intervenir les indispensables méchants sans lesquels l’histoire se la coulerait douce, met en scène des hommes de bric et de broc tous toqués d’une des femmes qui pour elle(s) s’allient et veulent le meilleur.

C’est sans compter sur l’arrivée d’un sous-marin géant, un russe, pour y mourir sous le scalpel des ferrailleurs. L’histoire, qui déjà commençait sérieusement à déraper, prend la tangente et nous entraine vers les hauts-fonds.

Adamek nous conte tout ceci avec fantaisie, tendresse et poésie, et même distille quelques notes de magie, notamment lorsqu’il parle des mots, lui qui sait si bien les manier.

La psychologie n’est pas très développée, mais là n’est pas la question. C’est plutôt l’humain qui prime, ici, l’humain avec ses faiblesses mais aussi les comportements qui font que l’homme est Homme.





Plein de pistes de réflexion pourraient être abordées, car c’est un roman multiple sous ses dehors bonasses mais le temps nous manque car c’est bientôt Noël, je vous laisse à vos cadeaux.

Pourquoi pas un roman d’Adamek ?

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Le plus grand sous-marin du monde

J'ai découvert ce livre par hasard : lors de la dernière opération de masse critique ce livre faisait partit de ceux qui n'avaient pas trouvé preneur. J'ai tout de suite été attiré par cette histoire originale et simple.



Ce livre était pour moi tout à fait inattendu : c'est un comte magnifique, une très belle fable. Il y a beaucoup de poésie dans ce roman.



Je l'ai dévoré en deux jours : les personnages sont des perdants, des désespérés, des épaves, qui se retrouvent dans cette ville de la côte belge sinistrée.



Les personnages sont très touchants : attachants. On les aime. On les plaint.

La poésie est partout, mais également la tristesse, l'ubuesque, et la symbolique aussi.



Une livre tout simple, mais profondément humaniste.



Je ne connaissais pas du tout cet écrivain (hélas décédé), mais c'était une perte. Je vais essayé de trouver ses autres romans.



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Le plus grand sous-marin du monde

C'est le premier livre que je reçois dans le cadre de Masse critique (et j'espère que ce n'est pas le dernier !) je tiens donc à remercier Babelio et Espace Nord qui m'ont permis, avec ce livre envoyé gracieusement, de passer d'agréables moments de lecture.

En effet j'ai apprécié ce livre qui nous emporte dans une cité balnéaire dont on peut dire que la pauvreté est sa grande caractéristique. Nous y suivons le destin de personnages attachants, souvent éprouvés par les épreuves de la vie : Max, Piou, Tone, la Goulette, Gil... Des personnages qui ont aussi des espoirs et que l'on a envie de soutenir. Le Saratov, ce sous-marin promis à la démolition, fait son apparition dans la cité et deviendra finalement un espoir pour la ville et, un peu plus tard, il véhiculera des désirs de liberté et d'aventure chez certains personnages.

Je ne connaissais pas cet auteur, c'est une belle découverte.
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Le plus grand sous-marin du monde

Saint-François-le-Môle, station balnéaire en déclin. N'ont survécu à la crise que les ateliers du ferrailleur Pouparakis découpant les vieux navires et le bistrot 'La méduse' avec sa réconfortante tenancière 'La Goulette', et où se retrouvent une délicieuse galerie de personnages qui m'évoquaient les films de Jean-Pierre Jeunet, Max à la poursuite des mots, Tone malade de désir pour la Goulette, Gil convaincu que sa copine Piou peut devenir mannequin, Kim, ado en fuite et Constantin Pouparakis qui vient de réaliser l'affaire de sa vie en rachetant au kilo la carcasse du Saratov, sous-marin russe désaffecté.



Et, comme d'habitude avec Adamek, l'écriture est agréable!

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Le roman fauve, tome 1 : Les rouges portes ..

La vie, pendant la guerre de trente ans, est bien compliquée.

Les alliances changent sans arrêt, les pauvres gens ne savent plus à qui se fier, en Lorraine.

Les personnages, fictifs, comme Branlemoine et Bouterolle entre autres, ou réels, comme Georges de la Tour, sont très attachants ou très malveillants.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre plein de beauté puisque voué à la peinture du XVIIème siècle et de cruauté puisque voué aussi, hélas, à la guerre.

