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J'ai entendu certains retour négatif sur ce roman d'Isaac Asimov. Due au fait qu'il soit moins bien que le cycle des robots ou bien fondation. Je trouve que c'est le cas toute fois ce fut une excellente lecture. J'ai véritablement apprécié cette histoire. Je n'ai pas encore lu le reste du cycle de l'Empire j'essaie de lire dans l'ordre de parution et je suis content de tout de même avoir lu et pas écouter les retours car c'est d'après moi un très bon livre d'Isaac Asimov.
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Que dire sur ce livre... j'aime bien la plume d'Asimov même s'il est difficile de dire ça quand on ne l'a "lu" qu'en audio et que le narrateur a été super agréable.
C'est classique, un peu vieillot mais les sujets font écho à ce qu'il se passait dans les années 50, date de l'écriture du livre, et malheureusement encore maintenant. Il est beaucoup question de racisme dans ce tome, les terriens étant les rebus de la société intergalactique.

Les trois tomes peuvent se lire indépendamment et je mettrai même celui ci avant les autres d'un point de vu chronologique de l'histoire mais je me trompe peut être, je ne suis pas une experte. Cela dit, ce cycle est super intéressant et nous donne un très bel aperçu de l'univers de l'auteur. Je suis contente d'avoir commencer par celui-ci.

Bref, j'ai hâte de commencer le cycle des robots.
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Et ainsi se clôture la saga de l'Empire Galactique.

Cailloux dans le Ciel est particulier, au premier abord, s'éloignant de la Science Fiction rigoureuse, toujours claire et expliquée d'Asimov. Ici, il est question de voyage dans le temps . Si cela m'a tout d'abord déstabilisée, les autres indicateurs de la patte de l'auteur sont bien présents. de l'écriture fluide à l'intrigue politique complexe.

Cet opus centré sur la recherche des origines s'inscrit aisément parmi les meilleurs livres que j'ai lu de l'auteur en terme d'atmosphère, de suspense et de narration.
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Cailloux Dans le Ciel vient clôturer le cycle de l'Empire, écrit dans les années 50, composé de trois livres indépendants se situant entre les Robots et Fondation.
Sur Terre, de nos jours, une expérience scientifique dérape et transporte bien malgré lui Joseph Schwartz, un tranquille grand-père de Chicago, plusieurs milliers d'années plus tard, à l'ère de l'Empire galactique. Il se retrouve, par la force des choses, au centre d'une situation explosive pour l'humanité entière, embrigadant dans ses tribulations quelques singuliers personnages.

Asimov nous gratifie d'une intrigue assez mal embarquée, mais qui pourtant prend en qualité au fil de la lecture, laissant de moins en moins de répit au lecteur. de premiers abords, un assemblage assez aléatoire de complots, de hard science, de coïncidences facheuses, vont se révéler au final composer une histoire assez solide.
Un peu déçu cependant, par les personnages, assez stéréotypés, et n'apportant pas autant au récit qu'ils pourraient.
Le style reste quant à lui fidèle à ce que nous propose généralement l'auteur, et se lit globalement avec avidité, malgré quelques écueils.

Bien qu'ayant apprécié ces trois lectures, je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir parcouru un quelconque cycle. Aucun personnage, aucune histoire ne permet de faire le liant, c'est assez dommage, mais pas vraiment préjudiciable à la qualité des différentes oeuvres.
Il ne me reste plus qu'à m'attaquer enfin à ce cycle des Robots que j'ai mystérieusement évité depuis tout ce temps...
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Ce livre nous raconte les aventures d'un paisible monsieur, Joseph Schwartz, qui voit sa vie bouleversée le jour où il traverse le temps pour arriver des milliers d'années plus tard sur une Terre complètement différente, où les vieux sont tués après soixante ans. Or, notre brave homme en a 62 ! Mais surtout, il doit essayer de comprendre ce qui lui arrive, et comment fonctionne cette nouvelle planète. de son côté, un archéologue sirien arrive sur la planète, pour tenter de percer un mystère : la Terre, planète au rebut de l'empire galactique, serait le berceau de l'humanité. Une théorie qui risquerait de changer bien des choses dans l'univers …

