Tanya Huff

Les soldes nous permettent parfois d’acheter des livres de poche vraiment pas chers, c’est ainsi que je suis tombé sur ce premier tome d’une série fantastico-policière. Son titre : le prix du sang ne pouvait que me mettre l’eau à la bouche, avec la quatrième de couverture j’avais une bonne mise en bouche :



Un hurlement retentit… et les anciens réflexes de Vicki se réveillent. Trop tard : la victime gît, la gorge déchiquetée, tandis qu’une silhouette fuit dans les tunnels sombres du métro. Ancien flic devenue détective privé, Vicki Nelson ne peut s’empêcher d’enquêter sur cette affaire. Mais, plus elle avance, plus elle comprend qu’elle est sur la trace de créatures bien plus dangereuses que tout ce qu’elle a pu affronter.



Pourquoi c’est un ancien flic ? Parce qu’elle a une maladie aux yeux irréversible et que sa vision devient de plus en plus floue, elle a donc dû quitter son boulot qu’elle aimait tant.



Pourquoi est-elle engagée sur cette affaire ? Parce que l’amie de la victime l’embauche, elle est persuadée que la presse qui soupçonne un vampire (pour faire vendre) a raison et que la police se trompe et perd son temps en cherchant une autre piste.



Pourquoi ne fuit-elle pas lorsque toutes les preuves la dirigent vers du surnaturel ? Parce que l’inspecteur Celluci en charge de l’affaire n’est autre que son ex-collègue et ex-compagnon et qu’elle veut lui montrer qu’elle en a encore sous le pied et que malgré ses soucis aux yeux elle reste la meilleure.



Aucune déception dans ce premier tome, j’aime la relation tendue qu’elle a avec Celluci, la brutalité des crimes, les preuves qui de plus en plus nous amènent vers le côté obscur, le courage et la détermination de Vicki, son tableau de chasse élogieux qui lui laisse des portes ouvertes au sein de la police et surtout j’aime le personnage qui va l’aider et le lien qui les unit peu à peu. Je crois ou du moins j’espère fortement que leur partenariat va s’accentuer dans les tomes suivants et c’est pour cela que je vais me laisser tenter par le tome 2 voire plus si affinités.

L'histoire continu sur la même lancé que les précédents tomes. Le roman s'ouvre sur l’éveil inéluctable d'une momie découverte et ramené par un professeur d’archéologie et responsable d'une partie d'un musée aux u.s.a. Cette fois-ci l’enquête commence du côté de Celluci. En effet, monsieur la momie s'est réveillé et a absorbé la vie des chercheurs ainsi que de toutes personnes sachant que le sarcophage n'était pas vide. Malheureusement, lorsque la momie se nourrit la personne meurt de crise cardiaque. Celluci des affaires criminelles se voit donc retirer l’enquête. Pas de meurtre, pas d’enquête. C'est là que Vicki entre en jeu ! Celluci est convaincu qu'un ces arrêts cardiaque ne sont pas naturels et Vicki va rapidement être d'accord avec lui.



Les enjeux du livre et le pouvoir du méchant sont plus haut et plus dangereux que ceux du tome 2. on est plus proche de la gravité du tome 1. En plus d'avoir 3 millénaire, la momie est un sorcier soutenue par son dieu égyptien. Bref, du costaud.



Du coté romance, je m'étais fourvoyée dans mes précédente lecture. Vicki veut réellement n'avoir que des sex-friend. Ça m'a fait bien rire quand elle justifie sa relation avec Celluci : « c'est mon meilleur ami ». Je suis peut-être vieux jeu mais on ne couche pas avec son meilleur ami, sinon il ne l'est plus tout à fait. Vicki souhaite rester sur cette pente délicate du : on est amis mais on couche ensemble sans vrai amour. Mais, les deux autres parties ne semblent pas partager sa vision des relations. Moi aussi.



