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Citations de Paul Auster (2045)


O mundo havia pregado uma peça em vocês, ao obriga-los a viver em meados do seculo XX, cidadãos de um pais industrial avançado, grande coisa, ao passo que, se tivessem nascido numa tribo primitiva em algum lugar da Amazonia ou dos Mares do Sul, ja não seriam virgens.
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Acabaram-se as guerrinhas de agua ba banheira, talvez, não havia mais as brincadeiras de medico, nao havia mais a pulação em cima da cama, mas continuava a haver uma informalidade totalmente antiamericana, no que dizia respeito a seus corpos.
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Voce ainda ama seus pais, mas não gosta mais deles, pessoalmente.
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[...] voce imagina que ela seja desconfiada com tudo mundo que é jovem - por uma questão de principio - e assim o que ela vê quando olha par você não é você mesmo, mas apenas mais um guerrilheiro numa guerra contra a autoridade, mais um rebelde amotinado [...]
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Mas é melhor ser timido do que arrogante, suponho, melhor se aproximar com delicadeza do que intimidar todo mundo com a sua propria intoleravel perfeição humana.
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Estou apostando que voce vai transformar isso num sucesso. Prove que estou certo.
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[...] Margot estava tão a vontade, tão senhora das artes das pequenas mordidas, lambidas e beijos, tão livre de hesitações para me explorar com suas mãos e com sua lingua, para atacar, desfalecer, se entregar sem reserva nem vacilação, que em pouco tempo me soltei.
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O prazer de comer e beber, o prazer do sexo, o prazer de tomar parte num dialogo animal sem palavras, travado numa linguagem de olhares e toques, de mordidas, paladares e caricias.
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[...] o exterminio dos indios se transforma no exterminio dos judeus; a expansao para o oeste a fim de explorar recursos naturais se transforma na expansão para o leste, com o mesmo proposito; a escravização dos negros para obter mão de obra barata se transforma na subjugação dos esclavos para produzir um resultado semelhante. Vida longa aos Estados Unidos.
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[...] qualquer que fosse o codigo sexual sob o qual os dois viviam, quaisquer que fossem as brincadeiras e os flertes tortuosos em que se compraziam na companhia de outras pessoas, achei toda aquela historia uma coisa feia, perturbada, doente.
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La chambre était une machine à mesurer ma condition : combien il restait de moi, combien de moi n'existait plus. J'étais à la fois le malfaiteur et le témoin, acteur en même temps que public dans un théâtre pour un homme seul. Je constatais le progrès de mon propre démembrement. Morceau par morceau, je me regardais disparaître.
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« Nous sommes embarqués dans une histoire compliquée, et tout n’est pas nécessairement ce qu’on pourrait croire. » (p. 101)
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« Cher John,
Que faire ? Ne fait rien–ou fait quelque chose. C'est-à-dire ignore cette lettre stupide et n'y pense plus. Ou alors, si tu te sens irrité au point qu’il est impossible d'arrêter d'y penser, écris à cette femme en Angleterre et dis lui que tu as écrit un roman, pas un pamphlet sur le comportement éthique, (...) Comment lire un roman, leçon numéro un. Est-ce que les écrivains de romans policiers sont partisans du meurtre ? En tant que végétarien convaincu, est-ce que tu te révèles hypocrite si l'un de tes personnages se met à manger un hamburger ? La lettre de cette femme est absurde, idiote. Mais la triste vérité est que tous les romanciers reçoivent des lettres de ce genre de temps en temps. Ma réaction habituelle est de les froisser et de les jeter à la poubelle. »
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J'étais désespéré, et face à une telle tourmente une attitude drastique me paressait en quelque sorte indispensable. Je voulais cracher sur le monde, accomplir l'acte le plus extravagant qui fût. Avec toute la ferveur et l'idéalisme d'un jeune homme qui a trop pensé et lu trop de livres, je décidais que cet acte serait : rien - mon action consisterait en un refus de toute action. C'était du nihilisme haussé au niveau d'une proposition esthétique.
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Né à Newark en 1947 (New Jersey), Paul Auster fait ses études à l’université Columbia de New York. Après un séjour de quatre ans en France, c’est en 1974 qu’il s’installe à New York et commence sa carrière littéraire en écrivant poèmes et essais pour la New York Review of Books et la Harper’s Saturday Review. Il traduit Jean-Paul Sartre, Stéphane Mallarmé et Maurice Blanchot. De son père, décédé en 1979, il hérite d’une fortune suffisante pour lui permettre de se consacrer entièrement à la littérature. En 1982, sous le pseudonyme de Paul Benjamin, il fait paraître un roman policier, Fausse Balle (Squeeze Play), publié en « Série noire » dix ans plus tard. La Trilogie new-yorkaise paraît en 1985 et 1986, composé de Cité de verre, Revenants et la Chambre dérobée. Après ce succès considérable, public autant que critique, Paul Auster livre deux romans, le Voyage d’Anna Blume (1987) et Moon Palace (1989. La Musique du hasard, publié en 1990, est adapté au cinéma en 1993 par le réalisateur Philip Haas, dans un film où l’auteur lui-même tient un petit rôle. C’est à partir de cette date que Paul Auster s’intéresse au cinéma ; il écrit ou coécrit des scénarios et participe à la mise en scène de films (Smoke et Brooklyn Boogie de Wayne Wang en 1995). En 1998, il dirige son premier long métrage, Lulu on the Bridge.
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In the Country of Last Things est le titre original du Voyage d’Anna Blume. De ce "pays des choses dernières" où elle tente de survivre au froid et au désespoir, Anna Blume — venue chercher son frère disparu — écrit une longue lettre dont on ne sait si elle trouvera jamais son destinataire : ses errances dans une ville aux rues éventrées, sa lutte pour subsister parmi les "chasseurs d’objets" et les "ramasseurs d’ordures", la mort omniprésente, la difficulté de vivre des amours durables… revêtent ici une force symbolique d’une actualité étonnante. Et cette lettre, en même temps qu’elle éveille en lui un passé de terreurs et d’apocalypse, interroge insidieusement le lecteur sur son rapport au monde et au langage.
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Tu ne vaux pas mieux qu'un animal. Si tu restes où tu es, tu seras mort avant la fin de l'hiver. Si tu viens avec moi, je t'apprendrai à voler.
C'est à quel page cette citations svp
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... l'imagination sous sa forme la plus pure: l'art de donner vie à ce qui n'existe pas, de persuader les autres d'accepter un monde qui n'est pas vraiment là.
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... une fois qu'on a goûté au futur on ne peut pas revenir en arrière.
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C'est (l'amour) la seule force qui peut stopper un homme dans sa chute, la seule qui soit assez puissante pour nier les lois de la gravité.
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