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« Les ponts sont ma hantise. (…) Pour des millions, des bijoux ont été volés en plein jour ; ils irradient dans l'espace de la cité, au-dessus des arbres, des squares, à la surface de l'eau et dans la vase. Les flâneurs se penchent au-dessus des flots pour voir scintiller les joyaux dans les profondeurs, sur le sable et sur les pierres. »
Chérir cette nouvelle téophanie, devenir le grand-duc du dupe jusqu'à s'en éclater les grands yeux fixes. Les mots sont un pari, des ponts entres deux barges sur un flot sans topo. Dans ces crytpiques, certains entendent le cri d'Hégésippe (que l'on saura Moreau), d'autres tiquent. D'autres mots tellement mots d'est qu'on n'en voit pas l'ouest. Encre qui accorde le matin pour le flâneur, traquer le discours divin, celui qui ne sera jamais trot de fée. Et sous les pas des flâneries, c'est un monde qui éclot, une muse qui prend forme.
« Au-dessus de la Seine se lève une brume jaunâtre où volent des esprits sans tête, des fantômes sans voix. Ils s'écrasent sur les quais comme des cygnes épuisés, des avions en flammes, papillons géants porteurs de lanternes que produisent les laboratoires des périphéries de l'univers. Et leur sérum se mélange à la mélasse qui sort des égouts, venue des cascades des latrines individuelles et communales comme si toutes les familles de la capitale déféquaient et vomissaient à la même seconde leur passé puant, leur présent blet et leur futur saturé. »
Une langue sinueuse exquise dans ses franches aises à moins que ce ne soit que des airs, esquissant pourtant le fouet parfois. Mettre dans le même sac l'acolyte et le scolyte, sortir les griffes car on étouffe sous ces masques en série. Pas de signalétique dans ces jeux d'ombres et de lumière, juste un tag géniHAL et'nik' !
« Je participais du moindre et de l'immense. » (Dans la partie « Quand je dormais contre le corps chaud » qu'il faudrait citer en entier pour bien sonner le toc sein)
Il n'y a pas de Mor(t)eau, il n'y a que résurgence, chant de blés mûrs et Notre-Dame en coquelicots.
« Mon musc, je l'ai donné aux étoiles enflammées, au chaos primordial. »
Le bièvre n'en finit plus de ronger ses freins tandis que la voûte céleste, moqueuse, file au bal dans un éclat de rire scintillant. Sa sciure, essaim de brimborions, s'écoule comme la certitude filante du silure nageant en Seine activité.
« Tricoti tricota. »
Un filet seul protège le bièvre de la chute en mièvre, ce festin de verjuteur précoce. Dans ce filet, ce son au fond de tout, nous nous complétons.
« Au cimetière de Saint-Médard, nous n'irons plus danser en claquant du sabot contre les dalles des tombes. »
Chérir cette nouvelle téophanie, devenir le grand-duc du dupe jusqu'à s'en éclater les grands yeux fixes. Les mots sont un pari, des ponts entres deux barges sur un flot sans topo. Dans ces crytpiques, certains entendent le cri d'Hégésippe (que l'on saura Moreau), d'autres tiquent. D'autres mots tellement mots d'est qu'on n'en voit pas l'ouest. Encre qui accorde le matin pour le flâneur, traquer le discours divin, celui qui ne sera jamais trot de fée. Et sous les pas des flâneries, c'est un monde qui éclot, une muse qui prend forme.
« Au-dessus de la Seine se lève une brume jaunâtre où volent des esprits sans tête, des fantômes sans voix. Ils s'écrasent sur les quais comme des cygnes épuisés, des avions en flammes, papillons géants porteurs de lanternes que produisent les laboratoires des périphéries de l'univers. Et leur sérum se mélange à la mélasse qui sort des égouts, venue des cascades des latrines individuelles et communales comme si toutes les familles de la capitale déféquaient et vomissaient à la même seconde leur passé puant, leur présent blet et leur futur saturé. »
Une langue sinueuse exquise dans ses franches aises à moins que ce ne soit que des airs, esquissant pourtant le fouet parfois. Mettre dans le même sac l'acolyte et le scolyte, sortir les griffes car on étouffe sous ces masques en série. Pas de signalétique dans ces jeux d'ombres et de lumière, juste un tag géniHAL et'nik' !
« Je participais du moindre et de l'immense. » (Dans la partie « Quand je dormais contre le corps chaud » qu'il faudrait citer en entier pour bien sonner le toc sein)
Il n'y a pas de Mor(t)eau, il n'y a que résurgence, chant de blés mûrs et Notre-Dame en coquelicots.
