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Critiques de Dominique Loreau (208)
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L'infiniment peu

Livre petit par sa taille mais grand par ses idées.
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L'art des listes : Simplifier, organiser, e..

Un livre sur les listes.

Moi qui en fait plusieurs, je ne pouvais que m'y intéresser.



Le titre "Les listes, simplifier, organiser, enrichir sa vie" est un peu trompeur avec le mot "simplifier". L'auteur propose tellement de suggestions de listes à faire que l'on peut en ajouter à l'infini et ce n'est plus de la simplification ;-)



Sympathique lecture un peu différente mais peut-être un peu lassante...
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

Mon avis sur ce livre a été au départ extrêmement mitigé. J'éprouve toujours une grande méfiance vis à vis des occidentaux qui essaient coûte que coûte de transformer certaines notions de spiritualité asiatique en méthodes « clef en main ». Avec le temps cependant, je dois bien admettre que j'ai repensé plusieurs fois à ce livre depuis sa lecture en 2005.



Après tout Dominique Loreau parvient à éviter quelques pièges récurrents dans ce genre d'adaptation à la méthode pratique. Cela vient sans doute du fait que, concernant l'Asie, l'auteure a vécu suffisamment longtemps au Japon pour « savoir de quoi elle parle ». Son expérience est très significative et donne une assise solide à son exposé.



Il existe cependant des maladresses, notamment cette sensation permanente du livre « écrit par une femme pour d'autres femmes ». D'où un sentiment de va et vient permanent entre l'essentiel et le futile, qui déroute régulièrement. « Le diable est dans les détails » semble penser Dominique Loreau, mais parfois, ces derniers finissent par « encombrer » une démarche dont l'objectif était à priori tout le contraire, soit une recherche de simplicité et de fluidité.



« L'Art de la simplicité » est donc un livre ô combien pragmatique, pour le meilleur et pour le pire.

Après tout, Dominque Loreau a l'immense mérite d'avoir pointé en temps et en heure l'immense bénéfice que nous aurions à revenir vers un style de vie du type « simplicité volontaire ». Et de ce point de vue, le livre répond à nos attentes. C'est un vaste tour d'horizon, très complet, qui est accompli par l'auteure, à qui rien n'échappe : Maison, ameublement, rangement, hygiène, beauté, alimentation, relations ou santé mentale. Cet inventaire à la Prévert a somme toute son mérite. Il semble démontrer que, pour retourner à la simplicité (ou la conquérir), la partie peut commencer à tout instant, dans n'importe quel domaine. Cessons de nous presser le citron avec mille interrogations théoriques et intellectuelles aussi stériles que futiles : il faut passer à l'action. Où ? Ici et maintenant, tout de suite, et dans les gestes les plus simples de la vie quotidienne. C'est là sans doute l'idée la plus « séminale » du livre. On le savait déjà depuis longtemps, lorsqu'il faut passer aux applications pratiques... les femmes ont souvent un temps d'avance sur les beaux parleurs que nous sommes.



On pourra parfois critiquer l'aspect « recettes en vrac » du livre mais que pour mieux revenir, à tête reposée, sur les principes de vie sur lesquels il s'engage. De ce point de vue, qu'y aurait-il à redire ?

Dominique Loreau va dans le bon sens, je n'en doute pas un seul instant. Il ne restera plus aux uns et aux autres qu'à faire la part des choses et de se poser la seule question qui importe véritablement : Pourquoi désire-t-on simplifier sa vie ? N'est-ce qu'une façon parmi tant d'autres de pratiquer l'art de la fuite ou est-ce l'envie, plus exigeante, d'aller à l'essentiel afin, d'enfin, « vivre avec le monde ». Car en Occident, l'idée selon laquelle il faut renoncer en partie à son « ego » et à son perroquet, le mental, afin de devenir enfin « soi-même », n'est populaire que dans le discours. Les méthodes se succèdent mais le désir enfantin de « toute-puissance » s »y adapte en permanence.



