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La Culture tome 4 sur 12

Hélène Collon (Traducteur)Gérard Klein (Préfacier, etc.)
EAN : 9782253071891
539 pages
Le Livre de Poche (30/11/-1)
3.96/5   267 notes
Résumé :
Cheradenine Zakalwe - ou du moins l'homme qui se fait appeler ainsi - est l'un des agents les plus efficaces de la Culture. Et Diziet Sma, éminente figure de la Culture, l'utilise à des fins mystérieuses, quelquefois paradoxales. Dans le cadre de Circonstances spéciales, une branche de Contact.

Qu'est-ce que la Culture ? Une immense société galactique, pacifiste en son principe mais redoutable si on l'attaque, multiforme, anarchiste, tolérante, éthiqu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 267 notes
L'usage des armes , tout un programme ….
Un texte que l'on pourrais qualifier de : « de l'usage des armes « ou encore : du Bien et du Mal ….

D'abord , c'est rare , mais soulignons que sur la forme il est tout à fait remarquable. En effet vous avez principalement dans ce texte deux fils narratifs qui alternent .
L'un se dirige vers le futur , l'autre remonte le temps depuis le passé vers le futur .
Les deux trames se font échos et s'éclairent en ricochet sur de nombreux aspects de fond du texte ou même simplement de la forme du texte ou encore informent sur le personnage principal en premier lieu .

J'ai peu de temps pour des relectures , alors c'est avec gourmandise que j'ai réalisé une petite envie qui me taraude depuis longtemps .
J'ai relu ce roman , mais cette fois-ci , j'ai commencé par la fin … oui ….
Sachez que c'est un texte tel que vous pouvez le lire dans les deux sens , c'est étonnant ! ( et cela a du sens quelque soit le point de départ de la lecture ) , et cela souligne le caractère très travaillé de ce roman .

La Culture , est une vaste société intergalactique , centrée sur l'hédonisme de ses ressortissants . Ses citoyens sont humains , extraterrestres ( quelques-uns ) et aussi il y a les artificiels , des intelligences artificielles logées dans des machines variées ( du vaisseau au couteau à couper le pain quasiment ) .
La culture affiche notamment deux tendances comportementales claires :

- Elle souhaite se conserver . Elle est donc très vigilante à se défendre et à connaitre ses voisins , le plus souvent moins développés qu'elle-même . Souvent aussi les exigences éthiques en vigueur dans son voisinage , sont moins élevées que les valeurs éthiques de cette société vigilante et réflexive .
- Elle estime avoir vocation à s'étendre par inclusion constante des sociétés sises dans son environnement immédiat , si ces dernières sont homologables : « Culture compatible « .

Ces deux tendances de cette civilisation , débouchent sur des interventions (« légitimes ») dans les sociétés voisines . Des interventions réputées morales et justifiées ainsi que très calculées , souvent chirurgicales , mais des fois de plus grandes envergures .
La culture veut donc le bien de ses voisins … Cela débouche en pratique sur ces intervention dont la connotation éthique va donc plutôt largement de blanche à grise , voir à noire …

La fin justifie les moyens ? Sur quoi se fonde une légitimité à intervenir dans le destin d'une civilisation voisine ? et comment le faire le plus éthiquement possible ?
Plus généralement au travers de ce cycle comme de ce roman , c'est la responsabilité comportementale des vastes corps politiques qui est étudiée .

On dit des états qu'ils sont : des monstres froids . La culture est une contreproposition éthique à cet énoncé , créée dans but d'examiner la question du comment est-ce possible que les états soit par nécessité des monstres froids et calculateurs ?
Une autre façon d'envisager le problème est de savoir si ce fait est contextuel et environnemental , ou bien s'il est d'origine psychosociale et propre à l'éthologie même de l'espèce humaine .

Dans ce texte l'agent de la culture intervient sur un monde qui se nuit à lui-même violement . Cet agent , véritable variable de correction d'éthique politique , agira pour le meilleur et pour le pire .
Est-ce que cultiver la justice nourrie nécessairement l'éthique ? A vous de voir …

Je ne sais si ce cycle apporte au lecteur beaucoup de réponses même s'il en propose certaines par l'exemple .
Mais je suis certains qu'il apporte en revanche , beaucoup de questions . Ce qui n'est pas si mal et même peut-être suffisant , car finalement c'est l'essentiel non ?
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Un roman de SF un peu atypique. Tout d'abord parce qu'il y a deux narrations différentes. Que l'on remarque aisément par la numérotation des chapitres.. un qui est chronologique et l'autre qui va a rebours.