« Mon musc, je l'ai donné aux étoiles enflammées, au chaos primordial. »
Le bièvre n'en finit plus de ronger ses freins tandis que la voûte céleste, moqueuse, file au bal dans un éclat de rire scintillant. Sa sciure, essaim de brimborions, s'écoule comme la certitude filante du silure nageant en Seine activité.
« Tricoti tricota. »
Un filet seul protège le bièvre de la chute en mièvre, ce festin de verjuteur précoce. Dans ce filet, ce son au fond de tout, nous nous complétons.
« Au cimetière de Saint-Médard, nous n'irons plus danser en claquant du sabot contre les dalles des tombes. »
Un peu en deçà des autres de mon point de vue, mais très content de l'avoir en ma possession quand même haha!
Quelques zones du scénario un peu brouillonne, notamment la page d'introduction que je ne trouve pas très en adéquation avec le reste, mais on s'amuse comme toujours énormément de la relation entre nos deux personnages fétiches, et puis qu'on se le dise, rien que le terme "Furet de guerre" justifie de l'acheter.
Quelques zones du scénario un peu brouillonne, notamment la page d'introduction que je ne trouve pas très en adéquation avec le reste, mais on s'amuse comme toujours énormément de la relation entre nos deux personnages fétiches, et puis qu'on se le dise, rien que le terme "Furet de guerre" justifie de l'acheter.
Saga chouchou donc forcément le tome 3 fut un incroyable coup de cœur également.
L'histoire de cet amour interdit me transcende toujours autant et à prit mon cœur en otage .
Ludmilla et Diego sont des personnage auxquels je suis immensément attaché.
L'intrigue est toujours aussi addictive , je veux toujours aller beaucoup plus loin dans l'histoire et en connaitre tout les détail.
La relation entre nos héros est intense tout en étant bouleversante , absolument rien n'y est facile et l'issue est plus qu'incertaine .
L'histoire de cet amour interdit me transcende toujours autant et à prit mon cœur en otage .
Ludmilla et Diego sont des personnage auxquels je suis immensément attaché.
L'intrigue est toujours aussi addictive , je veux toujours aller beaucoup plus loin dans l'histoire et en connaitre tout les détail.
La relation entre nos héros est intense tout en étant bouleversante , absolument rien n'y est facile et l'issue est plus qu'incertaine .
Le verdict du plomb = la justice de la rue.
On ne va pas revenir dessus, c'est acté, Harry Bosch, c'est lui que j'préfère et je ne suis pas la seule...
Mais je ne vais pas bouder mon plaisir après un premier essai Hallerien avec « La défense Lincoln », je transforme avec « Le verdict de plomb ».
Tout le monde ment. Les flics. Les avocats. Les clients. Même les jurés. Sans oublier... (mais je n'en dirai pas plus).
Mickey Haller après une année sabbatique plus ou moins obligée (plutôt plus que moins d'ailleurs) se retrouve à la tête d'un curieux héritage : la clientèle d'un confrère qui vient de se faire assassiner.
Banco !
Le procès de Walter Elliot pourrait bien être la poule aux oeufs d'or.
Ce richissime producteur de cinéma est accusé du meurtre de sa femme et de son amant.
Tout l'accuse : sa femme voulait divorcer et elle récupérait au passage la moitié de sa fortune, les traces de poudres sur son costume, son attitude étonnante de la part d'un veuf éploré.
Evidemment les choses sont plus complexes que présentées (l'ouvrage fait 520 pages).
Qui manipule qui ?
Peut-on garder les mains un minimum propres quand on est avocat de la défense alors que les accusés peuvent être vraiment coupables (ou, oui, c'est possible!) ?
Mais aussi deux intérêts particuliers à ce roman.
La préparation, le déroulé et les chausse-trappes d'un procès pénal aux Etats-Unis.
Et la rencontre des deux demi-frères, Harry et Mickey, issus d'un père qui apparemment a semé maints rejetons au cours de son existence !
C'est curieux de voir Harry en guest star. Il nous paraît bien ronchon !
On ne va pas revenir dessus, c'est acté, Harry Bosch, c'est lui que j'préfère et je ne suis pas la seule...
Mais je ne vais pas bouder mon plaisir après un premier essai Hallerien avec « La défense Lincoln », je transforme avec « Le verdict de plomb ».
Tout le monde ment. Les flics. Les avocats. Les clients. Même les jurés. Sans oublier... (mais je n'en dirai pas plus).
