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sur 2129 notes
Alors voilà : il y a des moments dans l'existence où, sans trop qu'on sache pourquoi, on se dit que c'est le moment, qu'il ne faut plus hésiter. Certains appellent ça se jeter à l'eau. D'aucuns, comme moi, appellent ça prendre du vent, se mettre le plastron bien en évidence, sans craindre le viseur braqué sur vous ou la lame vicieuse qui pourrait venir vous tutoyer l'aorte.
J'ai décidé d'écrire enfin une petite critique sur mon Jonathan Livingston le goéland, un livre que j'ai adoré, mais que j'ai lu il y a une vie, peut-être même n'étais-je pas moi-même à l'époque, mais une ébauche, une énigme incomplète.
C'est à dessein que j'ai décidé de ne pas le relire, pour ne rien faner, pour ne rien aplanir et d'en garder intacts les sucs indistincts qui baignent encore mes papilles de temps à autres.
Je vais faire aujourd'hui comme je le fais toujours avec mes élèves, qui sont bien trop petits pour lire Jonathan Livingston, je vais vous le raconter à ma façon.
Ceci n'est donc pas une critique, du moins pas dans le sens commun, ceci est une tentative d'écriture destinée à faire ressentir l'illusion que créa l'oeuvre en moi. C'est expérimental, c'est imparfait, c'est presque hors sujet. Mais j'avais déjà tenté le coup avec le bouquin de Kerouac, Sur La Route, et vous ne m'en aviez pas trop tenu rigueur.
Je sens qu'il est l'heure pour moi de prendre à nouveau ce petit risque…

C'est l'histoire d'un oiseau.
D'un oiseau blanc, tout blanc, comme des milliers d'autres oiseaux, bref un simple petit oiseau.
Un simple petit oiseau qui aimait voler.
Qui aimait voler pour le plaisir, simplement voler.
« Voler, lui disait-on, ça doit servir à quelque chose ! »
Quelque chose d'utile comme voler pour manger, voler pour avancer dans la vie…
« La vie a-t-elle toujours une utilité, demandait-il, ne peut-on pas voler pour voler ? »
« Voler pour voler, mais enfin, vas-tu finir par voler pour quelque chose ? » s'inquiétaient ses parents.
Ses parents, eux, volaient pour trouver à manger, pour dénicher un bel endroit où construire leur nid ou pour fuir la mauvaise saison.
La mauvaise saison approchait et les oiseaux, inquiets, commençaient à voler pour l'éviter.
« L'éviter ? s'étonnait l'oiseau blanc, mais pourquoi devrais-je quitter la mauvaise saison sans même la connaître ? »
« La connaître, c'est mourir !!! répondaient les autres, il n'y a rien de bon à la mauvaise saison ».
La mauvaise saison arriva bientôt sur le pays devenu désert et où seul restait l'oiseau blanc.
L'oiseau blanc regarda tomber la neige, blanche… toute blanche…
Toute blanche sur fond blanc, la silhouette de l'oiseau se distinguait à peine, mais il continuait de regarder tomber la mauvaise saison.
« Mauvaise saison, dis-moi, pourquoi es-tu mauvaise ? » demanda-t-il.
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on te dit. »
« On te dit que je suis mauvaise…, expliqua la mauvaise saison, … mais la nature n'est-elle pas belle ainsi couverte de neige ? »
Couverte de neige, l'oiseau trouvait effectivement cette nature magnifique et il la survolait, les ailes dans le vent.
« le vent que j'apporte n'est-il pas le meilleur des vents pour ceux qui aiment voler ? »
Voler, qui était la grande passion de l'oiseau blanc, devenait un vrai bonheur pour lui en cette saison grâce aux grands souffles de l'air.
« L'air n'est-il pas plus pur à la mauvaise saison que quand il est pollué par tous les oiseaux ? »
« Tous les oiseaux disent pourtant que tu es mauvaise, rétorqua-t-il, pourquoi cela ? »
« Cela vient sûrement du fait que pour eux, je ne suis pas utile, ils ne peuvent pas profiter de moi, ils ne peuvent rien gagner avec moi. »
« Avec moi pourtant tu t'entends plutôt bien », constata le petit oiseau.
« Petit oiseau, si tu m'apprécies, c'est parce que tu ne cherches pas à faire quelque chose d'utile. Tu ne désires que voler, t'émerveiller, mais avec moi tu ne trouveras jamais la fortune. »
La fortune importait peu à l'oiseau blanc qui préférait voler.
« Voler est un plaisir avec toi, mauvaise saison, je veux rester avec toi tout le temps, voler loin et longtemps. »
Longtemps les parents espérèrent revoir leur enfant.
Leur enfant qu'ils imaginaient malheureux et misérable avec la mauvaise saison.
« La mauvaise saison nous a pris notre enfant mais c'était son destin, il ne savait rien faire d'utile, il ne savait que voler pour voler. »
Voler pour quelque chose d'utile étant la norme chez les oiseaux, ceux-ci revinrent s'installer dans le pays à la belle saison.
La belle saison avait vu naître beaucoup d'oisillons nés pour quelque chose, cette année-là.
Cette année-là, un petit oiseau était né, très curieux et demandait toujours à ses parents « Pourquoi ? »
« Pourquoi, demanda-t-il une fois, ne peut on pas voler pour voler ? »
« Voler pour voler, oh !!!, c'est une longue histoire, s'exclamèrent ses parents. C'est l'histoire d'un oiseau… »
« … Un oiseau blanc, tout blanc, comme des millions d'autres oiseaux, bref, un oiseau… »
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Fabuleuse allégorie doublée d'un hymne à la tolérance, ce petit livre réussit à nous émouvoir et nous pose de belles questions.
Jonathan Livingston le goéland propose plusieurs niveaux de lectures et c'est ce qui rend cette lecture accessible à tous car chacun y trouvera sa vérité, du simple dépassement de soi à pourquoi pas une belle introspection sur ce que pourrait être le sens d'une vie.
Certains y verront une belle histoire de goélands, d'autres un exemple de volonté face à l'adversité, ou bien encore l'obsession d'aller au bout de ses rêves.
D'autres peut-être iront plus loin en y voyant une quête, celle du sens de la vie d'un point de vue philosophique ou spirituel, voler plus haut et plus longtemps, atteindre une certaine plénitude et en faire un état permanent.
Avoir envie de dépasser une condition qui ne répond pas ou plus à nos aspirations, vivre pleinement ses rêves d'accomplissements quitte à susciter la méfiance ou le rejet, y comprit de la part de ses proches...
Car il faut aussi du courage pour être soi-même, de la volonté pour avancer face aux vents contraires.
Oui c'est une lecture marquante qui va forcément nous remuer, la force d'une allégorie est justement de pouvoir nous permettre de transposer, et ici il est beaucoup question d'émotions.
Une courte lecture qui est aussi un classique qu'il faut avoir lu, ne serait-ce que pour savoir si il n'y a pas un peu de Jonathan en nous...
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Apprendre à voler pour apprendre à être libre. Ne plus avoir peur , dépasser ses limites, ne plus mener une existence d'ennui et de colère; être soi- même, libre et sans contraintes. Jonathan est un goéland doué pour le vol et qui ne se résigne pas à la misérable existence de son clan, avec ses lois, ses interdits, son aveuglement.