Pour en revenir au scénario, c'est simple : la momie veut conquérir la ville puis le pays etc... Pour cela, elle infiltre les rang de la justice et de la police. Elle utilise la bureaucratie et le système à son avantage ce qui retarde le combat final. La conclusion est correct même si je la trouve brusque.



Personnages : Vicki est de retour dans l'action et fait des trucs (ouais!). Elle n'a pas beaucoup changé depuis le tome 1. Je me suis juste rendus compte à quel point elle était handicapée niveau relation amoureuse.

Henri apparaît vulnérable et fragilisé dans ce tome. Il ne cesse de voir le soleil dans ses songes. Il se dit que c'est peut-être un signe de la fin de sa vie. M'enfin, le lecteur voit bien vite le lien avec notre pote, la momie.

Celluci semble avoir compris la nature d’Henri de lui-même. Heureusement, sinon il passerait vraiment pour un idiot.



Le style de l'auteur et l'univers ne varient pas beaucoup, je vais pas me répéter.



En bref : Un tome 3 plus intéressant que le tome 2 mais il m'a manqué l'étincelle qui enflamme le livre. Le triangle autour de l'héroïne qui se poursuit me refroidit. Je lirai la suite... plus tard.
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Livre de SF de stratégie militaire ou l'action se passe principalement sur la planète Silsviss.

L'action met pas mal de temps à démarrer. Au début on est plus dans une phase diplomatique avec la découverte d'une nouvelle race.

Par moment j'avais l'impression d'être dans un épisode de la série Tv "Babylon 5". Et c'est là que je n'accroche pas, je ne suis pas fan des livres de SF avec des petits bonhomme vert dedans.

Dans le genre SF Militaire, je lui préfère largement la série "Honor Harrington" de David Weber, ou "La flotte perdue" de Jack Campbell.

C'est un peu déçue que me laisse ce troisième tome des aventures de Vicki Nelson.



En effet, c'est avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans cette lecture car cela faisait très longtemps que j'avais mis cette série de côté alors que je gardais un excellent souvenir des deux premiers volumes.



Malheureusement, j'ai trouvé des longueurs vers la moitié du roman et l'action est longue à venir. Du coup, je me suis un peu ennuyée pendant plusieurs dizaines de pages alors que le début me plaisait beaucoup.



Heureusement, la fin est pleine de rebondissements et cela, couplé à la première partie du roman, permet de (presque) oublier les passages ennuyeux...



Concernant les personnages, j'apprécie toujours autant Vicki et son tempérament spontané. Au fil des tomes, on apprend à la connaître, à percer sa carapace de fille dure et je trouve que c'est un peu plus fragile qu'on la retrouve dans ce livre-ci.



Par contre, j'aimerais voir l'histoire Vicki / Henry / Celluci avancer un peu, un peu plus vite du moins. De plus, je pense que des interventions un peu plus répétées et un peu plus importantes de personnages autres que les trois précités seraient un plus (Tony apparaît très peu et je trouvais le Professeur Shane sympathique, j'aurais aimé la retrouver un peu plus loin dans l'histoire ou qu'elle participe à l'enquête).



Bref, j'ai apprécié ma lecture mais sans plus. Ce sera tout de même avec beaucoup de plaisir que je me plongerai dans la suite des aventures de Vicki !
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« Enchantment Emporium » est le premier livre de Tanya Huff que je lis et ce fut donc une découverte du style de l’auteur pour moi.



J’ai voulu lire ce livre car je fus attirée par la couverture que je trouve jolie avec ses tons violets et ses effluves de potions. A cela s’ajoute que le résumé laisse planer un mystère que j’aurais bien voulu percé.