Mickey Haller après une année sabbatique plus ou moins obligée (plutôt plus que moins d'ailleurs) se retrouve à la tête d'un curieux héritage : la clientèle d'un confrère qui vient de se faire assassiner.
Banco !
Le procès de Walter Elliot pourrait bien être la poule aux oeufs d'or.
Ce richissime producteur de cinéma est accusé du meurtre de sa femme et de son amant.
Tout l'accuse : sa femme voulait divorcer et elle récupérait au passage la moitié de sa fortune, les traces de poudres sur son costume, son attitude étonnante de la part d'un veuf éploré.
Evidemment les choses sont plus complexes que présentées (l'ouvrage fait 520 pages).
Qui manipule qui ?
Peut-on garder les mains un minimum propres quand on est avocat de la défense alors que les accusés peuvent être vraiment coupables (ou, oui, c'est possible!) ?
Mais aussi deux intérêts particuliers à ce roman.
La préparation, le déroulé et les chausse-trappes d'un procès pénal aux Etats-Unis.
Et la rencontre des deux demi-frères, Harry et Mickey, issus d'un père qui apparemment a semé maints rejetons au cours de son existence !
C'est curieux de voir Harry en guest star. Il nous paraît bien ronchon !
Cette conclusion de l'arc Simon/Daemon Spade est pour moi satisfaisante et relève le niveau d'une trame qui, par moment, manquait quelque peu d'approfondissement. La deuxième partie de l'histoire est également bien exécutée, jetant les bases du dernier arc, qui promet d'être captivant avec la révélation du le secret des bébés les plus puissants du monde !
La couverture de ce volume est particulièrement remarquable et figure parmi mes préférées. Elle représente les sept Arcobalenos, l'essence du dernier arc !
La couverture de ce volume est particulièrement remarquable et figure parmi mes préférées. Elle représente les sept Arcobalenos, l'essence du dernier arc !
Beaucoup d’originalité dans ce roman dont l’histoire se déroule sur 3 tomes. C’est une histoire plutôt gentille et légère dans un premier temps, mais petit à petit les personnages gagnent en profondeur et en complexité. C’est une histoire distrayante mais aussi difficile. C’est surtout une très belle histoire d’amour avec tous les ingrédients du sexe drogue and rock-and-roll.
Bref c’est un roman épatant, surprenant, difficile à classer, à surtout ne pas rater.
Bref c’est un roman épatant, surprenant, difficile à classer, à surtout ne pas rater.
Une lecture plutôt sympathique sur une histoire que je n'avais pas vraiment pensé comme ça en lisant le résumé. J'ai fuis avec Vega avec plaisir même si toute la traversée est monstrueusement dangereuse pour elle. C'est un roman dur mais la plume de l'autrice réussi à adoucir le tout. La fin nous réserve beaucoup de rebondissements et de questionnement. Un bon roman !
Que dire.
C'est clairement un tome coupé en 2, on n'est pas sur une saga qui aurait pu être découpée en 6 tomes normaux. Pourquoi je dis ça ? Parce que déjà que la partie 1 était super bien, la partie 2 est carrément géniale parce que c'est l'aboutissement de ce qui précédait.
Sans spoiler, la temporalité cesse de faire des bonds, les choses prennent sens et les masques tombent (pour certains même si on sent que c'est loin d'être fini).
Vraiment on vous dit que c'est de la fantasy adulte et faut écouter quand on parle parce que y'a du haut level de relation toxique très bien décrite et assumée, donc lisez pas ça trop jeune ou si vous êtes un peu pommés sur le sujet.
J'ai versé plusieurs larmes à la fin.
Bon je sais pas écrire un avis cohérent sur ce bouquin c'est la cata. Je m'attendais à un truc avec des assassins, et en fait, c'est bien plus que ça. Je rejoins officiellement le groupe des fans de cette saga, je pensais pas autant aimer mais cette histoire m'a déjà marquée alors que j'en ai lu qu'un tiers.
Mention spéciale aux scènes de smut/tension qui sont excellentes ALORS QUE POURTANT c'est sur fond de relation toxique, vraiment je sais pas comment c'est possible mais ce roman m'a cassé le cerveau (pas pour rien que c'est vraiment pour un public adulte ET bien dans sa tête)(même si c'est pas de la dark romance hein, on est sur de la dénonciation et pas sur de la romantisation).
Les fans de fantasy adulte qui ont pas de réticences sur ces sujets là, sachez que la Guilde c'est pour vous.
