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Critiques de Yves Swolfs (377)
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Durango, tome 3 : Piège pour un tueur

J’ai déjà évoqué la référence à Clint Eastwood dans les critiques d’autres tomes de la série, ça saute aux yeux, et l’auteur ne s’en cache pas, alors je vous propose un jeu, si vous lisez cet album. Ce n’est pas ‘Où est Charlie” mais plutôt “Où est Clint Eastwood”. En effet, il s’y trouve bien, de passage… le portrait est d’ailleurs plutôt réussi.

Pour revenir à l’histoire, encore beaucoup de fusillades, d’action, de grands espaces, Durango est employé par un propriétaire de mines qu’il ne rencontrera que déjà mort, et va se faire accuser du crime. Il y a peut-être un peu trop de parties dans cette histoire, ce qui la rend quelque peu alambiquée, mais pour l’ambiance western-spaghetti, c’est tout bon ! Cette série ravit l'amateur de westerns que je suis.
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Durango, tome 13 : Sans pitié

Notre cavalier solitaire a semble-t-il trouver un « havre de paix » mais le destin...

Une bande d'hors la loi avec à leur tête un psychopathe sanguinaire va ramener à la réalité notre pistolero. Il y a d'ailleurs quelque chose de changer chez lui il était le défenseur de la veuve et de l'orphelin le voilà devenu « Mr Justice », comme une envie de débarrasser le monde de tous les criminels de la terre. Un scénario qui n'a rien de très original (une chasse à l'homme) mais qui grace au talent de Swolfs ne m'a pas laissé indifférent.
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Durango, tome 9 : L'or de Duncan

L'or de Duncan ne s'offre pas, il faut aller le chercher et sa quête ne se fera pas sans embuche.

Une histoire de trésor classique en deux parties, le dessin s'affirme d'albums en albums.

Pour le scénario je suis resté sur ma faim, il m'a paru d'une grande simplicité.
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Durango, tome 6 : Le destin d'un desperado

Avec ce tome 6 s'achève la " trilogie mexicaine". Un scénario bien construit. Une chasse à l'homme dont la fin est grandiose . Le personnage de Durango évolue, plus émotif (ah l'amour)...

Seul la colorisation est "surprenante". Un grand western spaghetti qui séduira petits et grands
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Légende, tome 5 : Hauteterres

Maugrediable ! Voilà bien une série qui fut agréable à lire (où plutôt un cycle). Ce cinquième tome de Légende vient donc mettre un terme au combat de Tristan de Halsbourg visant à reconquérir son titre de duc.

Petit rappel des faits : l'infâme Milos Shaggan a réussi à manipuler l'oncle de Tristan, Mathias, afin qu'il tue son frère Guillaume, duc légitime de Halsbourg. Heureusement, Tristan et Ombeline, les enfants de Guillaume, parviennent à échapper au despotique sorcier. S'en suit, pour Tristan, une vie âpre et dure, bien loin du confort du château ducale, qui ne servira qu'à le préparer à l'affrontement final. Celui-ci a donc lieu dans ce tome et, pour ma part il tient toute ses promesses. Tout juste puis-je reprocher à Yves Swolfs de le traiter un peu rapidement, peut-être un tome supplémentaire n'aurait-il point été superflus.



Ainsi j'ai retrouvé dans ce tome, et plus largement dans la série, tous ce que j'apprécie chez Swolfs et qui pourrait se résumer par un mot : classicisme. Dans le dessin, comme dans les ficelles narratives, l'auteur utilise des recettes déjà bien éprouvées ; ici il emprunte beaucoup aux romans d'aventures médiévales, tel Ivanohé (usurpation du trône, hors-la-loi qui se cachent dans la forêt, intrigues politiques autour des alliances par mariage, héros chevaleresque etc...) pour créer un récit, sans surprises (amateurs de twist passez votre chemin) mais fort bien fait. Dans une certaine mesure, Yves Swolfs, plus que l'originalité, cherche à s'inscrire dans une tradition, ce qui est déjà le cas dans d'autres séries qu'il a créées, comme le Prince de la nuit (la littérature fantastique du XIX) et Durango (le western, plutôt à la sauce tomate). Classicisme donc, visant au réalisme (néanmoins agrémenté d'un soupçon de fantastique et d'une touche d'érotisme), sa vision d'un duché au moyen-âge me semble très authentique (visuellement mais également au niveau du vocabulaire employé), même si je ne peux prétendre avoir les connaissances pour en juger de manière scientifique.



