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EAN : 9782385917531
246 pages
Nombre7 Editions (24/11/2023)
5/5   2 notes
Résumé :
À l’approche de la quarantaine, Garance élève seule ses trois enfants. Suite au décès de son époux, son plus jeune fils développe une maladie qui va l’amener à se diriger vers le cabinet d'Aleksander Lariokoff, guérisseur-médium.

Cet homme, aux méthodes singulières, va la conduire vers son passé, à la recherche de l’histoire de ses ancêtres, et l’entrainer dans une enquête surprenante autour du mystère de la disparition de son mari.

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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
J'ai découvert Marie-José avec son troisième roman Travail travail quand tu nous tues que j'avais adoré et je suis ravie de retrouver la plume de l'autrice.
Garance vient de perdre son époux dans un terrible accident et se retrouve seule à élever ses trois enfants. Les jumelles, Erin et Clara ainsi que Malone le petit dernier de cinq ans.

Garance tient une agence de voyage avec son associée et amie Emma et doit faire face à ce nouveau rythme de vie.

Suite à ce décès brutal, Malone développe une dermatose invalidante, des plaques qui se propagent sur tout le corps. Cette maladie complique la vie et malheureusement la médecine traditionnelle ne parvient pas à guérir Malone.

Aleksander pratique des soins thérapeutiques, un mélange transgénérationnel et de soins énergétiques. Désespérée, Garance accepte la thérapie et elle est loin d'imaginer les surprises que lui réserve celle-ci.

C'est d'ailleurs grâce à ce guérisseur et à son amie Emma que Garance part en Irlande sur les traces de son passé et pour le bien-être de son petit garçon.
La mécanique du passé est une quête initiatique et emplie de suspense. D'une main de maître, Marie-José Aubourg-Iberti nous propose une intrigue originale, audacieuse et captivante. Une histoire bien construite, des chapitres qui s'enchaînent et de nombreux rebondissements. Les thématiques sont fortes et intéressantes. Marie-José nous offre un panel de protagonistes bienveillants et authentiques. Les descriptions sont bien détaillées et la psychologie des personnages est bien maîtrisée. Quant à la plume, elle est soignée, fine, et d'une telle fluidité que vous ne décrocherez pas.
L'autrice excelle et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.

Ce roman est plein d'espoir, de résilience et il fait du bien. Sachez que si vous aimez voyager cette histoire est faite pour vous, préparez vos bagages et partez en Irlande avec ce joli trio.
Je vous invite à glisser ce joli bijou entre vos mains.
Lien : http://juliechronique.fr/202..
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Après avoir lu en avril dernier, “Travail, travail quand tu nous tues”, de Marie-José Aubourg-Iberti, qui m'avait beaucoup plus, je ne me doutais pas que j'allais recevoir son nouveau roman aussi vite.
Quelle belle surprise !

Le sujet de la psychogénéalogie, m'intéresse énormément depuis que je suis papa. Je connaissais mes racines proches, mais pas au-delà de mes arrières grands-parents, et c'est quelque chose qui me manquait. Je voulais en savoir plus… L'auteure m'a définitivement ouvert les yeux sur certaines évidences.

Le récit de Marie-José est parfaitement structuré, avec une intrigue originale qui m'a emporté jusqu'à la fin du récit, avec un final au dénouement que je n'ai pas vu venir. C'est grâce à ce mystérieux Aleksander Lariokoff et à son amie et associée Emma que Garance part en Irlande pour le bien-être de son fils qui souffre physiquement depuis le décès de son père.

Il y a de la “magie”, de la philosophie et beaucoup de poésie dans cette histoire. J'ai eu l'impression par moment d'être en Irlande respirant l'air des Landes sous un ciel bas et sombre, où la pluie s'invite régulièrement sur les plaines infinies. C'est simple, j'ai lu le livre d'un seul tenant ayant peur de perdre la magie si je devais reprendre ma lecture plus tard…

Bravo Marie-José, et merci à toi d'avoir partagé toutes ces émotions avec tes lecteurs !
Un très beau roman, qui pourrait vous emmener loin…

Décidément, que de belles surprises chez “Nombre 7” !
Lien : http://leressentidejeanpaul...
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Une histoire et une intrigue qui tiennent en haleine jusqu'au dénouement final inattendu!
Mention spéciale pour la description de l'Irlande et de sa campagne, travaillée et fournie: on respire le vent de la lande irlandaise, on porte son regard sur ces plaines infinies et ce ciel bas et gris.
Et en prime, on se surprend à vouloir entamer une recherche généalogique pour dénouer des noeuds intra-familiaux.
Bref, suspens + Irlande + psychogénéalogie = "La Mécanique du Passé", un roman à dévorer d'une seule traite. J'ai adoré !
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Dans la soirée, je songeai, confuse, au tutoiement qui m'avait échappé et m'interrogeai à nouveau sur cette relation entre Aleksander et moi. Il m'apparut que notre proximité aurait pu, en effet, autoriser naturellement l'emploi du « tu », mais en réalité, le vouvoiement conférait à notre échange une certaine élégance, une réserve contenue, respectueuse, que le tutoiement aurait réduite à une simple camaraderie. Le « vous » était privilège, il enveloppait nos conversations d'une brume de sensualité et imposait une distance courtoise qui plaçait nos échanges sur un plan supérieur. Il ne souffrait aucune familiarité et induisait une posture que le « tu » n'aurait pas induite. Conserver cette distance avec Aleksander m'ouvrait ces possibilités et je ne souhaitais en aucun cas détériorer notre relation sous prétexte d'un rapprochement illusoire.
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Quelques jours plus tard, tandis qu'Emma prenait la route pour l'Ariège, je me rendis à la consultation d'Aleksander.
Je pénétrai avec légèreté dans cette ruelle qui m'était devenue familière et réalisai à quel point c'était agréable de se sentir dirigée. Emma avait pris les choses en main et je trouvais cela confortable… Confortable, quel drôle de mot ! Moi, qui vivais dans l'hyper-contrôle quasi-névrotique, depuis si longtemps, je réalisais que je parvenais à lâcher prise. Emma ne m'avait pas laissé le choix, c'était peut-être cela, la clef… Pas le choix ! Je m'étais réveillée ce matin tellement plus légère, parce que je n'avais pas le choix !
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Les premières lueurs de l'aube s'invitaient à travers les persiennes. Yann s'éveilla, dirigea sa main vers la mienne et l'enveloppa tendrement. Dans un bruissement de draps, il s'étira ensuite longuement puis se recroquevilla vers moi. J'ouvris les yeux et l'observai, m'attardant sur l'indiscipline de ses cheveux et le léger plissement des yeux qui soulignait l'ébauche de son sourire.
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