Quoi qu'il en soit, ce n'est plus la sincérité de Dominique Loreau qui est alors la question, mais tout simplement la notre.
Lien : http://feuilles.de.joie@gmai..
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

L'art de la simplicité est un livre profondément utile puisqu'il fait réfléchir, notamment à sa manière de vivre. L'auteur s'attache à désencombrer sa vie afin de vivre simplement et donc mieux. Il m'a semblé pourtant parfois trop extrême : chacun doit y trouver le degré qui lui convient.
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L'infiniment peu

Cet opuscule se lit d'une traite, et ouvre un chemin nouveau. La mise en pratique ne parait pas aussi simple que la lecture - comme souvent ! - mais, l'enjeu semble suffisamment attractif et libérateur, pour éveiller le désir de s'y engager.
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L'art de la frugalité et de la volupté

Fini les agapes, les excès, le Champagne et le foie gras, c’est le temps des résolutions, je vous avais promis un livre pour les lendemains de fête : le voilà (Dominique la bloggeuse qui se préoccupe de votre santé)

On mange trop, voilà le premier constat, la source de beaucoup de nos maux, d’accord mais alors un régime ? triste triste vous en conviendrez, alors partons avec Dominique Loreau au pays de Frugalité et Volupté.



Son livre est bourré (sans faire grossir pour autant) de conseils, trucs et astuces pour manger ...moins et mieux.

Toujours inspirée par le Japon, l’auteur nous propose sa sagesse orientale propre à vous réconcilier avec votre corps et on est plus proche dans ce livre d’un art de bien vivre que de recettes pour perdre du poids.

Quelques titres pour vous appâter

Comment faire des petites portions un mode de vie

Eloge des petites tailles : vaisselle, tables ...

Se contenter de demi-mesures et compter ce qui fait son bonheur

Se sentir vivre

C'est l'occasion de découvrir l’art du o bento (des recettes et du matériel)

Certains sont des conseils très connus donc là je passe mais ...d’autres le sont moins : se simplifier la vie, préparer de petites portions ( ça me va bien moi qui suis incapable de trouver la bonne quantité et qui ensuite pense : oh allez il faut le finir ! )

La mode du o bento rend bien service pour s’obliger à réduire les quantités et pourquoi ne pas s’en servir tous les jours et pour tous les repas et pas seulement pour emporter au travail. Vous pourrez aller piocher dans les recettes Lunch Box qui sont très appropriées.
Lien : http://asautsetagambades.hau..
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L'art de la délicatesse

Dominique Loreau est connue dans le monde des « maitres de l’organisation » notamment grâce à ses « Kakebo », des petits livres édités pour tenir ses comptes et son livre « l’art de la simplicité ». Un jour de nouvel an foireux, j’avais pris la bonne résolution d’être organisée, j’avais cherché LA méthode miracle (c’était en 2016 et j’ai toujours pas trouvé 😉) et j’avais retenu ce nom… Je suis tombée récemment sur ce livre dans la bibliothèque d’une amie et poussée par la curiosité, je l’ai ouvert.



L’art de la délicatesse… ou l’art du luxe. Oui, je m’attendais bêtement à lire un petit essai sur le plaisir de sentir une rose, d’admirer ses pétales ou des conseils sur comment bien profiter de son petit café tranquilou sans mari/enfant/chat/téléphone pour rompre ce délicat moment de grâce et de solitude qui n’avait commencé que trois secondes auparavant.



Je ne vais pas être très sympa (parce qu’il y a tout de même des idées pas chères dans le bouquin) mais Dominique Loreau tourne en rond sur sa propre idée du luxe, qui va de profiter d’une matinée d’oisiveté à Marylebone (à Londres) à prendre le Shinkansen la clope au bec et le saké à portée de main, en passant par s’offrir un porte-monnaie Hermès ou un manteau luxueux sur un coup de tête. Une amie à elle, artiste désargentée selon ses propres mots, s’offre tous les printemps quelques semaines de vacances en Sicile. Du coup je me demande : vous avez vu passer des postes « d’artiste désargentée » sur Pole Emploi ? parce que j’enverrais bien mon CV !