Il est un apôtre-né, il veut transmettre sa vérité, démontrer que l'on peut aller plus haut, plus loin : " le goéland voit le plus loin qui vole le plus haut ".
En route vers la sagesse, se libérant des limites de son corps, des limites du temps et de l'espace. Il n'est pourtant ni Dieu, ni démon, il ne doit être ni craint, ni adulé, même s'il prêche la bonne parole.

À l'image de ce goéland, pouvons-nous nous affranchir des rites, des superstitions, quand ceux-ci nous aveuglent et entravent notre liberté d'action et de pensée? Voler plus haut, voir plus loin, ne pas se focaliser sur ses limites : " Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être."
Ce petit livre drôle, poétique et philosophique, nous dresse le portrait d'un goéland audacieux et généreux, image même de la liberté et de l'amour.
" Nous avons tous un Jonathan le Goéland qui sommeille en chacun de nous."

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Vous aimez les contes philosophiques? Vous aimez les fables initiatiques? Et le style Paulo Coelho, vous l'aimez aussi? Alors ce livre est pour vous.
En ce qui me concerne, j'aime peu les contes philosophiques. Je n'aime pas les fables initiatiques. Et je déteste le style Paulo Coelho. Lecture mal engagée...

Richard Bach se sert de Jonathan Livingstone, ce charmant goéland au nom aventurier pour pousser la réflexion sur nos capacités à se surpasser et se libérer de toute contrainte. Etudions, expérimentons, sortons de l'ignorance jusqu'à s'élever vers la perfection, la sagesse. Donnons un sens plus noble à notre vie. Soyons libres.
Formidable. Clap clap clap. Bravo petit goéland.

Mais perso, malgré un paquet d'heures de vol au compteur, j'ai lâché le niveau goéland depuis pas mal de temps, sans atteindre ni la perfection ni la sagesse. Retour direct niveau rapace : niveau buse ou fau(x)con, ça dépend des jours. Car le développement personnel et la quête d'une meilleure connaissance de soi, de sa force, de sa rate à son sacro-saint-esprit, tout comme la méditation sur son moi intérieur, bah, pas mon truc. Donc tout logiquement : insensible à ce genre de prose, aussi réfléchie et sage soit-elle.

