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EAN : 9782366581942
429 pages
KERO (07/04/2016)
4.08/5   39 notes
Résumé :
Frankie Presto, né dans une église en feu et vite devenu orphelin, est élevé dans une petite ville d’Espagne par son professeur de musique aveugle. Puis la guerre bouleverse sa jeune vie... À neuf ans, il embarque sur un bateau pour l’Amérique, accompagné de ses seuls biens: un chien sans poils, une vieille guitare et six cordes dont il ignore encore la mystérieuse puissance.
Pendant son irrésistible ascension comme le plus grand musicien de son temps, il déc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Dans “La voleuse de livres” de Markus Zusak, la narratrice était la Mort. Ici, c'est la Musique qui tisse les fils du récit, elle qui - dit-elle - accompagne de sa présence attentive la naissance, la vie et la mort des musiciens, qui confie ou qui reprend le don qu'elle fait d'elle-même à ceux qui en naissant la choisissent et l'appellent.

C'est donc la Musique qui nous raconte l'histoire de Frankie Presto tandis que se pressent au bord de sa tombe tous ceux qui l'ont connu. Car Frankie Presto, le guitariste aux doigts d'or qui avait épousé la musique comme on épouse une femme, est mort en plein concert, mystérieusement “envolé” sous les yeux du public ébahi.

Elle nous raconte la naissance tragique et merveilleuse de l'enfant musicien, orphelin, abandonné, recueilli, ballotté au gré des aléas de l'histoire de l'Espagne - guerre civile, guerre mondiale, franquisme - les pères de substitution et les rencontres qu'elle place sur son chemin pour favoriser l'éclosion de son don ; elle nous raconte le travail, les doigts qui saignent, la douleur, l'effort et la persévérance… et les notes qui jubilent, les accords qui résonnent, les arpèges qui s'envolent - allegro, presto, sostenuto -, Tarrega et Villa-Lobos, Duke Ellington et Django Reinhardt ; et aussi l'errance, l'exil, l'amour fou, unique et compliqué pour une femme un peu fée, la détresse et l'alcool, la drogue et le silence… avant la renaissance.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman bien écrit, bien rythmé, empli de tendresse, de poésie et d'un peu de magie, où l'on fredonne tout du long des mélodies splendides qu'il m'est arrivé, au fil de ma lecture, de reprendre sur ma guitare pour mieux accompagner le parcours plein d'émotions de ce personnage extrêmement attachant que j'ai quitté avec regret. Un beau voyage musical et un bon moment de lecture… qui n'est d'ailleurs pas réservé aux seuls musiciens.
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Pourquoi je l'ai choisi:

J'adore cet auteur, il arrive à me toucher à chaque fois grâce à son écriture, et quand je l'ai vu dans la Masse Critique, je ne pouvais pas, ne pas cocher cette proposition…Le destin a bien fait les choses, et je remercie sincèrement Babélio de m'avoir sélectionnée, ainsi que les éditions Kero pour l'envoi de ce livre.
Les personnages:

Frankie Presto, c'est un guitariste de talent, de corps et d'esprit. J'ai cherché sur Internet ses chansons, j'ai voulu lui donner vie, croire qu'il pouvait naître de notre seule volonté…Je voulais plonger dans son regard, y voir l'étincelle du Don…Il est une force ce personnage, il incarne tous ses génies disparus trop tôt, ses enfants qui ont serrés de leurs points, la lumière musicale.

« Tout le monde fait partie d'un orchestre dans la vie. »

C'était une pure performance de guitare et les mélodies qui s'enchaînaient étaient d'autant plus remarquables. Frankie était un homme qui se débattait littéralement dans un océan démonté.

Ce que j'ai ressenti:…Un coup de coeur musical et littéraire…

« La vérité est lumière. le mensonge est ombre. La musique est les deux à la fois. »