Bref, je ne nie pas que l’idée de départ du bouquin est intéressante : s’alléger matériellement, acheter de qualité, se contenter de peu, etc… mais si au début j’ai été un peu intéressée, je me suis ensuite demandée ou était cette frugalité tant vantée quand on voyage tout le temps en avion long-courrier, qu’on va manger au restaurant souvent ? Effectivement, être minimaliste est plus facile à vivre avec la perspective de grands voyages, de week-ends dépaysants et d’expos toutes plus fascinantes les unes que les autres mais n’est-ce pas une autre forme de consommation (bien plus polluante qui plus est !) ? Ah non Madame s’en défend, elle n’est pas une vulgaire touriste qui s’offre « une croisière discount sur la Méditerranée », madame est une voyageuse ! La différence ? La voyageuse a un but, qui, apprend-t-on en lisant le livre, est de découvrir quelque chose qu’on ne verrait pas ailleurs. Ah oui ça rend ses lettres de noblesses au Voyage ça, loin des gueux et de leur caravane/claquettes/pastaga.



Pas du tout convaincue par ce petit ouvrage…

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Aimer la pluie, aimer la vie

Petit livre épuré.

On y retrouve une délicatesse d'écriture propre à Dominique Loreau et c'est toujours agréable.

Lu le long d'un voyage où les vitres du train ruisselaient avec les mots ce qui a rendu la poésie de l'eau très concrète.

Tissé dans la trame de ses mots à elle beaucoup de citations des mots des autres. Un livre un peu mélangé et parfois confus dans sa construction.

Dentelé.
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L'art de l'essentiel

Ce week end, j'ai pris des livres un peu au hasard dans ma PAL. Le seul critère était qu'ils soient rapide à lire, car je savais que dès lundi je récupèrerais un roman de lecture "imposé".

Je me suis donc lancé dans ce guide Zen. Comment est il arrivé sur ma PAL : aucune idée. Mais il était là, attendant que je m'y plonge.

Ce que j'ai fait pendant 2 ou 3 jours. C'était une lecture assez plaisante et qui à mon avis permet de relativiser beaucoup de nos attachements matériels ; à condition évidemment d'accepter certains commentaires., ou d'être déjà déjà assez proche de ce type d'idéologie.

Parce qu'il faut avouer que j'ai rapidement trouver ces sentences assez dogmatiques, et surtout jamais justifiées !

Du genre : il faut désencombrement notre habitation car les objets mêmes si on ne les voit pas, encombre notre esprit ; ou ; nous nous sentons mieux quand tu devons séjourner à l’hôtel car nous ne disposons que de peu d'objet personnels avec nous. Malheureusement, ce genre de vérité n'est absolument pas la mienne. Donc la première fois que je la lis, je me dit pourquoi pas, la seconde ça me fait sourire, et à la troisième je soupire en levant les yeux aux ciels. J'apprécie qu'on me justifie ce type de déclaration, et là ce n'est pas le cas.

Malheureusement, à force de répétition de ce genre, j'ai plutôt eu l'impression de lire un essai de propagande assez sectaire.



Et surtout, il semblerait que Dominique Loreau et moi même n’ayons vraiment pas la même notion de ce qu'est l'essentiel. Pourtant, au départ cela semblait assez bien défini : de quoi s'abriter, se vêtir et se nourrir.... Mais dans le chapitre sur la mise en pratique, certains exemples concrets tombaient sous le sens, alors que d'autres m'ont juste fait halluciner ! Parmi les essentiels il y aurait les pendentifs en diamants !!!! Et là, je dois avouer que je reste très songeuse.