Mais... Grand classique de la littérature, et incontournable dans le genre "conte à lire une fois dans sa vie", je me suis tout de même laissée tenter par Jon le goéland, sachant pertinemment que cette lecture ne serait pas ma tasse de mojito (je n'aime pas le thé non plus, le mojito me parle plus : je confirme, tout est à jeter chez cette buse). Mais surtout le vrai argument déterminant fut : peu de pages.
Et je ne regrette pas la lecture. Enfin pas trop, ne nous emballons pas. Et en effet, à lire au moins une fois pour l'intelligence métaphorique de Bach, ses qualités de conteur et de poète ainsi que la richesse littéraire de cette oeuvre qui sont incontestables. Et sacrément mieux que Coelho même! Haut la main (et bim, je me fais quelques ennemis au passage). Cinq étoiles sans hésiter si on aime le genre. La buse s'arrêtera quant à elle à trois, ce qui, soit dit en passant, est déjà une belle perf' de Richard Bach de la faire noter si haut.

Finalement, j'aurais probablement adoré ce livre à l'adolescence. Il m'aurait, pourquoi pas, ouvert les yeux plus tôt sur la force lumineuse qui sommeille en soi (ça y est je m'emballe), et qui sait, ce conte m'aurait peut-être même boosté.
Sauf que vingt-cinq ans plus tard, bien plus qu'un goéland savant, c'est sutout un bon mug de café bien chaud qui m'ouvre les yeux, et une paire de Pataugas en soldes qui me booste. Définitivement irrécupérable.

Allez, adieu Jonathan, sans rancune petit Jedi ailé, et bon vol.
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Jonathan Livingstone n'est pas un goéland comme les autres. Pour lui, voler ne se résume pas à zigzaguer entre les bateaux pour attraper un morceau de poisson ou de pain. « Pour ce goéland-là cependant, l'important n'était pas de manger, mais de voler. » (p. 15) Jonathan veut voler toujours plus haut, toujours plus vite, toujours plus loin, mais sa passion lui vaut d'être exclu de sa communauté qui ne comprend pas que voler peut être un but en soi. « Mais la vitesse, c'était la puissance, la vitesse était joie et la vitesse était beauté pure. » (p. 30) Loin des siens, Jonathan rencontre d'autres oiseaux pour qui voler à un sens. Auprès d'eux, il apprend à voler encore mieux et il expérimente le vol à la vitesse de la pensée.

Désormais, Jonathan veut transmettre ce qu'il sait. Quelques goélands le rejoignent et suivent ses conseils. Mais Jonathan veut surtout revenir près de sa communauté et délivrer les esprits de certaines lois ancestrales. « Il parla de choses fort simples, disant qu'il appartenait à un goéland de voler, que la liberté est dans la nature même de son être, que tout ce qui entrave cette liberté doit être rejeté, qu'il s'agisse d'un rite, d'une superstition ou d'un quelconque interdit. » (p. 105)

Ce très court roman déborde de poésie et de sagesse. Avec ses illustrations fines comme des estampes japonaises, cet ouvrage est d'une beauté saisissante, tant par son histoire que par son message. Certains m'ont dit que ce roman était trop complexe pour de jeunes lecteurs. Je pense au contraire qu'il faut leur mettre entre les mains et leur laisser en tirer ce qu'ils voudront. On y parle de liberté, de différence et de dépassement de soi. Jonathan Livingstone le goéland est un conte plein de force et de subtilité.
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Un drôle d'oiseau, ce Jonathan des goélands!
Ne voilà-t-il pas que ce volatile veut voler.... pour voler!?
Voler gratuitement, pleinement, artistiquement en somme!
Se griser de vitesse jamais atteintes par ses congénères qui ne font que voleter pour se nourrir... Monter toujours plus haut pour atteindre à une vision incomparablement plus vaste! Faire de l'acrobatie aérienne, même!
Alors, Jonathan est viré de son clan!... Son ascension, sa quête et son destin vont pouvoir s'accomplir!
Jonathan va apprendre, tendre à la perfection, puis restituer ce qui lui a été donné. Il transmettra le flambeau du grand goéland à d'autres exclus, d'autres goélands épris de liberté.
J'étends mes bras et je voudrais m'envoler, partir dans le firmament...
Trouvez votre envol, nous dit l'auteur, volez de vos ailes neuves.
Merci, Monsieur Bach.
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Un petit moment de détente à travers un moment de liberté.

Jonathan Livingston est un jeune goéland passionné de vol qui va transgresser tous les interdits et notamment les lois du clan. Son bannissement va l'amener vers une quête d'absolu.