En tous les cas Légende est une série honnête, réalisée par un auteur honnête, qui ne cherchera jamais l’esbroufe, ni le grandiose, mais continuera de tracer son chemin comme il l'entend, avec son style à lui. Et c'est déjà pas mal.
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Légende, tome 2 : Les forêts profondes

Continuant là où nous l'avions laissé, le tome 2 nous remettait dans l'ambiance avec la fuite de Tristan, le grand blond.



Ce que j'ai apprécié, tout au long de cette saga, c'est l'alternance entre les différents "chapitres" : quelques cases se déroulant au présent, ensuite, celles qui concernaient Tristan jeune, sans oublier ce qui se trame au château...



Tristan doit apprendre à se battre, à trouver sa place dans cette bande d'égorgeurs tout en essayant, dans les cases consacrées au présent, à sauver sa peau.



Les complots et les trahisons sont toujours bien présents, les loups aussi, mais un peu moins.



Sortez bien couvert si vous entamez ce tome parce que nous sommes en plein hiver, la neige a recouvert le forêt de son blanc manteau bien épais et ça caille !



Swolfs joue aussi avec les couleurs : chaudes tirant dans les tons jaune orangés lorsque nous nous trouvons dans un lieu "chauffé" et plus gris froid lorsque nous nous promenons dans les bois (tant que le loup n'y est pas), ce mélange d'ambiance ajoute un petit plus aux dessins, nous mettant de suite dans le bain. Parfois une touche de vert lorsque nous sommes dans le côté fantastique.



Oui, pour les allergiques au fantastique, c'est un peu loupé parce que nous en avons assez bien.



Un tome 2 qui tenait ses promesses, nous en dévoilant un peu plus, mais pas trop, comme un strip-teaseur qui vous ferait miroiter son "potentiel" sans vous déballer tout son matériel.



Tome 2 et j'étais toujours accro à la série. Ce sera jusqu'au bout, hormis le tome 6 que j'ai déjà descendu sur ce même site...



Titre participant au Challenge « Totem » organisé par Lili Galipette, catégorie "Loup".


Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Le Prince de la nuit, tome 1 : Le Chasseur

Ce premier tome du "Prince de la nuit" nous plonge en plein Moyen-Age, dans le domaine de Jehan, un seigneur puissant et impétueux. Par une froide nuit d'automne, il invite dans sa demeure un bien inquiétant troubadour, sans se douter qu'il s'agit d'un vampire, le plus redoutable des prétadeurs. Ce dernier attaque la femme de Jehan, la laissant pour morte... Mais lorsque d'étranges tueries surviennent sur le domaine, Jehan est forcé d'admettre que son épouse est devenue une créature maléfique. Contraint de l'anéantir de ses propres mains, il n'aura de cesse de poursuivre le vampire qui l'a transformée, anéantissant sur son passage toutes les créatures maléfiques qu'il rencontrera et devenant ainsi "le chasseur".

De cette quête de vengeance naîtra une malédiction qui frappera toute la descendance de Jehan. Celle-ci ne sera libérée qu'après avoir tué le monstre. L'intrigue se poursuit donc en parallèle au 20ème siècle, dans le Paris des années 30, où le jeune Vincent essaie de comprendre l'origine de ses cauchemars et quels terribles secrets cache sa famille...

Un premier tome réussi, qui tient le lecteur en haleine. Le dessin et l'intrigue sont classiques, mais la tension est tellement bien rendue qu'elle happe le lecteur dans cette lutte inégale de l'homme et du démon! J'adore!
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Le Prince de la nuit, tome 1 : Le Chasseur

Dès la première page on est dans l'ambiance gothique, lugubre et moyenâgeuse à souhait!



