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Critiques de Marianne Rubinstein (89)
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Jusqu'au bout du secret

Après "La colère de Jules", nous retrouvons les personnages pour un nouveau roman. Lors des fêtes de Noël, Jules découvre que sa mère lui a menti sur la disparition de son père. Grâce à son voisin et ami M. Langman, il va enquêter et découvrir que son père a disparu quelque part en Micronésie. Il n'en faut pas plus au jeune garçon pour vouloir partir et découvrir la vérité...

Il n'est pas forcément utile d'avoir lu le précédent roman pour apprécier et comprendre celui-ci. On s'attache à ce garçon plein d'espoir (et de colère vis-à-vis de sa mère) et on suit avec beaucoup d'intérêt son aventure qui va le mener à l'autre bout du monde. Un joli roman, plein de belles idées et de beaux personnages.
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Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel

Au début de ma lecture, j'ai eu un peu peur de ne pas aimer et de passer totalement à côté du livre. Le personnage principal a la quarantaine et vient de se séparer : deux situations que je ne connais pas, puisque je n'ai pas quarante ans et que je ne suis pas mariée. Mais finalement, on suit la vie de Yael avec une facilité déconcertante et on se met à espérer qu'elle sorte la tête de l'eau.



J'ai eu un peu le réflexe de le comparer à Je rends grâce, le livre que j'ai lu la semaine dernière puisque le thème était un peu le même. Finalement, l'idée est la même, la séparation difficile avec le conjoint, mais la façon de le traiter est totalement différente. Ici, l'auteure a choisi de mettre en avant l'entourage et la détermination de Yael. On sent bien que les premiers mois sont difficiles et que tout son quotidien est bouleversé mais grâce à ses amis, son travail, ses voisines et son fils, Simon, elle finit petit à petit par retrouver sa vie de femme, probablement mise de côté pendant plusieurs années. C'est l'évolution de ce personnage qui rend le livre si intéressant et si passionnant.
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Le journal de Yaël Koppman

Mouai... Je n'ai pas accroché du tout à cette tentative de chick lit, un peu plus "intello". Yaël est trentenaire, célibataire, maître de conférence en économie à l'université, a des problèmes avec sa mère, avec les hommes, et bien sur se trouve trop grosse. Elle est obsédée par Virginia Woolf et Keynes et tente d'écrire un livre.

J'ai arrêté entre la moitié et les 3/4, car je n'ai pas trouvé l'humour attendu.
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Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel

Dans Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel, Marianne Rubinstein met en relief Yaël Koppman, personnage déjà évoqué dans son œuvre littéraire, notamment dans Le journal de Yaël Koppman, paru en 2007 chez Sabine Wespieser. Dans ce nouveau roman, son double littéraire traverse une crise - celle de la quarantaine, accompagnée de son lot de soucis, de chamboulements et de réflexions - tout cela mené d'une plume fluide et sans concession.







L'héroïne de ce roman - si d'héroïne on peut parler - est, comme Marianne Rubinstein, maître de conférence en économie. Quittée par son mari au début du livre, elle va traverser une période de petits retournements, de questionnements, la plongeant même dans une espèce de pause existentielle. Entourée par ses enfants, ses proches, etc., elle fait part aux lecteurs de ses petites histoires, ses doutes, etc. Le ton employé n'est pas pathétique et le lecteur pourrait presque s'identifier à cette femme qu'est Yaël.







Tout cet ébranlement quadragénaire est raconté avec une écriture très simple, très solaire, qui se lit avec beaucoup de plaisir. Cette même écriture de la solitude, des interrogations, posent indirectement le problème de l'âge au lecteur.







C'est donc un très beau texte que nous dévoile ici Marianne Rubinstein. Yaël Koppman se place en personnage récurent et attachant, dans l'univers de l'auteur, et l'effort d'écriture semble être de bon ton et très bien déployé dans ce dernier roman.




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Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel

Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel est l’histoire de Yaël Koppman, 4O ans, prof d’économie dans une fac parisienne, qui voit son foyer se vider : son petit garçon de 3 ans entre à la maternelle tandis que son mari Yann la quitte pour la jeune Laura. Elle reste des heures et des heures couchée, à peine capable de s’occuper de Simon quand c’est sa semaine de garde (merci la télé) mais finit par se réveiller. L’épreuve que doit affronter sa cousine Clara lui permet de se reprendre, tout comme les visites répétées d’Olga (l’ado bien trop souvent seule chez elle) et le drame que vit la mère de la jeune fille.