Dans ce pavé de 607 pages, nous suivons les aventures d’Alysha Catherine Gale (Allie pour les intimes), 24 ans, qui se voit confier par sa grand-mère sa boutique d’occasion de Calgary, nommée, Enchantment Emporium, boutique d’utilité publique pour une certaine population un peu spéciale et boutique un peu spéciale aussi. Cette boutique est protégée par des enchantements, elle recèle un miroir magique, sert de poste à des personnes fantastiques qui vivent dans notre monde et propose entre autre des potions et des yoyos. Dés son arrivée, elle remarque des ombres qui planent sur la ville. Elle y fait aussi la connaissance de Joe, un leprechaun qui l’aide dès le départ dans la brocante, de Graham, un journaliste un peu spécial et d’autres êtres fantastiques comme les sprites, les loireag …

Allie est issue de la famille Gale, une famille de sorcières dans laquelle il y a très peu d’hommes. Cette famille (très nombreuses et c’est rien de le dire !!!) s’adonne à des rituels (mais je ne pourrais pas vous en dire plus pas pour ne pas spoiler mais car je n’en sais pas plus !!!) et a des mœurs un peu bizarres flirtant avec l’inceste (fait un peu dérangeant dans ce genre d’histoire surtout vu que cela n’est pas très clairement explicite dans le livre).

D’un coté une famille de sorcières, de l’autre des ombres et comme on peut s’en douter les deux clans se s’entende pas et le premier veut protéger la Terre de l’invasion du deuxième.



Tanya Huff nous entraine dans un univers fantastique pas trop mal mais non développé donc j’ai eu l’impression qu’il me manquait des éléments et ce fait est dommageable.

De plus, ce manque d’explication se retrouve aussi dans la description de la famille Gale dans laquelle on se perd très facilement. En effet, en 33 pages, nous faisons la connaissance 16 membres de la famille sans savoir qui est qui, quelles sont les liens de parenté et sans avoir un minimum de présentation sur les personnes.

Quelques chapitres plus loin, émergent de ce clan Allie, le personnage principale, son frère David, sa cousine Charlie (l’électron libre de la famille), son cousin Roland, Mickael (ami d’Allie).

Par rapport au style de l’auteur, je peux dire que l’écriture est simple mais c’est gâché par le fait que certaines phrases n’ont aucune construction grammaticale correcte, que l’on a l’impression, un peu trop souvent, qu’il manque des éléments pour que cela soir compréhensible. Et cela rend, du coup, la lecture pas fluide du tout et amène une certaine lenteur.

A cela s’ajoute un découpage du livre complètement loupé (à mon avis). Dejà par rapport aux chapitres qui sont long mais long, au point que je me demandais si ça aurait une fin. Il y a 13 chapitres en tout pour un livre qui fait 607 pages. Faites le calcul : ça fait une moyenne de 46/47 pages par chapitre. C’est long …. Ensuite, le découpage dans les chapitres est mal fait et pas assez visible. Souvent (trop souvent) j’ai eu l’impression de passer d’une situation à une autre, d’un personnage à un autre, sans lien avec ce que j’avais lu avant. Il fallait que je revienne sur ce que j’avais lu pour vois qu’il y avait une interligne qui annonçait un changement. Ce qui a ralenti une fois de plus la lecture.



Un point positif dans ce livre (il y en a quand même un !!!), c’est un élément de la fin que je n’avais pas du tout envisagé et qui m’a surprise.



En bref, une histoire fantastique et un univers intéressant mais pas assez développés, un manque d’explications qui laisse sur sa faim, trop de personnages au début dans lequel on se perd facilement, une structure du livre pas adéquate font que ce livre est une petite déception pour moi.


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J'aime la compétition entre Henry et Mike, et cette pauvre Vicki coincée au milieu avec la mort de sa mère... et la fin m'a surprise.

J'ai mieux aimé ce tome par rapport aux précèdents.