Ce tome est l'introduction d'une chasse au vampire qui va s'étendre sur plusieurs siècles. Dans cette première partie nous sommes au moyen-âge, où Kergan (le vampire) mort la femme de Jehan de Rougemont, qui jure de se venger sa descendance prenant la suite au besoin.



Quelques incursions dans les années 30, où nous faisons connaissance avec Vincent, que nous soupçonnons d'être un descendant des Rougemont, qui aimerait connaître le secret qui ronge son père.



Les dessins sont magnifiques, et très réalistes. Les couleurs sont le plus souvent dans les tons ocres et bleutés, collant parfaitement à l'ambiance.



J'ai particulièrement aimé les regards des personnages, et le côté «mythique» de cet album: un vampire dandy et impitoyable, un château inquiétant, des cryptes, des pieux plantés dans le coeur, et tout l'inventaire classique...



La suite promet d'être passionnante.
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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

c'est du western spaghetti en bande dessinée, et pour ce deuxième volet de la série, on retrouve le thème du village pacifique, brusquement confronté à l’horreur de la violence et de la cruauté. Durango va se confronter aux bandits malgré ses récentes blessures qui l’handicapent pour sauver ce village. Dessin soigné, couleurs élégantes, rythme soutenu, héros taciturne et peu bavard, on est dans le western classique et très efficace, et même si les thèmes on été vus et revus, ça fonctionne toujours, du moins pour les fans du genre.
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Durango, tome 16 : Le Crépuscule du vautour

Voilà un épisode qui ferait le bonheur de Sheldon Cooper (The Big Bang Theory) car il comporte un magnifique train. Par contre, la suite lui fera moins plaisir car elle sera extrêmement violente…



Notre blondin aux yeux verts prairie continue sa vendetta personnelle et traque le commanditaire ultime des prises violentes des concessions minières et autres biens. Steiner himself.



Cette fois-ci, le bien convoité est un lac dans un lieu sacré indien. On se doute bien que c’est parce que ces lieux contiennent un truc de plus intéressant que des poissons.



Je ne pense pas que je vais vous apprendre quelque chose en vous disant que pour certains, la fin justifie les moyens et que flinguer des gens ne pose pas de problème moraux, qu’ils soient gouverneur ou autre,… La caravane doit passer et les chiens cesser d’aboyer.



Le meurtre doit ouvrir les portes à ce qui est convoité et généralement, l’assassiné était celui qui tenait la porte fermée ou qui allait la clore à double tour. Hold the door…



Une fois de plus, nous sommes face à un récit violent, les morts tombent comme des mouches (face au fromage corse de Ocatarinetabellatchitchix) et notre commanditaire ne recule devant aucun sacrifice pour arriver à ses fins.



L’argent appelle l’argent et c’est bien connu, on n’en a jamais assez.



Durango, dans cet opus, va une fois de plus devoir ruser, tuer, tirer et viser juste et ne pas s’embarrasser des détails car lui aussi veut la fin de cet homme et il va y mettre les moyens, et si dommages collatéraux il y a, tant pis.



Les dessins et les coloris ne sont toujours pas ceux de Swolfs, mais je m’habitue aux traits de Girod et mon Blondin est redevenu lui-même, aussi bien physiquement que mentalement et nous sommes loin du Durango qui laissait faire les autres comme dans "Un pas vers l’enfer".



On dirait même qu’il a vieilli, mûri et que les monceaux de cadavres qu’il a laissé derrière son passage, lui ont terni le fond de l’oeil couleur de prairie.



Il faut dire qu’il avait cru un jour se poser et vivre un peu plus tranquillement et qu’on lui a retiré ça des mains de manière brutale. Notre as de la gâchette est désabusé et ne doit plus trop croire dans le genre humain.



Un western sombre, violent, une critique virulente de la société de l’époque qui n’est jamais que le reflet de la nôtre puisque, comme le chantaient si bien les Puppies ♫ Non, non, rien n’a changé ♪ Tout, tout à continué ♪ héhéhé ♫
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Durango, tome 14 : Un pas vers l'enfer

Punaise, 8 ans, c’était long ! 8 ans qu’on avait abandonné notre tireur aux beaux yeux après la traque du terrible Louie Holledigger et on se doutait qu’il était retourné à Nortonville auprès de la belle Celia, l’héritière.