Je ne retiens donc de ce livre, que la première partie, qui contient beaucoup de questionnement sur la définition de ce dont nous avons besoin pour vivre, mais c'est bien le questionnement et le cheminement de réflexion qui m’intéresse. Pour moi le reste du livre, n'est plus qu'une réponse à ces questionnements personnelle à l'auteur qui malheureusement gâche un peu la question.
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Mon Kakebo 2019

Depuis le temps que j'attendais d'avoir le Kakebo de Dominique Loreau... Me voici un peu déçue.

Le format à complètement changé, l'intérieur est beaucoup moins complet que ces prédécesseurs... C'est dommage.

Mon Kakebo de chez Marabout parrait tellement plus sympathique à côté.



Les +

- petit effet cuir sur la couverture

- aspect plus luxueux

- moins cher qu'avant (11,90)

- facilement transportable (11x18cm)

- joli pattern de cerisier



Les -

- aspect agenda inexistant

- partie Kakebo vraiment laide (orange et bleu fade)

- "recettes et dépenses" peu expliqué

- calage recto/verso qui part en cacahuète (les rubriques se décalent de 5mm vers le haut ou le bas, rien de constant)

- trop différents de ces prédécesseurs (manque le mini kakebo, sa couverture plastique qui permet de glisser les tickets de caisses)



Contenu :

- histoire et introduction au kakebo (18 pages)

- explication pour l'utilisation du kakebo (14 pages)

- tableau/calendrier annuel pour noter le solde (2 pages en vis à vis)

- partie kakebo qui dure 12 mois, on peut indiquer nous mêmes les dates

- chapitre "dépenses" (20 pages)

- chapitre "recettes" (8 pages)

- notes (18 pages)



Voilà je voulais faire une critique complète pour ceux et celles qui voulaient l'acheter. On a pas assez d'informations, et en magasin il est souvent plastifié donc peu probable de le consulter.
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Vivre heureux dans un petit espace

Globalement, je suis plutôt d'accord, ça nous pousse à remettre en question des choses comme les chambres d'amis qui servent si peu et nous coûtent tant en vie, par exemple mais y avait-il vraiment de quoi en faire un livre?

Ensuite, je trouve certains propos extrêmes et très intolérants envers ceux qui ont choisi un autre mode de vie. Tout le monde n'a pas, ou n'aspire pas à un mode de vie ascétique et solitaire d'un moine zen. L'être humain en plus d'être un animal social, assure la surive de son espèce en se reproduisant, donc étant en couple et en famille, et l'union fait la force et les grands accomplissement, donc les longs laïus sur l'indispensable solitude extrême... hein... un peu de réalisme, c'est peut-être l'idéal personnel de l'auteur mais pour tout le monde... c'est plus compliqué.



C'est anecdotique mais ce qui m'a fait bondir est ceci: "Placez les livres avec leur tranche vierge sur le devant. Le devant offre un joli dégradé de beiges différents de leurs feuilles, neuves ou jaunies. De plus, les invités indiscrets ne passeront plus un quart d'heure, le cou tordu, à savoir ce que vous lisez. Nos lectures sont personnelles" Wahou! C'est à des années lumières de ma vision de la lecture!

1 c'est vraiment très fonctionnel pour retrouver l'un de ses propres livres

2 si beaucoup répètent en boucle que l'argent c'est fait pour circuler, je dirais que les livres avant tout. Il m'est arrivé de bisquer parce qu'on ne me rendait jamais un livre, que j'étais obligée de le réclamer, de recouvrir de papier cadeau certains car ça me faisait rougir que des inconnus dans le métro, un parc ou la bibliothéque puisse voir ce que je lis mais dans l'ensemble je les expose tant que je peux sur la table basse, continue à les prêter à les conseiller et à me tordre le cou chez les autres qui m'en conseillent et m'en prêtent aussi. Si le minimalisme mène à un état d'esprit aussi étriqué, en vaut-il la peine?
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L'art de mettre les choses à leur place

J'aime beaucoup le côté pratique des ouvrages de cet auteure.

J'ai lu rapidement celui-ci en notant quelques bonnes idées de rangement pratique.

M'en servirais-je ? Cela est une autre histoire.

