Davy Mourier

La Petite Mort est un enfant comme les autres, qui va à l'école, qui fait ses devoirs... seulement, la Petite Mort c'est aussi l'enfant de Papa et Maman Mort, une future Faucheuse. Dans cette petite bande-dessinée, Davy Mourier nous raconte les histoires loufoques de la Petite Mort. Tout d'abord, il faut savoir que Davy Mourier est un comique, qui participe à des émissions comme le Golden Show, le Golden Moustache... C'est un sacré personnage, qui s'est raconté dans sa bande-dessinée autobiographique 41 euros pour une poignée de psychotropes, que j'ai lue il y a quelques temps.



J'ai attendu quelques temps pour lire celle-ci, même si j'avais énormément adoré la première. La Petite Mort m'a beaucoup plu également, je me suis bien amusée. C'est bourré d'humour (noir) et j'adore ça ! Le personnage de la Petite Mort est très attachant : il veut devenir fleuriste, plutôt que de faucher les gens. J'ai trouvé ça très rigolo et, en quelques sortes, très mignon.



Les planches sont à la fois touchantes et cyniques, un mélange qui rend l'ensemble très réussi.



Je sais qu'un second tome va sortir dans quelques mois, et je suis presque certaine de poursuivre l'expérience avec les aventures de la Petite Mort, parce que c'était très sympa !
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Je ne m'attendais à rien en prenant ce livre au hasard à la bibliothèque et j'ai donc été surpris par ce récit sur les zombies complètement décalé. À commencer par Michel, le personnage principal, qui est un idiot profond dans tous les sens du terme.

Lorsque les zombies envahissent les environs, Michel trouve refuge chez Jean-Philippe, un écrivain homosexuel. Un choc pour Michel qui, en plus d'être idiot, est un parfait homophobe !

Une histoire plutôt étonnante due essentiellement à ce personnage de Michel qui est un beauf patenté - très stéréotypé il est vrai.

Un récit très prenant au final car les auteurs arrivent à distiller des situations incongrues ainsi que des dialogues cocasses entre ces deux individus que tout oppose. J'étais perplexe également sur la conclusion de ce récit mais la fin est à l'image du récit : étonnant et décalé.

Un humour qui rappelle un peu Kaamelott avec un personnage pas très futé et un autre qui subit un peu sa bêtise ; mais c'est surtout une manière singulière de parler d'homophobie sans se prendre au sérieux pour les auteurs.

Il a fallu deux mois après la sortie de la BD pour que je la reçoive ENFIN. C’était très long, et la partie de ping pong avec le transporteur et les gens de chez Exemplaire semblait sans fin.



Une fois que j’ai eu le livre dans les mains, j’ai été étonnée du format : un livre assez petit, mais très épais. Beaucoup de contenu, beaucoup de couleurs… L’investissement en valait clairement la peine par rapport au bel objet que c’est !



J’ai adoré la diversité graphique présente au sein de ce livre. Illustrations en pleine page et en couleurs, petits strips sous forme plus conventionnelle et en noir et blanc… On voit que l’auteur a exprimé ses pensées de manière très créative et variée, c’est un vrai plaisir de tourner les pages sans savoir à quoi ressembleront les suivantes.



J’ai été surprise par la profondeur de cet ouvrage. Je connais Davy et son humour, or, il est question de sujets très profonds dans « Le monopole du doute » : anxiété, dépression, peur de la mort, difficultés à se projeter dans une relation amoureuse… L’auteur fait intervenir l’humour par moments, mais ce livre est bien loin d’être drôle à lire. Il est fort, bouleversant, juste, et fait énormément réfléchir.



En bref : une belle claque visuelle et émotionnelle. Bien évidemment, j’ai pleuré, mais j’ai surtout passé un moment à me questionner sur moi et sur mon rapport au monde. Les livres qui font autant réfléchir sont les meilleurs !



Petite ombre au tableau : lorsqu’il reste quelques fautes d’orthographe ou de syntaxe dans un livre, c’est assez désagréable, mais c’est compréhensible. Ici, il y en avait quand même beaucoup, ça aurait mérité une ou deux relectures de plus (même si je suis la première à ne jamais me relire parce que c’est long et chiant).
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Un dernier tome en demi-teinte. J'ai beaucoup aimé le parti pris écologique développé tout au long du tome. Certains passages, dignes d'une dystopie, m'ont vraiment fait penser à Cadavre exquis d'Agustina Bazterrica. Je suis beaucoup plus mitigée sur les détournements des romans photos. On ressent le délire entre potes mais personnellement je n'ai pas compris l'apport à l'histoire.

L'humour oscillant entre ironie, cynisme et malice est toujours très bien mené.

Un second tome tout aussi bon que le premier, on retrouve la petite mort qui grandit, entre au collège, a un nouveau compagnon et découvre un secret de famille qui va s'avérer plutôt dévastateur.