Alysha Gale est une jeune femme de 24 ans et vit au sein du clan Gale, une famille de sorciers. Alysha (ou Allie) a récemment perdu son emploi et est contrainte de revenir vivre chez ses tantes. Elle y reçoit une missive de sa grand-mère, dans laquelle elle lui précise que si elle lit cette lettre, c'est qu'elle est morte. Sa mamie lui fait dont de sa boutique à Calgary, une sorte de brocante appelée Enchantment emporium.

Allie se rend sur place et est bien décidée à découvrir ce qui est arrivé à son aïeule. Cependant une fois sur les lieux, d'autres problèmes bien plus graves vont se dresser devant elle. Des ombres inquiétantes font leur apparition dans la ville et quelqu'un semble s'intéresser de très près à la famille Gale.



L'arbre généalogique des Gale est plus que bien fourni, c'est pourquoi les cent cinquante premières pages du roman sont assez difficiles. L'auteure nous y présente tous ses personnages, sans vraiment approfondir leur personnalité. L'intrigue peine également à se mettre en place. Au départ centrée sur la mort de la grand mère, l'histoire part vite dans plusieurs directions sans vraiment de fil rouge captivant. Cela manque d'action et de rebondissements.



L'univers mis en place par Tanya Huff est très intéressant. Il en va de même pour le mode de fonctionnement général du clan Gale. C'est une caste où les femmes ont le plus de pouvoirs, et où la famille est très soudée. Malheureusement, le cadre limite incestueux m'a franchement déplu. En effet, les Gale se marient entre cousins proches afin d'assurer la pérennité de leurs pouvoirs. Les allusions sexuelles dans la famille sont nombreuses, et cela m'a gênée.

Le système de la magie et des charmes, bien que prometteur, n'est pas vraiment exploité et on reste dans le flou jusqu'à la fin du roman, c'est dommage.



Malgré le foisonnement des personnages, aucun n'a su retenir mon attention ou n'a su m'émouvoir. Pas même Allie l'héroïne, ni Graham le mystérieux "journaliste". Les membres du clan Gale étaient trop imbus d'eux même pour que je puisse m'y attacher.



L'écriture de Tanya Huff ne m'a pas spécialement séduite. Si j'ai adoré son style dans son autre saga « Vicki Nelson », ici je l'ai trouvé assez fouillis. Certaines tournures de phrases trop alambiquées ou confuses ont freinées ma lecture. Les dialogues sont également assez maladroits et peu percutants.



Pour conclure, la quatrième de couverture de « Enchantment emporium » promettait un univers et une histoire passionnante. Malheureusement, les relations entre les personnages et l'intrigue trop fouillis ne m'ont pas convaincue.

Encore un livre de vampires ?? Et oui ! Mais celui là est un peu plus originale que les autres. Et en quoi me demanderez vous ? C'est bien simple : un vampire et une humaine mais où l'humaine ne veut pas se transformer en vampire. Et oui c'est là toute la différence avec de grandes séries telles que Twilight, Journal d'un vampire, La confrérie de la dague noire et autres séries sur les vampires.



Un livre qui commence donc de manière originale où l'on découvre une héroïne pas très bien préparées à pénétrer le monde interdit de la nuit. Mais bon, elle va bien réussir à s'y intégrer et découvrir bien des mystères jusqu'alors non résolues.



Un livre envoutant, entraînant et délicieusement écrit. Si vous aimez ce genre de livre alors je vous le conseille vraiment. En plus il a l'avantage de ne pas être très volumineux et pas très cher. Une lecture donc rapide sauf si vous prolongez par les tomes suivants, bien évidemment.
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Nous voici lancé pour la deuxième aventure de Vicki Nelson qui promet d'être passionnante !

Nous retrouvons les même ingrédients qui ont fait la réussite du premier volume : une histoire originale avec une hisstoire d'amour tumultueuse.



Nous retrouvons Vicki et Henry dans un monde inconnu pour la jeune femme où elle n'aura pas le droit à un seul faux pas et qu'elle devra apprendre une autre culture : celle des loup-garous. Des êtres attachants avec chacun une personnalité différente mais qui forment un groupe hyper-uni que ce soit des enfants ou des adultes.



