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Critiques de Roland Barthes (184)
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Fragments d'un discours amoureux

Lecture complémentaire à l’occasion d’un cours de LGC et particulièrement relatable. Les définitions que donne Barthes sont tout à fait bienvenues (c’est la partie que je préfère……) et le livre se lit un peu à la manière d’un recueil de poésie : on sélectionne les chapitres qui nous intéressent grâce aux définitions et on lit le livre dans le désordre.. belle expérience
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La Chambre claire : Note sur la photographie

Ah, Barthes ! L'intellect affiné et la sensibilité raffinée. Ce livre est un essai en même temps qu'un autoportrait, une confession pudique. Il propose un lexique restreint pour étudier la photographie (le "studium" et le "punctum" en particulier) et surtout pour mieux décrire ce qui le touche et le trouble intimement dans chaque photographie choisie. Livre qu'on ne peut que chérir. (À moins d'y être hermétique, ce qui se conçoit bien sûr.)
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Michelet

Cet ouvrage est consacré au grand historien que fut Michelet . Roland Barthes avec sa finesse habituelle trace son portrait et celui de sa pensée à partir de ses textes Après un memento qui ressitue l'homme dans son siècle ,il développe en 6 chapitres: Michelet mangeur d'histoire/La vaisseau hollandais/L'histoire que nous mettons très sottement au féminin/Mort-sommeil et mort-soleil/Fleur de sang/Sa Majesté la femme/L'Ultra-sexe/ Lecture de Michelet.Puis on donne un florilège de commentaire sur Michelet.Nombreuses illustrations.
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Fragments d'un discours amoureux

Voilà c’est fait ! J’ai réussi ! Après une première tentative et un cuisant échec en décembre 2016 je m’y suis collé de nouveau. Un article par jour j’arrive enfin au bout de mon périple masochiste.

Bon de quoi s’agit-il ? Un dictionnaire non pas sur l’amour mais sur l’amoureux qu’il soit femme ou homme. Son langage, ses attitudes, ses symboles…. Un cobaye parfaitement disséqué par le maître philosophe-sémiologue.

Beaucoup de mots nouveaux que je n’arriverai jamais à recaser dans une conversation mais qu’importe j’en ai sélectionné quelques-uns. Ce livre doit être interdit à tous ceux qui n’ont jamais connu l’amour car il risquerait de les dégouter par avance. Ça ne donne pas envie ! Mais en fait s’agit-il bien d’amour et pas plutôt de dépendance amoureuse ? Comme l’écrit avec tant de justesse Barthes :

« Annulation : Bouffée de langage au cours de laquelle le sujet en vient à annuler l’objet aimé sous le volume de l’amour lui-même : par une perversion proprement amoureuse, c’est l’amour que le sujet aime, non l’objet. »

N’empêche j’aime Roland même si nous ne sommes pas du même monde. Et puis il nous fait dans ces fragments quelques saillies toutes Barthiennes.

Comme James Dean il est mort d’un accident de la route, moins glorieux ; trop tôt.

Fauché le 26 mars 1980 par la camionnette d'une entreprise de blanchissage, 44 rue des Écoles à Paris, juste devant le vieux campeur ; il demeurera icône et légende.

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Fragments d'un discours amoureux

Il est rare d'assister à un décryptage des scènes du quotidien concernant tout ce qu'il y a autour du sentiment amoureux et dans une justesse aussi précise. Notamment dans la mise en scène de l'attente avec le délaissé comme personnage principal et unique, "et pour cause". Un bijou du sémiologue...

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Ma pensée en terminant le livre :

"Il faut le relire..."

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Bonne lecture... 🌻
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Roland Barthes par Roland Barthes

Chef d'oeuvre absolu : ce livre a changé ma vie. je l'ai lu à sa sortie et j'avais 18 ans. Il m'a permis d'oser explorer mes possibles. Roland Barthes s'expose et nous expose dans toute la complexité de la vie. Une clef pour toute son oeuvre qu'il faut dévorer pour s'ouvrir de multiples horizons littéraires et artistique. Ce livre est un sésame pour accéder aux beautés multiples et multiformes de l'art.
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Fragments d'un discours amoureux

Ovni exceptionnel, à lire par ci, par là, très condensé pour une lecrure d'une traite. On côtoie le sublime.
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Le Degré zéro de l'écriture, suivi de Nouveaux es..