Encore une fois les supports visuels sont très variés : publicités, modes d'emploi, BD home made, paquets de céréales. Les références foisonnent, l'humour est toujours aussi décapant et recherché dans les jeux de mo(r)ts. Vous rencontrerez un tutoriel pour le suicide, une licorne-sirène, des rébus, des souvenirs de fauche imaginaire, de l'amitié et la vie qui continue et parfois s'accélère.

Encore une fois un très bel objet livre et une très chouette histoire à suivre. J'irai sans nulle doute lire le tome 3.

Très honnêtement, ce n'est pas une BD que j'ai acheté pour moi, ou même que j'aurai pensé à me prendre. C'est mon mari qui se l'est pris pour lui, et moi je lui pique (question d'habitude).

Davy Mourier est un humoriste, à l'humour noir généralement. Ici, je parlerai de changement de registre. Il aborde toujours des thèmes délicats, mais avec une sensibilité bien différentes. On est plus dans la pudeur et l'émotion. Sans provocation et plus en nuance et en sous-entendus.



Nous suivons un jeune garçon qui vit seul avec sa mère, très croyante. Elle se réfugie dans la religion catholique pour trouver un apaisement qui lui manque. Son fils lui, cherche des réponses. Pourquoi son père est-il parti ? Pourquoi sa mère est-elle si triste ?



Petit à petit, on comprend que le papa de Tao est homosexuel. Il est parti de la maison et refait sa vie avec son petit copain, mais la mère de Tao ne l'accepte pas. La religion ne l'autorise pas. Elle ne sait être qu'une épouse, alors si son mari est parti, qu'est ce que cela signifie ?



Cette BD aborde beaucoup de sujets et sans jamais juger - ce qui n'est jamais facile. La fin de l'histoire, on l'ignore un peu. On apprend juste qu'ils ont trouvé un équilibre et que Tao semble plus heureux.



Une magnifique bande-dessinée que je vous recommande. Un bon moyen, entre autre, d'aborder les sujets de la famille, de la religion, de l'homosexualité etc.
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Je m'attendais à une BD légère à l'humour facile, mais Super Caca propose un univers très bien pensé, des personnages attachants, un humour surprenant et audacieux et un imaginaire débridé.

J'ai éclaté de rire et le scénario m'a accroché !



En bonus, on peut sentir la bonne odeur de Super Caca via un autocollant olfactif (Mmmm) et décoller des cartes de collection à la fin de l'album.

Ces petits extras ajoutent un côté ludique à une BD déjà bien fun.

Puisqu'il a beaucoup de points communs avec le premier tome, je ne vais pas m'étendre sur le sujet.

On retrouve notre chère petite mort pour sa période adolescente. La voilà en pleine crise d'ado, qui entre au collège et qui découvre les joies des trahisons amicales, des déceptions amoureuses et ce rejet permanent qui est fait autour d'elle.

L'humour noir est toujours aussi présent que dans le premier tome, et les caricatures cyniques des publicités sont toujours aussi parlantes et cinglantes. Les personnages sont toujours aussi attachants, et un nouveau personnage débarque : le grand-père de la petite mort. Celui-ci a refusé de faucher sa dernière âme... Et voilà que toute décision a ses conséquences. Et c'est un thème que l'on retrouve assez implicitement dans ce second tome. Les choix, ses conséquences et les regrets qui peuvent en suivre...

Mignon, léger, et drôle, voilà une suite à la hauteur de son prédécesseur ! (Et l'objet en lui-même est, une fois de plus, très beau ! La superficialité c'est mal, mais on l'est tous !)
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"Le monopole du doute" de Davy Mourier.

Ce n'est pas première fois que je lis une de ses Bande-Dessinée. J'ai poncé toutes les Petites Mort mais également ses autres BD biographique ou Super Caca. J'ai également vu de nombreuses de ses vidéos sur Youtube, que ce soit quand il en faisait avec Poulpe ou aujourd'hui avec Bad News.

Ce livre précisément est une biographie sur ses doutes et ses relations amoureuses principalement. Egalement la peur de la découverte et le fait d'être un grand enfant qui a l'impression de ne pas savoir comment vieillir.

Cette BD est vraiment touchante et on en apprend plus sur Davy.

Une très bonne lecture et une chaude recommandation pour tous les fans de Mourier.



(10/10)

Une BD informative, une sorte de tutu sur l'industrie du sexe, une YouTubebd en quelque sorte. C'est vrai, on y apprend plein de choses, il ne faut pas s'attarder sur la qualité du graphisme, mis plutôt sur les petites infos disséminées un peu partout et les rencontres avec de vraies travailleuses du sexe qui parlent sans complexe ni censure de leur boulot et de la rémunération. Il y a une comparaison intéressante avec le fait de manger un bon burger issu d'une vache tuée de façon dégueu....

La couverture est trop mignonne!

Quel jour important! Le Grand Tout a décidé que papa et maman Mort allait avoir un petit enfant « né » pendant l’émission de JL Reichmann à la télé. Son nom, La Petite Mort. Son destin, devenir Faucheuse, comme son papa.

Mais il doit quand même aller à l’école comme les autres… il aimerait aussi devenir fleuriste.