J'entame la suite avec impatience.
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Le roman fauve, tome 2 : Les oriflammes du ..

Pour fuir à la fois la guerre et sa déconvenue concernant sa peinture, Thomas change radicalement de lieu et de métier.

Il s'installe à Tournai et devient maître faïencier.

Mais la vie ne lui sera pas aussi douce que ce qu'il espérait.

J'ai préféré le premier tome, ce qui explique l'étoile en moins.
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Le sang du gourou

Un coin perdu dans le sud, où la sécheresse ravage les vignes et le maïs, où l'on cherche à empêcher la naissance d'une bouche que l'on n'arrivera pas à nourrir.

Mais Marco naîtra, muet, ami des plantes et des oiseaux.



Se succèdent d'étranges lieux comme aime créer Adamek, une éducation au monastère, un chapelain et sa petite voiture sous le charme des deux soeurs, Annabelle et Lisa, une maison close, un cirque, une prison pour femmes, une secte un peu zoophile...



Belle écriture, érotisme latent et, si j'ai bien adhéré au début, j'ai trouvé ensuite l'inspiration un peu faible.

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Oxygène ou les chemins de Mortmandie

La prison de Mortmandie compte huit cents détenus, de sexe mâle, condamnés à des peines variant entre cinq et cent ans. Une seule visite annuelle y est autorisée.

A l'aube de chaque été, Martheline,Dieudonné et tant d'autres des collines se mettent en route. C'est une espèce de pèlerinage.
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Randah : La fille aux cheveux rouges

Randah, la fille aux cheveux rouges nous plonge dans la vie d'une tribu primitive dépendante de la nature environnante, dont les caprices peuvent être une source de vie comme une menace meurtrière. L'homme vit au rythme des saisons, qui constitue ses seuls repères temporels. Ainsi, Randah est née en "cette saison de paix où les arbres changent de couleurs, et compte son âge en saisons de glace".



Y sont abordés des thèmes divers et universels: la place de la femme dans la vie de son peuple, la domination masculine permanente, la lutte pour la survie, pour le pouvoir, et la violence dans les affrontements entre les peuples...autant de problématiques qui sont toujours d'actualité de nos jours.



L'auteur n'a pas vraiment situé son récit, que ce soit géographiquement ou temporellement. Les frontières ainsi balayées soulignent le caractère universel du roman et des thématiques que j'ai évoquées plus haut. Cela n'est pas indispensable pour la compréhension du récit, cependant cela m'a un peu perturbée pendant ma lecture car j'essayais de deviner en permanence un lieu (au moins un continent !) et une époque (même vague) où imaginer l'histoire. A l'heure actuelle les hypothèses se bousculent toujours dans mon esprit.



En bref, un petit livre qui a, l'air de rien, beaucoup de choses à dire !
Lien : http://feuilletine.canalblog..
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Randah : La fille aux cheveux rouges

Randah est née à l'époque des chasseurs pêcheurs, et son histoire est contée avec beaucoup de détails mais aussi une belle poésie. Ce roman, écrit pour les jeunes, m'a beaucoup touchée.
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Randah : La fille aux cheveux rouges

Randah nait dans une tribu primitive de chasseurs-cueilleurs. Comme elle a les cheveux flamboyants de rousseur, son père, le chef, la prénomme Randah Liké Nahoma, ce qui signifie fille aux cheveux rouges. Seize saisons de glace plus tard, Randah est devenue femme. Son coeur bat pour le beau Bankah, le meilleur pêcheur de la tribu. Mais son frère, devenu chef à la mort de leur père, a d'autres projets pour elle...



"Mon petit royaume a changé d'âge."



Voici un sujet particulièrement original et rarement traité en littérature jeunesse. L'auteur nous convie à un plongée dans la Préhistoire et nous propose d'assister, de l'intérieur et en accéléré, à une véritable aventure humaine, celle de la "révolution néolithique", processus progressif qui est survenu à des dates différentes selon les régions. Le Néolithique débute au Proche-Orient vers 9000 ans avant J.-C et prend fin avec la généralisation de la métallurgie et l'invention de l'écriture, vers 3300 avant J.-C.. Ici, par nécessité narrative, l'auteur ramène cette lente évolution à l'échelle de la vie de Randah, la narratrice, que nous suivons de sa naissance à ses 50 ans. Nous la quittons au moment où son peuple découvre le bronze.

