Tous les mystères du fleuve sont dans ce tome dévoilés, ainsi que les raisons pour lesquelles les éthiques ont ressuscité l'humanité. Tous les fils de l'intrigue sont réunis pour atteindre l'épilogue, qui est, malgré tout, un peu décevant.
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Enfin ! Nous y voilà à cette source du fleuve! Les principaux personnages de la saga touchent au but et se voient révéler le fin mot de l'histoire . Non sans un affrontement entre les deux navires (Chronique d'une mort annoncée) . On retrouve une des obsessions majeures de Farmer celle des hommes qui accèdent par eux-même à la divinité et de la difficulté d'être un dieux. Un peu trop de monologue psychologiques à mon goût .
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Digne suite du fleuve de l'éternité, on apprend enfin le pourquoi du comment grâce à nos courageux amis. On a fini par s'attacher aux personnages et la façon dont certains se retrouvent reste bien tournée.
La fin est tournée de telle façon qu'on se doute d'un cinquième tome. Cependant je n'en attaquerait pas la lecture si vite, je pense qu'il va me falloir un peu de repos de fleuve magique pour m'y replonger avec délice!!
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"On ne devrait jamais redouter qu'une seule personne, et cette personne, c'est soi-même".
Telle était l'une des maximes favorites de l'opérateur.
L'amour tenait également une grande place dans ses propos.
"La personne que l'on redoute le plus, il faut aussi beaucoup l'aimer" disait-il.
Mais ce n'était pas lui-même que l'homme connu de certains sous le nom de X ou de mystérieux inconnu redoutait ni aimait le plus.
Il avait chéri trois êtres plus que tout au monde : sa femme aujourd'hui décédée, et, plus profondément encore, sa mère adoptive et l'opérateur, qu'il aimait aussi intensément l'un que l'autre ; ou du moins l'avait-il cru naguère....
(extrait du chapitre 1 "Le mystérieux inconnu")
-Hé Monsieur , lorsque vous vous présentâtes ,je n'étais point certain que vous fussiez celui que vous affirmiez .J'ai craint d'avoir affaire à un imposteur .Je reconnais aujourd'hui que si vous n'êtes pas le fameux bretteur Savinien Cyrano II de Bergerac ,vous lui ressemblez comme Castor à Pollux et l'égalez dans l'art de tirer l'épée.
On ne devrait jamais redouter qu'une seule personne, et cette personne, c'est soi-même.