Mitch Albom nous revient avec un roman qui fleure bon la Musique. Elle nous parle, nous interpelle, nous enchante. La Guitare Magique de Frankie Presto a 6 cordes, tout comme elle, j'essaierai de vous donner 6 raisons de vous laisser charmer par son incroyable envoûtement…
1. La corde sensible: C'est avec beaucoup de larmes retenues qu'on lit cette histoire. Et les larmes justement, c'est l'exquise musique « Làgrima » qui tourne en boucle…Comprendre cette chanson dans ses lignes, et ensuite la savourer en écoute, je vous parie, que les larmes seront bien au rendez-vous…
2.La corde vibrato: Des dizaines d'émotions vous submergent dans cette histoire, parce que c'est avant tout, celle d'une vie, d'un artiste, d'un génie…Et forcement, ça donne toutes sortes de tragédies et contrariétés, mais aussi de grands moments où la chance lui sourie, où la Destinée prend tout son sens…
3.La corde artistique: Cet enfant a un don, certes, mais c'est bel et bien le travail et la persévérance de la Musique, qui fera sa voie. L'orchestre de sa vie a eu de beaux accompagnateurs, mais c'est avant tout cet enseignement entre respect et tolérance que lui donne El Maestro, qui fait la beauté de son talent.
4.La corde auditive: Chaque référence musicale est un bonheur d'écoute. Je me suis d'autant plus imprégnée de cette lecture en allant découvrir ou redécouvrir, ses chansons. On sent la passion de l'auteur pour la musique.
5.La corde magique: Une fée s'est glissée dans ses pages pour mon plus grand bonheur! Forcement, que je me dis qu'il était fait pour moi, ce roman! La magie de l'Amour et l'apparition féerique sont autant de saupoudrage scintillant qui illumine nos yeux et nos coeurs…
6.La corde poétique: le Bleu lyrique qui vient étinceler cette histoire nous donne un petit coté Fantastique très agréable à découvrir. J'ai adoré le bouquet de fleurs de cordes, leur poésie, la force de l'intention de l'auteur, de rendre hommage à la musique, à la vie, à l'amour…

« Tous les hommes sont des musiciens en puissance. Sinon pourquoi le Bon Dieu nous aurait-il donné un coeur qui bat? »

Je suis une amoureuse de la Musique et de l'Emotion. Ce livre rassemble les deux. Il pulse et il touche au coeur. J'ai aimé la douceur des mots et la douleur d'une passion, la pureté des émotions et la fulgurance d'un talent. C'est un coup de coeur, évidemment, car il nous fait vibrer le corps, le coeur et l'âme. Il a une énergie positive, magique et passionnée.

« -Ne pleure pas si tu saignes pour quelque chose que tu aimes. »

Lien : https://fairystelphique.word..
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Je tiens à sincèrement remercier les éditions Kero et l'opération Masse Critique pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage.

Il est rare que je ressorte très satisfaite d'une lecture "imposée", ce qui est généralement mon ressenti quand je coche sans réfléchir des livres qui ne me correspondent pas sur la page de l'opération. Déjà, quand j'ai découvert le titre qui m'avait été attribué, j'ai été sincèrement comblée : il faisait partie de mes premiers choix.
Je n'avais jamais rien lu de Mitch Albom, mais c'est un auteur relativement prolifique dont j'avais déjà entendu parler. le thème me plaisait (et collait parfaitement avec une des catégories du challenge qu'on a créé, ma colocataire et moi), la couverture était belle, les premières critiques élogieuses...

Et si ce n'est pas un immense coup de coeur, j'ai effectivement passé un excellent moment à suivre la vie de Frankie Presto. de sa naissance à sa mort, celle-ci est racontée par un narrateur peu ordinaire (la Musique en "personne"), ainsi que par de vrais musiciens qui ont accepté de prêter leur nom à l'auteur afin qu'il invente leur version de leur rencontre avec le légendaire guitariste et chanteur. Ce dernier croise les plus grands, au cours de ses pérégrinations. Tantôt célèbre, tantôt anonyme, c'est au cours de ces occasions qu'il se révèle. Sa vie, jamais ennuyeuse, est semée d'embûches et de malheurs (pas seulement, mais quand même souvent), avec lesquels il doit se construire. Mais toujours, sa passion l'accompagne, son talent le porte, l'amour le transcende, la magie s'invite et les coïncidences se succèdent pour lui concocter un destin hors normes.

La plume de Mitch Albom coule sur ce destin comme les cordes de Frankie sur une partition, avec talent et simplicité.

Donc, une lecture fascinante, riche et émouvante, même pour qui n'a pas l'oreille musicale (c'est mon cas). Un très joli roman que je n'oublierai pas de sitôt!
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Ça commence en Espagne, en 1936. Si tu as un minimum suivi tes cours d'histoire au collège, tu sais que, comme destination pour les premiers congés payés, l'Espagne n'était pas le meilleur endroit.

Frankie Presto – Francisco de son petit prénom –, lui, n'a carrément pas de chance, parce qu'il naît, précisément dans une église incendiée alors que Franco commence à s'enjailler comme jamais dans le rôle d'apprenti dictateur à la noix de coco.

Sauf que le bébé, un an après sa naissance, il est abandonné dans la flotte façon Moïse, et recueilli par un certain Baffa, quarantenaire célibataire chauve et moustachu – important, la moustache… -, maître d'un chien sans poil.