Le degré zéro de la connerie prétentieuse. Seuls Maurice Blanchot et Jacques Derrida ont réussi à atteindre un tel niveau… Et peut-être aussi Paulo Coelho avec l'Alchimiste mais dans un autre genre.
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Fragments d'un discours amoureux

Pour ceux qui ne connaissent pas ce livre, il s’agit d’un ouvrage « à ambiance », à visée heuristique : le but de Barthes était d’écrire un « De l’amour », de capter le sentiment amoureux, de le définir le plus précisément et le plus justement possible. Seulement, ce qui a jusqu’ici été effectué dans cette optique, fut de passer par le rationnel (des définitions, etc) pour capter l’émotion, et bien entendu ça ne marche pas. Barthes a eu l’idée géniale de passer plutôt par l’émotion pour saisir l’émotion ; et ainsi naquit "Fragments d’un discours amoureux" : un recueil organisé et expliqué de citations d’œuvre littéraires sur l’amour, par thématiques (« Absence »/ « Corps » / etc). Ce qui peut être déroutant au début, c’est que ce livre est organisé par ordre alphabétique, comme un dictionnaire : on peut avoir l’impression d’un livre assez rigide, peu propice à l’étalement de sentiments amoureux… Mais l’introduction explique bien la démarche et l’organisation du livre, puis on se laisse porter : je l’ai trouvé très agréable à lire et/ou à feuilleter !



Mais ce sur quoi je voulais insister plus particulièrement, c’est qu’il s’agit d’un livre à lire quand on est amoureux je pense : c’est à ce moment qu’on m’a re-conseillé de le lire, et cette fois ça a marché, j’ai réussi à me plonger dans l’esprit du livre ! A part pour la beauté en soi des citations, je ne vois aucun intérêt à lire "Fragments d’un discours amoureux" si ce n’est pas dans le cadre d’une introspection, d’une recherche de soi, d’un questionnement sur ses émotions. C’est d’ailleurs un livre que je n’aurais aucun mal à classer dans le développement personnel ! Je trouve qu’il touche très juste, et nous fait prendre conscience de la manière dont la littérature (puisqu’il s’agit exclusivement de citations) peut révéler l’humain ! C’est d’ailleurs à ce sujet que je pourrais adresser le seul reproche à faire à cet ouvrage : les références ne sont vraiment pas claires, j’aurais aimé pouvoir retrouver les livres dont les citations sont issues, mais ce n’est pas toujours évident… C’est bizarre tout de même, peut-être un problème d’édition…



Mais enfin, il s’agit d’une très bonne re-découverte ! C’est pour moi un livre que tout le monde devrait avoir dans sa bibliothèque ! Je vous laisse donc sur la citation du livre qui m’a le plus parlée :



"« Suis-je amoureux ? – Oui, puisque j’attends. » L’autre, lui, n’attend jamais. Parfois, je veux jouer à celui qui n’attend pas ; j’essaye de m’occuper ailleurs, d’arriver en retard ; mais, à ce jeu, je perds toujours : quoi que je fasse, je me retrouve désœuvré, exact, voire en avance. L’identité fatale de l’amoureux n’est rien d’autre que : je suis celui qui attend. "
Lien : https://leboudoirbibliothequ..
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Journal de deuil

Je déconseille à qui voudrait aborder l’œuvre de Barthes d'y entrer par ce livre. Non qu'il soit difficile - c'est certainement le plus limpide de ses textes - mais découvrir Barthes avec le journal de deuil exposerait son lecteur à un ennui profond; il y pleure sa mère dans de brèves notules qui sont autant de points noirs déposés sur des fiches - points noirs sans dimension ni profondeur, petits accès maniaques d'écrivain déprimé par la mort de sa mère et qui s'accroche à l'écriture comme pour ne pas perdre la main: "En écrivant ces notes, je me confie à la banalité qui est en moi" (29 octobre).



"Qui sait? Peut être un peu d'or dans ces notes" (27 octobre). Bien que cette interrogation le suggère, je ne pense pas que Barthes ait jamais songé à publier ce texte - sinon peut-être de façon posthume - sachant que ses papiers seraient déposés à l'IMEC (Institut pour la Mémoire de l'Édition Contemporaine) après sa mort.



Jusqu'à hier, je n'avais jamais prêté attention à ce livre dont j'ignorais tout. Par hasard, il n'attira mon attention sur les rayons d'une bibliothèque que parce j'avais lu de fraîche date "La chambre claire"; que cet essai sur la photographie est aussi une troublante méditation sur la mort.

Ce journal de deuil n'a que cet intérêt là; celui de vous introduire dans une sorte de work in progress, c'est-à-dire la genèse de cette très belle œuvre de Roland Barthes; "La chambre claire". Le journal de Deuil de Roland Barthes est le premier élan d'un projet dont la trace se retrouve dans ces lignes entre crochets: "[Sans doute je serai mal, tant que je n'aurai pas écrit quelque chose à partir d'elle (Photo, ou autre chose).]" (p. 227).
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Mythologies

Très difficile de rédiger une critique au sujet de ce classique de la science sociale car je l'ai trouvé terriblement inégal.