En tout cas pour ma part j'ai adoré ce deuxième volume qui met un petit peu entre parenthèse les relations de notre couple mais qui nous révèle un peu plus la personnalité de Henry.
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Encore et encore des vampires... Le deuxième tome est dans la continuité avec les loups garous.

Je suis personnellement lassée de cette mode "vampirique" du moment.

Mélange de genre encore une fois, ce livre ce trouve à l'intersection de la bit-lit et du thriller : autant vous dire que je me suis régalée de voir une aussi bonne association !



L'écriture de Tanya Huff est dès plus agréable, permettant d'enchaîner les pages rapidement et surtout ne présente aucun temps mort; elle est simple, facile et efficace. Je me suis tout de suite plongée dans cette histoire envoûtante qui présente différents personnages très intéressants.



Vicky est une ex-flic qui a démissionné suite à un problème de vue : elle n'a plus de vision périphérique et est quasiment aveugle la nuit. Reconverti en détective... Fonceuse, elle est impulsive et c'est après avoir agi, que généralement elle se rend compte qu'elle n'a plus de port d'arme... C'est un personnage qui est haut en couleur et très humain, je me suis reconnue par moment dans les traits qui la caractérisent.
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Les deux premiers tomes de Vicki Nelson étaient très bons, alors j’ai sans surprise enchainé rapidement avec la suite de la série de Tanya Huff. Pour rappel, cette dernière est parue au début des années 90 et vient d’être rééditée par J’ai Lu, dans une édition agréable, à la couverture certes un peu kitch, qui m’a valu des remarques au travail d’ailleurs, mais agréable à lire. Synopsis ? [lire la suite sur le blog]
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Quand je disais que j’allais enchainer le tome 3 et 4 de Vicki Nelson, je ne mentais pas. Ce quatrième roman, titré Pacte Sanglant, est l’avant dernier de la série de Tanya Huff et honnêtement, la bonnasse en couverture ne le sert pas vraiment. Même après avoir lu les trois cents pages que comporte le roman, je ne comprends toujours pas l’intérêt d’avoir mis une fille en mini-jupe sur la couverture. Bref, c’est parti, synopsis ? [lire la suite sur le blog]
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Ce n’est pas un coup de cœur, ce premier tome ne détrône pas Mercy de la première place du podium, mais il arrive largement devant Anita Blake (que je ne peux toujours pas encadrer… les tomes qui me restent dans ma PAL me feront peut-être changer d’avis…). Et après réflexion, je pense même placer ce premier tome devant le premier de La Communauté du Sud, notamment à cause (enfin grâce) à la construction de l’intrigue et à la plume (enfin, la traduction)… Si je résume, et si je ne prends en compte que les premiers tomes des quatre séries bit-lit que j’ai eu l’occasion de lire jusque là (La Communauté du Sud, Anita Blake, Mercy Thompson et donc Vicki Nelson), et bien, je suis surprise d’annoncer que je place celui-ci en deuxième position ! Etonnant, à vrai dire… J’attends maintenant de voir ce que réservent les tomes suivants, pour affirmer cette position, ou au contraire, rejoindre le bas de la sélection en compagnie d’Anita… L’avenir nous le dira !
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Je tiens tout d’abord à remercier le forum Partage Lecture et les éditions J’ai Lu qui m’ont permis de découvrir ce livre.



J’ai beaucoup apprécié cette lecture, une histoire prenante, à mi-chemin entre le thriller et la bit-lit avec un gros point fort : l’héroïne.

Vicki Nelson, ancien agent de police reconvertie en détective privée, n’a rien de surnaturel, pas de super pouvoir, au contraire, elle souffre d’une dégénérescence de la vision, elle n’a plus de vision périphérique et est presque aveugle la nuit. Pour le moins, elle ne manque pas de caractère, c’est une femme forte qui ne se laisse pas influencer et qui fonce tête baissée. C’est donc une héroïne attachante car humaine et plutôt banale.