Ecrit sous forme de journal intime, ce roman entraine le lecteur au fil des saisons dans l’intimité d’une jeune et seule quarantenaire. Ce choix narratif permet d’entrer dans la tête de la narratrice qui se livre sans tabou, et de vivre avec elle ses doutes tout au long de cette année charnière. J’ai aimé le cheminement de Yaël et de son récit : mélancolique et léthargique, il devient dynamique et plein de promesses. Le réalisme des sentiments est indéniable. Sans pour autant avoir connu cette expérience, je ne peux qu’imaginer et supposer mais je dois avouer que les réactions de Yaël tiennent la route et sont parfaitement compréhensibles, justifiées et loin d’être exagérées. Son journal intime est devenu un exutoire où elle livre (à elle-même) ses sentiments, son quotidien et ses questionnements, comme une thérapie. Travail de construction et de reconstruction la lecture et l’écriture prennent une grande place dans sa vie..........la suite sur mon blog
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C'est maintenant du passé

Critique de Victor Pouchet pour le Magazine Littéraire



S'il n'est pas terriblement engageant, le titre de ce roman n'en a pas moins une portée ironique : il dit l'irréalisable dessein de raconter l'histoire de grands-parents juifs disparus pendant la Shoah, de tourner une page que, faute de traces suffisantes, il semble impossible d'écrire. Poursuivant le projet de son remarquable essai paru chez Verticales en 2002, Tout le monde n'a pas la chance d'être orphelin (titre emprunté au Poil de Carotte de Jules Renard), Marianne Rubinstein nous livre les pièces du dossier incomplet de son enquête : cartes postales, lettres, photographies, témoignages, rares documents d'époque conservés dans une « boîte en fer bleue ». À l'aide de cette matière parcellaire, elle compose le journal de ses « recherches frénétiques », de ses impasses et de ses douleurs. Cette spécialiste du Japon, maître de de conférences en économie à l'université Paris-vii, ne romance pas le passé terrible de ses grands-parents Chaim et Ryfka Rubinstein, elle n'en comble pas les manques et failles vertigineuses, elle ordonne, avec une grande intelligence, les fragments de leurs destins démolis. Comme les haïkus qui parsèment le texte, ce livre trouve ainsi sa force et sa « forme juste » en se construisant « sur des bribes et des silences ».
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Le journal de Yaël Koppman

Marianne Rubinstein nous conte les aventures de la jeune Yaël, célibataire juive parisienne plutôt paumée entre son célibat chronique, sa mère dévoreuse d’hommes, son colocataire homosexuel, son père inconnu et son job de professeur d’économie.





Suite à une proposition de sa cousine Clara, elle décide d’écrire la biographie d’Angelica Garnett, nièce de Virginia Woolf, jeune fille issue d’une triangulaire amoureuse pour le moins inhabituelle entre sa mère et ses amants, dont l’un d’eux deviendra plus tard son mari.





Yaël consigne dans son journal ses recherches sur Angelica en même temps que ses propres interrogations sur sa vie, ses doutes et ses aventures amoureuses.





Mélange de réflexions cyniques et désabusées sur la vie, de retours en arrière sur l’enfance d’Angelica Garnett (qui sont parfois fastidieuses à suivre, voire ennuyeuses), de réflexions philosophico-économiques souvent hilarantes, c’est un roman plutôt attirant, dont l’attrait se dévoile petit à petit.





Journal d’une jeune femme écrasée par une mère trop extraordinaire pour qu’elle puisse lui faire face, d’une jeune femme en attente d’un prince charmant qui ne vient pas, d’une jeune femme pleine de questions quant à sa judaïcité et de l’héritage qu’elle lui procure, le roman de Marianne Rubinstein se déguste rapidement (200 pages à peine), et, même si parfois l’auteur égare le lecteur dans les conjectures historitico-familiales sur la famille de Virginia Woolf, il n’en reste pas moins un bel instantané d’une trentenaire désabusée, tiraillée entre amours et solitude, amitiés et profession.





Un seul regret, l’épilogue qui, à mon sens, est tout à fait superflue.





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Bord de mère

Il est des livres que l’on découvre un peu par hasard et dont on sait rapidement qu’ils laisseront des traces. Un peu comme ce récit littéraire d’une autrice dont je découvrais la plume.



A l’heure où on célèbre les quatre-vingts ans du droit de vote des femmes françaises, Marianne Rubinstein nous conte son histoire et celles de sa mère et de sa grand-mère. Trois générations de femmes de 1966 jusqu’à aujourd’hui. Avec quelques chiffres (l’autrice reste une économiste), ce livre est un savant mélange de récit social et de récit intime où l’on découvre comment les femmes de cette famille ont évolué dans ce siècle de changements et d’avancées féministes et comment elles se sont émancipées.



Si ce récit est très personnel, j’ai particulièrement apprécié la narration à la deuxième personne du singulier qui donne à la fois une certaine hauteur à ces événements et un détachement nécessaire pour (tenter de) comprendre les liens complexes entre l’autrice et sa mère.