Mais qu’est-ce qu’il fout, notre Durango, à envoyer un homme prendre les chevaux des 3 sales gueules, ces 3 cow-boys aux mines patibulaires qui se rinçaient le gosier au saloon ?



♫ Bang Bang ♪ He shot me down ♫

♫ Bang Bang ♪ I hit the ground ♪



Une fois de plus, le Mauser a parlé et de sa gueule est sortie les pruneaux qui ont définitivement constipés à jamais les trois sales gueules. Mais avant, il en fait parler un et il lui donne le nom du commanditaire d’un incendie dont nous n’en saurons pas plus : Lance Armstrong ! Non… Harlan Coben ! Oups, désolé, Lance Harlan.



Cet album était attendu au tournant, cela fait déjà quelques années qu’il est dans ma biblio et j’ai eu le temps de le lire moult et moult fois.



Commençons par ce qui me démange et que je vais grattouiller un petit peu : Swolfs a confié les dessins à Girod, celui qui dessine « Wanted » et même si leur style sont similaires, je suis désolée, mais on a perdu au change parce que je préférais le dessin de Swolfs, plus fin, plus précis, que celui de Girod (que je n’aime déjà pas trop dans Wanted).



La mise en page est excellente, le choix des plans aussi, mais le trait, je le trouve épais, grossier et on a perdu ses tonalités d’ocres, ces tons chauds qui donnaient une de ces ambiance à la série quand notre tueur à la gâchette facile se trouvait dans un endroit chaud (dans la neige, on passait à d’autres tons, mais je les aimais aussi).



Deuxième truc qui me dérange encore un peu, c’est le fait que Durango ne soit là que pour une vengence et avec lui, ce ne sera pas de la vengeance raffinée à la Monte-Cristo, mais plus de celle à la « viens ici que je te farcisse de plomb » et avec lui, la fin justifie les moyens, donc, les autres, il s’en branle allégrement.



Non pas que l’album ne soit pas bon, mais j’aurais préféré un scénario avec un peu plus de finesse pour son grand retour que l’habituel vengeance et que les méchants soient un peu plus travaillés et pas rien que des hommes de main juste là pour acheter les mines à tout prix, quitte à intimider, menacer, foutre le bordel et tuer.



Lance Harlan manque d’épaisseur, de travail, c’est la brute qui exécute les ordres, l’homme de main d’un autre, celui qui n’a pas peur de se salir les mains. Un peu de nuance l’aurait rendu plus intéressant.



Un tome fort attendu mais qui ne me donne pas autant de plaisir que les premiers, l’histoire semble se mordre la queue et je n’aime pas trop mon Durango dessiné par Girod.



Malgré ces bémols, j’avais tout de même été contente de retrouver mon héros solitaire, mon lonesome tueur préféré dans ce qui reste une excellente série de western spaghetti.


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Durango, tome 11 : Colorado

Bienvenue dans les montagnes du Colorado, paysages magnifiquement restitué, le scénario est une nouvelle fois bien maitrisé Swolfs régale ses lecteurs.

Et surprise, (bonne) il y a moins de violence (un peu) et plus de « psychologie », notamment le « grand patron » plus complexe qu'il n'y paraît .

Un très bon western,(suite au tome 12) le meilleur depuis le « cycle mexicain »
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Durango, tome 7 : Loneville

La neige et le froid après la chaleur du désert. le décor est planté.(Les paysages enneigés sont superbes.)

Un Durango en défenseur de la veuve et de l'orpheline.

Un très bon scénario, un cran légèrement en dessous de la trilogie mexicaine (tomes 4 à 6) qui précédait cette histoire.
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Le Prince de la nuit, tome 8 : Anna

Kergan, est devenu un vampire pour se venger de sa famille. Une fois chose faite il erre dans l'Europe de l'est en compagnie d'Arkanéa, celle qui l'a transformé. Leur route va croiser les complots des souverains de Kiev.