Pour ce qui est des autres personnages, on trouve ici Mike Celluci, flic, ancien collègue et amant occasionnel de Vicki. Mike est un homme un peu bourru, qui n’aime pas exprimer ce qu’il ressent et sa relation avec Vicki est assez explosive.

Quant au vampire, Henry Fitzroy, je l’ai trouvé assez plat, pas plus intéressant que ça, il manque un peu de prestance et j’ai trouvé que les flash-back qui le concernaient n’étaient pas vraiment utiles.



Côté histoire, j’ai beaucoup aimé qu’on sache relativement vite à qui (et à quoi) on avait affaire. Savoir tout de suite qui était le coupable et suivre l’avancement des deux côtés m’a bien plu.

J’ai vraiment été prise par l’histoire, d’autant plus que je ne connais pas l’univers des démons.

C’est donc avec plaisir que je lirai la suite des aventures de Vicki.
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Cela faisait longtemps que j’avais envie d’essayer la SF militaire sous le format littéraire (je m’y étais déjà frottée avec les séries télévisées Battlestar Galactica et Stargate SG-). J’ai certes lu il y a longtemps, au cours des mes années lycée, le célèbre classique Étoiles, garde-à-vous ! de Robert Heinlein, mais j’avais envie de découvrir le genre avec des textes plus contemporains.



J’avais profité de promos numériques pour ajouter quelques titres emblématiques dans ma liseuse : Honor Harrington, Coeurs d’acier, Lazare en guerre… mais c’est finalement Confédération qui a été mon choix lorsque, en pleines vacances, je me suis enfin lancée, profitant du challenge Summer Star Wars.



Confédération t. 1 : Le choix du courage est donc de la SF militaire, ce qui veut dire que l’on suit des marines – ici un corps de marines rassemblant humains mais aussi extraterrestres, la Confédération étant un ensemble d’espèces unies pour lutter contre les Autres. A quoi ressemblent ces derniers ? On en saura rien, tout ce qu’on sait, c’est que c’est l’Ennemi. Car dans ce volume, nos marines sont surtout confrontés à une mission diplomatique qui tourne mal…



Malgré tout le côté testostéroné que pourrait laisser craindre le sujet, le personnage principal est une femme, sergent-chef, et si quelques blagues salaces agrémentent le texte (notamment parce qu’une des espèces alien alliées, à l’apparence d’elfe, doit porter un masqueur de phéromones pour éviter de rendre l’entourage qui n’est pas de son espèce fou de désir), ça reste bon enfant. A noter aussi que l’autrice a elle-même été marine, dans l’armée canadienne. Et on sent le vécu militaire dans le texte.



Le style est fluide, on se laisse porter par l’histoire, on comprend sans peine ce qui se passe comme le fonctionnement de cette armée hétéroclite. Certes, on ne s’attache pas vraiment aux personnages – même si on trouve Torin plutôt sympathique – et j’ai peiné à me représenter les différentes races extraterrestres, leur description étant des plus succinctes, mais le roman fait son boulot (comme Torin fait le sien, comme elle le répète souvent à son nouveau lieutenant ^^) : on le lit avec plaisir, sans qu’il soit mémorable. En fait, quand j’ai lu ce roman, j’avais l’impression de regarder un bon film d’action : ce n’est pas prise de tête, ça détend, mais ça ne laissera pas une impression durable, qu’elle soit positive ou négative.



