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Critiques de Roland Barthes (184)
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Leçon

Le texte de la leçon inaugurale donnée par Barthes au collège de France, en janvier 1977. Un texte magistral pour comprendre le pouvoir de la langue, le pouvoir de toute langue. C'est dense, mais c'est profond, essentiel et — plus que jamais — actuel. Un texte très politique. Voyez la citation.
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Leçon

Leçon inaugurale des Cours au Collège de France.
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Les mythologies

Mythologies est un sermon de pasteur protestant déguisé en manifeste marxiste. D'après Barthes les publicités et les produits de la consommation de masse nous communiquent les messages qui font de la propagande du consumérisme. De cette façon Barthes semble être a sans percent d'accord avec nos pasteurs qui nous assurent que c'est le diable qui nous parle a travers la publicité et les objets de consommation. Se peut-il que et Barthes et les pasteurs ont tort?

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Littérature et réalité

Cet essai est un recueil d'articles écrits entre la fin des années 1950 et le milieu des années 1970. Il traite de la question du réalisme en littérature. L'article de Ian Watt qui introduit cet ensemble rend compte des analogies entre réalisme philosophique et réalisme littéraire. Ce changement de perception est apparu à la Renaissance avec la remise en cause des conventions issues de la pensée grecque puis de l'ordre médiéval.

Par contre, cela se complique avec l'article de Léo Bersani intitulé: "Le réalisme et la peur du désir." Dès qu'il s'aventure dans des considérations psychanalytiques, tout s'embrouille. Exemple page 55: "Ce qui distingue les analyses freudiennes, c'est qu'elles proposent une histoire de la structure du sujet dont l'un des stades est la solidification des structures de la personnalité (qui sont la sublimation post-œdipienne de pulsions pré-œdipiennes)." Mais si l'on fait l'impasse sur ces passages fumeux, l"analyse de Bersani est riche d'enseignements. Il nous rappelle que "les grands romanciers du XIXe siècle dénoncent dans leur société une sorte de communauté inauthentique du désir. L'harmonie sociale ne s'étend pas plus loin que l'imitation du désir des autres; on a besoin des autres pour savoir ce qui est désirable, et en même temps il faut éliminer les autres pour posséder les objets qu'ils ont désignés à nos appétits parasites."

Enfin, l'article de Roland Barthes, "L'effet de réel", traite de la place des éléments en apparence insignifiants dans les textes littéraires réalistes, des sortes de détails inutiles qui n'étaient pas présents dans la culture classique, où le réel ne pouvait en rien contaminer le vraisemblable. Ce détail ne font rien que signifier le réel, ils nous disent: "nous sommes le réel".
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Marcel Proust : Mélanges

"Donc, d'abord, Proust."



Les fulgurantes miscellanées que nous prodigue, d'outre-tombe, un Roland Barthes ébloui sont de ces friandises que tout proustien (ou marcellien, selon le subtil distinguo du sémillant sémiologue) se doit de croquer.



Brillant sans jamais être pontifiant, sagace sans mésuser du moindre jargon affecté, le philosophe s'attache à dévider l'écheveau de la Recherche en multipliant les perspectives : le déclencheur du grand œuvre, l'invention d'une langue unique, l'énonciation du "je", la poétique de l'onomastique, le moment sacré où le génie éclot...



Floculation, émulsion (la mayonnaise accommodant fort bien le bœuf en gelée), mutation, vacillation, mystagogie ou cristallisation... Barthes métaphorise d'importance pour tenter d'élucider "l'enchantement du Vendredi Saint" que constitue le septuor de Proust. Ses analyses, ses annotations, au même titre que ses confidences murmurées, sont confondantes d'acuité et de ferveur retenue.



Au-delà de propos singulièrement éclairants, Barthes, fervent missionnaire, nous redonne une furieuse envie de lire, relire, délire le précieux bréviaire. C'est l'essentiel.



"De tout cela, nous ne garderons qu'un seul fil - celui de notre projet : essayer de savoir comment quelqu'un est passé de la Notation à la Nappe, de la Vie à l’œuvre."
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
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Michelet

Cet ouvrage est consacré au grand historien que fut Michelet . Roland Barthes avec sa finesse habituelle trace son portrait et celui de sa pensée à partir de ses textes Après un memento qui ressitue l'homme dans son siècle ,il développe en 6 chapitres: Michelet mangeur d'histoire/La vaisseau hollandais/L'histoire que nous mettons très sottement au féminin/Mort-sommeil et mort-soleil/Fleur de sang/Sa Majesté la femme/L'Ultra-sexe/ Lecture de Michelet.Puis on donne un florilège de commentaire sur Michelet.Nombreuses illustrations.
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Mythologies