Nous suivons donc les "premiers" pas du "jeune" vampire Kergan. Entre guillemets car quand ce tome commence, nous sommes 800 ans après la transformation!

A kiev, le roi Valdimir règne en maitre mais son neveu Siatopolk convoite le pouvoir. Espionnages et complots, tentatives de coup d'éclat et rivalités amoureuses sont au menu. Un tome agréable à lire qui sonne un peu comme un prologue pour ce qui va suivre où Kergan se lit avec la belle et jeune Anna.

Si Swolfs reste aux manettes du scénario, il confie les dessins au talentueux Timothée Montaigne. Un style très différent mais qui ne dénature en rien la série.
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Durango, tome 13 : Sans pitié

On aurait pu arrêter la série Durango à l’album précédent, nous laissant sur l’image de notre gaucher préféré coulant des jours heureux à Nortonville dont il venait de liquider la vermine qui la gangrenait.



Et je dis bien « arrêter la série » car l’auteur aurait sans doute vite tourné en rond avec un personnage tel Durango restant dans la même ville. Les scénarios ne sont pas légions pour un homme tel que lui.



Ben pas de bol, l’auteur l’a fait sortir de se torpeur, tout en nous signalant qu’il avait continué à s’entrainer au tir, on ne sait jamais.



Pour faire sortir notre tueur blond sexy, il fallait une bonne raison et l’auteur ne s’est pas foulé à nous en pondre une : un bandit voleur de banques n’était pas assez fort, alors, il a ajouté à Louie Holledigger le fait d’être un tueur sadique d’enfant, doublé d’un pédophile.



Les dessins sont toujours superbes, les couleurs chatoyantes dans des tons jaunes ocres, mais le scénario est banal : une simple chasse à l’homme dans le plus pur style western spaghetti, sans rien de plus.



Louie Holledigger n’a rien de neuf dans le paysage, on en a déjà croisé des comme lui, dans les autres albums, des tueurs avec plus de charisme, plus de présence, plus d’épaisseur.



Ici, on a l’impression de se trouver dans un album « de plus », juste pour faire un de plus, l’album transition qui fera repartir Durango sur les routes à la poursuite d’autres salauds.



J’apprécie toujours autant de retrouver mon tueur sexy blond, mais j’aurais aimé une aventure avec plus de profondeur, en apprendre un peu plus sur ce qui a fait de Durango un tueur impitoyable envers les salauds et pas rien que les quelques cases aperçues dans cet opus.



Alors oui, on ne s’embête pas dans cet album même si le scénario n’est guère épais, on croise des salauds de toute première classe, mais sans épaisseur véritable, on prend plaisir à revoir Durango ressortir sa pétoire pour faire des cartons sur des enfoirés de leurs mères, mais, selon moi, on aurait pu aussi très bien s’arrêter à "L’Héritière".


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Le prince de la nuit, tome 5 : Elise

Pas d'ancêtres des Rougemont dans ce tome. Voici un album entièrement centré sur Vincent, le dernier de la lignée, et sa chasse pour retrouver Kergan. Et puis sur Elise aussi. Sur son passé trouble qui a amener ses pas jusqu'à cette tombe d'où elle sort la nuit.

Un très bon tome. Swolfs sait faire monter la tension en préparant le dernier tome, celui de la confrontation. celui qui verra prendre fin la malédiction des Rougemont que ce soit par la réussite de Vincent ou par sa défaite... Il est le dernier...

Les personnages sont particulièrement travaillés et approfondis. même ce cher commissaire, toujours présent bien que peu actif le pauvre.
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Légende, tome 1 : L'Enfant loup

J'ai trouvé ce premier tome magnifique du point de vue des dessins; l'histoire est assez simple, un mystérieux chevalier blessé est recueilli par une femme assez marginale pour être traité de sorcière et il commence à lui raconter sa vie, son enfance alors que nourrisson, il est sauvé in extrémis de l'éradication de sa famille et de la façon dont il a été élevé par un "Loup-garou" c'est à dire un homme qui vit avec les loups.