Si les idées de bases ne sont pas mauvaises, j'ai été déçu par le développement de Asimov. En clair, soyons francs : ce n'est pas mauvais. Mais en fait, ça me rappelle typiquement un développement de film moyen. Ce n'est pas bon, ce n'est pas mauvais. Il y a des clichés, certains grossiers d'ailleurs, d'autre simplement sympathique, mais dans la forme c'est du déjà-vu à plusieurs niveaux.
Ce que je regrette tout particulièrement, c'est que le développement est très manichéen, simple, et peu profond. C'est exactement l'inverse de ce que j'avais trouvé dans Les dieux eux-mêmes, qui proposait des traitements bien différents, notamment dans la résolution des problèmes. Ici, c'est franchement bateau et très facile comme idées. D'autant que le déroulement aurait pu très bien exploiter d'autres pistes, mais en se limitant (notamment en utilisant très peu le héros), il se réduit encore.
À côté de cela, nous avons une histoire qui tient la route, et qui a défaut d'être efficace est claire. Nous avons aussi le droit à quelques idées bienvenues mais en règle générales c'est beaucoup moins transcendant que dans ce qu'on lisait par ailleurs. Après il faut savoir que le roman date  de 1953, il n'est pas dans ce qu'Asimov fera ensuite, comme le cycle des robots ou Fondation. Ça sent encore un peu les premières oeuvres et la maturité manque. Mais le récit se laisse lire jusqu'au bout sans problèmes, alors ne charrions pas trop le livre. En soi, il n'est pas mauvais même s'il n'est pas bon.

Pour un nouveau Asimov j'ai été déçu, sans doute parce que le ton est nettement moins mature que ce que l'on trouvera ensuite dans d'autres livres du même auteur. Il y a quelques bonnes idées qui ressortent de l'ensemble mais le tout fait un peu trop téléphoné, il y a beaucoup de facilités et j'ai moins aimé la fin, plus joyeuse, un beau happy end, mais loin de ce qu'on trouvait en demi-teinte dans Les dieux eux-mêmes. En résumé, ce n'est pas le meilleur livre de l'auteur, mais il est déjà pas mal et se laisse lire, ce qui est un excellent point. Mais pour le reste, je ne sais pas trop ce qu'il faut en tirer. Je ne suggère pas trop l'achat, sauf pour fan inconditionnel de l'auteur.
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Je n'ai pas particulièrement apprécié ce roman d'Asimov. Depuis mars, je me suis mis comme projet de lire les romans figurant dans l'univers Robots/Empire/Fondation. Après un long voyage dans le cycle des robots ainsi que dans les innombrables courtes nouvelles, je me suis lancé dans la lecture de se livre, espérant qu'il puisse faire le pont entre le cycle des robots et le cycle de fondation. Ces attentes furent rapidement misent de côté après quelques pages car ce livre n'a pas été conçu pour ce à quoi je m'attendais.

Outre cette surprise, un autre élément viens nuire à mon objectivité. J'ai fais une pause entre les deux premiers tiers du livre et le dernier. En retournant dans l'histoire, je ne suis pas vraiment parvenu à m'y retrouver et à l'apprécier comme je l'aurais dû.

J'ai donc trouver l'intrigue inintéressant, tout comme les personnages qui a mon avis, étaient un chaînon important de ce livre. Malheureusement, les habiletés d'Asimov n'ont pas été à la hauteur. Dans le cycle des robots comme dans fondation, les personnages n'ont pas besoins d'être grandement développé car les concepts exploités se suffisent, ce qui ne fut pas le cas ici.

Malgré tout, j'ai bien aimé le premier tiers où l'on suit les déboires de Joseph Schwartz. J'ai aussi été surpris par la légèreté avec laquelle Asimov aborde des sujets tels que la télépathie et le voyage temporel, mais je n'en ai pas été déçu pour autant. Je suis habitué à une recherche scientifique plus rigoureuse de sa part, mais, pour ces deux aspects, ce n'était visiblement nécessaire et l'on peut probablement expliquer cela par la précocité de ce livre par rapport au reste de son oeuvre. de toute façon, on accepte rapidement ces deux détails et le reste de l'histoire s'imbrique aisément avec eux.

Bref, je n'ai pas particulièrement apprécié ce livre. Asimov est capable de mieux, mais il a aussi fait bien pire. Bref, je ne vous recommande pas ce livre et je vous propose plutôt d'aller jeter un coup d'oeil aux cycles des robots et de fondation. Dans le cas où vous avez déjà lu ces deux cycles, je ne suis probablement pas la personne qui parviendra à vous dissuader de lire ce livre.
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Cailloux dans le ciel le troisième second opus du cycle Empire. le cycle Empire vient après le cycle des Robots et celui des Cavernes d'acier.

L'empire Trantor règne sur des millions de galaxies. La terre fait partie de l'empire Trantor et est administrée par un procurateur de l'empire ainsi qu'un pouvoir local. Mais la terre est aussi une planète arriérée de l'empire, méprisée par les autres planètes. Les terriens nourrissent de même un fort ressentiment vis-à-vis des autres peuples de l'empire qui les méprisent.

