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3.23/5 (sur 23 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Turin , le 16/07/1956
Biographie :

Enrico Pandiani est né à Turin, le 16 Juillet, 1956. Sa carrière de romancier a commencé par la bande dessinée.
Attiré par la littérature policière, il fait ses débuts en 2009 avec son premier roman, Les Italiens et obtient un grand succès auprès de la critique et le public.

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Code 93 de Olivier Norek aux éditions Pocket Un cadavre, émasculé, qui rouvre les yeux sur la table d'autopsie. Un portable qui se met à sonner dans le corps d'un jeune toxico, mort de brûlures inexplicables. Malgré quinze ans de terrain en Seine-Saint-Denis, Victor Coste, capitaine de police, se prépare au pire. Et que penser de ces lettres anonymes qui dessinent une première piste : celle d'un mystérieux dossier, le " Code 93 " ? Une piste qui, des cercles huppés parisiens aux quartiers déshérités, fera franchir à Coste les limites du périphérique, et de la raison... " Un scénario qui tient en haleine jusqu'à la dernière page. du grand art de polar. " L'Express " On ressort bluffé par ce thriller. " Le Figaro(coup de c?ur de l?année) http://www.lagriffenoire.com/code-93-173421.html La saga des brouillards : Trilogie parisienne de Patrick Pécherot aux éditions Folio Policier Au gré mouvementé de l'entre-deux guerres, dans un Paris en pleine effervescence, un privé en dehors des clous explore les coulisses de l'Histoire. Il y croisera des illégalistes, des surréalistes, des marchands de mort, des républicains espagnols, des cagoulards, des collabos... de drôles d'enquêtes dans une drôle d?époque. http://www.lagriffenoire.com/la-saga-des-brouillards-les-brouillards-de-la-butte-belleville-barcelone-boulevard-des-branques.html Les Italiens d'Enrico Pandiani aux éditions le Livre de Poche « La première balle traversa la fenêtre d?un coup sec, déchira le ventre de Gaston, visita un peu ses boyaux avant de ressortir sous son omoplate gauche. Puis elle se planta dans le mur. La deuxième et la troisième pulvérisèrent une pile de CD et la tour Eiffel posée sur l?ordinateur de Servandoni. La quatrième transperça en un bruit sourd le thorax de la femme assisse en face de moi? » http://www.lagriffenoire.com/les-italiens-268146.html Celui dont le nom n'est plus de René Manzor aux éditions Pocket " Puissent ces sacrifices apaiser l'âme de Celui dont le nom n'est plus. " Pour la deuxième fois en deux jours, ce message énigmatique signe une scène de crime londonienne. Rien ne relie les victimes ? pas même leurs assassins, qui ne se connaissaient pas, et qui ont chacun, lors de leur arrestation, avoué avoir tué la personne qu'ils aimaient le plus au monde. Pourtant les faits sont là : le rituel religieux, le message, le cadavre vidé de ses organes ? ces meurtres sont commis selon le même mode opératoire. le commissaire McKenna, vieux routier de Scotland Yard, et le docteur Dahlia Rhymes, criminologue américaine, pressentent que la série n'en est qu'à ses débuts. À moins de mettre, au plus vite, un nom sur l'horreur... " Un polar dense. Une intrigue captivante. " L'Express " Un thriller haletant... dont le lecteur n'oubliera pas le nom. " Ouest France http://www.lagriffenoire.com/celui-dont-le-nom-n-est-plus-266061.html
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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Pendant des années , je m'étais préparé mentalement à une telle situation. Mais on n'est jamais sûr de pouvoir le faire , d'avoir le sang-froid , les réflexes. On parle toujours de cette hypothèse mais tant qu'il ne t'es rien arrivé , impossible de savoir comment la situation peut évoluer. Pourtant , mon corps et mon cerveau s'était aussitôt accordés , comme si j'avais répété la scène mille fois. L'instinct de survie était une belle ressource.
P96-97
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Une première balle traversa la fenêtre d'un coup sec, déchira le ventre de Gaston , visita un peu ses boyaux avant de ressortir sous son omoplate gauche . Puis elle se planta dans le mur. La deuxième et la troisième pulvérisèrent une pole de CD et la tour Effel en cristal posée sur l'ordinateur de Servandoni . Deux tintement de verre avant que Gaston ne s'écroule.
P7
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Les tirs continuaient de résonner dans mes oreilles. Quand je vois ces films où dix personnes se mettent à tirer toutes ensemble dans une pièce et tout de suite après les héros se parlent comme si de rien n'était, j'a envie de rire. Dans un lieu fermé, c'est déjà bien si une demi-douzaine de coups ne te provoquent pas des lésions permanentes aux oreilles. En tout cas, pendant une demi-heure au moins tu ne te sens plus comme avant.
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Je me sentais vivant, comme chaque fois que je vais à un enterrement. Si tu es là à écouter toutes ces paroles inutiles, ça veut dire que ta montre fait encore tic tac et que tu sortiras de cette église en marchant sur tes deux jambes et non dans une caisse en bois, porté de tout ton poids par quatre inconnus.
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Le patron m'a dévisagé, mordu, mâché et recraché dans les égouts. Le tout par un simple regard.
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Un autre crétin tout juste bon à réchauffer une chaise. Il a fini par servir à quelque chose.
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A trente-sept ans, une homme devait être en pleine forme, sain, robuste. L'étais-je vraiment ? L'était-il, ce type aux cheveux hirsutes et sales qui me regardaient de l'autre côté du miroir ? Je n'étais pas mal, somme toute, le nez droit, les yeux bleus. Peut-être le menton un peu trop pointu. Et cette cicatrice qui partait de l'oreille gauche et descendait jusqu'à la moité du cou. Elle était fine, à peine plus claire que la peau et me démangeait au moindre problème. Je n'avais pas un seul cheveu blanc. Tous bien épais et fournis comme ma mère les avait faits. Et même torse nu, mon physique tenait encore la route.
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Elle avait des cheveux roux, longs et lisses. Une belle bouche aux lèvres pleines et bien dessinées, et une paire d'yeux foncés qui ne cessaient de me fixer. Un regard mi-amusé, mi-effronté. Elle arborait un corps svelte, à la taille fine et aux hanches souples, sur une paire de jambes fermes et galbées, pas le moindre brin de graisse.
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