C'est clairement un tome coupé en 2, on n'est pas sur une saga qui aurait pu être découpée en 6 tomes normaux. Pourquoi je dis ça ? Parce que déjà que la partie 1 était super bien, la partie 2 est carrément géniale parce que c'est l'aboutissement de ce qui précédait.
Sans spoiler, la temporalité cesse de faire des bonds, les choses prennent sens et les masques tombent (pour certains même si on sent que c'est loin d'être fini).
Vraiment on vous dit que c'est de la fantasy adulte et faut écouter quand on parle parce que y'a du haut level de relation toxique très bien décrite et assumée, donc lisez pas ça trop jeune ou si vous êtes un peu pommés sur le sujet.
J'ai versé plusieurs larmes à la fin.
Bon je sais pas écrire un avis cohérent sur ce bouquin c'est la cata. Je m'attendais à un truc avec des assassins, et en fait, c'est bien plus que ça. Je rejoins officiellement le groupe des fans de cette saga, je pensais pas autant aimer mais cette histoire m'a déjà marquée alors que j'en ai lu qu'un tiers.
Mention spéciale aux scènes de smut/tension qui sont excellentes ALORS QUE POURTANT c'est sur fond de relation toxique, vraiment je sais pas comment c'est possible mais ce roman m'a cassé le cerveau (pas pour rien que c'est vraiment pour un public adulte ET bien dans sa tête)(même si c'est pas de la dark romance hein, on est sur de la dénonciation et pas sur de la romantisation).
Les fans de fantasy adulte qui ont pas de réticences sur ces sujets là, sachez que la Guilde c'est pour vous.
Je ne ferai pas de résumé pour ne pas spolier
Nous retrouvons nos personnages qui poursuivent leur traque des Yakuzas avec toujours plusieurs points de vues
La première partie du roman est plus basée sur la psychologie des personnages et dans la deuxième partie il y a beaucoup plus de rebondissements et d’action.
Le gang fait face, a des blessures, des pertes, des trahisons, des couples se forment et un dénouement auquel je ne m’attendais pas.
En résumé, j’ai a adoré ce roman et cette duologie
Je vous la recommande si vous aimez les romans d’action.
Nous retrouvons nos personnages qui poursuivent leur traque des Yakuzas avec toujours plusieurs points de vues
La première partie du roman est plus basée sur la psychologie des personnages et dans la deuxième partie il y a beaucoup plus de rebondissements et d’action.
Le gang fait face, a des blessures, des pertes, des trahisons, des couples se forment et un dénouement auquel je ne m’attendais pas.
En résumé, j’ai a adoré ce roman et cette duologie
Je vous la recommande si vous aimez les romans d’action.
Bon bah une soirée pour commencer et terminer ce préquel, tout est dit.
Franchement j'ai pas facilement la larme à l'oeil pour les trucs "mignons", surtout quand c'est sur du format aussi court, mais VRAIMENT cette autrice et cet univers, ce sont mes chouchous. Vïnchka est une perle de cohérence, d'ambition réaliste, d'astuce et de fraîcheur – elle reste sur mon podium des héroïnes les plus emblématiques que j'ai croisées.
J'ai vraiment trop aimé me replonger dans cet univers et la plume exquise d'Astrid, redécouvrir l'Oursande et les parents de Vïnchka, Erneste, mais surtout... Lord Orys OMG je pensais pas que j'adorerais autant le revoir, mais vraiment leur couple est mythique. Et pourtant je suis pas très branchée romance, mais EUX ? Ils sont faits pour dominer le monde ensemble.
L'histoire est douce avec un fond piquant propre aux univers patriarcaux, et j'ai pas pu m'empêcher d'avoir la gorge nouée en sachant ce qui attend les personnages dans la dilogie (que j'avais donc déjà lue et que je conseille à la Terre entière). Malgré le format court et l'enjeu romantique, il y a AUSSI de l'enjeu lié aux météorites, et là encore, quand on sait ce qui se passe par la suite... aaaarg, quelle histoire !
Ce préquel gratuit me paraît très bien pour commencer à rentrer dans l'univers, mais j'ai tout autant aimé le découvrir après avoir lu la dilogie. Dans tous les cas, je pense que le résultat aurait été le même : j'aurais adoré l'iconique Vïnchka quoi qu'il arrive.
Il y a très très peu de livres que je suis susceptible de relire un jour, mais cette nouvelle (et la dilogie principale) en font partie. Des incontournables !