Mais il n’est pas comme les autres, il a un physique de petite Faucheuse, il est sans filtre et parfois morbide avec ses camarades.



C’est de l’humour noir, mais que c’est drôle!

J’ai adoré suivre l’apprentissage macabre de Petite Mort, sa naïveté , son franc parler qui crée des situations tellement cocasses.

Moi qui n’apprécie pas plus que ça les BD, j’ai trouvé que la mise en forme était hyper originale.. on trouve des grosses bulles avec des fausses pubs.

La maman Mort nous montre son album de famille, les photos de son nouveau-né, c’est vraiment drôle.

C’est cynique à souhait, j’ai adoré.

Quelle bonheur de retrouver chaque année un nouveau Tome de cette fabuleuse BD. Que vive "la petite mort" ! Un humour décapant, dans la veine des premiers tomes. Davy Mounier a du talent ! Un régal cette petite qui prend le lead sur la grand tout...puis les pubs sont énormes.

Chaque lecture d'un tome de la petite mort est à la fois réjouissant et déprimant. Davy Mourier manie l'humour noir, l'ironie et l'acidité comme personne. Ce tome revisite les choix de la petite mort au premier tome initial. La revoilà confrontée à ses envies de devenir fleuriste, d'avoir des copains et d'être comme tout le monde. Mais la grande fauche et son destin la rattrape. Qui de Sephi, son mignon petit chat, ou de Ludo, son meilleur ami cancéreux, survivra aux choix de la petite mort ? Se fera t'elle d'autres copains ? Arrivera t-elle à assumer ses choix sans décevoir ses parents ?

Entre les thèmes de la honte, du harcèlement, des réseaux sociaux, quelques tranches de rire caustiques attendent le lecteur.

Voici l'ultime tome de la trilogie de l'humoriste Davy Mourier. Un tome toujours noir et cynique, mais avec plus de réflexion.

La Petite Mort a grandit, bien contraint et forcé, et se retrouve avec un emploi et une famille à gérer sans avoir réellement eu le temps de grandir.

Au fil des pages, la petite Mort va s'interroger sur la vie, la mort et surtout sur le destin. Est-il écrit d'avance ? Peut-on lutter ?

Entre une femme avec qui rien ne va, et un enfant plus faucheuse qu'elle ne le sera jamais, la Mort se sent bien seule.

Entre deux gags, beaucoup de gravité.

Dans l'ensemble j'ai trouvé ce troisième tome un peu en-dessous des précédents, mais avec une réflexion plus immédiatement visible et accessible. Cet opus oure également une nouvelle vision des premiers tomes qu'on observe avec plus de recul et en s'attardant moins sur l'humour "facile" que l'on lit immédiatement.

En bref ? Une trilogie à lire.

Je l'avais déjà lu il y 1 ou 2 ans mais la série qui est sortie récément m'a donné envie de relire cette petite merveille!

On y suit la Petite Mort qui doit apprendre à faucher les âmes.

Elle va à l'école comme tout le monde mais il lui est difficile de ce faire des amis puisqu'il faudra peut être qu'elle les fauche plus tard.

J'ai adoré l'humour noir, les personnages, bref tout!

Une super BD!

Une excellente bande dessinée que mon amis m'a fait découvrir ! J'aime l'univers de l'auteur et son humour ! Très original ! Un réel coup de coeur ! Je découvrirais très prochainement la suite, sans doute ! ;)

Cynique, parfois bête et méchant à souhait.

Un trait simple, rond et efficace.

Une histoire qui balance sans chanter faux (et ce, même sans connaître la petite mort, précédente trilogie).

De quoi être mort de lol.

Commençons par planter le décor: il y a Papa Mort, toujours sur les routes à faucher les âmes pour le compte du Grand Tout, tel un zélé VRP. Ensuite, voilà Maman Mort, brave petite femme-squelette qui prend soin de son doux foyer. Enfin, voici notre héros (ou héroïne), j'ai nommé Petite Mort, apparu(e) grâce aux pouvoirs du Grand Tout déjà cité plus haut, et qui doit à la fois aller à l'école et apprendre les rudiments de sa future condition, même si ça ne l'enchante pas vraiment. Ajoutons un poisson qui sert d'interphone et un chat roteur, et vous voyez un peu le genre... Un album décalé, où le cynisme côtoie un humour noir quelquefois vraiment irrévérencieux. On sourit, on fait "Rhooo", on sourit encore. C'est drôle, caustique, inventif. De plus, l'objet-livre en lui-même est très réussi: petit, noir, cartonné, avec un toucher de velours... Un plus, vraiment. N'hésitez pas à ouvrir cette BD qui conviendra aux ados et aux adultes.

Davy Mourier nous dévoile ici un album atypique, entre BD et dessin de presse qui, sous couvert d’humour un peu idiot et philosophique nous offre une réflexion pertinente sur nos comportements à tous.
Lien : http://www.bdencre.com/2016/..

Un album inédit, original et qui devrait encourager la création.
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