Richard Bach nous raconte à travers ce conte philosophique, la vie de son jeune goéland, Jonathan, et sa volonté a exiger la liberté comme un droit. Il comprend qu'il doit suivre les lois du clan mais tente de les faire évoluer à partir de ses propres expériences. Ce qui malheureusement est un échec. Ce contre très métaphorique critique certains aspects de la société en tentant de la faire évoluer vers un sentiment bien plus fort qui n'est autre que l'amour.
Notre protagoniste qui au départ ne souhaite qu'apprendre à voler et découvrir toutes les techniques possible à travers ce procédé, va en retirer certaines leçons qu'il pourra enseigner à ceux qui auront un esprit suffisamment ouvert à l'état de liberté.
Comme il le dit si bien : « La seule loi digne de ce nom est celle qui montre le chemin de la liberté ».

Le livre est très court, se lit rapidement et illustré de jolies photographies de goéland. A mon sens c'est une belle réussite.
Lien : https://fantasydaniella.word..
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Poétique, cette parabole a plusieurs niveaux de lecture : la réalisation de soi par la réalisation de ses rêves, la volonté de ne pas être comme les autres, la différence qui aboutit à l'exclusion, l'exclusion acceptée au nom de ses principes, la liberté.... La différence et la liberté qui permettent de se trouver, de se découvrir.
Une parabole qui part vers le religieux (là j'ai eu un peu plus de mal). Un chouia trop mystique pour m'avoir pleinement conquise. Sans doute la source de son succès outre-Atlantique.
Le texte est joliment écrit (on sent bien l'amour du vol par l'auteur !). Mon édition s'accompagne de magnifiques photos de goélands en vol.
Un joli livre.
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J'avais lu ce petit conte lorsque j'étais enfant et l'avais beaucoup aimé. J'en avais gardé le souvenir d'une belle histoire et d'un animal attachant.
Le hasard me l'a fait emprunter à la bibliothèque pour le relire, quelques décennies plus tard.
Et là, tout s'éclaire !

Richard Bach nous raconte la vie de Jonathan, un goéland pas du tout ordinaire.
Il refuse les limites que les autres s'imposent et veut voler toujours plus vite, plus loin, plus haut.
Le jeune public va adorer ce personnage excentrique et têtu, et va suivre ses aventures avec avidité, je n'en doute pas.
Mais un lecteur adulte, lui, va y voir bien d'autres choses.

Avant tout, il va d'emblée comprendre que cette histoire n'est qu'une allégorie.
Le goéland n'est qu'une image et sa quête n'est là que pour nous faire comprendre qu'il ne faut pas avoir peur, qu'il faut savoir se jeter à l'eau (ou dans les airs !) pour être nous-mêmes.
Qu'il ne faut pas avoir peur de dépasser les limites si c'est ce qui nous rend heureux.
Qu'il faut persévérer malgré les obstacles.
Qu'il faut faire preuve de courage, la récompense le vaut largement.
C'est une petite leçon de vie, pleine d'énergie et d'espoir, que cet oiseau nous donne.
Pas du tout de ces conseils gnangnans que l'on trouve dans des livres de "développement personnel" ou autres niaiseries, mais une illustration poétique à travers Jonathan de ce qui peut nous aider à mieux vivre.

J'ai lu ce livre dans une collection "jeunesse", indiquant que le texte est accessible à partir de onze ans.
En effet, les jeunes lecteurs vont aimer cette belle histoire au premier degré, d'autant plus qu'elle est superbement illustrée par Gérard Franquin. Mais n'hésitez pas à suivre à votre tour l'envol de Jonathan, il a des choses à vous apprendre.

J'ai commencé cette petite chronique en indiquant que le hasard m'avait fait emprunter ce livre pour le relire.
Il se trouve que je suis dans une période de ma vie de questionnements et de grands chamboulements et que j'ai été particulièrement réceptive aux messages de Jonathan.
Alors, hasard, vraiment ?
"Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous." Paul Éluard
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Je n'avais jamais lu ce classique de la littérature et j'ai été conquise par la sagesse qui s'en dégage.
Un goéland, oiseau majestueux, est en quête d'absolu, il le trouvera avec le vol le plus parfait qu'on puisse imaginer.
Seul contre tous, mal-aimé des siens qui vivent presque au ras du sol et cherchent uniquement à se nourrir, il finira par faire des émules. Un dernier et quatrième chapitre vient modifier quelque peu la fin.
Il s'agit d'un livre écrit par un pilote, tout comme le petit prince, ainsi que me l'a appris la préface.
De magnifiques photos d'oiseaux complètent ce récit d'apprentissage, de transmission et d'amitié.
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