Franchement j'ai pas facilement la larme à l'oeil pour les trucs "mignons", surtout quand c'est sur du format aussi court, mais VRAIMENT cette autrice et cet univers, ce sont mes chouchous. Vïnchka est une perle de cohérence, d'ambition réaliste, d'astuce et de fraîcheur – elle reste sur mon podium des héroïnes les plus emblématiques que j'ai croisées.
J'ai vraiment trop aimé me replonger dans cet univers et la plume exquise d'Astrid, redécouvrir l'Oursande et les parents de Vïnchka, Erneste, mais surtout... Lord Orys OMG je pensais pas que j'adorerais autant le revoir, mais vraiment leur couple est mythique. Et pourtant je suis pas très branchée romance, mais EUX ? Ils sont faits pour dominer le monde ensemble.
L'histoire est douce avec un fond piquant propre aux univers patriarcaux, et j'ai pas pu m'empêcher d'avoir la gorge nouée en sachant ce qui attend les personnages dans la dilogie (que j'avais donc déjà lue et que je conseille à la Terre entière). Malgré le format court et l'enjeu romantique, il y a AUSSI de l'enjeu lié aux météorites, et là encore, quand on sait ce qui se passe par la suite... aaaarg, quelle histoire !
Ce préquel gratuit me paraît très bien pour commencer à rentrer dans l'univers, mais j'ai tout autant aimé le découvrir après avoir lu la dilogie. Dans tous les cas, je pense que le résultat aurait été le même : j'aurais adoré l'iconique Vïnchka quoi qu'il arrive.
Il y a très très peu de livres que je suis susceptible de relire un jour, mais cette nouvelle (et la dilogie principale) en font partie. Des incontournables !
Les Facétieuses de Clémentine Beauvais, voilà qui était de bon augure !
Ça partait bien, une autobiographie sur le processus de création littéraire, sur le problème de la page blanche. Et avec beaucoup d'humour et surtout de l'autodérision, drôle, tendre et encore drôle.
Ça continuait bien avec l’idée du roman. Le sujet et l'angle sont trouvés, ce sera les marraines la bonne fée. Génial une recherche et une enquête : qui était donc la marraine de Louis XVII, le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette ? Et comment a-t-elle pu l’abandonner à un si triste sort ? Et en plus, c’est historique.
Et Puis, boum ! Clémentine m'a perdue. Mélange des genres, fantaisy, réalité, puis essai, puis fantaisy et ainsi de suite. Je ne vois pas où elle veut aller, et je suis triste de ne pas avoir adhérer à la deuxième moitié du livre.
Clémentine Beauvais est consciente des risques pris, elle ne manque pas de le souligner elle-même, mettant en lumière ses propres doutes quant à cette incursion dans le merveilleux. Et je pense qu’elle a raison lorsqu’elle dit à son éditeur qu’elle est faite pour le réalisme. Trop farfelue et trop bavard pour moi ! Dommage, mais pas grave. J’attends le prochain !
Ça partait bien, une autobiographie sur le processus de création littéraire, sur le problème de la page blanche. Et avec beaucoup d'humour et surtout de l'autodérision, drôle, tendre et encore drôle.
Ça continuait bien avec l’idée du roman. Le sujet et l'angle sont trouvés, ce sera les marraines la bonne fée. Génial une recherche et une enquête : qui était donc la marraine de Louis XVII, le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette ? Et comment a-t-elle pu l’abandonner à un si triste sort ? Et en plus, c’est historique.
Et Puis, boum ! Clémentine m'a perdue. Mélange des genres, fantaisy, réalité, puis essai, puis fantaisy et ainsi de suite. Je ne vois pas où elle veut aller, et je suis triste de ne pas avoir adhérer à la deuxième moitié du livre.
Clémentine Beauvais est consciente des risques pris, elle ne manque pas de le souligner elle-même, mettant en lumière ses propres doutes quant à cette incursion dans le merveilleux. Et je pense qu’elle a raison lorsqu’elle dit à son éditeur qu’elle est faite pour le réalisme. Trop farfelue et trop bavard pour moi ! Dommage, mais pas grave. J’attends le prochain !
Genial, découvert après la première saison de l'adaptation en série, superbe oeuvre de science fiction. Relativement réaliste quand à un potentiel futur dans 2-3 siècles. L'aspect géopolitique est intéressant et très bien traité mais la science fiction garde le dessus. Bonne chose car je trouve ça dommage de déplacer des enjeux d aujourd'hui dans le futur ou sur une autre planète sans en faire plus que ça et appeler ceci de la science fiction comme souvent.