Mais la façon qu'a Dominique Loreau de rapprocher ses propos de la culture nippone me plaît.

Un petit haïku de Issa Kobayashi page 28 :

" Matin de printemps

Mon ombre aussi

Déborde de vie"

Ou page 131 de Han Fei :

"Chaque chose a une place,

Tout objet a un usage

Tout est là où il se doit".

Et pour finir, j'ai bien aimé le chapitre consacré à une mère japonaise et l'éducation de sa fille, page 174.

'Le jour de son troisième anniversaire, j'appelais ma fille et lui annonçais le cadeau que j'allais lui faire : le privilège, désormais, d'ouvrir et de fermer à sa guise tous les rideaux de la maison, matin et soir. Je lui expliquais que maintenant elle était grande et que je lui faisais là un grand honneur auquel, je l'espérais, elle saurait être à la hauteur. Ma petite fille fut ravie de ce "cadeau" et chaque matin, chaque soir, elle eut désormais hâte de mettre à exécution cet important devoir".

"Le travail d'un enfant est de parfaire son éducation tout comme celui d'un adulte d'aller travailler."

"Il n'est normal ni bon, ajouta-t-elle, qu'un enfant reçoive de l'argent de poche sans ne rien faire : il ne comprendrait pas plus tard la valeur de l'argent reçu en échange du travail fourni."

Il y a plein de petits principes de vie dans cet ouvrage qui me plaisent énormément et sa lecture m'a fait beaucoup de bien.

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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

Indéniablement, mon livre de chevet préféré. Même si j'ai pleuré après l'avoir lu une première fois et jeté des tas de choses inutiles peut-être, mais tellement gorgées de souvenirs ...
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

J'ai lu il y a un moment déjà ce livre qui m'a beaucoup plu.

Une copine qui l'a lu sur mes conseils, en avait même fait des rêves la nuit, tant il l'avait marquée.



J'aime bien comment Dominique Loreau nous explique ce qu'est vivre dans la simplicité, et en premier lieu, vivre non encombré (d'objets, de pensées parasites, ...). J'ai eu l'impression, en lisant ce livre, d'être dans une conversation entre copains/copines. C'était très agréable à lire. Et simplement expliqué... forcément!



Il y a différentes parties qui portent sur l'aménagement de son intérieur, sur le soin de son corps et enfin le soin de son mental.

Ce sont surtout les deux premières parties qui m'avaient fortement impressionnée.
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

Je ne vais pas trop perdre mon temps à dire du négatif, et vite passer à autre chose de plus de valeur à mes yeux.

Néanmoins, la recette : prenez un article de Marie-Claire ou de Femmes d'aujourd'hui multipliez par 150 et vous obtenez 300 pages, de quoi faire un livre. Voilà, la simplicité démontrée.

Notez ceci dit que dans Marie-Claire ou Femmes d'aujourd'hui, il y a parfois une petite bibliographie, les références sont signalées.

Notez ceci dit que souvent ces magazines font des références à des livres comme ceux-ci, du coup le serpent se mort bien la queue.



Bref, si vous êtes une femme, plutôt riche, sans vrais problèmes, ce livre est pour vous. (Ne poussez pas le vice pour pousser votre homme à le lire !) Pour tous les autres, il y a tellement à lire, de belles oeuvres, de chefs-d'oeuvre, qu'on n'aura jamais assez de toute une vie...
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

J'ai lu ce livre acheté à sa sortie en 2005, il m'a tellement marqué, que depuis je l'ai racheté en plusieurs exemplaires afin de l'offrir autour de moi. C'est un livre à garder sur la table de chevet pour le consulter de temps en temps histoire de se rafraîchir la mémoire. Non seulement il est plein de bonnes idées pratiques mais c'est aussi un guide pour une autre philosophie de vie. Il faut juste être prêt pour celle-ci.
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L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

Mouais bof... je l'ai pas lu en entier, car c'est vraiment des exemples qui sont vécus dans un pays autre que la France. Certains concepts sont intéressants d'autre moins. Je n'ai pas trouvé pour ma part ce livre très utile pour de la psychologie. Plus une aide pour les gens débordé, qui ne rangent rien ...
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L'art de l'essentiel