C'est dans cette oeuvre que j'ai découvert mon mot : "posture". Je l'ai trouvé dans 4 articles ;

- L'acteur d'Harcourt (mythe de la beauté, de l'éternelle jeunesse, idéalisation, objet romanesque et illusion),

- L'écrivain en vacances (statut privilégié, gens de lettre, nature sacralisée),

- Le pauvre et le prolétaire ("Les temps modernes" de Charlie Chaplin, représentation politique prolétaire contre patron, aliénation par le travail),

- "Nautilus" et "Bateau ivre"

Et son contraire "imposture", je l'ai trouvé à deux reprises :

- La grande famille des hommes (grande expo photos, identités, diversités physiques et culturelles, nature humaine universelle, Dieu).

Pour moi, le mot "posture" évoque la conscience, la résistance et en même temps la fragilité. Ce mot a une épaisseur. Mais cette épaisseur est limitée.

En conclusion, la mythologie est un système de valeurs dans un langage collectif. Le mythe a un sens. C'est un symbole. Il est une forme qui peut se déformer d'où l'imposture. Le mythe est instrumentalisé par la petite bourgeoisie. Mais pas seulement : publicitaires, journalistes, politiques.

Cet essai a été écrit au milieu des années 50 en pleine décolonisation et 12 ans environ avant mai 68. C'est une oeuvre qui me parle.
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Mythologies

Roland Barthes parle "Mythologies" dans "Lecture pour tous" en 1957
Lien : http://youtu.be/Hi8XM2b9048
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Mythologies

Ce qu'il y a de passionnant dans cet essai c'est l'interprétation de faits de sociétés modernes apparemment anodins (le catch, les marques de lessive, la dernière Citroën, un spectacle de strip-tease, l'abbé Pierre, etc.). Barthes interprète ce quotidien de l'homme moderne et montre le sens caché de ces phénomènes. la deuxième partie est un chapitre ardu (je dirais même indigeste !) sur la sémiologie. C'est au final un livre intéressant, quoique desservi par une rhétorique vieillotte sur le thème de la lutte des classes contre l'esprit "bourgeois".
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Mythologies

Je veux savoir : à qui s'adressent ces brillants essais ? Qui a réellement lu Roland Barthes, dont semblent se prévaloir pas mal de journalistes. Parske quand on voit l'état du journalisme actuel on peut vraiment s'interroger. Sans doute l'ont-ils lu avec la rigueur d'un mouton empaillé* ou comme ils (ne) lisent (pas) la quatrième de couverture du dernier Tatiana de Rosnay (tiens, ça c'est mon cas)...

Il y a beaucoup d'intelligence -limite trop, mais vaut mieux trop que pas assez -dans tous ces décryptages (terme à la mode) de phénomènes, people ou événements de ces années-là. J'ai particulièrement apprécié "L'art vocal bourgeois", "Le plastique", et "La Littérature selon Minou Drouet", parce que ce sont des sujets qui me parlent plus. Sans doute les amoureux des voitures auront-ils appréciés le passage sur la nouvelle DS... Et, partant, j'imagine que tout lecteur trouvera l'un ou l'autre des sujets abordés à son goût.

Mais en corollaire, ce livre est fort difficile précisément quand le sujet n'intéresse pas a priori. D'où cette lecture hachée sur plus d'une année...

Les passages finaux sur la sémiologie et ses définitions et utilisations du mythe sont aussi ardus et pour le non-connaisseur, pour le non-spécialiste le livre pourra risquer de vous tomber des mains (mettez-y du scotch, enduisez-les de glu)...



Bref, Barthes nous rend plus intelligent(s), au moins par moment et pour ça on peut le remercier. Barthes est un grand, il brille. Je suis encore frais émoulu et sans doute avec le temps je pourrai encore plus apprécier ce Monsieur et ses propos et, qui sait, peut-être pourrais-je alors relayer, sans trop déformer, ce que j'en aurais tiré de bon et beau.



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* : métaphore mythologique ? (fier)
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Mythologies

Cette note correspond à ma proportion de lisible ; disserter avec talent sur les objets cultes de cette fin des années cinquante c’est plaisant même plus que plaisant quand on a vécu cette période en culottes courtes. Mes préférés : la DS 19, notre voiture familiale en son temps, le tour de France un immortel, le vin, le bifteck et les frites.

Par contre tout le blabla sur la mythologie c’est incompréhensible, genre langage sectaire des cours de pédagogie, de psychologie ou autre secte. Le grand vide ; comme si je déchiffrais sans rien comprendre. L’horreur ! Ce qui est le plus fantastique c’est de penser que de gens comprennent tout ça ; une belle leçon d’humilité. Mais comme je n’avais pas pu finir « fragments d’un discours amoureux « du même auteur je me suis accroché et j’ai réussi. Mais est- ce bien ça la lecture ?