Je vous conseille de ne pas trop vous fier à mon avis. Dans ce roman, on suit 5 personnages qui ne sont pas au top de leur forme, et quand j'ai commencé cette lecture, je me sentais mal moi-même à cause de cette belle éclosion de psoriasis... J'ai donc eu du mal à avancer dans ce roman, et j'ai mis plusieurs mois à le lire à cause de mon moral qui n'était pas au top. Je ne sais pas si c'est ça qui a fait que, mais j'ai trouvé l'histoire un peu lente...
Je tiens à dire que ce roman est très joliment écrit, et je ne rêve que d'une chose : aller à Saint-Malo !
Il est difficile de suivre des personnages qui se sentent mal, mais on peut se reconnaître en eux, certaines choses ont fait écho en moi. Les personnages sont tous très humains et attachants.
Ma lecture ayant été très fortement entrecoupée au fil des mois, je suis incapable d'en dire plus... Je l'ai terminé d'une traite hier et j'ai trouvé la narration très poétique. C'est le genre de roman où chaque personnage a sa place, où ils sont tous liés entre eux et on découvre comment au fil des pages, où chacun se sauve les uns des autres.
Je vous déconseille de le lire si vous n'avez pas le moral, mais si vous êtes au top, lancez-vous, la plume de Manon Fargetton est incroyable et vous passerez un très bon moment 🥰
Je tiens à dire que ce roman est très joliment écrit, et je ne rêve que d'une chose : aller à Saint-Malo !
Il est difficile de suivre des personnages qui se sentent mal, mais on peut se reconnaître en eux, certaines choses ont fait écho en moi. Les personnages sont tous très humains et attachants.
Ma lecture ayant été très fortement entrecoupée au fil des mois, je suis incapable d'en dire plus... Je l'ai terminé d'une traite hier et j'ai trouvé la narration très poétique. C'est le genre de roman où chaque personnage a sa place, où ils sont tous liés entre eux et on découvre comment au fil des pages, où chacun se sauve les uns des autres.
Je vous déconseille de le lire si vous n'avez pas le moral, mais si vous êtes au top, lancez-vous, la plume de Manon Fargetton est incroyable et vous passerez un très bon moment 🥰
J'ai essayé de pousser un maximum ma lecture et de faire abstraction de ce qui me dérangeait. Malheureusement, malgré des efforts, je n'ai pas pu finir ce roman, l'abandonnant à un peu plus de la moitié.
A savoir que j'ai lu la version française, une information importante pour cet avis puisque le point qui m'a conduite à laisser tomber ne concerne en rien l'histoire ou les personnages ; non, c'est l'écriture, du moins la traduction dans le cas présent, qui a influencé cette décision. J'ignore comment est le texte original mais cette lecture n'a pas du tout été fluide, j'avais l'impression de voir de nombreuses répétitions. Pourtant la langue française est assez riche pour trouver des synonymes aux pronoms personnels et inclure des conjonctions de coordination différentes de "et" – vous pouvez en trouver à presque chaque phrase tellement il y en a. Deux exemples flagrants qui ne sont pas les seuls à jouer en défaveur du texte.
Cet abandon me désole car l'histoire se lit toute seule, bien qu'un peu longue à se mettre en place, mais on veut en apprendre plus ; voir comment les relations évoluent, surtout entre nos deux protagonistes.
Peut-être que je reprendrais plus tard à l'endroit où je me suis arrêtée, par pure curiosité de savoir ce qu'il advient de nos personnages. En attendant, je préfère mettre ce roman de côté...
A savoir que j'ai lu la version française, une information importante pour cet avis puisque le point qui m'a conduite à laisser tomber ne concerne en rien l'histoire ou les personnages ; non, c'est l'écriture, du moins la traduction dans le cas présent, qui a influencé cette décision. J'ignore comment est le texte original mais cette lecture n'a pas du tout été fluide, j'avais l'impression de voir de nombreuses répétitions. Pourtant la langue française est assez riche pour trouver des synonymes aux pronoms personnels et inclure des conjonctions de coordination différentes de "et" – vous pouvez en trouver à presque chaque phrase tellement il y en a. Deux exemples flagrants qui ne sont pas les seuls à jouer en défaveur du texte.
Cet abandon me désole car l'histoire se lit toute seule, bien qu'un peu longue à se mettre en place, mais on veut en apprendre plus ; voir comment les relations évoluent, surtout entre nos deux protagonistes.