Si la vie est particulièrement rude, les hommes devant lutter non seulement contre les éléments naturels, les bêtes sauvages mais également contre les assauts d'autres tribus belliqueuses qui convoitent leur territoire et ses richesses, cette période est aussi celle de découvertes cruciales pour l'humanité. De chasseurs-cueilleurs nomades, les hommes vont progressivement se sédentariser, devenir agriculteurs-éleveurs. Ils vont découvrir les arts: la céramique, la musique; apprendre à voguer sur l'eau, à construire des maisons de pierre...





Dans cet univers dominé par les hommes, Randah aura un destin extraordinaire et mènera son peuple vers davantage de "connaissance, d'hospitalité et de paix". Elle sera guidée par un joueur de flûte, sorte de guide spirituel quelque peu visionnaire qui, non seulement, par sa musique, libèrera les hommes de leurs frayeurs, mais lui livrera, avant de "disparaitre", quelques vérités universelles:



"Le choix de la guerre est toujours néfaste. La musique, un jour peut-être, libérera nos frères de leurs instincts violents."



"(...) l'or? Un métal jaune et brillant qui conduira tous les peuples du monde à leur perte."



Avec un langage vrai, sans fioriture lorsqu'il évoque les rapports homme-femme, l'auteur belge, André-Marcel Adamek, nous livre ici un récit d'aventure captivant où se mêle savamment fiction, (Pré)Histoire et réflexions sur l'Homme, les choix qu'il pose et ses conséquences sur l'avenir de l'Humanité.



Voilà bien un titre qui devrait réconcilier les ados et leurs professeurs...


Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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Retour au village d'hiver

A 17 ans, Gilles décide de passer ses vacances d'hiver à Valdaine pour tenter de découvrir la vérité sur son père, luthier miniaturiste, disparu en montagne 15 ans plus tôt.



Sa mère vient de décéder et il s'est un peu rabiboché avec son beau-père, l'architecte Martin dont la fille Flo est très proche de Gilles.



Ecriture agréable, intrigue plaisante qui m'évoquait un ouvrage pour public jeune ado.

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Retour au village d'hiver

J’ai découvert Adamek en me régalant de « L’oiseau des morts » qui reste sur ma table de chevet pour une ou plusieurs relectures.

Je découvre « retour au village d’hiver » dans l’attente d’une suite des légendes ardennaises, d’un monde hors de l’ordinaire.

Ce ne sera pas cela et cela explique une certaine déception…..Malheureusement, nous cataloguons nos plaisirs et avons difficile de sortir du moule.

Je sors du moule. J’ai apprécié cette lecture, j’aime l’écriture d’Adamek. L’histoire est simple : un enfant perd son père dans des circonstances étranges, sa mère se remarie, il y a plein de non-dits. Puis il part à la recherche….

J’écris peut être des bêtises, mais j’ai pensé à Thyde Monnier….mais qui connait encore cette écrivaine….que je relirais bien.

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Retour au village d'hiver

Alors que le printemps montre enfin le bout de son nez en remontant les températures, André-Marcel Adamek nous entraîne en montagne, dans le froid de l’hiver. Gilles, jeune homme orphelin de son père depuis l’âge de deux ans, retourne au village d’hiver où Jean-Baptiste semblait le plus heureux : il y sculptait de minuscules violons, faisait de longues marches, connaissait très bien la montagne et pourtant il a disparu à jamais et personne n’a jamais su ce qui lui était arrivé. Sa femme, qui ne se plaisait pas à Valdaine, est retournée vivre définitivement en ville et s’est remariée avec un homme pas plus mauvais qu’un autre, au contraire, mais que Gilles a décidé de détester avec insolence. Il s’entend pourtant bien avec Florianne, la fille de son beau-père. L’atmosphère familiale étant trop lourde, Gilles est parti terminer ses études secondaires loin de ses parents. C’est à ce moment que Suzanne tombe malade et meurt sans avoir pu parler avec son fils. C’est alors que celui-ci part sur les traces de son père et retourne à Valdaine. Il y rencontrera plusieurs personnes qui ont connu soit le père, soit la mère et il sera aidé par Florianne et aussi par Nora, la mystérieuse fille de l’aubergiste.