Il nous faudrait un nouveau Barthes, puisqu’il s’est fait écrasé bêtement par une camionnette de blanchisserie en traversant la rue des Ecoles. Mais il aurait 105 ans. Car les nouveaux mythes sont là : le jean, le T-shirt, les baskets, la pizza et bien d’autres.

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Mythologies

Très difficile de rédiger une critique au sujet de ce classique de la science sociale car je l'ai trouvé terriblement inégal.

Les analyses de mythes sont intéressantes. Sémiologue réputé, Roland perçoit un combat de catch, une inondation, le goût partagé pour le vin, le tour de France... comme des manifestations de l'idéologie dominante : "l'idéologie petit bourgeois". Avec humour, finesse et intelligence, l'auteur déconstruit le "naturel" de certains événements, de certains gestes, de certaines images et de certains mots en verbalisant les fondements idéologiques qui les sous-tendent. Autre point caractéristique de cet ouvrage : Roland Barthes revendique clairement son parti prix idéologique marxien, jugeant faire de la "sémioclastie" et critiquant à longueur de temps la domination de l'idéologie "petit bourgeois".

Toutefois, à mon sens, la seconde partie annihile tout le plaisir que m'a procurée la lecture de cet ouvrage alors qu'elle n'en représente qu'un quart. Peut-être n'ai-je pas les connaissances nécessaires en matière de sémiologie et de sémantique, mais sa tentative de définition du mythe m'a plus embrouillé l'esprit qu'autre chose. Répétitive et obscure, la tentative d'explication du mythe a remis en cause toutes les leçons que je pensai avoir tirées de la lecture de ce livre.

Si vous attaquez ce livre, un seul conseil : ne lisez pas la seconde partie si vous n'êtes pas rodés à l'analyse des signes et des mots !
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Mythologies

J'avais adoré ce livre quand j'étais lycéenne. Il est resté longtemps au Panthéon de mes favoris. Je l'ai relu et j' ai constaté qu'il avait beaucoup vieilli, ce qui n'est pas le cas d'autres textes de la même époque: Jakobson, Levi- Strauss, Chomsky, Lacan (liste non exhaustive). C'est le propre des écrits très datés, comme les textes parodiques ou pamphlétaires je crois, de finir au rayon vide grenier à côté des idées qu'ils dénonçaient. Même la très belle écriture de Barthes n'apparaît pas clairement dans cette bimbeloterie . Et de nos jours, qu'est donc la petite bourgeoisie devenue? Qui pourrait écrire les Mythologies contemporaines? En attendant je relis aussi Roland Barthes par Roland Barthes, ou encore Sur Racine.
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Mythologies

Un ouvrage des plus intéressants de par ses analyses de certaines choses / événements des plus quotidiens. Un certain regard sur notre société qui nous permet de voir tout cela d'un autre point de vue. Mon seul regret : le langage parfois trop "pointu" - l'ouvrage est déjà copieux de par les informations distillées, mais le langage de spécialiste en plus oblige à morceler sa lecture. Certains événements analysés reflètent aussi l'époque où cet essai a été écrit et peuvent paraître incompréhensibles au lecteur d'aujourd"hui, mais ce n'est pas le cas de tous. En résumé, un essai des plus intéressants mais à parcourir lentement.
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Mythologies

Démarche très honorable que celle de vouloir déchiffrer les mythes contemporains. Malheureusement, trop de longueur et de mots alambiqués pour une lecture fluide et agréable.
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Mythologies

Ces Mythologies de Roland Barthes me laissent un sentiment mitigé en tant que lecteur. J'ai adoré les deux premiers tiers et sa déconstruction des mythes populaires des années 1950, l'occasion de ressusciter, le temps de quelques lignes, un passé que me racontait mes parents ou dont je ne connaissais que des bribes... La dernière partie, le sémiologue reprend le dessus et j'ai trouvé le texte difficile d'accès tout au moins demandant un réel effort de compréhension pour un Béotien comme moi.
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Mythologies

Pour tout dire, la lecture de cet essai m’a laissé sur des sentiments contradictoires.

D’un côté, j’ai trouvé une grande partie de ses analyses particulièrement pertinentes et intéressantes dans la mesure où certains des mythes des années 1950 que Roland Barthes met en lumière sont encore d’une incroyable actualité. Si l’auteur met en avant, entre autres, l’infantilisation véhiculée par le monde bourgeois et son hypocrisie, ce qui est sans doute le plus frappant sont ses analyses sur la condition de la femme et des peuples colonisés qui sont pour le moins annonciatrices des grands combats de notre époque.