Du coup, pour un premier contact avec la SF militaire, c’était plutôt réussi. Mais j’espère que les autres titres qui dorment dans ma liseuse seront plus marquants que celui-ci. En tout cas, je ne lirai pas le reste de la trilogie, ne m’étant pas suffisamment attachée à l’héroïne pour ça, d’autant plus que l’intrigue se clôt à la fin de l’ouvrage et ne laisse pas d’ouverture réelle sur une suite.
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Vicki a dû arrêter son boulot de flic car une maladie lui fait perdre la vue petit à petit. Devenue détective privée, elle enquête sur des meurtres laissant les victimes exsangues. La presse crie aux vampires et même si Vicki est rationnelle, quand un vampire propose de l'aider, ces certitudes sont remises en question.



Bof, bof, bof. En lisant le résumé, je pensais vraiment apprécier ce livre et en fait, je me suis ennuyée. Beaucoup de longueurs, de détails qui n'apportent pas grand chose à l'histoire et des personnages assez fades.

Je pense que Vicki a du potentiel, mais j'ai trouvé qu'elle a trop vite (et trop bien) accepté l'existence des vampires.



Pour l'instant, je ne sais pas quoi penser de Henri, le vampire écrivain.



Je n'ai pas trouvé l'écriture fluide, on passe du coq à l'âne et par moment, j'étais perdue.



Bref, je m'attendais à mieux et je suis déçue. C'est un premier tome, et parfois la mise en place de la série peut être un peu longue donc je lirai le tome 2 pour voir comment ça évolue, et j'espère que cela sera mieux.

On retrouve la détective Vicki Nelson. Depuis qu'elle a découvert l'existence des vampires, plus rien de l'étonne. Donc quand Henri le vampire écrivain lui demande de l'aider à identifier un tueur de loups garous, Vicki répond présente.



J'ai préféré ce tome par rapport au premier, mais sans trop d'enthousiasme.



J'ai bien aimé les loups garous, mais je trouve que la narration manque de fluidité. L'intrigue n'est pas mal mais je n'accroche pas plus que ça avec les personnages, que ce soit Vicki, ou Henri et Celluci.

Cette fois, Vicki est appelée à la rescousse à cause d'une momie qui s'est échappée d'un musée.



L'intrigue est intéressante, j'aime beaucoup le côté malédiction égyptienne qui est assez original, malheureusement je n'accroche ni aux personnages, ni à l'écriture, et je n'apprécie pas non plus les relations entre Vicki, Celluci et Henri.



Je ne lirai pas la suite, je suis contente d'avoir sorti ces trois tomes de ma PAL, mais ils ne me donnent pas envie d'acheter les tomes suivants.



J'ai commencé de regarder l'adaptation en série télé : blood ties



C'est pas mal, c'est rare mais je préfère la version télé aux livres. Par contre, en ce qui concerne le casting, je n'imaginais pas du tout les personnages ainsi, surtout Celluci et Henri.

J'ai découvert cette série grâce à la série télévisée Blood Ties, que j'ai trouvé originale et bien interprétée. J'ai donc voulu découvrir la série des livres d'où elle était tirée.

Globalement, série assez originale avec son héroïne qui est, au début, handicapée par sa vue déficiente, et ne possède aucune faculté surnaturelle.Les personnages sont plutôt attachants, et la série TV reprend assez bien l'esprit des livres (sauf le physique d'Henry qui est très différent, mais ce n'est pas grave)

J'ai commencé par lire 3 livres, il m'en manquait 2,dont le 5ème que je viens de terminer. J'avais laissé passer une assez longue période entre les 2 lecture, et j'ai été plutôt déçue, surtout par le dernier. Beaucoup de longueurs, l'histoire de la rivalité entre les 2 vampires est beaucoup trop longue et fait du remplissage inutile. Le caractère de la nouvelle Vicky est franchement détestable, une vraie gamine capricieuse qu'on a envie de baffer à tout propos...

Je suis donc contente d'avoir terminé la série (je ne lirai pas le 6e volume) et plutôt déçue par l'ambiance des livres. Je pense que l'auteure ne savait pas trop comment terminer...dommage, ça partait d'une bonne idée...