Une histoire bien banale, me diras-tu. Sauf que le gamin, il se trouve qu'il est super doué à la guitare. Genre vraiment. Si bien que lorsqu'il atteint cinq ans, son père (adoptif, mais on va dire que c'est son père, fais pas chier), son père, donc, décide de lui faire prendre des cours chez un vieux guitariste acariâtre et aveugle par-dessus le marché.

Et puis un jour, alors que Francisco atteint ses dix ans, il tombe amoureux d'une petite fille, avec une peau rose et des cheveux jaunes, comme nous dirait le Petit Nicolas. Sauf que c'est aussi ce jour-là que son padre se fait arrêter par les pandores.

Apparemment, il était socialiste.

Ouais, le padre, c'est El Famoso Philou Martinez.

A une époque, en Espagne, si tu voulais faire chier quelqu'un, tu n'avais qu'à dire qu'il était socialiste (« Mais si, l'autre jour je l'ai entendu siffler un air qui ressemblait beaucoup à l'Internationale, je vous jure… »), et là, tu étais certain que tu ne le voyais pas avant un petit bout de temps. Un peu à l'image des Juifs en zone occupée, aux temps vert-de-gris.

Bref, le gamin, devenu orphelin, part pour les Etats-Unis afin de retrouver la soeur de Baffa-le-moustachu-socialiste.

Sur son chemin, il va rencontrer des gens sympa, genre Darlene Love, Duke Ellington, ou Django-notre-dieu-à-tous. Il va aussi tomber de désillusions en désillusions. Parce que la vie est injuste, mais ça tu le sais déjà.

- Mais alors, est-ce un bon livre ? me demandes-tu tout de go.

Eh bien, contre toute attente, c'est pas mal.

Oui, je suis en train d'écrire un billet élogieux à l'égard d'un bouquin dont l'auteur n'est toujours pas mort. Profite, ça n'arrive pas souvent.

C'est vrai que de moi-même, je n'aurais jamais eu l'idée de l'ouvrir. Voire d'y toucher. C'est ma mère-grand qui a eu pitié de moi, vu que je me suis fracturé le poignet et que je ne peux plus me gratter le ventre.

- Allez, lis-ça, plutôt que de déprimer en lisant Astérix. Au moins, tu auras l'impression de renouer un peu avec la musique.

Je ne sais pas si j'ai vraiment renoué avec la musique, mais ce que je sais, c'est que j'ai bien aimé. Quelques passages larmichouille-au-coin-de-l'oeil, un peu de bons sentiments, un peu de cruauté envers les personnages. Et un peu d'amour-guimauve, aussi. Mais quand c'est avec des vieillards, ça m'attendrit.

J'ajouterai que j'ai beaucoup aimé l'ambiance décrite, notamment celle des petites rues espagnoles, qu'on rencontre en surtout au début du livre, quand Franco commence à faire chier mais que ça passe encore. L'Espagne étant une contrée dont je ne connais rien, hormis Porque te vas, El Risitas et El documento que vamos à estudiar, ça m'a permis de me souvenir que j'ai éventuellement des épreuves de bac l'année prochaine portant sur l'espagnol, et que je vais me foirer si je continue à faire mes exercices sur GoogleTranslate et d'écrire des critiques impertinentes sur ce merveilleux-site-de-partage-et-d'information-à-caractère-livresque-totalement-bienveillant.

- Est-ce un livre à mettre entre les mains de tous ?

Bien sûr. Que tu aies une oreille musicale aussi désastreuse que celle de ma tante Odile ou que tu sois polyglotte instrumentalistiquement parlant, que tu écoutes Mötorhead ou Mireille Mathieu, que tu lises Gérard de Villiers ou Caroline à la ferme, ça devrait te plaire.

Néanmoins, si tu es un adepte de S.A.S., et que tu veux quand même lire ce livre, je te mets en garde : il n'y a pas la moindre évocation libertine dans ces lignes. Désolée de briser tes rêves. Tu devrais plutôt lire T'choupi enterre son papy, ça devrait te remettre dans le droit chemin.

Bon, sur ces paroles empreintes d'humanité et de tolérance, je te laisse. J'ai ma guitare à douze cordes à réaccorder.
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Un roman qui surprend telle une boîte de chocolats


« La guitare magique de Frankie Presto », c'est l'histoire d'une vie dédiée à la musique, l'histoire d'un parcours qui semble chaotique, mais où tout trouve sa place, c'est l'histoire d'un amour, un grand et bel amour, de ceux qui font que les années et l'éloignement ne peut affaiblir et encore moins éteindre. Quand les éditions Kero parlent de ce roman comme étant :


"Plein de magie et très original, La guitare magique de Frankie Presto met en scène un personnage fictif dont l'existence va influer sur l'histoire, notamment de la musique, à la manière de Zelig ou de Forrest Gump."