Cependant, si beaucoup des conclusions de Barthes ne peuvent que nous inciter à appréhender notre monde avec plus de regard critique, d’autres, en revanche, me semblent plus discutables ou, en tout cas, m’incitent à les aborder avec plus de nuances et de réserves.

Le biais idéologique manifeste avec lequel est écrit ce livre me semble parfois desservir les théories qu’il porte, en fondant par exemple son analyse sur des interprétations sujettes à caution. De ce fait, il semble que Barthes mette parfois la neutralité (certes théorique mais dans l’absolue nécessaire) de son statut de chercheur de côté au profit d’attaques pour le moins hasardeuses contre la bourgeoisie qu’il méprise.

Finalement, ce livre, bien qu’inégal et parfois discutable, est dans l’ensemble très éclairant et donne matière à réfléchir. Il me laisse donc dans l'ensemble une impression mitigée.
Lien : https://mon-imaginarium.wixs..
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Mythologies

Critique de Jérôme Garcin dans l'introduction du livre "Nouvelles Mythologies":



Roland Barthes mythifie si bien ce qu'il dénonce qu'on peut lire aujourd'hui son encyclopédie subversive avec une tranquille nostalgie: elle est devenue une littérature d'ambiance, comme on le dit de la musique. L’œuvre était d'abord politique, elle finit par ressembler, avec le temps, à un merveilleux bric-à-brac, un étonnant vide-greniers, un magasin d'enfance, une foire à tout [...]

En relisant aujourd'hui ce livre qui a tant marqué une génération, l'on ne peut s'empêcher de se demander si, tout en stigmatisant une époque, qui à la fois l'excite et l'exaspère, ce doctrinaire émotif, que l'obsession du deuil n'a jamais quitté, ne travaille pas à sauvegarder déjà ce qui est voué à disparaître, s'il ne fabrique pas des souvenirs par anticipation et des objets de mémoire par prétérition. (p.9).
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Mythologies

Toujours un délice, à lire et à relire...



Barthes s'est amusé à decrypter ,dans nos modes de vie contemporains, ce qui relève de l'actuel , donc du transitoire, de l'éphémère - et ce qui s'apparente à une conceptualisation de l'éternel humain...



Ainsi les Romains du cinéma américain, s'ils transpirent à grosses gouttes sous leur cuirasse dorée et leur jupette à plis, c'est leur "cogito ergo sum" : oui, ils PENSENT...et le peplum souligne par la sudation excessive cet effort cérébral inusité...



On se prend à rêver d' une réactualisation de ces mythologies, le beau Roland n'étant plus là- écrasé par un bus parisien devant le Balzaar dont il sortait à l'étourdie- il aurait sûrement interrogé la sémiologie du jean stone washed ou du cuir destroy, de l'insupportable téléphone portable, de la liseuse mangeuse de livres, des réseaux sociaux devenus organes vitaux, Facebook, Tweeter ou...Babelio..



Je propose d'ouvrir ici - dans les commentaires, si le coeur vous en dit- une remise à jour de ce passionnant décodeur de nos petites manies et grandes psychoses collectives...



Chiche? A vous/ nous de jouer!!
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Mythologies

J’y suis finalement parvenu ! Après six ans de lecture, plusieurs fois interrompue, je suis arrivé au bout de « Mythologies ». C’est à l’occasion d’un trajet en train, interminable, entre Termini et Jesi que j’avais commencé l’opus de Roland Barthes. A l’époque, je m’étais vite rendu compte qu’à moins d’être linguiste, sémiologue ou sociologue, je n’arriverais pas à en apprécier le contenu.



C’est après avoir terminé « Pastiches et postiches » d’Umberto Eco, un autre livre entamé il y a quelques années également, et l’avoir bien mieux appréhendé (compris, oserais-je dire), que j’osai me replonger dans la lecture de « Mythologies ». Espérant cette-fois en comprendre l’essentiel.



Hélas, je n’ai pu y entendre que le superficiel, serais-je moi aussi un petit-bourgeois ?



J’ai été cependant frappé par l’actualité des thèmes de plusieurs articles, et malgré les concepts ardus (pour le profane que je suis) la capacité du texte à ouvrir les yeux du lecteur sur l’idéologie bourgeoise (idéologie qui ne dit pas son nom, me semble-t-il avoir compris).



J’ai le sentiment que même si l’œuvre est parfois absconse (encore une fois lorsqu’on ne dispose pas du bagage adéquat) ; elle nous permet de recouvrir, pour un temps, une certaine lucidité sur le monde.



Bref, un essai complexe, inabordable par certains côtés, édifiant par d’autres mais qui donne l’envie de se former à la sémiotique.

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