C'est dans ce contexte, qu'un tailleur du 20ème siècle se trouve subitement projeté sur terre à cette époque. Il subit un traitement expérimental avec l'amplificateur synaptique du professeur Shekt.
Parallèlement, le docteur Arvardan, un archéologue Sirien arrive sur terre pour essayer de dénouer une controverse : la terre est-elle le berceau de la race humaine qui a essaimé dans la galaxie ou bien est-elle une race parmi les autres.

Certains terriens sont des tenants farouche de la première hypothèse et vivent d'autant plus mal le mépris dans lequel on les tient. Pour les autres membres de l'empire, c'est une hypothèse insupportable de descendre de ces terriens arriérés.

On suit avec plaisir les tribulations des différents protagonistes qui vont interagir dans un ouvrage plutôt agréable à lire où le mépris et le racisme réciproque sont omniprésents mais aussi la question de savoir qui est le plus humain.
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Aujourd'hui on parle d'un roman d'Isaac Asimov de 1950 (traduction de 1974) Cailloux dans le ciel. Avec ce roman l'auteur parle plus ou moins habillement de xénophobie, de vengeance et de la peur de la guerre nucléaire. C'est un roman qui a assez bien vieilli et que j'ai pris plaisir à découvrir. Il se situe dans la période dite de l'empire (Tyrann, Cailloux dans le ciel, Les courants de l'espace [déjà chroniqué sur le blog]).

Schwartz, un ancien tailleur, se retrouve envoyé dans le futur lointain (sans s'en rendre compte) à la suite d'une anomalie nucléaire. Il y découvre une société très différente de celle qu'il vient de quitter, à commencer par le langage qui a complétement évolué. La Terre est en grande partie radioactive, la place y est donc limitée. Schwartz va alors subir une opération qui a pour objectif de booster ses capacités cognitives. Un peu à la manière d'un X-men, cette expérience va avoir quelques petits effets secondaires. Mais voilà, il arrive pile quand la Terre est en train de mettre en place une vengeance à l'encontre de l'ensemble de l'empire qui l'a placé aux bans de la galaxie. Tous les ingrédients du roman noir, espionnage, complots et quiproquos sont en place pour un roman pulp.

Comme je vous le disais en préambule, c'est un roman que j'ai pris plaisir à lire. Plusieurs incohérences m'ont fait sourire mais cela n'a pas bloqué ma lecture. Si je ne me trompe pas c'est un des premiers romans de l'auteur. Il n'est pas dénué de défauts mais saura se faire aimer des amateurs d'une SF avec un petit côté désuet. Assurément pas le meilleurs roman de l'auteur mais un roman qui reste très plaisant.

Lien : https://librairiealacroiseed..
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Je retrouve Asimov, l'un de mes auteurs favoris, avec ce roman. Je sais qu'il s'agit d'un cycle, mais les romans peuvent se lire dans n'importe quel ordre. D'ailleurs, ce roman, le dernier tome, est le premier à paraître.

Que dire si ce n'est excellent ? Je m'identifie à Schwartz, le protagoniste (peu présent d'ailleurs). Seul contre tous, avoir l'impression que le monde est contre toi, se sentir plus intelligent que la moyenne (j'ai 22 ans et les autres personnes de mon âge me paraisse moins intelligentes, ils ne réfléchissent pas. Pas étonnant qu'entre 1999 et 2008, le QI moyen a baissé de 3.8 points.).

L'autre sujet fascinant du roman, c'est l'archéologie interdite, un archéologue de Sirius voulant démontrer que la Terre est la planète des origines des hommes. Vers la fin, les chapitres commencent à se faire long, mais l'auteur se rattrape sur les derniers chapitres.
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La plupart du temps, Asimov a une écriture plutôt accessible, fluide, ce qui rend la lecture plaisante par l'effort réduit qu'elle nécessite (bien qu'on puisse aussi trouver son plaisir dans la difficulté). Dans cet opus, c'est un peu particulier, car on a l'impression d'un livre rédigé en deux phases d'écritures bien distinctes.

Cailloux Dans le Ciel sort, par les ficelles qu'il utilise, un peu de ce à quoi Asimov a habitué ses lecteurs avec les cycles des Robots et de Fondation. Sans rien dévoiler de l'intrigue – ce que j'éviterai tout au long de cette note – l'utilisation du voyage dans le temps, même s'il ne représente qu'une infime part du récit, est plutôt particulière pour un auteur si attaché à la Science et sa rigueur. Je vais tout de même m'y attarder un peu, car ça me chiffonne toujours ces gens qui voyagent uniquement dans le temps, sans contrainte d'espace visiblement.