Les analyses de mythes sont intéressantes. Sémiologue réputé, Roland perçoit un combat de catch, une inondation, le goût partagé pour le vin, le tour de France... comme des manifestations de l'idéologie dominante : "l'idéologie petit bourgeois". Avec humour, finesse et intelligence, l'auteur déconstruit le "naturel" de certains événements, de certains gestes, de certaines images et de certains mots en verbalisant les fondements idéologiques qui les sous-tendent. Autre point caractéristique de cet ouvrage : Roland Barthes revendique clairement son parti prix idéologique marxien, jugeant faire de la "sémioclastie" et critiquant à longueur de temps la domination de l'idéologie "petit bourgeois".

Toutefois, à mon sens, la seconde partie annihile tout le plaisir que m'a procurée la lecture de cet ouvrage alors qu'elle n'en représente qu'un quart. Peut-être n'ai-je pas les connaissances nécessaires en matière de sémiologie et de sémantique, mais sa tentative de définition du mythe m'a plus embrouillé l'esprit qu'autre chose. Répétitive et obscure, la tentative d'explication du mythe a remis en cause toutes les leçons que je pensai avoir tirées de la lecture de ce livre.

Si vous attaquez ce livre, un seul conseil : ne lisez pas la seconde partie si vous n'êtes pas rodés à l'analyse des signes et des mots !
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S/Z

Un chef d'œuvre de l'analyse littéraire.
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Mythologies

Depuis 1955 peu de choses ont changées
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Mythologies

Regards d'un temps où Béatrice s'effondre, Eliane et Huguette se taisent aux larmes d'un Coudurier et d'un Logier.



L'Algérie se déchire, Budapest s'insurge, Suez fat son canal et sa crise.



Staline se décrit au XX° congrès de son parti et l'AIEA se fait corps.



Les faits divers et les éclats du Monde se côtoieront de lignes en pages.



A lire avec intérêt et curiosités.

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La Chambre claire

Ma première lecture de la Chambre Claire de Roland Barthes date d'il y a maintenant plus de dix ans, lors de mes études d'Art Appliqué, et j'en gardais un souvenir flou. Rien de tel alors qu'un audiobook de qualité pour redécouvrir cet essai fondateur sur la nature de la photographie et la manière dont elle peut être envisagée en tant que medium de l'image mais également en tant que forme d'art spécifique, porteuse de sens intrinsèque.

Un grand merci à Babelio et Audiolib qui m'ont donné l'occasion de redécouvrir ce texte lors d'une opération Masse Critique. La Chambre Clair nous propose les réflexions de Roland Barthes sur le sujet de la photographie, et le livre audio se prête merveilleusement bien au sujet tant la lecture calme et posée de Daniel Mesguich m'a donné l'impression d'être projetée dans son salon aux côtés du sémiologue, confidente à laquelle il ferait part de ses méditations sur le sujet au fur et à mesure d'elles lui viennent, qu'il explore une piste de réflexion ou une autre.

Car si c'est un ouvrage fondateur de la pensée sémiotique autour de la photographie, la Chambre Clair est aussi un essai très personnel, puisque n'étant pas photographe, Barthes choisi de baser sa réflexion sur les photos qui lui plaisent ou le marquent en tant que spectateur, d'en interroger le comment, le pourquoi… Et parmi celle-ci une photo noire et blanc de sa mère, prise au Jardin d'Hivers quand elle était enfant, photo qui pour lui plus que toute autre le touche, saisit l'essence de la femme qu'elle était ou serait. Cette photo revient donc souvent au fil de l'essai, analysée sous plusieurs angles, qui permettent à Barthes d'isoler progressivement des noèmes que la photographie encapsule inévitablement.

Je ne peux d'ailleurs m'empêcher de me demander à quel point sa pensée aurait été différente aujourd'hui, où le noème « Cela a été » qu'il déclare intrinsèque à la photographie a été rendu caduc par la photographie numérique et l'existence de photoshop. Cette certitude que l'on pouvait éprouver il y a même vingt ans devant un cliché argentique n'est plus une évidence, et toutes les réflexions qui en découlent sont donc rendues plus ou moins caduques… Sujet de méditation intéressant.

Néanmoins La Chambre Clair reste une lecture (ou une écoute) passionnante (ainsi que certes un peu exigeante), et une source de sujets de réflexions inévitable pour quiconque s'intéresse à la photographie ou à l'image…. Et je ne peux que recommander l'aventure en audio, qui donne au texte une toute autre dimension.