Cheradenine Zakalwe est un mercenaire qui intervient pour la Culture. Cette dernière est une communauté anarchique et pacifique mais pas a n'importe quel prix... quand on ne va pas dans son sens elle intervient.

L'auteur ne fait pas de cadeau au lecteur .. il faut être attentif et ne pas se perdre dans les méandres de sa narration.;. mais le final est explosif et tellement inattendu que ce livre en vaut le détour... et franchement j'ai adoré
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L'usage des armes est un livre très singulier. La proposition initiale semble pourtant assez simple : suivre la vie d'un guerrier-mercenaire, Cheradenine Zawalke, qui est employé par une vaste civilisation intergalactique appelée la Culture. En échange d'une rémunération mais aussi d'une vie prolongée, de rajeunissements et autres « petits bénéfices », Zawalke se met au service de cette société et l'aide dans ses démêlés avec ses voisins. Nous suivrons donc divers conflits, en observant les aspects politiques mais aussi militaires, très bien décrits d'ailleurs. En apparence c'est simple et de facture assez classique… sauf que non, pour différentes raisons.
*
La Culture, pour commencer est une société de l'abondance, très avancée technologiquement et très ancienne. L'homme y côtoie pacifiquement diverses intelligences, dont des machines devenues intellectuellement égales voire supérieures à lui. Cette société est, en son sein, pacifique, multiforme, anarchiste, éthique et parfois cynique. La tolérance y est la règle. Or la Culture est en contact avec d'autres civilisations ayant des comportements en apparence plus agressifs et elle vise à défendre sa sécurité et son mode de vie. Elle a donc un service appelé « Contact » qui, en son sein, intègre « Circonstances spéciales » (tout un programme !) qui est l'employeur de Zawalke. Nous sommes donc à la fois en périphérie de la Culture et au coeur de ses contradictions puisque ce que nous pourrions appeler dans le monde réel des « barbouzes » emploient, pour faire prévaloir les intérêts de la Culture, à peu près tous les moyens possibles : violences, manipulations, réification d'autrui. L'objectif final est de transformer ces autres sociétés pour qu'elles ne nuisent pas à la Culture, à minima, mais, plus généralement, pour les intégrer à terme après les avoir transformées de fond en comble. D'une certaine façon c'est un génocide culturel et une assimilation au sens sociologique que nous constatons, dans la lignée de ce que l'Empire britannique pouvait faire en tant que colonisateur supposé bienveillant et animé des « meilleures intentions », comme d'une supériorité technologique mais qui se voulait aussi morale.
Banks nous propose donc une réflexion assez poussée, même si largement implicite, sur les limites du pouvoir, sur l'écart entre la fin et les moyens, sur les vies individuelles broyées au nom de la raison d'État, sur les risques de l'interventionnisme, sur l'éthique. Sans que le livre soit triste à proprement parler les conclusions sont assez pessimistes. Sur ce plan, après l'Irak ou l'Afghanistan, entre autre, comment considérer qu'il a tort ?
*
La réflexion porte aussi sur l'individu lui-même, à commencer par le « héros ». En apparence il lutte pour une cause juste à savoir ici éviter qu'une faction radicalisée d'une société tierce pratique des terraformations en supprimant toute forme de vie qui la dérange… mais il n'a pas grande illusion sur la supériorité morale de la Culture et n'a pas tort vu les conséquences de ses actes. La réflexion porte donc sur le sens moral de ses actions mais aussi sur ce que peut être la vie d'un mercenaire, qui au final emploie souvent des moyens violents et donne la mort, manipule autrui, que ce soit des groupes d'individus ou ses amis, pour défendre des buts qu'il maîtrise assez peu voire dont il ignore les finalités. Banks nous invite aussi à réfléchir sur le sens que chacun peut donner à son existence, à la part que peuvent représenter les remords, le poids du passé et de ses diverses blessures au fil d'une existence, ici par ailleurs prolongée. Il y a une part de Zawalke en chacun de nous et une lecture attentive ne peut que nous pousser à une introspection pouvant s'avérer inconfortable parfois.
*
Enfin la forme de ce roman de longueur moyenne (450 pages) est très inhabituelle. En effet Banks nous « propose » de suivre deux trames narratives. Certains chapitres, numérotés 1,2,3… , suivent un récit allant du passé au futur alors que d'autres, numérotés VIII, VII, VI… remontent de plus en plus loin vers le passé de Zawalke. Ces deux fils entrecroisés permettent une mise en abyme habile et se complètent judicieusement. Ils contribuent grandement à mieux comprendre la complexité du « mercenaire » comme de ses proches. le livre peut être relu en inversant complétement le sens de lecture (partir de la fin), ou en reclassant tous les chapitres dans un ordre chronologique strict, dans les deux cas il garde toute sa cohérence, ce qui est une assez jolie performance, un bel exercice de virtuosité. Dans le même esprit Banks réserve une surprise finale à son lecteur qui fait qu'il peut, une fois le livre terminé, le relire complétement, avec un point de vue assez radicalement différent. Ce n'est pas si courant et donne à méditer, ce qui est le but réel sans doute, plus qu'un effet de surprise qui serait sinon un peu facile.
**
Alors, est-ce un chef d'oeuvre absolu selon moi ? Je dirais que non, sans être strictement affirmatif pour autant. Ce livre est sans conteste très intéressant et stimulant mais sa lecture n'en est pas moins parfois déroutante voire un peu fastidieuse. Je trouve que cela tient à la multiplicité des buts poursuivis et des registres simultanés. Banks semble parfois aussi vouloir prouver son talent et a un humour qui n'évite pas certaines facilités. Si l'objectif premier est de proposer un ouvrage de réflexions profondes le genre s'y prête mal, de même que le fait de vouloir l'associer à une sorte de space opéra. le produit final est notablement plus lourd mais aussi plus superficiel qu'un essai et, dans ce cadre, les combats peuvent sembler incongrus. Inversement un space opéra classique vise une grande simplicité afin de séduire un lectorat avide de scènes de combats et d'héroïsmes, d'amours tumultueuses… Ici il sera dérouté par une forme bien plus complexe et ce qu'il vivra comme d'inutiles longueurs. Si ce livre recherche la performance littéraire il échoue partiellement. C'est certes un montage intéressant mais autant lire Perec, par exemple. Enfin, comme dans L'homme des jeux, il me semble difficile de s'identifier pleinement aux personnages, de vibrer pour eux. Cette distanciation a son intérêt mais peut compliquer l'entrée dans le roman tant le lecteur est habitué à cette facilité pour ressentir des émotions fortes.
**
Je conseille cette lecture à qui aime la science-fiction, à qui aussi est prêt à s'investir dans une lecture bien moins facile qu'habituellement pour ce type d'ouvrages. Il me semble par ailleurs que qui aime une lecture dite d'idées sera plus à l'aise que qui recherche des personnages attachants. Au final il est plus facile selon moi d'apprécier ce livre et d'y trouver des stimulations que de l'aimer. Pour autant il mérite d'être lu et compris et apporte une voie et une voix originale à un genre qui peinait à se renouveler après son âge d'or.
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« En tout cas, L'Usage des armes adopte une forme littéraire élaborée qui épouse parfaitement le chemin sinueux, non dépourvu de perversité formelle, qui va de la civilisation de la Culture à la barbarie et retour. Je recommande à ses lecteurs de lire le livre deux fois, une première fois selon l'ordre des pages, et une seconde fois en suivant la numérotation des chapitres à partir de la fin, en chiffres romains à l'aller, en lettres au retour. Ils feront d'intéressantes découvertes chronologiques et pourront étudier à loisir les tours de passe-passe d'un écrivain hors pair. »