Je me dis qu'ils ont raison. Frankie et Aurora n'ont rien à envier à Forrest et Jenny. Ils sont touchants et bien que les rôles soient inversés, il est la passion, elle, la patience, leur histoire d'amour faite de retrouvailles et de séparations, de drames et de joies sonne comme devrait le faire le véritable amour : accepter l'autre dans les bons comme les mauvais jours, laisser vivre, pardonner et soutenir.


Quand la musique tient une part importante dans la vie des personnages


La musique, c'est simple, est la narratrice de l'histoire, c'est le don que Frankie Presto a serré bien fort dans son poing à peine né, le don qu'il a attrapé et même si c'est un diamant brut qu'il devra polir, à force de rencontres, de travail et grâce à son ange gardien, il deviendra l'un des plus grands guitaristes au monde. Un mythe, une légende dont certains partent à la recherche pour comprendre pourquoi Frankie ne joue plus. Tous les évènements de la vie de Frankie sont reliés par un lien invisible à la musique. Mais son histoire, la vraie, il ne l'a connaît pas et c'est en revenant en Espagne, dans la ville de son enfance, là où celui qu'il croyait être son père, lui a permis d'apprendre la musique, qu'il découvrira comment de bébé abandonné, il a pu devenir un musicien de génie.


Mon avis


« La guitare magique de Frankie Presto » est un roman qui m'a émue sans pour autant me bouleverser. C'est l'histoire d'une vie mouvementée et hors du commun que l'on aime suivre. J'ai aimé que le dernier tiers du roman nous en apprenne plus sur ceux qui ont joué un rôle dans le début de vie tragique du Frankie. Pour moi, c'est la partie forte de l'histoire. Si l'histoire d'amour est belle, elle m'a semblé assez « platonique », Mitch Albom est-il mal à l'aise avec les scènes d'amour ? Je n'en sais rien, mais si les sentiments ressortent bien, il manquait selon moi d'attirance physique.


Une histoire un brin merveilleuse, l'adjectif « magique » ayant bien sa place dans le titre, qui a été une belle découverte littéraire. Romancier ayant vendu 35 millions de livres, « La guitare magique de Frankie Presto » s'est classé directement dans les 4 meilleures ventes dès sa sortie aux États-Unis.


Une lecture que je conseille pour :

— Son originalité

— L'histoire d'amour

— L'immersion dans le monde de la musique où l'on rencontre de grands noms du rock (Elvis, Kiss, Les Beatles...)

— le destin « magique » du personnage

— le côté rêve et aventure que procure ce texte


Lien : http://que-lire.over-blog.co..
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
-où l'as-tu rencontrée?
-Dans les bois.
-C'était une fée?
-Je ne pense pas.
-Est-ce qu'elle avait des yeux étranges?
-oui.
-Est ce qu'elle est venue à ton secours d'une manière ou d'une autre?
-oui.
-Est ce que tu l'as revue?
-Non.
-Alors c'était une fée. Une Anjana. Ne tombe pas amoureux des fées Francisco. Elles ne sont pas réelles.
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Chaque perte laisse un vide dans votre cœur. El Maestro, comme vous l'avez deviné, avait perdu un être qui lui était très cher, quelques années auparavant, et il avait sombré dans l'alcool suite à cela. Sa femme était morte. La très belle femme qui le menait sur scène et lui donnait un baiser. Elle avait quitté la vie trop tôt, et une fois partie, El Maestro n'avait plus rien désiré du monde terrestre. Il s'était laissé sombrer dans la mélancolie, l'alcool et les longues nuits d'insomnie. S'il avait pu débrancher son cœur et les lumières de sa mémoire, il l'aurait fait.
Mais au fil des mois avec cet enfant à protéger, le professeur guérit peu à peu.
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- A quoi servent les boîtes noires, Maestro ? demanda [Frankie] en regardant les amplificateurs.
- […] Ces boîtes sont une perte de temps.
- A quoi est-ce qu’elles servent ?
- A faire que ta guitare sonne très fort pour que les gens puissent l’entendre même si tu es très loin d’eux.
- Et c’est mal, Maestro ?
L’aveugle posa une main sur l’épaule de Frankie :
- Francisco, souviens-toi toujours de ce que je vais te dire. Le secret n’est pas de jouer plus fort, mais de rendre le monde silencieux.
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Tous les hommes sont des musiciens en puissance. Sinon pourquoi le Bon Dieu nous aurait-il donné un cœur qui bat?
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Parfois je finis par penser que le plus grand de tous les talents est la persévérance.
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