J’ai lu des avis un peu déçus sur Babelio, mais ma découverte d’André-Marcel Adamek avec ce titre ne m’a absolument pas déçue. Retour au village d’hiver est une histoire qui peut paraître un peu désuète, de par son sujet et son traitement classique mais j’ai justement apprécié cette recherche de Gilles sur son enfance, ses origines, j’ai aimé parcourir le village avec lui et retrouver la chaleur de l’auberge au temps de Noël. Je n’ai pas lâché le roman avant d’avoir pu connaître le secret de cette famille (que je n’avais pas vu venir), j’ai aimé cette histoire simple, j’ai aimé l’écriture fluide, élégante de l’auteur que je retrouverai avec plaisir dans d’autres oeuvres. Si vous avez un conseil à me donner, je suis preneuse !
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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Retour au village d'hiver

« Son périple lui avait appris la complexité des êtres, leur fragilité face aux coups de boutoir de la destinée. Nul n’est exactement le reflet qu’il donne, ni son contraire ».

En effet. Je suis entièrement d’accord avec Adamek, ce romancier belge aux nombreux prix, que j’apprécie particulièrement.



Mais ici, j’ai été déçue, très déçue. La complexité des êtres ? Ce tout petit roman n’a pas eu le temps d’en faire le tour, en tout cas. Tout m’a semblé trop simpliste, trop vite dit, trop peu expliqué. Les relations ne sont qu’esquissées ou alors assénées comme une conclusion péremptoire.

Gilles a 16 ans et à la mort de sa mère, part sur les traces de son père disparu lorsqu’il avait deux ans. Il retourne donc au « village d’hiver », dans la montagne, d’où son père est parti pour ne plus revenir. Il découvrira petit à petit une vérité à laquelle il ne s’attendait pas.

Enfin, je dis « petit à petit », mais non ! C’est plutôt au pas de charge que tout nous est conté.

Je n’ai pas retrouvé non plus le style si particulier à Adamek, j’ai buté sur de nombreux stéréotypes.

Où est le romancier si poétique, si sensible, si fou du « Fusil à pétales » ?



Ce roman est censé être destiné aux ados. Je me demande quel ado, même fragile, même complexe, pourrait encore l’apprécier aujourd’hui.

Donc je n’irai plus m’aventurer dans ce village, même en été.

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Un imbécile au soleil

Un roman très fort. C'est très bien écrit, souvent très drôle mais aussi parfois très amère... Une histoire de Crusoé moderne et de "rédemption".
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Un imbécile au soleil

Oh Ananas, sweet Ananas Beach

Nul n'est plus heureux qu'un imbécile au soleil

Oh Ananas, sweet Ananas Beach

Au bord de l'eau dès mon réveil !

Ce livre nous emporte dans une île magique, sous la guidance de Deliré Maïké (excusez l'orthographe : j'ai lu ce livre en audio !). Cette délicieuse petite Indienne nous fait entendre la musique du fleuve, caresser le doux sable blanc, sentir l'odeur de la mer, goûter des fruits inconnus.

Ah oui, cher Adamek, je comprends que de vivre si longtemps sans pluie, cela peut devenir monotone !

Un sacré beau livre !
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Un imbécile au soleil

C'est un genre de Robinson Crusoé qui se fait débarquer sur une île sud-américaine avec des souvenirs (de Jeanne et de trafic avec les boches) qu'il tente d'oublier et l'ambition de se lancer dans la culture des ananas, loin de la capitale Tajavar du Paradis avec ses désirs d'exploitation géologique mais proche d'un village d'indiens complètement isolés du monde, leur chef Lakohé, les deux soeurs Maïké et Kilé...



Adamek a l'art de créer une histoire à la limite du farfelu dans un contexte tout à fait crédible. le début était vraiment beau!

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