Cet extrait de la préface de Gérard Klein rend bien compte de l'ambition de ce roman. le problème c'est que je n'ai pas du tout été sensible ni à sa forme, ni à sa narration. J'ai failli déclarer forfait à de nombreuses reprises. Pourtant des pages, plus intéressantes, surnageaient dans cet océan trop bavard et alambiqué, j'ai tout de même réussi à aller jusqu'au bout. Mais je ne suivrai pas le conseil de Gérard Klein…

Iain M. Banks tenait, avec son univers de la Culture, si original, une mine de possibilités. Dans ce second volume, il n'en tire pas vraiment partie. Ce qui est au centre, et dont nous découvrons l'ampleur dans le dernier chapitre, c'est un conflit entre quatre enfants, qui versera dans l'Horreur.

Si les scènes de bravoure, purement visuelles, ne manquent pas, je juge ses personnages trop peu crédibles. L'arrière-plan est censé être très sombre mais comme je n'ai pas éprouvé beaucoup d'empathie pour son personnage principal, Cheradenine Zakalwe, tout m'était un peu indifférent…

Peut-être que la lecture d'un troisième volume de ce cycle me convaincra davantage. Mais pour l'instant je n'ai pas envie de poursuivre.
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La Culture, rappelons-le, est un vaste organisme politique galactique, tolérant, pacifiste, respectueux. Dans le premier volume, cette organisation m'avait semblé un peu trop propre sur elle, se répandant dans l'univers en convaincant pacifiquement le reste du monde de sa perfection. L'usage des armes vient lui redonner un peu de relief en se consacrant à ses tâches de l'ombre : manipulation, appui discret à certains camps, déstabilisation des équilibres insatisfaisants.