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Sur Racine

Il faut voir cette vidéo

http://www.dailymotion.com/video/xr2wtr_1ere-interview-video-en-france-de-rene-pommier_news

puis lire ce que mon ami René Pommier dit de ce Barthes sur Racine.

http://www.babelio.com/livres/Pommier-roland-barthes-ras-le-bol-/823193

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Mythologies

C'est dans cette oeuvre que j'ai découvert mon mot : "posture". Je l'ai trouvé dans 4 articles ;

- L'acteur d'Harcourt (mythe de la beauté, de l'éternelle jeunesse, idéalisation, objet romanesque et illusion),

- L'écrivain en vacances (statut privilégié, gens de lettre, nature sacralisée),

- Le pauvre et le prolétaire ("Les temps modernes" de Charlie Chaplin, représentation politique prolétaire contre patron, aliénation par le travail),

- "Nautilus" et "Bateau ivre"

Et son contraire "imposture", je l'ai trouvé à deux reprises :

- La grande famille des hommes (grande expo photos, identités, diversités physiques et culturelles, nature humaine universelle, Dieu).

Pour moi, le mot "posture" évoque la conscience, la résistance et en même temps la fragilité. Ce mot a une épaisseur. Mais cette épaisseur est limitée.

En conclusion, la mythologie est un système de valeurs dans un langage collectif. Le mythe a un sens. C'est un symbole. Il est une forme qui peut se déformer d'où l'imposture. Le mythe est instrumentalisé par la petite bourgeoisie. Mais pas seulement : publicitaires, journalistes, politiques.

Cet essai a été écrit au milieu des années 50 en pleine décolonisation et 12 ans environ avant mai 68. C'est une oeuvre qui me parle.
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Le plaisir du texte

la critique du texte littéraire le rend plus accessible à une bonne compréhension.

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La Chambre claire : Note sur la photographie

(...)

La chambre claire n’est pas un ouvrage d’analyse photographique, de dissection de ce qui fait une bonne photo ou une mauvaise, c’est plutôt une interrogation personnelle, intime, subjective du regard de Barthes sur la photographie. Et c’est par ce côté personnel, justement, que La chambre claire touche et passionne, par cette volonté de ne pas en imposer, mais d’être sincère, que le livre nous amène à nous interroger sur notre propre regard de spectateur. Passionnant.

Lire la critique complète sur mon site :
Lien : http://chroniques.annev-blog..
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Journal de deuil

Lecture que j'aurais aimé faire il y a quelques mois, en août dernier. Et aimé partager avec ceux de mes proches le plus tenaillés par la douleur du chagrin. J'ai déjà donné quelques citations, sur ces pages et sur Apostilles, j'en donne plusieurs autres ici tant j'ai trouvé que ce recueil de notes -- lequel, semble-t-il, n'était pas destiné à la publication, d'où, à l'époque, l'inévitable polémique éditoriale parisienne --, brèves annotations jetées sur des fiches, était juste dans sa façon de contourner, de le tender du moins, l'impossibilité de « dire » la mort : « Mon chagrin est inexprimable mais tout de même dicible. Le fait que la langue me fournit le mot « intolérable » accomplit immédiatement une certaine tolérance ». Et aussi : « Je ne veux pas en parler par peur de faire de la littérature -- ou sans être sûr que c'en ne sera pas -- bien qu'en fait la littérature s'origine dans ces vérités. » D'ailleurs, Barthes n'aime pas le mot deuil, lui préférant celui de chagrin. Impossibilité pour lui, donc, de faire un « récit de vie » de la mort de sa mère, seulement, par attouchements, pourra-t-il restituer la présence de l'absence : « Dans la phrase "Elle ne souffre plus", à quoi, à qui renvoie "elle" ? Que veut dire ce présent ? » et des effets de cette mort sur lui : « J'habite mon chagrin et cela me rend heureux. Tout m'est insupportable qui m'empêche d'habiter mon chagrin. », qui ressent en outre une très forte et constante peur d'une catastrophe qui a déjà eu lieu (référence au psychanalyste Winnicott) et incessamment douloureuse.



Beaucoup de références à Proust, évidemment, et on pourra lire, comme le suggère Antoine Compagnon dans son cours Écrire la vie : Montaigne, Stendhal, Proust du Collège de France (qu'on peut écouter en podcast), Albertine Disparue. L'un et l'autre livre, si opposés par la forme, sont absolument complémentaires l'un de l'autre.



Inéluctable conclusion : « La vérité du deuil est toute simple : maintenant que mam. est morte, je suis acculé à la mort (rien ne m'en sépare plus que le temps). »



Pour moi, et conscient de l'étrangeté de ce que j'écris : cette douleur crée de la beauté, ne pouvant s'intégrer au récit de vie de Barthes, elle est désormais liée à la mienne, par l'écho qu'elle suscite en moi avec celle découlant de la mort de ma mère. Beauté douloureuse, mais Beauté : je suis un survivant de Beauté.




Lien : http://les-cendres-et-le-plu..
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