Peut-être que je reprendrais plus tard à l'endroit où je me suis arrêtée, par pure curiosité de savoir ce qu'il advient de nos personnages. En attendant, je préfère mettre ce roman de côté...
Je sais pas ce qui me touche le plus entre le fait que l'histoire de Jade et Ambre me rappelle tant de souvenirs cauchemardesques, et le fait de savoir qu'on est si nombreuses à avoir versé des larmes en pensant à la même chose.
C'est une lecture très dure mais qui n'en fait jamais trop. Archi poignant et marquant, parce que ça met des mots sur des choses enfouies et une colère qui ne passe pas. À lire absolument, si vous vous en savez la force.
C'est une lecture très dure mais qui n'en fait jamais trop. Archi poignant et marquant, parce que ça met des mots sur des choses enfouies et une colère qui ne passe pas. À lire absolument, si vous vous en savez la force.
J'ai passé de belles heures en compagnie de cette grande famille Lacassagne.
Une histoire avec une trame et d' incroyables rebondissements.
Un livre formidable,avec des chapitres courts, une histoire qui ntrigue et surprend.
J'ai aimé les deux personnages, Colombe et Jerome, qui ajoutent un sens de fraïcheur au récit, qui, dès les premières pages, devient de plus en plus intriguant et mystérieux.
Un twist final 😱
Une belle brique que je ne pensais pas autant aimer !
Pourtant, ça partait pas forcément archi bien : le début comportait pour moi plusieurs facilités (Isis qui s'évanouit avant chaque ellipse, le naufrage, la romance avec le beau soldat grec) et la plume me paraissait perfectible au niveau des tournures de phrases – mais l'ambiance antique, l'Égypte, tout ça, ça m'a tenue en haleine.
ET HEUREUSEMENT.
En gros, ne jugez pas ce livre à sa première moitié. Passé 50% de l'histoire (à peu près, estimation faite de mémoire), le roman enchaîne les retournements de situation, les drames et les coups de théâtre qui rendent Isis sacrément "grise". À chaque fois que je pensais "oarf, elle va pas oser... MAIS QUOI ISIS QUOI PARDON ???", plus moyen de lâcher le bouquin.
J'ai switché du broché au ebook mais peu importe le format, j'étais à fond dedans.
Difficile d'en dire plus sans spoiler, mais autant la première moitié me laissait un arrière-goût de "arf, c'est sympa mais y'a des p'tits trucs qui me laissent de marbre", autant la deuxième moitié, mais QUE C'ETAIT BIEN.
La fin est une vraie fin, en plus, j'ai l'impression qu'on peut s'arrêter à ce premier tome sans forcément embrayer sur le deuxième, qui a l'air de porter sur d'autres personnages (mais bon CLAIREMENT je vais me jeter dessus dès sa sortie).
Bref, un début en demi-teinte mais un virage à 180 par la suite : je pensais tout savoir et je me plantais. Mention spéciale aux relations entre Isis et son frère que j'ai adoré/détesté suivre, si la vibe Targaryen vous parle c'est pour vous !
Public adulte et averti.
Pourtant, ça partait pas forcément archi bien : le début comportait pour moi plusieurs facilités (Isis qui s'évanouit avant chaque ellipse, le naufrage, la romance avec le beau soldat grec) et la plume me paraissait perfectible au niveau des tournures de phrases – mais l'ambiance antique, l'Égypte, tout ça, ça m'a tenue en haleine.
ET HEUREUSEMENT.
En gros, ne jugez pas ce livre à sa première moitié. Passé 50% de l'histoire (à peu près, estimation faite de mémoire), le roman enchaîne les retournements de situation, les drames et les coups de théâtre qui rendent Isis sacrément "grise". À chaque fois que je pensais "oarf, elle va pas oser... MAIS QUOI ISIS QUOI PARDON ???", plus moyen de lâcher le bouquin.
J'ai switché du broché au ebook mais peu importe le format, j'étais à fond dedans.
Difficile d'en dire plus sans spoiler, mais autant la première moitié me laissait un arrière-goût de "arf, c'est sympa mais y'a des p'tits trucs qui me laissent de marbre", autant la deuxième moitié, mais QUE C'ETAIT BIEN.
La fin est une vraie fin, en plus, j'ai l'impression qu'on peut s'arrêter à ce premier tome sans forcément embrayer sur le deuxième, qui a l'air de porter sur d'autres personnages (mais bon CLAIREMENT je vais me jeter dessus dès sa sortie).