C’est à la fois tendre, émouvant, parfois drôle et pourtant le regard acéré de l’autrice ne manque pas de souligner que ce combat doit continuer.



Bref petit coup de cœur qui m’a beaucoup émue.
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Le courage d'être moi

Joseph n’est pas sur de lui, épaules trop maigres, appareil dentaire, la bande à Bastien et Théo qui se moquent de lui. Le jour où Manon, nouvelle élève dans sa classe, choisit de s’asseoir à côté de lui, les choses évoluent. Ils deviennent amis, Manon lui fait aimer la boxe. Mais qui est Manon ? Elle est métisse, ses parents sont blancs, est-elle adoptée ? L’amitié entre Jo et Manon saura-t-elle surmonter les secrets de famille ?

Écriture fluide, protagonistes sympas, une histoire où tous les détails sonnent justes, ce court roman est à recommander aux préados.
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Le courage d'être moi

un roman court sur les thématiques du harcèlement et de l'identité/origines familiales mais qui ne tombe pas dans le pathos et le tragique à chaque page : c'est le travers de beaucoup de livres sur la thématique du harcèlement ou de la phobie scolaire.

Un livre optimiste, facile à lire avec des personnages attachants et courageux.

Une vraie réussite !
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Le courage d'être moi

Joseph est un jeune collegien qui est victime d'harcelement

cela l'enerve mais n'arrive pas a s'exprimé est prefere le garder pour soi. mais un jour une fille arrive est va changer sa scolarite mais au jour il decouvre un secret sur elle et cela va tout faire deborder .J'ai adoré le livre il les facile a lire est bien
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Le courage d'être moi

Joseph est assez solitaire. Victime de harcèlement, il essaie de se faire oublier. L'arrivée d'une nouvelle fille va l'aider. Il va même découvrir la boxe. Mais la jalousie va lui faire commettre un faux pas, va-t-il perdre sa seule amie ?

Un roman intéressant qui aborde le harcèlement, l'amitié et le métissage.
Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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La sixième, Dinah et moi

Difficile de résumer ce petit roman sans dévoiler toute l’intrigue… Nous y suivons Louise, qui vient de rentrer en sixième et qui doit faire face à de sacrés problèmes. En effet, elle a toujours cru que Léa et elle s’était à la vie, à la mort, « besta forever »… jusqu’à ce qu’il y ait de l’eau dans le gaz et qu’elle fasse la rencontre de Dinah. Le courant passe tout de suite entre elles ce qui permet à Louise de découvrir ce qu’est une véritable amitié. Ce qui ne plaît pas à tout le monde…



Ce court roman se dévore assez vite tant il est prenant. Louise est un personnage attachant et touchant. On découvre à ses côtés les délices d’une belle amitié, mais on voit venir à l’avance le « drame »…



Le seul reproche que je puisse faire à ce roman, c’est sa fin. Pas de dénouement heureux, mais pas de tragédie non plus… un choix un peu fade par rapport au reste.



En conclusion, un petit livre sympathique sur une jolie amitié et sur les ravages que peut causer la jalousie. Une jolie expérience, même si je ne le garderai pas en mémoire très longtemps.
Lien : https://antredeslivres.blogs..
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Le courage d'être moi

Voici deux romans pour les pré-adolescents - et pas seulement - qui risquent d'en faire réfléchir plus d'un. Les thématiques traitées sont parfois dures malgré ça, elles font partie de la vie, car bien sûr nous ne vivons pas dans le monde des bisounours.



Dans "Papa est en bas", Olivia a un papa qui a la tartiflette. En fauteuil roulant maintenant, il a une maladie qui le détruit et lui fait perdre progressivement ses capacités. La vie d'Olivia pourrait être plus rose, mais elle adore par dessus tout son papa et la vie, qui continue avec son chat, sa maman et tous les bons moments que l'on peut passer ensemble.



Dans "Le courage d'être soi", Joseph est un peu le bizu de sa classe au collège, mais il ne se révolte pas. les choses vont changer pour lui lorsqu'en cours d'année arrive dans sa classe une nouvelle élève, Manon, avec qui il va tout de suite sympathiser. A ses côtés, la vie va changé, et ils vont devenir inséparables. Mais Manon a aussi des problèmes à résoudre...



Sophie Adriansen est l'auteure de "Lise et les hirondelles" qui abordait déjà un sujet sensible avec la vision de la seconde guerre mondiale par les yeux d'une fillette qui vient de perdre ses parents. Cette fois-ci l'auteure aborde un thème difficile qui est la fin de vie d'un parent, mais elle arrive à rendre son récit intéressant sans tomber dans le pathos. C'est une histoire assez émouvante avec un risque de débordement lacrymal.



