Le présent ouvrage évoque la fascination qu'a éprouvé Napoléon pour l'Italie, et, en particulier pour Venise tout au long de sa vie et de sa carrière.
On remarque également une certaine incompréhension de la part des deux camps en présence : le premier (
Napoleon Bonaparte), au service d'une ambition démeusurée, a vu le pretexte de prendre le pouvoir au travers de la défense de la nation, la force, etc tandis que la seconde (Venise) privilégiait la diplomatie, la politique qui pouvait sembler d'un autre âge à Napoléon.
Dans le corps du texte, il y a des extraits de courriers échangés entre
Bonaparte (alors jeune général) et le Directoire, entre
Bonaparte (1er Consul, puis, empereur) et ses généraux ainsi que Eugène de Bauharnais (Prince d'Italie depuis 1805, et, Prince de Venise depuis 1807).
Dans ces échanges, on remarque toutes la mauvaise des des uns et des autres afin de déposer une bonne fois pour toute Venise.
Au cours de toutes ces années de face à face, mêlées de haine, d'amour, d'admiration, les belligérents n'ont pas été tendre enves les uns et les autres.
Ouvrage se lisant facilement.
Que l'on éprouve ou non de l'admiration pour Napoléon, il est vrai que le personnage ne laisse pas indifférent.