Y'a du bon dans ce petit livre étonnant, y'a du très bon, mais quelque fois pour ne pas dire souvent je ne suis pas forcément d'accord avec l'auteure. Certains conseils ne me conviennent pas comme se débarrasser des livres ou des photos de famille... Oui mais alors pourquoi mettre 4 étoiles ? Ce petit livre a déjà des idées assez révolutionnaires pour nous autres occidentaux. Les confronter aux miennes a été il me semble très instructif, je peux me poser quelques bonnes questions, me dire que oui des fois j'exagère mais bon on ne se refait pas non plus... Mais je pense néanmoins que je peux évoluer pour gagner en sérénité en lisant de tels livres qui finalement m'apportent beaucoup à leur manière. Est ce que je suis devenu minimaliste après ce livre ? Non ... les extrêmes me font toujours peur mais j'avoue que j'ai quand même une sacrée marge de progression quand même 😂😂 et ça c'est très positif !! 😋
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L'art de manger peu

Etant habituellement ravie des ouvrages de l'auteur, oserais je dire que je reste "sur ma faim" avec celui-ci?

Je l'ai trouvé un peu désordonné (un comble pour cette auteure), les sujets étant un peu amené comme ci-comme ça. cet élément n'aurait pourtant pas été réellement important s'il avait été mon seul bémol. Par contre, je suis assez surprise du grand paradoxe dans lequel l'auteure nous plonge. D'un côté dites stop aux régimes qui sont sources de frustration, de reprise de poids et fréquemment de troubles alimentaires, mais de l'autre côté, privilégiez la minceur extrême (les différents exemples apportés, poids/taille, BMI,... sont pathologiques pour une stature européenne et se trouvent bien en dessous du BMI sain), mangez très peu, sautez des repas, limitez vous à un bol,... alors certes, on ne vise pas tout à fait le compte des calories, mais il me semble que nous sommes bien parti pour développer un trouble alimentaire en une leçon. J'ai vraiment eu du mal à accrocher à ces propositions, m'interrogeant au fil du livre sur la pertinence des conseils et les nombreuses contradictions liées.
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L'art de manger peu

Voilà plusieurs mois que je lis scrupuleusement les conseils de cet ouvrage entre « L’art de la simplicité » de la même autrice et « Écoute et mange » de Lise Bourbeau. Le livre est très bien conçu, découpé en parties elles-mêmes divisées en petits paragraphes introduits par une citation. Celles-ci proviennent de personnes connues ou pas, de spécialistes comme de quidams concernés par la diététique, les références de Dominique Loreau étant très variées. C’est la synthèse d’années d’expérimentations qu’elle nous livre là, cherchant davantage à partager son propre vécu qu’à imposer des instructions moralisatrices.



Comme dans tout livre de développement personnel, chacun y piochera ce qui peut l’aider à évoluer. Car l’idée est bien là : derrière le problème de l’alimentation, il est souvent question, plus largement, d’équilibre intérieur, et il s’agit autant de changer ses habitudes alimentaires que ses habitudes de vie. Certes on trouvera une multitude de conseils concrets très utiles, mais il ne faut pas perdre de vue que échapper au surpoids, c’est aussi chercher à se libérer du « poids de l’existence ».



Au fil de ma lecture, j’ai surligné et recopié dans un carnet les phrases à me répéter. Au fond, on sait bien ce que l’on doit faire et éviter côté nourriture. La motivation est ailleurs. Le processus, long. C’est un travail en profondeur, sur soi et au quotidien. Mais je me suis rendu compte que j’avais déjà amorcé, ces derniers mois, des changements bénéfiques imperceptibles mais radicaux que cette lecture m’encourage à continuer. Avoir enfin « un corps et un mental allégés », ce serait une belle « renaissance » et je ne doute pas d’y parvenir un jour !
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