Ce court roman de Marianne Rubinstein parle du harcèlement scolaire, mais également de la force de l'amitié. L'auteure développe les belles qualités que cache Joseph, le personnage principal et montre l'implication positive qu'il peut avoir sur son environnement. L'auteure se concentre; malgré une situation difficile à vivre lorsque l'on est adolescent et qui peut détruire une vie; sur l'aspect positif qui aura un effet bien plus bénéfique sur les jeunes lecteurs que de s'enliser dans le côté négatif de cette épreuve.
Lien : http://lillyterrature.canalb..
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Nous sommes deux

Cela faisait des mois que je souhaitais le lire, eh bien… j’ai été hyper déçue.



Ce que j’ai aimé : la plume de l’auteur, fluide. Le fait que chaque chapitre soit court, et qu'il soit le reflet des pensées et des sentiments de l'un personnage, annoncé d'ailleurs à chaque début.



Ce que je n’ai pas aimé : les dialogues ne sont annoncés ni pas des tirets cadratins ni par des guillemets. Ils sont insérés tels quels dans le texte. Grosse incompréhension, surtout que ce livre est publié chez Albin Michel ! Cela rend la lecture assez difficile !

Je ne m’attendais, en outre, pas du tout à cette histoire, et j’en ai été déçue. Il n’y a rien de bien joyeux, là-dedans. Donc bilan final, je le répète (désolée) : très déçue.
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La sixième, Dinah et moi

Globalement, j'ai bien aimé ce roman. Les deux personnages principaux du roman sont deux filles, Louise et Dinah. Cela change des autres des autres titres de la sélection où il y a (au moins) toujours un garçon qui soit le héros du livre. Ce roman de Marianne Rubinstein est court, ce qui peut être agréable pour de jeunes lecteurs. Par contre, ce que je n'ai pas aimé du tout, c'est la fin. Pourquoi terminer le roman d'une manière si négative ? De plus, un incident grave a lieu et aucune punition n'est établie (la raison est donnée, ce qui appuie vraiment cette idée d'injustice). Je n'ai pas compris.... Cela voudrait dire qu'un enfant peut faire n'importe quoi, quelque chose d'horrible qui aurait pu entraîner la mort de quelqu'un, sans qu'il soit inquiéter ?
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Nous sommes deux

Agréable roman choral où chaque personnage à voix aux chapitres, si l'on peut dire. A l'occasion de la préparation du mariage commun de jumeaux, on découvre les failles et les secrets de chacune des trois familles, de chacun des personnages. Cette année les changera tous. Bien écrit et difficile à lâcher avant la fin. De nombreux sujets abordés (religion, sexualité, maladie, etc..), peut-être un peu trop..
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Detroit, dit-elle

Un livre inclassable, mi-roman mi-chronique économique, qui fait battre le pouls de Detroit, capitale américaine de l'automobile, et celui de la narratrice, et rend tangible la violence de la destruction créatrice.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Nous sommes deux

Nous sommes deux, c'est comme son titre l'indique une histoire de couples, de duos... Qu'il s'agisse de jumeaux, d'un mari et sa femme, une femme et son amant, une mère et sa fille... Marianne Rubinstein explore ces relations humaines avec toutes les différences qui peuvent intervenir : âge, religion, éducation...



On se laisse embarquer dans cette saga familiale qui multiple les points de vue et qui est très agréable à lire.

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Nous sommes deux

Un court roman qui en moins de 300 pages dissèque la relation de couple, qu'il soit conjugal (établi ou en cours) ou gémellité. Ce, dans un contexte très contemporain traversé par les questions sur la judéïté et comment la vivre en France, sur la fidélité et jusqu'où on est capable d'aller pour l'autre, sur l'usure du temps dans le couple, sur l'homosexualité...



C'est un roman choral dont le prétexte est le mariage prévu le même jour, en une seule fête, des jumeaux Emma et Axel : chaque chapitre est narré selon le point de vue d'un des personnages. Et des personnages il y en a beaucoup (une bonne quinzaine), ce qui parfois rend la chose un peu difficile à suivre car à chaque entrée de chapitre, on doit se remémorer qui est qui. C'est bien ficelé et donne l'occasion à chacun de faire un point sur lui, sa vie. De temps à autre, entre les chapitres qui sont très courts, des flash-back sur l'enfance des jumeaux, dont on voit bien comment ils vivent différemment leur gémellité.



L'écriture est résolument moderne, sans gras ni étalage, efficace. Ca me rend curieuse d'aller voir le premier roman de cette auteur.



En bref, une lecture agréable, que je vous recommande.


Lien : http://la-clef-des-mots.e-mo..
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