Cette histoire médiévale fait la part belle aux légendes communes de l'époque (sorcière, loup-garou) mais les applique telles qu'elles devaient être à l'époque, c'est à dire désignant des personnes au mode de vie en marge de la société,plus que par la possession de pouvoirs surnaturels.

Une histoire pleine de promesses, à voir si elles se concrétisent dans la suite de l'histoire.
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Légende, tome 1 : L'Enfant loup

De Swolfs, je connaissais "Prince de la Nuit" (saga vampire aux dents longues) et "Durango" (saga western), séries que j'avais suivies avec plaisir, aimant le style de dessin, plus proche du style "réaliste" que de celui de "gros nez" (bien que je n'ai rien contre les gros nez).



La couverture de "Légende" avait attiré mon œil, comme du miel une mouche et la présence des loups, en plus du nom bien connu de l'auteur, m'avait convaincue.



Ce premier tome nous faisait découvrir un grand blond avec des vêtements bleu et une armure grise. Un grand blond qui maniait l'épée comme le "lonesome" Durango maniait le Mauser C96.



Blessé, il est recueilli par une sorte d'infirmière de l'époque (pas infirmière cochonne) et le voilà qu'il lui conte le récit de sa vie... recueilli tout bébé et élevé par Le Galoup, un homme solitaire vivant avec une meute de loup, notre beau blond ne savait rien de ses origines.



Jusqu'au jour où...



Ce sera le fil rouge de toute la saga à venir (au moment où je l'avais entamée, elle était à venir) : Qui suis-je ? Où vais-je ? Comment reprendre ma place et virer celui qui est khalife à la place du khalife ?



Sa rencontre avec une jeune fille blonde sera déterminante : fini l'insouciance au fond des bois en compagnie de ses frères loups.



L'album se terminait sur Le Galoup qui menait son "fils" vers des bandits de grand chemin pour en faire un homme. On se doutait bien qu'il n'allait pas apprendre à cueillir les fleurs avec eux, mais à se battre.



Des complots - avec le traître qui a pris le pouvoir et s'est débarrassé des héritiers pouvant prétendre au titre, de l'Aventure avec un grand A, des loups, de la violence, un soupçon de sexe, bref, tous les ingrédients réunis pour nous donner une bonne saga.



Le seul inconvénient étant que, puisque commencée dès le départ, cette saga allait me faire patienter un sacré bout d'années avant d'en voir la fin !



Titre participant au Challenge « Totem » organisé par Lili Galipette, catégorie "Loup".
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Le Prince de la nuit, tome 1 : Le Chasseur

Je dois bien avouer que je ne suis pas fan de vampires. Et la couverture du tome 1 ne m'attirait pas spécialement non plus. Je reconnais que j'avais tort.



Le dessin d'Yves Swolfs est remarquable de précision. Contrairement à une tendance qui soigne les couvertures pour faire croire que l'intérieur est mieux...; ici, les planches sont plus attirantes que la couverture. Le découpage est judicieux. Nous sommes dans les années 1990, donc il n'y a pas trop de "déconstruction" de l'action.



On démarre dans un moyen-âge où les vampires existent. On suit les aventures de Jehan de Rougemont dont l'épouse est devenue vampire des oeuvres de Kergan le Trouvère. Jehan est le chasseur. Impitoyable et froid, il veut se venger.



Mais Swolfs va en même temps nous faire basculer en 1933... pour nous présenter ce que l'on peut imaginer être la descendance de Jehan, qui se transmet de génération en génération la mission de combattre le Prince de la Nuit...



Un début de saga tout à fait digeste, bien rôdé et efficace. Un prélude à 8 autres épisodes à ce jour... la série étant toujours notée "en cours" sur bédéthèque.
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Durango, tome 6 : Le destin d'un desperado

Le destin d'un desperado est la sixième aventure de Durango, saga de bandes dessinées d'Yves Swolfs. Assiégés dans un village par les federales, seuls Durango et Ortega d'un côté et Amos et Max de l'autre parviennent à s'échapper. Une longue course poursuite s'installe.

Western violent et efficace, avec un scénario percutant servi par un dessin réaliste et précis. Une belle série.
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