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Critiques de Philippe Claudel (2649)
L'Enquête

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Le rapport de Brodeck

la déportation des juifs pendant la guerre. Un très beau roman bien écrit et captivant mais une histoire trop glauque pour moi !
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Le Café de l'Excelsior

Une histoire sur la relation entre un petit orphelin et son grand-père, dont l’écriture toute en poésie m’a presque faite aimer la forme plus que le fond. Touchant.
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Le bruit des trousseaux

Dans ce court essai, Philippe Claudel nous raconte son expérience en tant qu'enseignant dans une prison. C'est un rôle qui m'a toujours fascinée mais que je me sens incapable d'assumer, surtout après avoir lu ce livre mais aussi après avoir entendu le témoignage d'une collègue qui l'a fait pendant des années. On sent de la part de l'auteur autant d'empathie pour les gardiens que pour les prisonniers qui vivent dans une atmosphère où il n'est pas facile d'étudier
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Être père, disent-ils

Partant du constat qu’il y avait très peu de témoignages d’hommes sur leur paternité, les éditions L’Iconoclaste (éditeur du recueil complet) ont donc demandé à plusieurs auteurs s’il était prêt à se dévoiler, à parler de leur rapport avec leur enfant, de leur naissance, etc. Pourquoi ces trois là particulièrement ? «Parce qu’ils sont beaux et bons et grands», nous dit Isabelle Lortholary en forme de boutade dans la préface. Mais surtout «Olivier Adam, pour son empathie envers les hommes et les femmes du quotidien ; pour ses correspondances et ses forêts de signes. [...] Philippe Claudel, pour chacun de ses livres pour adultes et après avoir été enchantée par ses contes et ses livres pour enfants. [...] Philippe Delerm, pour son génie à saisir le quotidien ; parce que c’était une gageure de lui proposer un tel projet, jusqu’à présent il avait toujours refusé de s’exprimer sur son fils Vincent.»



Contrairement à Valérie, je ne cherchais pas à m’assurer que l’amour maternel et paternel sont identiques, n’étant pas mère moi-même. Je voulais simplement savoir ce que des hommes que j’aime lire, qui arrivent à faire passer des choses dans leurs histoires, pouvaient ressentir face à l’arrivée d’un enfant. Et je dois dire que toute la sensibilité que l’on peut trouver dans les livres de Philippe Claudel ou d’Olivier Adam (je ne parlerai pas de Philippe Delerm dont je n’ai lu qu’un seul livre, Quelque chose en lui de Bartleby) se retrouve dans ses textes.
Lien : http://www.tulisquoi.net/etr..
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Être père, disent-ils

Etre père, disent-ils... mais qu’est-ce donc qu’être père. Ce recueil réunit ainsi trois témoignages de trois auteurs reconnus de la littérature qui chacun à sa manière nous conte cette aventure qu’est la paternité.

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Article complet : Cliquez sur le lien ci-dessous !!!
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Le Café de l'Excelsior

Le narrateur a huit ans quand il arrive au café de l'Excelsior pour y vivre avec son grand-père après la mort de ses parents. C'est pour lui le début d'une nouvelle vie et de la grande complicité qui le liera pour toujours à son grand-père. Ce café n'a rien à voir avec celui qui porte de le même nom à la grande ville. Il n'en est pas moins un lieu extraordinaire où se vivent des événements consitués de conversation et de plaisirs simples qui semblent extraodinaire au petit graçon. Tout ceci dans une ambiance toujours très arrosée qui rend les habitués poètes, chanteurs et parfois même danseurs.

(Cliquez sur le lien suivant pour lire la suite)
Lien : http://aufildeslivres.over-b..
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Le rapport de Brodeck

Lecture jeune, n°125 - Au fil des années, les jurés du « Goncourt des lycéens » choisissent des livres forts, qui ne peuvent laisser indifférents. Brodeck, anti-héros de ce roman, rédige des comptes-rendus sur la flore, le climat et tout ce qui relève de la nature dans cette zone montagneuse, située de manière indéterminée dans l’est de la France. On y parle un dialecte non identifiable, fortement mâtiné d’allemand, et une armée d’occupation y a séjourné naguère. Brodeck doit écrire un rapport sur le meurtre collectif d’un étranger (surnommé Anderer, c’est-à-dire « l’autre ») auquel il n’a pas participé mais dont il doit innocenter les coupables. Le lecteur ne découvre pas ce rapport mais celui qu’il écrit secrètement ; un puzzle qui se construit au fil de ses enquêtes, de ses émotions, de ses retours dans le passé. Il nous livre ainsi l’itinéraire en zigzag d’un’ réchappé des camps de concentration où il a mené une vie de chien, tenu en laisse par un gardien, celui d’un homme qui, même dans la pire déchéance, restera porté par l’amour pour sa femme. Ce récit qui tient aussi de la parabole et du conte explore plus avant encore que dans Les Âmes grises les racines du mal présentes en chaque homme, ses lâchetés et sa culpabilité, la violence du groupe et celle d’une société agnostique. Par-delà la figure de Brodeck, lui-même étranger et double de « l’autre » (Anderer) assassiné par les villageois, l’auteur dénonce la tendance génocidaire de l’être humain, son refus et sa détestation de l’autre quel qu’il soit, et le besoin irrépressible de déverser sa haine sur un bouc émissaire. Dans ce voyage aux frontières de l’inhumain et de la barbarie, l’auteur tient le lecteur en haleine : impossible de lâcher ce livre dérangeant, tragique, parfois lyrique et poétique. Un vrai coup de coeur ! Marie-Françoise Brihaye
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Le rapport de Brodeck

Lecture jeune, n°125 - « Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien ». Dans ce roman proche de la fable, Philippe Claudel pose les questions de l’identité, de l’altérité et de la culpabilité. En un temps et un lieu indéterminé, Brodeck incarne la figure de l’Autre, de l’étranger, de celui qui, différent, dérange et est rattrapé par la cruauté des hommes. C’est un autre lui-même qui est assassiné par les habitants du village : l’Anderer, un homme venu de nulle part, avec une jument et un âne – mademoiselle Julie et Socrate – à l’apparence étrange, au caractère doux et dont la simple présence attise la haine. « Ça ne pouvait que se terminer comme ça. Cet homme, c’était comme un miroir, il n’avait pas besoin de dire un seul mot. Et les miroirs ne peuvent que se briser. » Dans une langue travaillée – que l’on peut juger trop métaphorique, trop ornée… – l’auteur crée une atmosphère saisissante où petite et grande histoire s’enchevêtrent. Une fois encore, les lycéens du prix Goncourt élisent un ouvrage sombre, une destinée douloureuse qui interroge la notion d’humanité. Hélène Sagnet
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