Nous suivons donc Zakalwe, un des mercenaires les plus utilisés de la Culture. Parfois général d'armées peu expérimentées, parfois guère mieux qu'un vulgaire assassin, Zakalwe reçoit cette fois-ci l'ordre de ramener un vieux politicien retraité à revenir sur le devant de la scène et à prendre position dans un conflit important.

Le roman est assez complexe, d'autant que l'auteur a choisi une trame particulière. À partir de l'évènement de départ, on suit deux histoires en parallèle : une dans l'ordre chronologique, l'autre dans le sens inverse avec des flashbacks de plus en plus éloignés dans le temps, qui donnent un autre regard sur les péripéties que traversent le héros.

C'est bien la première fois que le second volume me donne plus d'intérêt pour la série que le premier ! Révéler une facette particulière de son univers à la fois est assez inhabituel, mais ça donne finalement de bonnes surprises... et ça donne envie de savoir ce que cachent les deux autres romans !
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
- Je suis incapable de dire si mes employeurs font partie des bons ou des méchants, Tsoldrin. Tout ce que je sais, c'est qu'ils semblent être du côté des bons, mais qui peut garantir que les apparences ne sont pas trompeuses ? (il fronça les sourcils et détourna les yeux.) Je ne les ai jamais vu se montrer cruels, même en prétendant à juste titre agir pour la bonne cause. Parfois, on les trouve un peu froids. (Nouveau haussement d'épaule.) Mais il y aura des gens pour te dire que ce sont les mauvais dieux qui ont le plus beau visage et la voix la plus douce. et merde, acheva-t-il en sautant de sa table de pierre. (Il alla se tenir près de la balustrade qui courait sur tout un côté de l'ancien observatoire et fixa l'endroit où le ciel commençait à rougeoyer, juste au-dessus de l'horizon.) Ils tiennent leurs promesses et ils payent bien. Ce sont de bons employeurs, Tsoldin.
- Ça ne veut pas dire qu'on doive les laisser décider de notre destin.
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Zakalwe, dans toutes les sociétés humaines que nous avons passées en revues, quels que soient l'époque et le contexte, on trouve le plus souvent (pour ne pas dire toujours) surabondance de jeunes mâles impatients prêts à tuer et à mourir afin de préserver la sécurité, le confort et les préjugés de leurs aînés ; ce que tu appelles "héroïsme" n'est qu'une illustration de cette constatation ; il n'y a jamais pénurie d'imbéciles.
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Il adorait son fusil à plasma ; il s'en servait en véritable artiste. Avec cette arme-là, il savait peindre des tableaux figurant la destruction, composer des symphonies célébrant la démolition, écrire des élégies à la gloire de l'anéantissement.
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Sans doute, avec Excession, mais en plus immédiatement accessible le meilleur roman du cycle de la Culture.
L'on y suit les basses-oeuvres (mais pour la "bonne" cause, du moins telle que la section Circonstances Spéciales de la Culture la conçoit) d'un mercenaire qui accomplit les missions auxquelles les citoyens de la Culture rechigneraient à participer, avec cette question lancinante de savoir si un bien escompté justifie le mal commis pour l'atteindre.
Le roman est écrit suivant une trame complexe (deux fils d'histoire, l'un dans le sens chronologique, l'autre à rebours, qui se nouent à la fin du roman), quand bien même l'histoire racontée pourrait se résumer en quelques lignes : la richesse du roman est ailleurs, dans les aperçus variés des activités de Cheradenine Zakalwe et des lieux par lesquels il passe, dans la découverte progressive de son identité et de son passé, dans la question non résolue de la possibilité de la rédemption, du pardon, de l'oubli...

Un grand Banks, à tous points de vue, pour qui aime le style empli d'humour et de finesse de l'auteur...
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C’est la même chose dans toutes les sociétés : partout cohabitent, d’une part, une jeunesse pleine d’ardeur, et d’autre part la vieillesse qui calme le jeu.
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Video de Iain M. Banks (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Iain M. Banks
Hélène Collon, c'est LA traductrice de Philippe K.Dick, qui vient d'achever la nouvelle traduction d'Ubik paru aux Éditions J'ai Lu dans la collection « Nouveaux Millénaires ».
Hélène Collon est avant tout une grande lectrice qui porte haut les couleurs de la science-fiction avec l'imagination comme horizon.Embarquement immédiat pour un cours magistral de SF !
NB : Hélène Collon a reçu le grand prix de l'imaginaire de la meilleure traduction en 1994 pour L'Homme des jeux de Iain Banks.Elle a également été lectrice à de nombreuses reprises pour le Centre national du livre, qui se fie à son regard acéré.
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