Dans le cas présent, c'est Joseph SCHWARTZ qui, en un battement de cil, voyage de Chicago, 1949, a une époque très lointaine dans le futur, où comme le dit le dicton très « empirique » de cette époque avancée, tous les chemins mènent à Trantor. Mon problème avec ça (comme avec la saga autour de Dr. Brown et Marty McFLY), c'est qu'un voyage dans le temps, si on veut être un minimum rigoureux malgré des postulats de départ ambitieux, devrait fondamentalement être un voyage dans l'espace-temps. Je m'explique.
La terre tourne autour du soleil, le soleil autour du centre galactique et ce centre galactique est lui-même animé d'un mouvement dans l'univers... Donc, si on se déplace uniquement dans le temps, à fortiori, la Terre elle, a continué de se déplacer dans l'espace(-temps ! ). Imaginons que j'ai les moyens de sauter six mois dans le futur (ou dans le passé peu importe), honnêtement je ne le tenterai pas, car indubitablement, le seul endroit où je pourrai me retrouver, serait dans le vide de l'espace, mais certainement pas sur la Terre, qui sera à ce moment-là à l'opposé de son orbite. Et même si je choisissais un voyage d'un an exactement (toujours uniquement dans le temps), et que la Terre se retrouvait exactement à la même position par rapport au soleil, ledit soleil lui, se sera déplacé sur son orbite galactique (et la Terre avec lui) d'environ 42 U.A. (Unité Astronomique : distance Terre-Soleil, soit 150 Millions de kilomètres) donc, là encore, je me retrouverai sans doute dans le vide spatial.
Bref ! Vous l'aurez compris, les voyages temporels ne sont pas ma tasse de thé en matière de S.F., à contrario des voyages spatio-temporels. Mais bon, il faut faire des concessions : on est quand même en train de lire une histoire se déroulant à un stade où l'humanité maîtrise à ce point la conquête spatiale que la voie-lactée entière est colonisée et qu'un empire galactique la régie de manière "représentative" ; cela nécessite un peu d'indulgence et de bon vouloir... J'arrête là sur ce sujet.

Je parlais de fluidité en introduction - et du coup j'espère ne pas vous avoir barbé avec ce pinaillage spatio-temporels.
Je dois dire que je me suis posé la question d'aller ou non au bout de ce livre. le premier tiers (environ), est vraiment lent, long et globalement flou. Les personnages et éléments de l'intrigue sont présentés d'une manière qui ne m'évoque que le tâtonnement, l'incertitude quant à la manière de faire. C'est peut-être – ou sûrement ? – volontaire de la part d'Asimov, mais je ne comprends pas la manoeuvre car c'est assez démotivant.
Déjà le contexte de départ – le fameux saut temporel d'un tailleur à la retraite – m'avait quelques peu perturbé, mais les premiers développements m'ont vraiment laissé un goût amer de labyrinthe artificiel. On a du mal à saisir ce qui se passe, qui sont les personnages et les enjeux : on passe du coq-à-l'âne entre chaque chapitre mais on sent bien que toutes les informations sont utiles et qu'il faut les retenir pour la suite, sans lien clairement apparents.

J'ai persisté car je n'en suis pas à mon premier Asimov, j'aime globalement ce qu'on peut considérer être un « univers étendu », ayant lu ses deux cycles majeurs et les deux précédents opus du cycle de l'Empire. Aussi quelques commentaires sur Babelio m'auront incité dans l'effort, merci au passage.

Grand bien m'en a pris ! Quand tout se décante, que l'aventure prend son essor, là on retrouve notre cher Isaac ! Les péripéties et les rebondissements abondent, c'est vivant et l'environnement est décrit suffisamment mais sans excès pour une immersion réussie pour ma part. A suivre les personnages, on les découvre dans leur complexité ; elle n'est pas faramineuse mais amplement suffisante pour ne pas laisser indifférent. C'est léger, agréable à lire, digeste comme du Asimov classique.
La tension va croissante de même que le rythme qui l'accompagne et le dénouement satisfaisant de l'intrigue se dévoile en se dévorant. Si j'ai mis plus d'une semaine a péniblement atteindre la page 75, il m'aura fallut moins d'une journée pour terminer les 175 restantes.

Ce troisième et dernier « tome » du cycle de l'Empire vient étoffer un peu plus l'univers d'Asimov, c'est une complexion supplémentaire dans la fresque historique dressée par cet auteur incontournable de la Science-Fiction. Livre indispensable ou non, pour moi la question n'est ici pas pertinente : il n'est ni le meilleur, ni le moins bon d'Asimov, c'est une pierre de plus qui se laisse un peu désirer au premier abord.
Je ne le relirai pas forcément, mais j'ai finalement passé un bon moment. Je pense aussi que la lecture m'aurait été plus agréable encore si, dès le début, j'avais su qu'il fallait donner un peu de soi pour rentrer dans l'histoire avant que celle-ci ne s'envole.

Globalement, concernant le cycle de l'Empire, je ne regrette pas ma lecture. Place maintenant au prélude et à l'aube de Fondation.
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