Bref, un début en demi-teinte mais un virage à 180 par la suite : je pensais tout savoir et je me plantais. Mention spéciale aux relations entre Isis et son frère que j'ai adoré/détesté suivre, si la vibe Targaryen vous parle c'est pour vous !
Public adulte et averti.
C'est vraiment pas une lecture banale, Lune & Serpent. Suivre les méchants, c'est rare, mais les suivre dans une histoire d'amour hyper saine, c'est encore plus rare !
Naomi et Zachary sont clairement des monstres (le coup des gosses ça me reste en travers de la gorge, comme n'importe quelle personne un peu normale), mais à côté, leur couple est archi mignon. C'est un coup de foudre (ne vous attendez pas à un slow burn, c'est un insta love avec pas mal de smut) et c'est une leçon de "comment se comporter quand on est un mec hétéro".
Vu leurs caractères et leur passé affreux, c'est pas du tout un livre à mettre entre toutes les mains, en revanche (les TW sont disponibles en début de roman).
L'histoire d'amour a donc ceci d'original qu'elle n'est pas vraiment un enjeu, même si le roman tourne essentiellement autour. C'est davantage le projet de vengeance/prise de pouvoir qui mène l'intrigue. Si j'ai trouvé qu'elle mettait un peu de temps à vraiment démarrer, j'ai en revanche bien apprécié le côté huis clos du manoir, et la fin est explosive.
Bref, une super lecture un soir d'été : si vous voulez une romance saine mais pas avec des gentils, et que vous aimez quand la romance prend beaucoup de place, c'est vraiment le roman qu'il vous faut !
Naomi et Zachary sont clairement des monstres (le coup des gosses ça me reste en travers de la gorge, comme n'importe quelle personne un peu normale), mais à côté, leur couple est archi mignon. C'est un coup de foudre (ne vous attendez pas à un slow burn, c'est un insta love avec pas mal de smut) et c'est une leçon de "comment se comporter quand on est un mec hétéro".
Vu leurs caractères et leur passé affreux, c'est pas du tout un livre à mettre entre toutes les mains, en revanche (les TW sont disponibles en début de roman).
L'histoire d'amour a donc ceci d'original qu'elle n'est pas vraiment un enjeu, même si le roman tourne essentiellement autour. C'est davantage le projet de vengeance/prise de pouvoir qui mène l'intrigue. Si j'ai trouvé qu'elle mettait un peu de temps à vraiment démarrer, j'ai en revanche bien apprécié le côté huis clos du manoir, et la fin est explosive.
Bref, une super lecture un soir d'été : si vous voulez une romance saine mais pas avec des gentils, et que vous aimez quand la romance prend beaucoup de place, c'est vraiment le roman qu'il vous faut !
Bon je vais pas mal spoiler donc résumé sans spoiler sur ce dernier tome : c'était cool, j'ai aimé retrouver les personnages, mais j'avoue avoir trouvé ce tome moins prenant que les autres, moins de rebondissements, un peu moins de surprises et je suis assez mitigée sur la fin. Néanmoins, je ne regrette pas du tout de l'avoir lu, il conclut bien la trilogie et ça reste une histoire que j'ai aimé et que je pourrais recommander !
Je n'hésiterai pas à lire d'autres romans de cette autrice en tout cas, c'est une jolie découverte !
Je n'hésiterai pas à lire d'autres romans de cette autrice en tout cas, c'est une jolie découverte !
Dans ce roman nous découvrons Emma qui se retrouve malgré elle piégée en enfer
Elle va devoir affronter les 7 péchés capitaux dans différentes épreuves pour pouvoir retrouver la liberté
Une façon originale de présenter l’enfer et les 7 péchés capitaux et j’étais curieuse de savoir à chaque péché ce qui allait se passer
Les personnages des 7 péchés sont très bien travaillés et l’univers est très immersif
Une plume addictive, rythmée, on ne s’ennuie pas une seule seconde, les pages se tournent tout seul
En résumé un roman que j’ai adoré et que je ne peux que vous recommander
Elle va devoir affronter les 7 péchés capitaux dans différentes épreuves pour pouvoir retrouver la liberté
Une façon originale de présenter l’enfer et les 7 péchés capitaux et j’étais curieuse de savoir à chaque péché ce qui allait se passer
Les personnages des 7 péchés sont très bien travaillés et l’univers est très immersif
Une plume addictive, rythmée, on ne s’ennuie pas une seule seconde, les pages se tournent tout seul
En résumé un roman que j’ai adoré et que je ne peux que vous recommander
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